01/16/2025
Une partie de la presse sénégalaise a atteint un niveau de déshonneur qui défie toute logique et insulte l’intelligence du peuple.
Lorsque Ousmane Sonko, alors dans l’opposition, dénonçait les détournements de déniers publics flagrants du Programme des Domaines Agricoles Communautaires (PRODAC), il avait pour seule arme la vérité, soutenue par un rapport de l'IGF.
Pourtant, cette presse, prétendument gardienne de la démocratie, s’est empressée de le diaboliser, de salir son nom et de détourner le débat pour plaire à un régime corrompu. À l’époque, ces journalistes et analystes, qui aujourd’hui feignent la surprise face aux révélations, avaient déjà en leur possession les informations nécessaires pour confirmer les dires de Ousmane SONKO. Mais au lieu de faire leur travail, ils ont choisi de servir de relais aux mensonges d’un système qui cherchait par tous les moyens à dissimuler ses dérives.
Ils ont sciemment participé à une campagne de manipulation, contribuant ainsi à empêcher la candidature d'un homme qui incarne l’espoir d’un changement véritable.
Heureusement que la candidature du Président Bassirou Diomaye Faye a été validée !
Aujourd’hui, cette même presse, après avoir vu le régime qu’elle protégeait s’effondrer sous le poids de ses propres turpitudes, revient honteusement sur le devant de la scène pour admettre que Ousmane SONKO avait raison. Elle ose désormais accuser Mame Mbaye Niang, artisan du carnage financier du PRODAC, mais elle le fait avec un opportunisme écœurant.
Ce retournement de veste est une insulte à la mémoire des martyrs et au sacrifice de ceux qui ont subi les conséquences de cette désinformation organisée.
Alioune Badara MBOUP