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29/03/2024
29/03/2024
 / /  : ENGAGER UNE PROCÉDURE JUDICIAIRE POUR CONSTATER L'ILLÉGALITÉ DE LA PRÉSENCE MILITAIRE ÉTRANGÈRE... -   La décisi...
29/03/2024

/ / : ENGAGER UNE PROCÉDURE JUDICIAIRE POUR CONSTATER L'ILLÉGALITÉ DE LA PRÉSENCE MILITAIRE ÉTRANGÈRE... -

La décision historique du CNSP et du gouvernement en date du 16 mars 2024 a permis de lever un coin de voile sur la nature des relations entre notre pays et certaines puissances hégémoniques et impérialistes comme les États-Unis d'Amérique qui se sont permis d'installer leurs bases militaires dans notre pays sur simple note verbale sans aucun égard à nos textes en la matière.

Devant, cette attitude impérialiste et néocoloniale, il est d'une absolue nécessité que la justice Nigérienne soit saisie par les organisations et acteurs de la société civile Nigérienne afin de constater l'illégalité de cette installation, de faire cesser ce trouble de la présence illégale des troupes étrangères sur notre territoire sans respect à notre ordonnancement juridique et surtout de nature à causer du tort au préjudice de notre pays et son peuple.

Cela d'autant que, la réciprocité n'est pas à l'ordre du jour.

Le recours rapide à la voie judiciaire est le témoignage de notre volonté citoyenne et patriotique de trouver la solution idoine pour un désengagement conforme aux usages et au droit international.

C'est l'occasion de jeter les jalons d'une voie d'action refondée dans l'esprit de notre volonté d'affirmation de notre souveraineté et notre indépendance dans nos rapports de coopération avec tous les partenaires.

C'est pourquoi, tous les Nigériens patriotes doivent se mobiliser comme un seul homme pour soutenir cette démarche judiciaire pour obtenir le démantèlement de toutes bases illégales sur notre sol national et demander la réparation de tous les torts et dommages éventuels subis par notre pays et son peuple.

C'est un devoir patriotique et une exigence de notre combat actuel pour l'affirmation de notre souveraineté et notre indépendance.

Labou sanni no! Zencen kassa né !

La patrie libre ou la mort nous vaincrons.

A cet effet, une procédure judiciaire adéquate est à envisager sans délai avec le soutien de Tous pour obtenir la décision de justice qui fait le constat de l'illégalité et ordonne le déguerpissement de toutes ces bases illégales.

La décision de la fédération Niger Uni de saisir la justice à cette fin est salutaire et la bienvenue. D'autres acteurs de la société civile nationale et régionale doivent leur emboîter le pas pour une mobilisation grandiose tout azimut et résolue afin de montrer à l'opinion nationale et internationale l'engagement du peuple Nigérien à soutenir ces revendications par tous les moyens légaux et démocratiques.

C'est une excellente approche pour soutenir la décision courageuse des autorités qui œuvrent à trouver des réponses idoines aux préoccupations nationales en développant toutes les initiatives conformes aux aspirations de notre peuple, pour la sauvegarde de l'honneur de la patrie et la dignité de tous les Nigériens (nigérois).

Signé Nouhou Mahamadou ARZIKA Acteur de la Société Civile, Président du MPCR

Le président Macky SALL  a reçu son successeur Bassirou Diomaye FAYE   en compagnie de son frère Ousmane SONKO  au palai...
28/03/2024

Le président Macky SALL a reçu son successeur Bassirou Diomaye FAYE en compagnie de son frère Ousmane SONKO au palais présidentiel du Sénégal 🇸🇳.

21/03/2024

La partenaire stratégique du dans sa lutte!

21/03/2024

Le Numérique dans l’AES, Niamey a abrité une réunion de haut niveau.

