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Les Antoinettes, Nantes (2024)

03/02/2021

Julie, épisode 18 des Antoinettes.
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03/02/2021

Pour ce nouvel épisode, je vous retrouve en compagnie de Julie. Elle est infirmière puéricultrice et réflexologue. Soigner, elle l’a toujours fait depuis ces débuts, mais au fur et à mesure du temps et en devenant elle même mère, sa vision du prendre soin à évoluer, tellement que Julie s’est formée pour soigner autrement, « au naturel »comme elle dit, juste avec ses mains.
Alors je vous souhaite une belle rencontre avec cette nouvelle Antoinette.
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01/02/2021

Pour commencer ce mois de février et cette semaine du pied droit,
Un peu de légèreté et de douceur avec ce petit jeu plein de bonnes suggestions des Antoinettes.🙃
Alors quels sont les mots qui vous ont sauté au yeux ?
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01/02/2021

Dans l’épisode 17, Cécile nous a raconté sa croisé des chemins avec certaines de ses patientes et notamment lors de « la grossesse d’après, a grossesse arc en ciel ».

Mais pourquoi l’arc en ciel est l’allégorie de certaines grossesses si précieuses?

Ce terme désigne les bébés miracles, nés après une grossesse tragique: une fausse couche, une mort périnatale ou encore une mort prématurée. Après une telle épreuve, de nombreuses couples pensent qu’ils ne pourront jamais accueillir une nouvelle grossesse ou qu’ils n’auront jamais la force de vouloir un autre enfant. Mais la vie fait qu’une belle éclaircie balaie ces mauvaises pensées.

“Arc-en-ciel” puisqu’il s’agit d’un petit bonheur parmi les gros nuages gris et la pluie. La joie d’accueillir un enfant après des moments difficiles. L’arc-en-ciel représente également l’espoir puisqu’il montre que le soleil perce la pluie. Mais, aussi beau ce phénomène soit-il, il ne peut effacer les dégâts causés par la tempête… Ce terme permet donc de définir toute la complexité d’une naissance après une perte.

Qualifier un bébé d’arc-en-ciel est, pour certains, bien plus qu’une jolie métaphore. En effet, après avoir perdu un enfant, certains couples ont du mal à accepter une nouvelle grossesse et se sentent coupables de se relever d’une épreuve pareille. Parler d’arc-en-ciel leur permet alors de souligner qu’elles n’oublient pas ce qu’elles ont vécu, mais qu’elles avancent malgré tout et qu’elles acceptent que la vie continue.
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20/01/2021

Pour commencer en beauté cette année 2021, je vous retrouve en compagnie de
Cécile. Elle est sage femme et travaille dans un service un peu méconnu, celui des grossesses
pathologiques ou grossesse à haut risque. Cécile est une Antoinette née et pour tout vous dire elle est une des personnes qui m’a inspirée ce projet.
Son témoignage est tout en sensibilité, tout en émotions assumées, tout en vérités incarnées.

Mais il faut que vous dise, nous abordons dans cet épisode les « zones sombres » de la maternité, comme le deuil périnatal et les complications qui peuvent survenir lors d’une grossesse. Alors même si Cécile en parle avec une grande humanité, si c’est un sujet trop sensible pour vous, je vous conseille d’arrêter là votre écoute et on se retrouvera sur un autre épisode .

Pour les autres, c’est parti!
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20/01/2021

Cécile, épisode 17 des Antoinettes.
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20/01/2021

Avec Cécile, on a parlé :
Des grossesses qui se compliquent et des grossesses qui s’arrêtent, du deuil périnatal et de comment on accompagne ces couples lors de cet ouragan émotionnel.
De ses remises en question professionnelles, de ses aspirations, et des émotions ressenties dans l’exercice de ses fonctions
De ce lieu de vie qu’est le service de grossesse pathologique ou grossesse à haut risque
De la médicalisation des grossesses, du mouvement : une femme - une sage femme, et de l’ouverture du débat du deuil périnatale dans l’espace public.
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18/01/2021

Ce projet porte le prénom de ma grand-mère : Les « Antoinettes ». D’aussi loin que je me souvienne, les récits de sa vie de femme, de mère et son envie de prendre soin des autres, m’ont toujours inspirés.

