16/03/2021
De partout coulent les larmes de détresses suite aux désastres pluviaux.
Un événement funeste, une fin très pénible.
Chacun pour soit, l'Etat pour rien ? À qui attribuer ce bilan catastrophique ? (L'État ou le Peuple lambda)
Dans tout, à chacun sa responsabilité. La Constitution garantie, tant pour les gouvernés que les gouvernants, les DROITS (Ce que la RDC nous doit) ET DEVOIRS (Ce que nous devons au Pays).
Qu'à cela ne tienne, nous reconnaissons un peu plus loin l'irresponsabilité de L'état d'une part et l'inconscience de la population de l'autre.
Quid de la conscience collective ?
CAMP-LUKA EN ÉBULLITION
Les coins et recoins, rues et ruettes en inondation et ravages.
Dans certains endroits, nous avons constaté de pertes énorme de biens, de dégâts matériels importants et dans d'autres, l'écroulement total (les maisons emportées).
Du Quartier 2 au quartier 1, en passant par quartier 3 direction macadam et la police.
Les plus de victimes sont celles de l'avenue KWANGOLAIS, Lelong du pont MAYENGELE reliant Camp-Luka (entrée) et Kintambo (Sortie).
Le mauvais état de ce pont (son éboulement) serait à la base de ces dégâts d'après les victimes trouvées sur le lieu.
MA MONTÉE DE LAIT :
Il sied de rappeler ici, que KINSHASA en général et CAMP-LUKA en particulier s'avèrent le lieu des Institutions sociales (ASBL, ONG, ÉGLISE...) et celà, se remarque pour le cas de Camp-Luka, après l'ascension de l'honorable Député Christophe MBOSO NKODIAPWANGA au perchoir de l'Assemblée Nationale.
Malgré le nombre important des Structures évoluant pour et par les autochtones, le côté social et/ou environnemental ne retrouve guère son apogée, le cas de Kinshasa dans son ensemble.
Quant au Camp-Luka, au delà de tous slogans prônés par ces dernières, ce quartier ressemble à un ghetto où tout passe et repasse.
Animateur Producteur
Le Thérapeutique