  : Rencontre à   sur les projets d'intégration numérique de l'Autorité de Développement Intégré de la région du Liptako...
21/03/2024

: Rencontre à sur les projets d'intégration numérique de l'Autorité de Développement Intégré de la région du Liptako-Gourma (ALG)

Le Ministre de la Communication, des Postes et de l'Economie Numérique, M. Sidi Mohamed Raliou, a reçu en audience ce jeudi 21 mars 2024 une délégation de l'Autorité de Développement Intégré de la région du Liptako-Gourma (ALG), conduite par Mme Hawa Aw, Secrétaire Exécutive par intérim.

Créée il y a près de 54 ans pour favoriser l'intégration entre ses Etats membres, l'ALG voit son rôle renforcé avec l'avènement de l'Autorité de l'Espace Sahélo-Saharien (AES), notamment dans la facilitation du travail transfrontalier au cœur de ses missions.

Selon Mme Aw, "l'AES est une véritable opportunité qui permettra, avec l'engagement des Etats, de démontrer sur la base de l'expérience acquise comment soutenir les visions d'intégration commune".

Parmi les projets phares évoqués figure la mise en place d'un Point d'Echange Internet (IXP) entre les trois pays de l'ALG, déjà bien avancé.

Cette infrastructure technique d'interconnexion des réseaux vise à assurer la souveraineté des données, la fiabilité, la qualité des services internet et une maîtrise de la connectivité nationale tout en réduisant les coûts.

Le Niger est en effet très avancé sur ce projet conformément aux discussions des ministres de l'Economie Numérique de l'AES, dont le mémorandum a été transmis aux plus hautes autorités. Le document sera prochainement soumis au gouvernement.

D'autres initiatives d'intégration sont en cours entre les pays de l'ALG dans le sillage de cette visite menée par sa Secrétaire Exécutive, dans un esprit de coopération sous-régionale renforcée.

́gration ́rique

Niger/Primature: Le Premier Ministre échange avec une délégation du Fonds mondial Le Premier Ministre de la Transition d...
21/03/2024

Niger/Primature: Le Premier Ministre échange avec une délégation du Fonds mondial

Le Premier Ministre de la Transition du Niger, M. Ali Mahaman Lamine ZEINE a reçu, ce jeudi 21 Mars 2024 à son cabinet, une délégation du Fonds Mondial, conduite par le Directeur Régional dudit Fonds, M. Ibrahim Faria.

‘’L’objectif de cette audience est de discuter avec le Premier Ministre et de lui présenter aussi les objectifs de la mission du Fonds Mondial au Niger. C’est une mission qui est venue faire le point de l’ensemble des projets que le Fonds Mondial finance au Niger’’a déclaré à la presse, à l’issue de l’audience, le Directeur Régional dudit Fonds, M. Ibrahim Faria.

Pour l’exercice 2023-2026, le Directeur Régional a fait savoir que ’’le Fonds Mondial engage des ressources d’environ 171 Millions d’euros pour appuyer la lutte contre le VIH Sida, la Tuberculose, la Malaria, le paludisme et aussi pour renforcer le système de la santé’’.

Dans un contexte comme celui du Niger, a-t-il souligné, ’’ces financements sont extrêmement importants, et nous avons rendu compte au Premier Ministre des discussions que nous avions eues avec l’ensemble des secteurs notamment le Ministère de la santé pour voir ensemble comment ces ressources vont être utilisées au bénéfice de la population et aussi comment le gouvernement du Niger va assurer un co-financement de ces ressources’’.

Enfin, le Directeur Regional du Fonds Mondial a tenu à remercier le gouvernement du Niger pour ‘’son leadership dans la lutte contre ces trois(3) maladies et aussi pour ces investissements dans le secteur de la Santé’’.

Notons que cette audience s’est déroulée en présence du Ministre de la Santé Publique, de la Population et des Affaires Sociales du Niger.