Nous croisons plein d’« Antoinettes » au cours de notre vie. Ces femmes et ces hommes qui, de par leur engagement, leur présence ou leur personnalité, marquent nos vies et nos souvenirs. J'ai rêvé que ces professionnels acceptes d’incarner ce prénom le temps d’un échange avec moi, pour parler aux auditeurs, de leurs histoire, de leur profession, de la magie de la maternité, et de ce qui fait sens pour eux dans leur pratique.

Mais oui! Pourquoi pas, partager ce qui fait notre quotidien, notre construction et la façon dont on navigue au milieu de tout ça? Et pourquoi pas, par la même occasion, faire évoluer les relations entre patients et professionnels, rapprocher les professionnels, se reconnaitre tous en tant qu’Humain, en parlant de ce qui nous touche.

Et toi ressens-tu l'esprit des Antoinettes? 🕯🔮
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29/12/2020

Et vous quelle est votre définition d’une Antoinette?
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29/12/2020

Et vous qu’elle est votre définition d’une Antoinnette?
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09/12/2020

Erica, épisode 16 des Antoinettes.
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09/12/2020

Avec Erica, on a parlé :
de son métier, de ses origines et des raisons de son essor actuel
De sa philosophie d’accompagnement
De son parcours qui l’a mené jusqu’ici
De la difficulté de vivre sa maternité à l’ère de la Covid.
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09/12/2020

Pour ce nouvel épisode, je vous retrouve en compagnie d’Erica. Elle est Doula. Ce métier était écrit pour elle même si elle a emprunté d’autres chemin parallèle auparavant. Elle nous explique avec sa douceur et son engagement ce que c’est d’être Doula et d’incarner avec passion ce beau métier.
Alors je vous souhaite un belle rencontre avec cette Antoinette mordue de maternité.
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07/12/2020

« you don’t have to use this time to improve yourself »
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06/12/2020

« On passe notre temps à courir, courir après des objectifs, courir après nos timings de planning, courir après des relations impossibles, courir dans les salles de sport. Quand on a peur de quelque chose notre premier réflexe c’est de courir pour y échapper. Et qu’est ce qu’il se passe si pour une fois on arrête de courir ? Qu’est ce qu’il se passe si pour une fois on s’arrête et on regarde derrière nous la bête sauvage à laquelle on essaie d’échapper ? Qu’est ce qu’il se passe si au lieu de courir pour y échapper on s’agenouille pour la regarder ? Pour l’apprivoiser ? La peur est une bête sauvage à apprivoiser et lorsqu’elle ne sera plus sauvage on n’aura plus besoin de courir. Ce qui nous rendra plus forts et plus sereins c’est de la regarder dans les yeux, de regarder comment elle fonctionne, de l’apprivoiser, de la prendre dans nos bras, d’en faire une alliée. Pensez-y la prochaine fois que vous avez l’impression de courir après quelque chose, essayez de trouver à quoi vous voulez échapper, apprenez à l’apprivoiser, apprenez à marcher à ses côtés sans essayer d’y échapper, apprenez à marcher à côté de toutes ces personnes qui incarnent cette peur, ils ne sont pas vous, vous avez aucune raison d’avoir peur si ce n’est celle d’apprendre et d’avancer 🐯🪐✨🌞 » .
Beauté des mots, beauté du compte , beauté de l’esprit .
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05/12/2020

