23/08/2023
Felwine Sarr, le renégat Pastefien devient ridicule.
(Par Abdoulaye Mamadou Guissé).
« Pour nos sociétés, un désir de rupture avec un pacte colonial et ratifié par l’État postcolonial » a écrit Felwine Sarr. Qu’on se le tienne pour dit. Felwine Sarr, le béni oui oui d’Emmanuel Macron ose refaire surface.
Son ami camerounais Achile Mbembé chercheur dogmatique qui avait livré la jeunesse africaine à Macron à Montpellier rase maintenant les murs. « Dans quelle démocratie élimine-t-on du jeu le parti le plus représentatif ?» Renchérit Felwine le nouveau nervi-intellectuel de Sonko, opportuniste, arriviste qui rêve d’être Ministre de l’Enseignement supérieur après avoir tapé à la porte de l’APR.
Felwine lâché par Mbougar Sarr fait feu de tout bois pour plaire à son gourou Ousmane Sonko, habitué de Sweet Beauté et violeur des droits féminins. Si le parti que vous jugez représentatif devient un parti insurrectionnel avec des militants et sympathisants qui appellent et participent des destructions d’infrastructures publiques et privées entrainant de pertes de vie humaine, l’Etat a la haute responsabilité de dissoudre ce parti antirépublicain, ce danger public.
Ainsi, dans un texte intitulé « Nous tenir éveillés » et diffusé le 20 août 2023 à travers les sites d’informations, le renégat Felwine Sarr, celui-là même qui avait signé avec deux néo-politiciens Boubacar Boris Diop, Mouhamed Mbougar Sarr, un texte collectif de propagande pour Ousmane Sonko, sans rigueur scientifique, ni objectivité intellectuelle, revient avec une débilité déconcertante indigne d’un intellectuel, d’un chercheur-universitaire.
La société sénégalaise va, en partie, mal car une certaine élite intellectuelle dont Boris Diop, Jacques Habib Sy, Yacine Fall, Ngouda Mboup…, vole bas.
Heureusement, le Sénégal regorge d’intellectuels objectifs, honnêtes, de haut rang comme Djibril Samb, Souleymane Bachir Diagne, Djiby Diakhaté, Abdou Salam Fall, Abdou Salam Sall, Ibrahima Thioub, Fallou Ndiaye, Mame Moussé Diagne entre autres.
Felwine Sarr et Boris Diop sont disqualifiés. Quand de pseudo-intellectuels se taisent sur des sacs de biens publics et privés et du saccage des facultés et archives universitaires. Ils trahissent ainsi Cheikh Anta Diop, le pharaon du savoir en cautionnant le saccage du temple du savoir.
« Le ministre de l’Intérieur, en publiant le 31 juillet 2023 un décret signé par sa main et dissolvant le Pastef ; et le doyen des juges en mettant le leader de cette formation politique en prison, viennent au nom de la République d’accomplir formellement ce dessein. En agissant ainsi, le gouvernement du Sénégal a porté un grand coup à la démocratie sénégalaise. » relate unilatéralement Felwine, le traite de la nation.
Mais il y a combien de détenus en prison pour participation ou appel à insurrection et destruction ? Felwine ne se soucie guère de leur sort. Felwine ne pense qu’à son gourou Sonko. Mais son gourou, depuis 2021 continue ses appels à insurrection et menace le Président de le trainer comme Samuel Doe. Felwine contrairement au Capitaine Dieye, opposant, ne dit pas la vérité à son Sonko S**o. Au contraire Sonko en prison, c’est un soulagement des populations qui vaquent aisément à leurs activités. La démocratie est ainsi protégée, l’Etat de droit ne se porte que mieux. Le danger public est neutralisé au grand bonheur du peuple.
Quelle contradiction flagrante de Felwine en écrivant « Est démocratique, une société fondée sur la Justice ». Et quand la justice s’applique, l’auteur de Afrotopia, piètre analyste politique parce que partisan spécule autrement parlant de dérives avec son aigri de Boris Diop.
Dans ce texte, sautant du coq à l’âne, Felwine écrit : « Récemment le traitement particulier d’une région du pays, la Casamance, doit nous alerter. Pendant presque 40 ans, une rébellion s’y est faite jour, avec comme revendication, l’indépendance. L’un des ressorts de cette demande fut le manque de reconnaissance ressenti par une frange de sa population » Mais comment Felwine peut tomber aussi bas en justifiant et cautionnant la rébellion casamançaise ? Voilà des intellectuels extrêmement dangereux, opportunistes, qui sont en mesure de mettre un pays dans un chaos indescriptible comme l’a souhaité son gourou Sonko. Mais peine perdue.
Après les phases de Mortal combat à Thioky fin en passant par gatsa gatsa, Kudé sa yaye dioural (mourrez, vos mamans vont procréer encore), quittez les claviers et envahissez les rues, délogez Macky Sall, trainez Macky Sall comme Samuel Doe, Macky me tue ou je le tue, la liste est longue. Après ses étapes entrainants une cinquantaine de morts, de biens détruits, Sonko, le gourou s**o de Felwine Sarr rétropédale et c’est le temps de l’appel au yeurmandé (pitié) au masa masa.
Et entrent en action, 142 intellectuels, des thuriféraires de basse classe comme Serigne Diop Sadakhta qui ne mérite pas son titre de professeur, ke farfelu Pr Buuba Diop qui se cherche, le guignol de l’université Babacar Mbaye Diop (ex-Biennale de Dakar) actuel racketteur des artistes plasticiens, le nullard Dr Malick Ndiaye, actuel directeur artistique de la Biennale de Dakar, porteur de valise de Felwine Sarr, ce dernier, ancien président de la Commission scientifique de la Biennale, acolyte de Khady Gadiaga, chargée de la communication de la Biennale de Dakar avec l’agence Osmose, destructrice des symboles de la Biennale dont le logo réalisé par le regretté artiste de talent Amadou Sow. Voilà ces soi-disant intellectuels qui font fi de l’Etat de droit en demandant au Président Macky Sall de libérer Sonko.
Mais, ils n’ont pas demandé la réparation et la réhabilitation des facultés universitaires saccagées, pas de condoléances aux familles des victimes de Mortal Combat et de Thioky fin.
Et Macky Sall, en restaurant l’autorité de l’Etat, est sur le chantier de ces valeurs républicaines toujours neuves, pour ces combats de jour qui se nomment : Un peuple, un but, une foi.
Idrissa Diop musicien international s’adressant à ces renégats soi-disant intellectuels, dira : Macky Sall a une vision humaniste de la politique qui se nourrit de culture républicaine. C’est la grande épopée d’un très grand président, mais cette dimension manque aujourd’hui à ces opportunistes pseudo-intellectuels qui n’ont aucun avenir dans l’immédiat avec l’emprisonnement de leur mentor Ousmane Sonko et l’embourbement de leur entreprise terroriste.
L’ère de l’obscurantisme occidentale et Lgbtistes est révolue mon cher Felwine Sarr.
Le président
Abdoulaye Mamadou GUISSE
De la Coalition CULTURE REPUBLICAINE. / Fulla Ak Fayda.
Conseiller Spécial du président du Conseil Economique
Social et Environnement (CESE).