Coopération : le Niger compte sur Poutine et la Russie pour réussir son combat patriotique de reconquête de sa souverain...
21/03/2024

Coopération : le Niger compte sur Poutine et la Russie pour réussir son combat patriotique de reconquête de sa souveraineté, déclare le Général Tiani

Dans un message de félicitations qu'il a adressé le lundi 18 mars au Président Vladimir Poutine suite à son nouveau plébiscite à la tête de la fédération de la Russie, le Président de la Transition nigérienne a déclaré que le Niger, qui mène une "lutte historique pour la reconquête de sa souveraineté et son développement", sait pouvoir compter sur l'engagement personnel du maître du Kremlin et la coopération avec son pays pour réussir "son combat patriotique". En ce sens, le Général de Brigade Abdourahmane Tiani a assuré son homologue russe de "sa disponibilité personnelle" ainsi que celle du gouvernement du Niger à œuvrer, de concert avec les dirigeants russes, en vue du renforcement des relations déjà excellentes entre les deux pays.


Le timing des évènements relève certes d’une coïncidence de l’histoire mais la vitesse avec le Chef de l’Etat nigérien s’est empressé de féliciter le Président russe ainsi que la teneur du message, sont loin d’être fortuits et conforme, si besoin en est encore, du virage stratégique qu’assume désormais les autorités de Niamey en matière de coopération et de partenariat. D’autant que le message, au ton presque laudateur, intervient au lendemain de celui, pas très diplomatique, des autorités de la transition nigérienne dans lequel ils ont dénoncé l’accord militaire avec les Etats-Unis tout en remettant en cause la qualité et la pertinence des relations avec Washington.

Dans le message adressé au Président russe, le Président du CNSP, le Général de Brigade Abdourahamane Tiani souligne que cette « brillante réélection » à la suite des consultations tenues du 15 au 17 mars 2024, lui offre l’agréable plaisir de lui transmettre, au nom du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP), du Gouvernement du Peuple nigérien et en mon nom, « mes vives et chaleureuses félicitations ainsi que mes vœux de réussite dans l’accomplissement de votre haute et exaltante mission ». Pour le chef de l’Etat, « le grand Peuple russe, en vous renouvelant sa confiance à travers cette éclatante victoire, vient une fois encore de prouver son adhésion à votre programme de gouvernance ainsi qu’à votre ambition légitime de continuer à faire progresser la Fédération de Russie dans tous les domaines économiques et politiques et lui assurer un rang des plus honorables dans le concert des nations ». Et d’ajouter que « le Niger qui mène une lutte historique pour la reconquête de sa souveraineté et son développement sait pouvoir compter sur votre engagement personnel et la coopération avec la Fédération de Russie pour réussir son combat patriotique ». A cet égard, poursuit le message du Président Tiani, « je voudrais Vous assurer de ma disponibilité personnelle ainsi que celle du Gouvernement du Niger à œuvrer, de concert avec Votre Excellence et le Gouvernement de la Fédération de Russie, en vue du renforcement des relations déjà excellentes entre nos deux pays ».

Rapprochement stratégique

Depuis les évènements du 26 juillet 2023, les nouvelles autorités nigériennes ont opté pour une alliance stratégique avec de nouveaux partenaires à l’image de la Russie, l’Iran ou la Turquie, tout en prenant progressivement leurs distances avec les pays occidentaux notamment la France et désormais les Etats-Unis. Comme avec les autres pays de l’Alliance des Etats du Sahel (AES), le Burkina Faso et surtout avec le Mali, c’est avec Moscou que Niamey semble miser le plus dans cette nouvelle page de sa coopération. En quelques mois, une délégation de hauts responsables russes a séjourné au Niger et le Premier ministre de transition accompagné de plusieurs membres du CNSP et du gouvernement se sont également rendus à Moscou pour des échanges sur les nouvelles perspectives de coopération notamment dans le domaine de la défense et de la sécurité. Si un accord de coopération militaire a été signé ainsi que des contacts dans d’autres domaines de coopération comme l’énergie, les mines ou les infrastructures, la lune de miel entre Niamey et Moscou reste encore au stade de déclarations de bonnes intentions. Cependant, avec la dénonciation avec effet immédiat des accords militaires avec le pays de l’Oncle Sam et donc, comme avec le cas de la France, du départ du millier de soldats US du Niger, le boulevard s’ouvre grandement pour le maitre de Kremlin qui est en train d’étendre son influence au Sahel central.


