13/07/2024
QUI A PERDU SES GODASSES ?
Note : une version différente des faits décrits ci-dessous nous a été adressée voir le post du 16/07/2024. On verra bien qui a raison des deux versions.
MISE A JOUR DU 12.07.2024 :
Quant il s'agit de lyncher votre journaliste d'investigation préféré, la gribouille aux ordres se déchaîne, mais comme il s'agit d'une huile, c'est la terreur panique, tous aux abris. Il faut savoir que tous les jours les journaleux de la rédaction unique font la tournée des popotes, Kommandantur (le commissariat), cage des perdreaux à plumes bleues (caserne des Gendarmes), tribunal à la Thémis et le parquet pour rapporter les exploits des chtarbés, nazebroques, chahuteurs, adeptes du bourre-pif, gonzesses amochées (surtout le lundi matin) et j'en passe. De temps en temps c'est carrément le couteau de la religion d'amour et de paix qui se retrouve à la une.
Là, le cas est original et touche la "haute pétée" comme dirait mon beauf, c'est donc silence radio, circulez.
L'altercation entre l'élu entreprenant et le monsieur qui ne tenait pas expressément à porter des cornes a forcément été filmée du fait d'une nombreuse assistance. Les petites souris de l'ECHO JOLI, qui adorent ce genre de situation croustillante, sont impatientes de recevoir ces vidéos.
Il est d'ailleurs possible que la famille Guimera (du Pré d'Auge, présente à la noce), ait déposé une plainte contre le perturbateur du plus beau jour de la vie (?) de la mariée délestée de sa jarretelle au moment fatidique.
Un honorable correspondant indique que la chérie convoitée serait une certaine Marie-Charlotte, et que c'est son seigneur et maître, mon grand copain Frédéric, qui a déclenché les hostilités en abandonnant illico ses fourneaux. Ceux qui suivent se souviendront que son "Food Truck" avait été subventionné par les "zélus", mais je ne me souviens plus s'il s'agissait du Roitelet (aux pieds d'argiles, fondus depuis) ou d'Onc'Don'Sous.
Après c'est flou, d'aucuns racontent que les cow-boys ont chopé l'énergumène sur place, d'autres qu'il serait rentré chez lui en chaussettes et cueilli à son domicile. Mme le Procureur peut elle éclairer les travailleuses travailleurs avides de vérités qui fâchent ?
Cette histoire rocambolesque n'est pas une première : par le passé, une bringue bruyante au QG de la Villa des Arts s'était terminée par un déboulé de la patrouille, avec une obstruction désobligeante qui laisse des traces dans la mémoire du chef à plumes de service.
On se souvient également d'une autre fiesta interrompue par la maréchaussée dans une salle guerrière, où rien que rentrer dans le bouge tu es positif à la beuh.
En tous cas, des caricatures marrantes commencent à circuler sous le manteau, en clair toute la ville se marre.
Il serait peut être temps de clarifier la situation politique, le bon peuple est tolérant, mais a ses limites.
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MISE A JOUR DU 08.07.2024 :
Note : Une version différente des faits nous est parvenue, voir le post du 16/07/2024
Il y a eu de l'ambiance lors d'un mariage samedi au Domaine de la Désirée au bout du chemin Wicart (à côté de l'Intermarché). Un individu dont il se dit qu'il est un élu et non des moindres, plus tout à fait dans un état normal, a été un peu énervé par le châssis d'une dame qui lui convenait (à confirmer du fait d'une version différente). Je connais plusieurs chéries qui ne vont pas tout à fait apprécier la plaisanterie, faut faire gaffe, ça griffe ces bêtes là.
Pas de chance, encore une fois, le mari de la belle convoitée par ce prince pas du tout charmant, lui a signifié son désaccord devant les invités du pince fesse (à confirmer du fait d'une version différente).
Devant l'insistance ça a tourné au vinaigre. On croit savoir à l'Echo Joli que ce n'est pas la première fois qu'il y a eu comme du bourre-pif (on vous racontera).
Le quidam est reparti de la fiesta et est revenu avec une chignole (une voiture en argot Parisien) municipale, dont on ignore pour le moment le contenu.
Des cow-boys de la Kommandatur sont alors déboulés, il s'en est suivi une rébellion en règle avec outrages et noms d'oiseaux.
Ceux qui suivent se rappellent qu'un autre élu, surnommé le SATYRE DE HOTVIL, a jusqu'à présent échappé au lynchage médiatique grâce au statut de PPE (personne particulièrement exposée) qui a permis au parquet de s'opposer à ce que les petites souris curieuses de l'Echo Joli puissent consulter le jugement, malgré trois demandes réglementaires. Passons, tout le monde est au parfum maintenant.
Evidemment, quand tu es un poulet qui tient à sa carrière, devant un tel cas de figure, tu demandes l'avis du chef et du proc. Ca peut remonter très haut, être réveillé pour ce genre de truc, ça met de mauvaise humeur.
Banco, garde à vue, le récalcitrant a été embarqué à l'hôpital, où il y a eu encore un peu de chahut pour la prise de sang et le test des substances illicites.
Retour au commissariat, dans les geôles nauséabondes de la République une et indivisible. Détail croustillant, le récalcitrant aurait perdu ses godasses dans la bagarre, une garde à vue en chaussettes de l'archiduchesse sont elles sèches, c'est pas courant. Cet élu récalcitrant est sorti du gnouf dimanche midi.