04/04/2024
Shuzo Oshimi utilise les codes du modernisme français pour dépeindre l'horreur des émotions emprisonnées en nous dans “Les Fleurs du Mal.”
Le média tokyoïte de référence depuis 1997. Le nom Pen témoigne d'un attachement à l’écriture manuscrite et d'une volonté farouche de la défendre.
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Créé en 1997 à Tokyo, Pen [ペン] est le média de référence dans les domaines de la culture et de l’art de vivre au Japon. Depuis 2016, l’édition internationale de ce magazine tokyoïte met en lumière la créativité en réunissant le meilleur de l’art, de la culture, du design, de la gastronomie et des voyages du Japon. Ce savoir-faire éditorial retranscrit dans ses magazines, médias numériques et vidéo
s en japonais, anglais et français touche désormais un public mondial. Autour d’une équipe internationale, Pen associe au sein de ses bureaux japonais et français une agence de création, une maison d’édition et une société de production de films (fictions et documentaires). Au fil des siècles, le stylo a détenu un pouvoir et son détenteur une responsabilité. Le magazine a ainsi été baptisé pour rendre hommage à cet héritage et le faire perdurer. Il met à l’honneur la vision moderne de ceux qui remettent en question les acquis, qui considèrent que luxe et singularité sont compatibles et pour qui la création est synonyme de plaisir. Il met en lumière l’effort, la passion et l’obsession pour le détail qui sont nécessaires à la créativité. Pen est édité par CCC Media House Co., Ltd., qui publie également Madame Figaro Japon et Newsweek Japan. CCC Media House est une maison d’édition, propriété du groupe CCC aussi à l'origine de TSUTAYA, l’une des plus grandes chaînes de distribution de biens culturels au Japon. Outre l’édition de livres et de magazines, CCC Media House est impliquée dans une large gamme d’activités, parmi lesquelles la stratégie de marque, le conseil digital et la production de vidéos.
Shuzo Oshimi utilise les codes du modernisme français pour dépeindre l'horreur des émotions emprisonnées en nous dans “Les Fleurs du Mal.”
Yutaka Yazawa détaille 100 notions essentielles afin de percer le quotidien des Japonais, à rebours de l’imagerie classique du Japon.
Shohei Imamura s’intéresse aux trajectoires des rescapés condamnés par les pluies de radiations causées par la bombe atomique.
Antoine Piazza consigne dans ce récit son périple de deux semaines sur l’île de Shikoku, où se mêlent à l’effort nature et intime.
Dans “Giri / Haji”, coproduite par la BBC et Netflix, on suit un inspecteur à la recherche de son frère, responsable d’une guerre de gangs.
Imaginés par Elise Fouin et le coutelier Yutaka Yazaki, ces ustensiles s’adaptent au marché européen sans sacrifier à la technicité nippone.
Visible seulement deux fois par an, “Empty River”, aménagé par l’architecte paysagiste Marc Peter Keane, évoque le cycle du carbone.
La cheffe met à l'honneur ces crêpes japonaises en proposant une recette tirée de son livre “Japan, the World Vegetarian”.
Avec son premier disque “Misora”, sorti en 1972, la guitariste et chanteuse folk remporte un grand succès qui perdure des années après.
Dans ces peintures chargées et colorées des paysages mystérieux sont peuplés d'aliens, de monstres et de rares humains.
Quelques mois avant son su***de rituel, l'écrivain se mettait en scène dans des photographies macabres prises par Kishin Shinoyama.
Ce film de Masaki Kobayashi s'appuie sur les récits de Lafcadio Hearn pour pénétrer le folklore entourant les fantômes.
Dans ce roman de Keigo Higashino, trois amis sont amenés à modifier la réalité par l'intermédiaire de lettres dont ils sont les destinataires.
La sociologue Muriel Jolivet signe un ouvrage où se mêlent analyse, récit de voyage et interviews de ces femmes aux pouvoirs surnaturels.