Sénégal : à l’approche des élections, des experts de l'ONU exhortent au respect des libertés fondamentales Des experts d...
21/03/2024

Sénégal : à l’approche des élections, des experts de l'ONU exhortent au respect des libertés fondamentales

Des experts de l'ONU ont exhorté mardi les autorités sénégalaises à veiller à ce que les partis politiques, les journalistes et les défenseurs des droits de l'homme puissent exercer leurs droits à la liberté d'association, de réunion et d'expression pendant la période électorale. Un plaidoyer qui fait suite aux violences et restrictions des libertés constatées par la mission des experts qui vient de séjourner dans le pays, à la veille d’un nouveau scrutin inédit dans l’histoire du pays avec une vingtaine de candidats qui prétendent à la succession du Président sortant Macky Sall.


Les experts ont déjà fait part au gouvernement de leurs préoccupations concernant les poursuites et la détention de dirigeants de l'opposition et de leurs partisans. Ils ont également salué la libération de plus de 500 détenus, dont les leaders de l'opposition Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Diakhar Faye, la semaine dernière, même si cela n'est intervenue que quelques jours avant les élections présidentielles prévues pour le 24 mars 2024. « Nous exhortons les autorités à respecter les libertés fondamentales nécessaires à un processus démocratique inclusif et effectif, et à mettre fin aux restrictions des libertés publiques que le pays a connues ces dernières années », ont dit les experts dans une déclaration conjointe.

Les experts ont noté que le Sénégal avait connu des manifestations de masse sans précédent dans tout le pays, depuis mars 2021, en réponse à l'arrestation et au procès de dirigeants de l'opposition.

Restrictions fréquentes des libertés publiques

« Depuis lors, plusieurs dirigeants et partisans de l'opposition, journalistes et défenseurs des droits de l'homme auraient été arrêtés, tués ou blessés à la suite d'un usage excessif de la force par les forces de l'ordre », ont dit les experts dans une note publié par l’ONU Info.

« Les autorités sénégalaises semblent avoir eu recours à des restrictions fréquentes des libertés publiques, à des interdictions de manifester et à des coupures temporaires d'Internet », ont-ils ajouté, soulignant l'impact négatif sur l'exercice du droit à la liberté d'expression et aux manifestations pacifiques par les membres de l'opposition politique et de la société civile.

Selon les experts, « les arrestations et les interdictions de manifester restreignent dangereusement l'espace civique et politique qui sont des éléments essentiels de toute société démocratique ».

Ils ont souligné que les droits à la liberté de réunion pacifique et d'association sont des composantes essentielles de toute démocratie, permettant aux citoyens de tous âges d'exprimer leurs opinions politiques et créant les conditions d'un dialogue entre l'opposition et la majorité, indispensable à la préservation des acquis démocratiques du pays.

« Nous exhortons les autorités sénégalaises à créer les conditions propices à l'exercice des libertés publiques, et en particulier des droits de réunion pacifique, d'association et d'expression pendant la période électorale », ont-ils déclaré.

La mission des experts est composée de Clément Nyaletsossi Voule, Rapporteur spécial sur les droits à la liberté de réunion pacifique et à la liberté d’association, Priya Gopalan, Présidente-rapporteuse et Matthew Gillet, vice- président chargé des communications, Miriam Estrada-Castillo et Mumba Malila, du Groupe de travail sur la détention arbitraire.