" T'es pas encore arrivé
Avec ta mère on s'impatiente
Elle, elle commence à fatiguer
Puis il faut voir l'état d'son ventre
Paraît que tu te caches là dessous
On communique à notre façon
Quand j'te parle tu donnes des coups
J'ai tes mouvements, tu aimes les sons
Bah ouais, ça nous pendait au nez
Faire un enfant c'était d'notre âge
Et puis à force de trop s'aimer
On laisse une trace de notre partage
T'es pas encore là mais déjà j'vois beaucoup de choses différemment
Tu vas bousculer ma vie, définitivement
J'sais pas encore la tête que t'as
Mais déjà j'te trouve beau gosse
J'voudrais t'avoir au creux d'mon bras
Et caresser tes premières bosses
J'aimerais t'acheter ton premier jeans
Et ta première paire de basket
J'ai même envie de changer tes couches
Enfin ça, ça changera peut-être
Je peux pas encore tout t'raconter
Là quand je te parle, ta mère écoute
Mais t'inquiète dès qu'tu seras né
On aura nos secrets, tu t'en doutes
Je t'apprendrais même à faire des blagues
Et si jamais on se fait griller
Toi tu diras que c'est ma faute
Moi j'dirai que c'est toi qui as eu l'idée
J'ai déjà la rage contre t'es profs, quand ils donneront trop de devoirs
Si t'as des mauvais points de conduites
Ce sera pas vraiment un hazard
Je t'engu**lerai quand même pour la forme
Mais au fond de moi, évidemment
Je serai de ton côté, définitivement
Je t'apprendrai à observer
Et à écouter les gens
Tu m'apprendras à m'inquiéter
J'espère que tu seras indulgent
Je t'enseignerai la prudence
Tu m'apprendras l'incertitude
Tu m'apprendras les nuits blanches
Je t'enseignerai la gratitude
Tu verras que parfois la vie c'est dure
J'essaierai pas de te le cacher
On se casse la gu**le à coup sûr
Quand on apprend à marcher
J'aurai envie de te protéger
Mais j'essaierai de pas être trop lourd
Je mettrai mon amour de fer
Dans une apparence de velours
Je te préviens j'fais mal la bouffe
Et je pourrai pas jouer au ballon
Mais je trouverai d'autres trucs à faire
Pour que tu sois fier de ton daron
Je serai un peu ton pote, un peu ton frère
Mais pour me fâcher
Faudra que je sois un peu père
Quand j'te dirai d'aller t'coucher... »

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25/11/2020

Avec Audrey, on a parlé :
De ses aspirations, de ses rêves et de ses blessures de soignantes
Des raisons qui l’ont poussé à s’expatrier au Canada, et ce qu’elle a trouvé de l’autre coté de l’atlantique
De ses combats professionnels qui sont aussi si personnels
Et bien sur aussi, de notre sujet phare : maternité et périnatalité .
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25/11/2020

Audrey, épisode 15 des Antoinettes.
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25/11/2020

Pour ce nouvel épisode, je vous retrouve en compagnie d’Audrey, elle est infirmière clinicienne en périnatalité et c’est aussi la fondatrice du centre de santé périnatale happy mum and baby. Cela fait un petit moment que je l’a suis sur les réseaux, comme vous sûrement, puisque c’est une des premières soignantes à s’être exprimée et à vulgariser son exercice de cette manière. Elle contribue largement à réinventer les codes du soin et donner toutes ses lettres de noblesse à la périnatalité. Alors forcément j’ai été très heureuse de pouvoir lui demander de me raconter son chemin jusqu’ici et ce qui fait sens pour elle dans tout ça.
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23/11/2020

« [Se projeter]

Je ne sais pas de ton côté (j'attends d'ailleurs ton retour sur la question), mais personnellement, il y a un truc pour lequel je ne suis pas hyper douée : c'est celui de vivre au jour le jour.

Alors entendons-nous bien, ce n'est pas que je ne maîtrise pas le "carpe diem".
Le moment présent, je sais le savourer.
Mais je sais le savourer quand je sais celui qui va arriver après.

Que je te donne un exemple, au hasard.
Prenons le samedi en famille.
C'est un moment que j'apprécie énormément.
Parce que je sais que le soir, il sera suivi par un ciné avec une copine.
Ou le dimanche matin aux courses.
Je ne suis que joie et bonheur dans les rayons.
Parce que je sais que l'après-midi, j'ai rendez-vous pour un massage aux pierres chaudes.
Ou encore (j'ai remarqué qu'en dessous de trois exemples, la majorité des élèves ne saisit pas l'explication et je tiens à ce que tu comprennes bien le concept), j'apprécie la période scolaire.
Parce que je sais que les prochaines vacances dans un lieu calme et idyllique sont réservées.

Sauf que.
Covid+confinement=projets en suspens.
On ne prévoit rien.
On ne réserve rien.
Le family planner de la cuisine ne sert plus à rien.

