REEL_Massow Ka
Cette saison nous avons été impressionnés par les paysages aériens du Sénégalais Massow Ka. Un nom qu’il faut retenir, assurément ! Ce jeune photographe vient d’intégrer la sélection des Rencontres photographiques de Bamako. En photographie, souvent le motif abstrait s’obtient en zoomant à l’excès. Chez Massow Ka, c’est l’inverse : ses prises de vues par drone transforment les salines de son Sénégal natal en touches picturales d’une saisissante délicatesse.
#art #contemporaryart #senegal #Saintlouis #salines #photography #photo
Dans les coulisses de la rédaction_ épisode 4 - la Une d’automne
Au moment où s'achève cette saison de Diptyk, on vous révèle ce qui se cache derrière nos couvertures. Chaque Une de diptyk est le résultat d'un choix complexe.
Pour le numéro d’automne, la rédaction a été bousculée par le terrible séisme qui a frappé en septembre la région d’Al Haouz, près de Marrakech. Pour cette Une, nous avons sélectionné une œuvre de Farid Belkahia qui, par ses formes, semblait évoquer une montagne en plein ébranlement. Meryem Sebti nous explique.
Bon visionnage !
@fondationbelkahia @meryemsebti
#video #art #seisme #Maroc #earthqake #morocco #diptyk #contemporaryart
Voix off_
Expos, film sur le point de sortir sans oublier le livre qu’il prépare : en 2024, Daoud Aoulad-Syad est sur tous les fronts. Retour en quelques images sur la spécificité et la sensibilité de la photographie de cet artiste pionnier au Maroc.
#maroc #morocco #art #contemporaryart #photography #photo #aouladsyad #marrakech #cinema
Dans les coulisses de la rédaction_ épisode 3 - la Une d’hiver
Au moment où s'achève cette saison de Diptyk, on vous révèle ce qui se cache derrière nos couvertures. Chaque Une de diptyk est le résultat d'un choix complexe.
Pour le numéro d’hiver, nous avons choisi une œuvre de Elladj Lincy Deloumeaux. La rédactrice en chef de Diptyk, Meryem Sebti, nous explique ce choix qui n’est pas forcément évident à associer avec le thème de ce numéro, la critique d’art. On fait le point.
Bon visionnage !
#video #art #critiqueart #diptyk #contemporaryart
_Dans les coulisses de la rédaction // épisode 2 - la Une du printemps
Au moment où s'achève cette saison de Diptyk, on vous révèle ce qui se cache derrière nos couvertures. Chaque Une de diptyk est le résultat d'un choix complexe. Pour le numéro de printemps, cap sur les monades de Mustapha Azeroual. La rédactrice en chef de Diptyk, Meryem Sebti, nous explique le choix de cette Une, sa favorite.
Bon visionnage !
@mustaphaazeroual @meryemsebti
#video #art #mustaphaazeroual #diptyk #contemporaryart
_VIDÉO
Dans ce nouvel épisode de notre série #Drivenbyart, nous rendons visite à @oualid_ouchdiri_ qui nous ouvre les portes de son atelier aux Friches éphémères, un espace à Casablanca, mis à disposition par l’association BASMA @b.a.s.m.asso . Une vidéo faite en collaboration avec @audimaroc.
#Casablanca #morocco #art #artcontemporain
_Dans les coulisses de la rédaction /// épisode 1 - La Une d'été
Au moment où s'achève cette saison de Diptyk, on vous révèle ce qui se cache derrière nos couvertures. Chaque Une de diptyk est le résultat d'un choix complexe. Pour le numéro d'été c'est l'artiste Skyseeef qui fait la couv', comme on dit. La rédactrice en chef de Diptyk, Meryem Sebti, nous explique le choix de cette Une d'été.
Bon visionnage !
#video #art #arabofuturisme #diptyk #contemporaryart
Voix off_
Faisant de l’autoportrait son thème iconographique majeur, Inès Bouallou livre un travail empreint de douceur et de mélancolie. En déployant une esthétique anachronique, elle questionne le genre et le corps comme vecteurs émotionnels et thérapeutiques puissants.
#art #photography #photo #portraitphotography #artcontemporain #voixoff_diptyk
Dans cet épisode du podcast, Meryem Sebti s'entretient avec l'artiste casablancais Hassan Darsi.
Hassan Darsi est l'une des figures emblématiques de la scène artistique casablancaise. À travers la programmation de son espace La Source du Lion, l'artiste a mené de nombreux projets collaboratifs, fédérant une scène marocaine autour d’interventions publiques. Retour sur les moments jalons de sa carrière et sur son rapport à l'art qu'il vit comme un activisme.
Bonne écoute !