Notons aussi que les Rapporteurs spéciaux et Experts indépendants font partie de ce qui est désigné sous le nom des procédures spéciales du Conseil des droits de l’homme. Les procédures spéciales, l’organe le plus important d’experts indépendants du Système des droits de l’homme de l’ONU, est le terme général appliqué aux mécanismes d’enquête et de suivi indépendants du Conseil qui s’adressent aux situations spécifiques des pays ou aux questions thématiques partout dans le monde. Les experts des procédures spéciales travaillent à titre bénévole ; ils ne font pas partie du personnel de l’ONU et ils ne reçoivent pas de salaire pour leur travail. Ils sont indépendants des gouvernements et des organisations et ils exercent leurs fonctions à titre indépendant.

Fermeture des bases américaines au Niger : les raisons de l'échec de la politique du Pentagone Les autorités du Niger on...
21/03/2024

Fermeture des bases américaines au Niger : les raisons de l'échec de la politique du Pentagone


Les autorités du Niger ont annoncé le 16 mars la rupture de la coopération militaire avec les Etats-Unis et ont exigé le retrait immédiat des troupes du territoire de leur pays. Dans son discours, le colonel-major Amadou Abdramane a accusé la délégation américaine conduite par la sous-secrétaire d'État américaine pour l'Afrique, Molly Phee, qui a séjourné à Niamey pendant trois jours dans le cadre d'une visite officielle, d'essayer de faire pression sur les dirigeants du Niger, de violer le protocole diplomatique et de manquer de respect aux autorités et au peuple de la République.


Il convient de rappeler que le pays compte quelques bases militaires américaines. Il s'agit de la Base aérienne du Niger 201 à Agadez et de la Base aérienne 101 située à proximité de l'aéroport international Diori Hamani dans la capitale Niamey. Les États-Unis ont dépensé au moins 150 millions de dollars pour construire ces bases. Au total, environ 1 000 soldats américains sont déployés au Niger.

L'armée de l'air américaine a également utilisé l'aérodrome de Dirkou (DRZD) au Niger comme base d'opérations pour des attaques contre les groupes armés au Sahel. Ce petit aérodrome est situé à deux kilomètres du centre-ville de Dirkou. Comme le rapporte le New York Times, en 2017, la CIA a renforcé sa présence en matière de renseignement dans la région.

Après l'arrivée au pouvoir du général Abdourahamane Tchiani, les responsables américains ont cherché fébrilement des moyens de s'associer au gouvernement militaire. Cependant, le comportement et les actions inacceptables de la délégation américaine ont eu l'effet inverse. La perte de ses bases au Niger menace Washington, à l'instar de Paris, d’une perte définitive du contrôle de la zone sahélienne.

Plusieurs raisons expliquent le refus des autorités nigériennes de poursuivre la coopération avec les États-Unis. La première et la plus importante est l'absence apparente d'améliorations visibles de la situation en matière de sécurité. S'il n'y a pas d'amélioration, il n'est pas nécessaire d'avoir une présence militaire étrangère dans le pays. En outre, ni le Pentagone ni la CIA ne s'empressaient de partager des informations de renseignement avec les autorités du pays hôte, et certaines de ces informations ont été recueillies auprès de contingents militaires subordonnés au gouvernement.

Il faut également rappeler qu'Agadez est une ville dont la population est majoritairement touarègue. Les autorités du pays avaient donc toutes les raisons de soupçonner les Américains d'établir dans leur dos des contacts plus étroits avec les chefs Touaregs afin de gagner leurs faveurs.

Les autorités du Niger ont choisi de défendre les intérêts de leur pays sans pression ni condescendance de la part des puissances occidentales. Comme les autres pays de l'Alliance du Sahel, elles ont choisi le patriotisme et le respect de la souveraineté du pays.