"Lâche prise", me suggère Papanains.
Sans trop insister, parce qu'à force de pratique, il sait bien que quand je fais cette tête-là, le seul truc que j'ai envie de lâcher, c'est lui.

Heureusement, le Nain est un être ancré dans le moment présent.
Tellement ancré qu'il ne voit pas l'intérêt de faire ses devoirs pour lundi vu que nous ne sommes que samedi.
Même si ladite leçon porte, je te le donne en mille... sur le présent. »
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20/11/2020

"C’était un mercredi.
J’avais (mal) mis du vernis, je portais ma nouvelle bague à l’annulaire gauche pour em****er mon mec, et j’attendais mon échographie de 11h. C’était long, d’attendre, j’avais envie d’y aller vite. Je sentais moins Louis bouger depuis la veille, j’étais inquiète. (Comprenez angoissée puissance 1000). A l’échographie, rajoutée à 38sa pour surveillance de son poids, prévu à 4 kg, il fallait être sûr qu’il n’en fasse pas finalement 5 😏 , la surprise : EPF à 2,9 kg, et en effet, il bouge moins. « Tu rentres faire ta valise et tu reviens ce soir, on te déclenche demain matin » (...)
Bon, je vous passe les détails de la réalisation de ma valise à 50 de tension où j’ai pris n’importe quoi, avec mon mec qui était revenu du boulot à 200 km/h sur le périph, l’arrivée à l’hôpital à la nuit tombée et l’attribution de la chambre 13 ( ), le plateau repas « diabétique » de l’hôpital, et la nuit sans rêve, qui ont suivi.

Le jeudi matin, aux aurores, la sage-femme m’a mis le fameux « gel » pour déclencher le travail, qui s’applique normalement sur le col de l’utérus. Personnellement je pense qu’elle me l’a mis jusqu’au amygdales. « Il est bien fermé votre col, pourtant j’essaye de forcer ! » Oui ben calme toi Mireille (elle s’appelait pas Mireille) parce que je peux te mettre une droite à tout moment vu comme tu me fais mal. Et c’était parti. « Vous restez bien à jeun ! ». Mon chéri est arrivé avec une brioche et du coca. « Tu dois pas être à jeun ? » « Non la sage-femme m’a rien dit ».
2h de monitoring « parfait » et on part arpenter les escaliers de l’hôpital (...). Et tfacon, on avait que Gulli comme chaîne ds la chambre. Les contractions arrivent petit à petit, j’fais ma belle « oh ça va c’est largement supportable ! »
L’insouciance de la primipare. »
La suite de l’aventure de la rencontre avec confetti en commentaire.
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’humourfaittellementdebien

18/11/2020

Il était une fois, une maman donna naissance à trois jolies poupées. Elle les éleva en essayant de leur donner confiance en elles pour qu'elles puissent s'épanouir dans leurs vies de femmes, en leur donnant des clés pour se construire dans une société qui évolue. C'est une maman qui voulait avant tout transmettre à ses filles qu'elles pouvaient devenir ce qu'elles souhaitent.

L'aînée de ses filles décida de devenir institutrice et rencontra une jolie demoiselle sur les bancs de la faculté avec qui elle fila le grand amour. Après quelques années de vie commune, elles ressentirent l'envie commune de fonder une famille. Toutes heureuses de se lancer dans ce grand projet de vie, elles déchantèrent vite en voyant que le système français ne les accompagnerai pas dans ce désir de maternité. Commença un long parcours du combattant, marqué par plusieurs allers-retours à l'étranger et par un profond sentiment d'injustice. La maman voyant sa fille fatiguée et parfois défaitiste, lui dit : "ma fille, il faut que tu défendes les droits des femmes à fonder une famille, indépendamment de leur situation familiale ou de leur sexualité! C'est primordiale"

La cadette de ses filles, après avoir sillonnée le monde, décida de fonder une famille avec un jeune homme rencontré sous les tropiques. Elle donna naissance à un petit bambin pour le plus grand bonheur de tous. Malgré cet heureux événement, la cadette des filles était triste et devint l'ombre d'elle-même. La maman la questionna sur ce qui la rendait ainsi. Elle lui répondit : "je suis traumatisée par mon accouchement, j'ai été blessée dans mon intimité, par des gestes, des paroles, et je n'ai pas compris ce qui s'est passé dans mon corps". Sa maman ressentie beaucoup de colère que l'on ai pu faire ça à sa fille, et lui dit : "Ma fille, il faut que tu te lèves, que tu rassembles tes forces pour parler de ce que tu as vécu, le partager, pour que ça n'arrive pas aux autres. Ce sont des violences qui ne doivent pas être ."