“Garden of Domina” offre une plongée dans l’univers d'une icône de l'“oshiri”, dont l’œuvre a aujourd’hui atteint le monde entier.
Les jeunes femmes auxquelles Ai Yamaguchi donne vie dans ses peintures embrassent des identités variées, passées et présentes, avec poésie.
À travers le récit initiatique d’une jeune citadine, ce roman graphique rend hommage à la communauté des « femmes de la mer ».
Avec “Kikuo — Reclining Woo-Man”, le photographe Ryudai Takano interroge les normes identitaires et sociales, et leurs représentations.
Ce long métrage de Shohei Imamura utilise le cadre de la pornographie pour mettre en lumière les contradictions du Japon d’après-guerre.
Science SARU, le studio à l'origine de “Japan Sinks”, transpose en “anime” un classique de la littérature sur une guerre du XIIème siècle.
Dans ce film, Hirokazu Kore-eda décortique les rapports conflictuels mère-fille grâce au duo formé par Catherine Deneuve et Juliette Binoche.
En nominant une figure emblématique du “streetwear” à la direction artistique, la maison se donne un nouveau souffle.
Dans son autobiographie, “Confessions d’un masque”, l'écrivain évoque la difficulté d'assumer sa différence dans une société conservatrice.
On ne se sent pas à l'étroit dans cette maison tokyoïte où l'absence de cloisonnement et la lumière naturelle parent au manque d'espace.
Ce film de J.B. Braud met à nu les émotions les plus profondes, à travers le prisme de la trahison, de la fuite et de la rédemption.
La 10ème édition du Washoku World Challenge avait pour thème le “dashi”, bouillon central de la gastronomie du pays.
Les villes-châteaux de cette région du département de Hyogo sont riches de spécialités comme le soja noir “Tanba Kuro” ou le boeuf de Tajima.
A la fois fournisseur, épicerie et site internet, cette entreprise importe directement des ingrédients du Japon à prix compétitifs.
Cette pâtisserie spécialiste du “dorayaki” promeut des produits naturels et un savoir-faire artisanal à mi-chemin entre les deux cultures.
Kinosaki Onsen a beaucoup inspiré les écrivains, alors que les anciens restaurants occidentaux de Kobe évoquent des saveurs du passé.
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L'artiste transcende la pratique du “shibari” dans des oeuvres où les fils et non plus les corps prennent la vedette.
Inspiré du “shodo”, la calligraphie japonaise, l'artiste espagnol établi à Tokyo retranscrit une certaine nostalgie au travers de ses oeuvres.
Salarié dans la mode depuis de nombreuses années, c'est à son arrivée en France que Jumpei Seki a pris son indépendance et est devenu Fashion Improver.
Naoki Terada a conçu son habitation et ses meubles sur-mesure afin de favoriser les échanges et les rassemblements en famille et entre amis.
Ramdane Touhami, le fondateur d'Officine Universelle Buly a dessiné les meubles de son lieu de travail et conçu l'espace pour s'y sentir comme chez lui.
De l'Italie à la Chine, le menu conçu par le chef Takaki Kikuchi à Konel est élaboré autour de la farine de blé, ingrédient clé du pain et des pâtes.
Recette de poulet “soboro” par Kimio Nonaga — Le chef a choisi un plat simple à réaliser et réconfortant qui fait partie des “ofukuro no aji”, ou “saveurs de la cuisine maternelle”.
Dans ce repère du 11ème arrondissement parisien tenu par Yuichiro Sugiyama, on vient tant pour la sélection de cafés lavés que pour échanger.
L’imaginaire de l’illustrateur tokyoïte est peuplé d’oiseaux et de plantes qu’il représente à la manière des manuels de botanique.
Cet entrepreneur a lancé GLOBE SPECS, un magasin d'optique, à une époque où les lunettes de vue ne faisaient pas encore partie de la mode.