Actu Niger

🔴•Selon la République Islamique d’ , le   est un Pays désormais libre qui mérite aussi bien de prendre ses décisions en ...
21/03/2024

🔴•Selon la République Islamique d’ , le est un Pays désormais libre qui mérite aussi bien de prendre ses décisions en toute souveraineté à l’aide effectivement de toute l’indépendance possible. rappelle également que pourrait justement bénéficier de son soutien militairement, économiquement et politiquement. Rappelons notamment que les ont une très bonne expérience en matière de sanctions imposées par les à cause bien-sûr des ressources naturelles de ce Pays, dont l’ .

Source : Reborn Times

🚨Urgent : Principales résolutions du Sommet extraordinaire des chefs d'État de la Ecowas - Cedeao  :–Libération avec eff...
24/02/2024

🚨Urgent : Principales résolutions du Sommet extraordinaire des chefs d'État de la Ecowas - Cedeao :
–Libération avec effet immédiat du président Mohammed Bazoum
– Toutes les sanctions économiques, transfrontalières et aériennes de la CEDEAO et de l'UEMOA levées sur le Niger
- la suspension du Niger de toute assistance financière et de toute transaction avec toutes les institutions financières, en particulier la BOAD levée
- Levée avec effet immédiat des sanctions contre le Burkina Faso, le Niger, la Guinée, le Mali

Conclusion de la Réunion des Ministres de l’AES Les Grandes Décisions!Neuf ministres burkinabè conduits par le ministre ...
17/02/2024

Conclusion de la Réunion des Ministres de l’AES
Les Grandes Décisions!

Neuf ministres burkinabè conduits par le ministre d’État, le Général Kassoum Coulibaly, 8 ministres maliens conduits par le ministre d’État, le Colonel Abdoulaye Maïga et 5 ministres nigériens conduits par le ministre d’État, le Général Salifou Mody étaient en conclave ce jeudi 15 février 2024 à Ouagadougou, pour préparer la conférence des chefs d’État de l’Alliance des Etats du Sahel (AES). Les ministres de l’AES, ont examiné en plénière durant cette rencontre, le document de travail soumis à leur appréciation, notamment le projet de révision de la charte, le projet de traité portant création de la confédération des États du Sahel.
A l’issue des délibérations, les ministres de l’Alliance des Etats du Sahel (AES), sont parvenus aux conclusions suivantes. En ce qui concerne la charte de l’AES, les ministres n’ont pas jugé nécessaire de procéder à sa révision. Cependant, tenant compte des références faites au traité révisé de la CEDEAO dans la charte et au retrait sans délai de cette organisation, les ministres ont convenu que le traité portant création de la Confédération prenne acte dudit retrait.
S’agissant du traité portant création de la Confédération de l’Alliance des Etats du Sahel, les ministres ont noté la nécessité de fonder le traité de la Confédération sur les références historiques et propres aux peuples du Sahel. Ils ont, en outre, fait l’option de « l’architecture institutionnelle légère comprenant la session du collège des chefs d’État, les sessions du conseil des ministres et les sessions des représentants du parlement ».

Concernant la charte graphique de l’AES, les ministres ont adopté les projets de termes de références proposés par la réunion des hauts fonctionnaires. Cette charte oriente sur l’ensemble des règles fondamentales des signes d’utilisation des signes qui constituent l’identité iconographique visuelle de l’AES.
Pour ce qui est de la communication de l’AES, les ministres, en attendant la mise en place définitive des organes de l’AES, ont approuvé « les propositions des mesures de l’action urgente pour renforcer sa visibilité et son appropriation par les populations de l’espace AES ».

En marge de la réunion ministérielle, les trois (03) délégations ont été reçues en audience par Son Excellence le Capitaine Ibrahim TRAORE, Président de la Transition, Chef de l'État du Burkina Faso. Ils ont mis à profit cette audience pour lui faire un compte rendu des conclusions de leurs travaux et solliciter ses conseils et orientations pour les prochaines étapes.