La petite dernière décida quant à elle de devenir sage femme, fascinée par la force féminine et préoccupée par la santé des femmes.
La suite en commentaire.
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11/11/2020

Pour ce nouvel épisode, je vous retrouve en compagnie de Tiffany, elle est puéricultrice. Après ses études, elle est partie en Guyane exercer, elle s’épanouie aujourd’hui dans un poste au sein d’un PMI et on va en parler. C’est une Antoinette aventureuse que vous allez découvrir aujourd’hui, qui fait évoluer sa pratique en étant aller voir ailleurs un peu comment ça se passe.

Je m’excuse de la qualité du soin qui peut irriter vos oreilles, mais ça n’enlève rien au fond et l’épisode entier mérite vraiment d’être écouté.

Vous pouvez retrouvez Tiffany, sur sa page Instagram :
https://www.instagram.com/allaitons_timoun/ .
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11/11/2020

Avec Tiffany, on a parlé :
De la PMI, qu’est ce que c’est? Pour qui? Et avec qui?
Des petites particularités de la Guyane d’un point de vue de la santé des enfants et de leurs développements au sein de leurs familles
De son évolution en tant que soignante grâce à cette riche expérience
Du problème de l’accès au soin et du manque de soignant en Guyane

Vous pouvez retrouvez Tiffany, sur sa page Instagram :
https://www.instagram.com/allaitons_timoun/ .
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11/11/2020

Pour ce nouvel épisode, je vous retrouve en compagnie de Tiffany, elle est puéricultrice. Après ses études, elle est partie en Guyane exercer, elle s’épanouie aujourd’hui dans un poste au sein d’un PMI et on va en parler. C’est une Antoinette aventureuse que vous allez découvrir aujourd’hui, qui fait évoluer sa pratique en étant aller voir ailleurs un peu comment ça se passe.

Je m’excuse de la qualité du soin qui peut irriter vos oreilles, mais ça n’enlève rien au fond et l’épisode entier mérite vraiment d’être écouté.

Vous pouvez retrouvez Tiffany, sur sa page Instagram :
https://www.instagram.com/allaitons_timoun/ .
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11/11/2020

Repost .
"En nous traitant en héros, ils nous ont réduits au silence"
Le médecin a poussé un coup de gu**le sur notre antenne : "Les politiques n’ont pas cessé d’héroïser le personnel soignant durant la crise. Nous avons beaucoup entendu des expressions comme "Ils partent au front", "Ils sont en première ligne", "C’est la guerre". Une héroïsation non sans effets pervers.
L’héroïsation du personnel soignant a été un narratif commode pour dépolitiser nos revendications bien antérieures à la crise et nous enfermer dans une posture intenable.
Un héros, ça ne demande pas du personnel supplémentaire, ben oui, ça se débrouille tout seul !
Un héros ça ne demande pas ce truc un peu sale qu’on appelle des sous. Ben oui, ça se bat pour la beauté du geste.
En nous traitant en héros, ils nous ont confisqué le droit d’avoir peur, et nous ont renvoyés au silence
En temps de guerre on donne des ordres, en temps de crise sanitaire on donne des moyens. On a eu les ordres, on n’a pas eu les moyens, et la première vague passée, on nous a offert des médailles (!) qui portent le nom de "médaille de l'engagement face aux épidémies". On pourrait rire du ridicule de la récompense, si ça ne cachait pas une réalité bien plus sordide : depuis le début de cette crise, ce n’est pas une pluie de médailles qui est tombée sur les soignants mais des représailles en pagaille sur la tête de ceux qui osaient contester publiquement la gestion gouvernementale de cette crise :
- Deux aides soignantes parisiennes sont licenciées pour avoir alerté la presse sur le manque de moyens
- En Bretagne un aide-soignant est muté pour avoir publié une lettre dans la presse quotidienne régionale
- À Toulouse, deux infirmières ont été mises à pied parce qu’elles réclamaient des masques.
…
Le message est clair : soyez un héros, prenez la médaille et taisez-vous. Taisez le manque de moyens, taisez le manque de personnels, taisez votre épuisement, taisez vos découragements, taisez vos idées noires, taisez vos confrères morts, taisez vos consœurs mortes, taisez-vous, taisez-vous, prenez la médaille, mais taisez-vous".
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11/11/2020

