Créée en janvier 2009 par Clément Miserez, la société RADAR FILMS s’est spécialisée dans la production de longs-métrages de fiction. RADAR FILMS porte en son nom la volonté de rester en alerte sur les nouvelles orientations du marché, à la fois sur les plans artistiques et économiques.
- D’un point de vue artistique, Radar Films s’efforce d’être constamment à l’affut des nouveaux talents (scénari
stes, réalisateurs, comédiens). Pour cela, il a su mettre en place un tissu relationnel initié depuis 2000 par la production de plusieurs courts-métrages et prolongé jusqu’à aujourd’hui. Par ailleurs, il tente de constituer une solide équipe de réalisateurs avec Pascal Laugier, Fabrice Du Welz, Sylvain White, Christophe Campos ou plus récemment Nicolas Vanier.
- En terme économique, RADAR FILMS est également à l’écoute de l’évolution du secteur, et notamment concernant les sources de financement. Crédits d’impôts, fonds privés, coproductions internationales… autant d’exemples qui permettent à RADAR FILMS de palier la raréfaction d’un financement plus « traditionnel », notamment le préachat du premier passage TV en clair, et de parvenir à monter ses projets de manière optimale. RADAR ne délaisse pas pour autant les acteurs économiques historiques du secteur, en particulier avec GAUMONT et SND. Une relation de fidélité vis-à-vis des artistes et partenaires économiques historiques et une ouverture constante vers les nouvelles orientations artistiques et économiques du secteur : telle est la marque de fabrique de RADAR FILMS. RADAR FILMS a fait d’une nécessité un goût affiché pour les projets à fort potentiel international. Envisager de tourner aussi bien en français qu’en anglais permet d’augmenter la portée artistique et le potentiel économique des films. Dans un secteur où les sources de financement se raréfient, offrir une dimension internationale à un projet si le sujet s’y prête peut lui permettre d’exister plus facilement. C’est d’ailleurs pour cette raison que le line up de RADAR FILMS comprend aussi bien des projets en langue anglaise (dont la plupart seront produits dans le cadre du mini traité franco-canadien) que des projets en français adaptés spécifiquement au marché national.