La CoLDEFF annonce des recouvrements de plus de 15 milliards de francs CFA en trois moisSoumis par ANP le ven 16/02/2024...
17/02/2024

La CoLDEFF annonce des recouvrements de plus de 15 milliards de francs CFA en trois mois
Soumis par ANP le ven 16/02/2024 - 22:48

NIAMEY, 16 Février (ANP) - Le président de la Commission de Lutte contre la Délinquance Économique, Financière et Fiscale (CoLDEFF), le Colonel de la Gendarmerie Abdoul Wahid Djibo a annoncé, ce vendredi 16 Février 2024, que son Institution a recouvré, à date, quelque 15.744.252.011 F CFA dont 12.038.839.799 F CFA déjà encaissés et des engagements de quelque 3.705.412.212 F CFA.

Ce bilan a été rendu public à l’issue d’une rencontre avec le Président du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie (CNSP), Chef de l’Etat, le Général de Brigade Abdourahamane Tiani, qui leur a signifié tout son satisfecit, tout en leur renouvelant son soutien dans la conduite de leur mission.

Selon le président de la CoLDEFF, ses membres ont, pour leur part, rassuré le Chef de l’Etat de leur engagement à mener à bien la mission dont ils sont investis.

Le Colonel Abdoul Wahid Djibo a toutefois déploré le fait que tous les dossiers que la CoLDEFF devait hériter de la HALCIA sont vides. Il a, en outre, fait savoir que les dossiers saillants sur lesquels la CoLDEFF est attendue sont, pour la plupart, pendants devant la justice. Mais, a-t-il indiqué, la CoLDEFF est entrain de suivre la démarche légale pour être en possession de ces dossiers.

La CoLDEFF, rappelle-t-on, a été créée le 13 septembre 2023 et est composée de 35 membres nommés par décret pris le 1er novembre 2023 par le Président du conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP).

Elle a pour mission la lutte contre la corruption, l’impunité, le détournement des biens publics et la mauvaise gouvernance. Ses membres ont prêté serment le 16 Novembre 2023.

Disposant de tous les pouvoirs nécessaires pour mettre en œuvre les orientations du CNSP et du Gouvernement relatives à la lutte contre la délinquance économique, financière et fiscale, dans le respect des lois et règlements de la République, « la COLDEFF constitue une réponse aux attentes légitimes du peuple nigérien à la justice, avec pour mission principale le recouvrement de tous les biens publics illégalement acquis et/ou détournés », a expliqué le communiqué portant sa création.

L’AES condamne la « confiscation illégale et illégitime » des avoirs du Niger par l’UEMOAA l’issue d’une réunion au Burk...
16/02/2024

L’AES condamne la « confiscation illégale et illégitime » des avoirs du Niger par l’UEMOA

A l’issue d’une réunion au Burkina Faso, les ministres de l’Alliance des Etats du Sahel (AES), ont condamné « la confiscation illégale et illégitime des avoirs de la République du Niger par l’UEMOA ».

La capitale du Burkina Faso, Ouagadougou, a accueilli un important sommet de l’Alliance des Etats du Sahel (AES) ce jeudi 15 février 2024. Ce sommet tripartite, comprenant les délégations du Mali, du Burkina Faso et du Niger, a permis aux ministres de valider l’architecture juridico-institutionnelle de l’AES et d’adopter le projet de la charte référence graphique de l’alliance. Mais ce n’est pas tout, les ministres de l’alliance sont revenus sur les sanctions infligées par l’UEMOA au Niger.

Avant de clore la rencontre, les ministres ont condamné « la confiscation illégale et illégitime des avoirs de la république du Niger par l’UEMOA à travers la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest », indique un communiqué des autorités du Burkina Faso. Devant cette situation, ils ont exprimé leur solidarité au gouvernement et au peuple nigérien et exigé la restitution « sans délai » desdits avoirs.