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04/11/2020

Pour cette quinzaine dédiée à la pédiatrie, je voudrais mettre à l’honneur un compte de parents que j’adore : .
« Moi Présidente de la République, je ferai en sorte que les pédiatres (je prêche pour ma paroisse) pratiquent les tests PCR.
Parce que je ne sais pas comment c’est chez vous les protocoles des crèches/écoles de vos bambins mais on va pas passer l’hiver si on doit faire tester nos gosses à la moindre fièvre inexpliquée !
Vous vous voyez vous, toutes les semaines (allez, soyons optimistes, tous les 15j), aller en urgence chez le pédiatre, retourner Paris (ou ailleurs) pour trouver un rdv pour les faire tester et attendre avec eux (donc pas au boulot) 48 à 72h pour avoir les résultats ?!
Déjà 1 semaine de crèche pour nous et nous sommes déjà à un test PCR pour chacun des kids parce que chez nous il n’y a pas de présomption d’innocence, le jumeau est forcément complice 🤪😅 !
On ne va pas pouvoir tenir longtemps comme ça les gars, je vous le dis, il va falloir trouver des solutions car là, vu comme c’est parti, ça va être compliqué de tenir sur la durée 🤪😅
Il est hors de question que j’entende encore Joshua dire devant le labo « non pas le nez Joshua ». Il est hors de question qu’ils soient traumatisés par ce pu**in de test. Il est hors de question que j’entende encore une fois mes enfants hurler de détresse comme je les ai entendu hurler hier après-midi.
Et aujourd’hui, après l’expérience d’hier, il est hors de question que je vois encore des gens dans la rue sans masques, masques sous le menton ou sous le nez... parce que la prochaine fois, c’est eux qui iront faire le test à la place de Joshua & Marlow, 2 ans 1/2 qui eux respectent à leur niveau les règles sanitaires qui leur sont imposées ! »
N’oublions nos petits loups qui vivent cette drôle de période eux aussi.
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28/10/2020

Sylvie, épisode 13 des Antoinettes.
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28/10/2020

Pour ce nouvel épisode, je vous retrouve avec Sylvie, elle est pédiatre toute jeune retraitée. Elle a exercé durant toute sa carrière à l’hôpital auprès des plus ou moins jeunes en pédiatrie générale. Sa grande expérience et son élan permanent pour aller vers les autres font d’elle une Antoinette pleine de sagesse et avec un regard affuté sur la médecine et l’accompagnement d’aujourd’hui.

Je vous souhaite une belle écoute en notre compagnie.
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28/10/2020

Avec Sylvie, on a parlé :
de la pédiatrie en Seine saint dénis, berceau de sa carrière
De son regard sur l’évolution de sa spécialité tout au long de sa carrière
Des émotions partagées le long des couloirs et dans les chambres d’hospitalisation des enfants
Des grandes difficultés d’actualités qui frappent les services de soins et leurs conséquences
De ses espoirs et ses craintes quand à l’avenir du soin de nos piou piou.
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28/10/2020

La parole aux soignants... 😇.
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28/10/2020

« Ceci est un jeu de piste. L’autre jour, j’évoquais dans une conversation la singularité du corps, et en particulier, celle du corps féminin. Cette chair dont la vie ne semble jamais être linéaire. Ce sang qui fluctue. Cette peau qui raconte. Ces cycles qui jonglent avec nos ressentis. Un tumulte constant, en dialogue avec l’extérieur, perméable aux impacts, aux douleurs, aux sentiments. C’est un ventre gonflé par l’angoisse ou par les règles. C’est une poitrine qui se fait un peu lourde. C’est une hanche, dont le vécu dessine la courbe. Combien de temps passons-nous à le scruter ? A le commenter ? A l’apprivoiser ? A le détester ? A le palper ? À tenter de saisir ce qu’il a à nous dire ? Épuisante entreprise. Et en même temps salvatrice, passionnante. Trouver de la douceur dans notre sauvagerie, de la confiance dans nos complexes, du confort dans l’inconfort. La seule intranquillité à honorer est bien celle-ci, celle de notre corps en mouvement et certainement pas celle, du regard ou des gestes des autres. L’intégrité physique comme un sanctuaire sacré. Quelle aventure. Voilà avec quoi je pars ce matin, en voulant transmettre aux élèves de l’école que l’énigme de leur corps n’appartient qu’à eux. »
❤️.
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28/10/2020