#podcast #artcontemporain #art #artist
Dans ce nouvel épisode de notre série #DrivenByArt, nous rendons visite à @yassinechraiibi qui nous ouvre les portes de son atelier de Lalla Takerkoust. En collaboration avec @audimaroc
_Interview
Deux lieux et vingt-sept galeries dans un format jamais égalé jusqu’ici : 1-54 revient en force à Marrakech, quelques mois après le séisme qui a frappé la région. Une façon de porter haut les couleurs de la ville que la foire dynamise et vice versa. Rencontre avec sa fondatrice.
Retrouvez l'interview sur diptykmag.com
#154 #touriaelglaoui #moroccanartscene #artfair #marrakech #afrique #art #
AGENDA
Abdelkebir Rabi, expose jusqu'au 2 février à la Khalid Fine Arts Gallery, à Marrakech. Une occasion de revenir sur l'oeuvre de cet artiste que l'on dit taiseux et méditatif. Une oeuvre, saturée de noir, qui navigue entre figuration et abstraction.
#expo #abdelkebirrabi #marrakech
Toute la rédaction de Diptyk vous présente ses meilleurs vœux.
Que 2024 soit aussi riche en rencontres et surprises que l’année écoulée.
Merci à vous lecteurs de nous suivre depuis 2009 à travers le magazine papier trimestriel, notre édition digitale et bien sûr notre podcast.
Bonne année à vous tous !
_Throwback - Les expos
Des expos forcément, on en parcourt beaucoup, tout au long de l'année. C'est toujours une occasion pour nous d'aiguiser notre regard et de renégocier nos certitudes esthétiques.
En quelques images, voici une série d'expositions qui nous ont particulièrement marqués cette année comme, par exemple, la très documentée « School of Casablanca » à la Tate St-Ives, première exposition sur le groupe de Belkahia, Melehi et leurs acolytes au Royaume-Uni.
Il y a eu Ghada Amer au Mucem, grande figure du féminisme dont les œuvres restent toujours aussi percutantes. On a aimé l'exposition « Kourtna », consacrée au foot, au Musée de la photographie de Rabat et qui célébrait à sa façon l'extraordinaire parcours des Lions de l'Atlas en Coupe du Monde.
Zanele Muholi, bien entendu, à la Maison Européenne de la Photographie mais également au Musée Mohaamed VI, l'exposition « Modernités arabes » qui permettait de percevoir avec acuité les imaginaires partagés entre les différents pays de la région MENA. Mais la liste n'est pas exhaustive...
#schoolofcasablanca #belkahia #groupedecasablanca #MMVI #museedelaphotographiederabat #Tate
Parce que l'année 2023 se termine doucement, nous rembobinons le film, cette semaine, avec notre série #Throwback.
Pour ouvrir les festivités, cap sur les artistes dont nous avons brossé le portrait au fil de nos pages. Des petites esquisses en mots et en images, souvent sensibles, parfois intimistes.
Nous avons ainsi rencontré Rakajoo, artiste au caractère bien trempé - son nom ne signifie-t-il pas, après tout, « tête de mule » en Wolof ? Passé par l'univers de la boxe, c’est grâce à l'école Kourtrajmé qu’il expose en 2021 dans le sacro-saint Palais de Tokyo à Paris. Sa peinture narrative, que certains comparent à des storyboards, met en scène des gens de son entourage. Il s'amuse, Rakajoo ! Il déconstruit les perspectives, jouant de cadrages resserrés, d'angles de vue en plongée ou en contre-plongée. Il est, comme le souligne sa galeriste, « un conteur à l'ancienne dans des baskets contemporaines.»
Il y a aussi eu Amina Agueznay, que nous connaissons bien et qui - une fois n’est pas coutume - a été portraiturée par une autre grande figure de la scène culturelle marocaine, l’architecte Salima Naji. Celle-ci nous dit de son amie qu’elle « travaille avec le vivant » : les artisanes « qu’elle a formées font partie de son atelier, écrit-elle, un atelier itinérant, qui se redéfinit sans cesse.» Un brouillage des frontières entre art et artisanat, que l’on retrouve bien sûr chez Sara Ouhaddou. Cette jeune plasticienne recompose, au fil de ses collaborations avec les artisans, « les morceaux de sa propre histoire », croit percevoir notre auteur, Olivier Rachet.
Que dire de Hassan Bourkia qui nous a accueilli dans son atelier où nous avons découvert une facette que nous connaissions peu de cet artiste, celui de passionné de littérature. Pas étonnant, tout compte fait, au regard de la poésie qui émane de ses œuvres !
Dans le dernier numéro, enfin, nous avons réalisé le portrait de l’immense Ibrahim