Les faits…

Pour rappel, les chefs d’Etat de l’Union économique et monétaire ouest africaine (UEMOA) se sont réunis le dimanche 30 juillet 2023, à la suite du coup d’Etat qui a renversé le président Bazoum. A l’issue de cette réunion, l’UEMOA a décidé de la suspension du Niger de toutes les transactions commerciales et financières avec les pays de l’UEMOA y compris celles portant sur les produits pétroliers, l’électricité et les biens de services, etc.
Les chefs d’État de l’institution ont également décidé du gel des avoirs financiers et monétaires de l’Etat du Niger à la BCEAO et les banques commerciales des pays de l’UEMOA.
Ce gel des avoirs ainsi que la confiscation des biens s’appliquent, selon les conclusions de la rencontre, à toutes les personnes civiles et militaires qui participeraient à des institutions, organes ou gouvernement et qui tenteraient de constituer les militaires impliqués dans ce coupde force. Les sanctions vont s’appliquer également aux familles des personnes concernées qui seraient en outre interdites de séjour dans les pays de l’espace UEMOA.

Niger : L’ex-Président Mahamdou Issoufou aurait quitté Niamey pour un pays étrangerLe 15 février 2024, une nouvelle a se...
16/02/2024

Niger : L’ex-Président Mahamdou Issoufou aurait quitté Niamey pour un pays étranger

Le 15 février 2024, une nouvelle a secoué le Niger : l'ancien président Mahamadou Issoufou aurait quitté Niamey pour se rendre dans un pays étranger. Cette information a été confirmée par une source à Addis-Abeba, la capitale éthiopienne, selon le journaliste et écrivain nigérien Seidik Abba.

Selon les données du traceur de vol Fabian, l'ancien président aurait voyagé à bord d'un charter McDan Aviation Bombardier Challenger 604 avec l'immatriculation T7-MCDAN. L'avion serait arrivé à l'aéroport de Niamey en provenance d'Accra, au Ghana, et serait reparti quelques minutes plus t**d en direction d'Addis-Abeba.

Afrique/AES: Le Burkina Faso, le Niger et le Mali vont créer une confédérationLes ministres de la Défense du Burkina Fas...
16/02/2024

Afrique/AES: Le Burkina Faso, le Niger et le Mali vont créer une confédération
Les ministres de la Défense du Burkina Faso, du Mali et du Niger se sont rencontrés à Ouagadougou pour évoquer les détails de la création d’une confédération.

"Ouagadougou nous offre aujourd'hui l'occasion de franchir un pas supplémentaire dans la poursuite de la mise en place des instruments, mécanismes et procédures de notre alliance, ainsi que dans l'architecture juridique de la confédération envisagée par nos trois États", a déclaré le ministre burkinabè de la Défense, le général Kassoum Coulibaly, cité par l’Agence France-Presse (AFP).

Son homologue nigérien, Salifou Modi, a souligné pour sa part que ce mécanisme permettrait "à notre alliance et à la confédération de fonctionner efficacement et au grand bonheur de nos populations", précise l’agence que cite TASS.

Début décembre, les ministres des Affaires étrangères du Mali, du Burkina Faso et du Niger ont envisagé pour la première fois la possibilité de mettre en place une confédération. Le dirigeant nigérien, le général Abdourahamane Tchiani, a évoqué dimanche l’éventualité d’une monnaie commune avec le Burkina Faso et le Mali. Les trois pays ont annoncé fin janvier leur retrait de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao).

🇸🇳 , le Ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique Moussa Bocar Thiam  informe le public qu'en...
05/02/2024

🇸🇳 , le Ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique Moussa Bocar Thiam
informe le public qu'en raison de la diffusion de plusieurs messages et relayés sur les réseaux sociaux dans un contexte de menaces de troubles à l'ordre public, l' des données mobiles est suspendu provisoirement à partir du dimanche 04 février 2024 à 22 heures.

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