YGY est une adaptation phonétique de Hygie, et j'ai appris que c'était la déesse grecque de la médecine préventive. bien trouvé non?!
Ce post est dédié aux très engagées descendantes de cette déesse et leur projet.
J'ai nommée Charlotte Bergerot Pallisco (Antoinette pétillante de l'épisode 12) et Catherine Rybus.
Elles sont les fondatrices du centre YGY FOR YOU dont Charlotte nous a parlé dans son épisode. Je suis très heureuse de participer à faire connaître ce beau cabinet qui ouvrira ces portes en 2021 à Suresnes. Leur volonté réunir une joyeuse équipe multidisciplinaire pour prendre soin des femmes et des enfants.

Mais le projet ne s'arrête pas là !
YGY c'est aussi une association qui propose des consultations gratuites pour les femmes pour qui l'ostéopathie est un graal trop onéreux, et des vidéos tutos pour réaliser des exercices à la maison pour améliorer ses maux. (pratique pour le prochain confinement!)

Bref c'est magique, c'est complet et je salue leur boulot et leur esprit!

D'ailleurs j'aimerai aussi vous parler du livre de Catherine Rybus : "Si j'avais su! l'ostéopathie au service des femmes". Tout est dit dans le titre, ce livre est une bible pour savoir, comprendre, et ne plus jamais se sentir seule avec nos sensations féminines. J'ai adoré le ton de ce livre plaisant, déculpabilisant et si bienveillant!

Alors feu d'artifice et feu de joie pour ces deux mi-humaines, mi-déesses et leurs belles initiatives!osteo
📷 .
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14/10/2020

Charlotte, épisode 12 des Antoinettes.

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14/10/2020

Avec Charlotte, on a parlé de :
- de l’intérêt de l’ostéopathie, dans la période périnatale pour la femme et l’enfant et pour accompagner l’allaitement
- De la sensibilité toute particulière de cette période de vie
- De la nécessité d’un accompagnement globale des familles pour répondre à l’ensemble de leurs besoins et problématiques
- De son podcast « milkshaker » et de son nouveau projet : un centre de soin spécialisée dans l’accompagnement de la femme et de l’enfant.

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14/10/2020

Aujourd’hui, je suis en compagnie de charlotte. Elle est ostéopathe spécialisée en périnatalité et dans l’accompagnement de l’allaitement. Sa voix, ne vous est peut être pas inconnue, puisque c’est aussi la créatrice du podcast « Milkshaker » où elle interroge des parents et professionnels pour faire évoluer les idées reçues autour de l’allaitement.
Alors aujourd’hui, elle passe de l’autre coté du micro pour mon plus grand plaisir. Charlotte est une Antoinette née, pétillante et sans langue de bois, qui oeuvre pour accompagner, écouter, démêler les corps et comprendre les maux.

Vous pouvez retrouver Charlotte, sur les réseaux

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03/02/2021

03/02/2021

01/02/2021

01/02/2021

20/01/2021

20/01/2021

20/01/2021

18/01/2021

29/12/2020

29/12/2020

09/12/2020

09/12/2020

09/12/2020

07/12/2020

06/12/2020

05/12/2020

25/11/2020

25/11/2020

25/11/2020

23/11/2020

20/11/2020

18/11/2020

11/11/2020

11/11/2020

11/11/2020

11/11/2020

11/11/2020

04/11/2020

28/10/2020

28/10/2020

28/10/2020

28/10/2020

28/10/2020

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14/10/2020

14/10/2020

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Les Antoinettes - le podcast crée par Clotilde Montaudon

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