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Souveraineté alimentaire : Vers une réforme foncière prenant en compte les exploitations familialesLe Secrétaire d’Etat ...
28/05/2024

Souveraineté alimentaire : Vers une réforme foncière prenant en compte les exploitations familiales

Le Secrétaire d’Etat aux coopératives et à l’encadrement des paysans a souligné lundi, la nécessité d’aller vers une réforme foncière prenant en compte l’apport des exploitations agricoles familiales pour atteindre la souveraineté alimentaire.

”Nous savons qu’on ne peut pas parler de souveraineté alimentaire, sans parler de l’apport des exploitations familiales. Donc, il est important que leurs ressources productives de base soient sécurisées par elles-mêmes, d’où l’intérêt d’aller vers une réforme foncière”, a déclaré Alpha Ba.

Il présidait un atelier national portant sur ‘’la bonne gouvernance foncière, gage d’une souveraineté alimentaire du Sénégal’’, organisé par le Cadre de réflexion et d’action sur le foncier au Sénégal (Crafs) qui se tient du 27 au 28 mai à Dakar.

D’après M. Ba, 90% de la production agricole au Sénégal est assurée par ces exploitations familiales dont l’outil de base est le foncier.

”Quand on parle de sécurisation de ressources productives, cela signifie pour nous, venir à ces genres de rencontres discuter avec eux, réfléchir avec eux pour prendre en compte leurs propositions. Et voir avec les orientations politiques de l’Etat comment aller vers un consensus qui puisse nous permettre d’aller vers une réforme foncière”, a-t-il expliqué.

”Le foncier est géré par la loi sur le domaine national qui date de 1964. Dans cette loi, certes il y a des aspects positifs mais il y a des aspects dont il faudrait interroger”, a rappelé le Secrétaire d’Etat aux coopératives et à l’encadrement des paysans.

Cet exercice est d’autant plus ‘’nécessaire’’ de l’avis de M. Ba dans la mesure où le régime sortant avait initié des réflexions qui avaient abouti à l’élaboration d’un document de politique foncière.

”Et pour nous, c’est de voir en collaboration avec des organisations de la société civile, comment sortir ce document, là s’il y a lieu de l’actualiser, on le fait, s’il est à jour, qu’on part de ce document pour aller vers une réforme foncière voire une législation foncière’’, a expliqué Alpha Ba.

”On parle d’une réforme foncière qui est inclusive, transparente et qui s’inscrit dans la durabilité des ressources naturelles”, a-t-il précisé.

Avant la réforme foncière, le Secrétaire d’Etat aux coopératives et à l’encadrement paysan annonce la tenue du Conseil d’orientation agrosylvopastoral, une vieille revendication des organisations paysannes au Sénégal et de la société civile.

Il a indiqué, avoir, dès sa nomination, affiché sa volonté pour que ce conseil puisse se tenir ”dans les plus brefs délais”.

”Nous sommes en train de travailler avec toutes les organisations de la société civile pour aller vers la révision de la loi agrosylvopastorale qui constitue le cadre normatif de base de tout ce qui doit se faire dans le milieu rural”, a informé Alpha Ba.

”Nous pensons que si nous parvenons à aller vers une loi stabilisée dans les plus brefs délais, le président de la République pourra convoquer ce conseil afin de donner une place prépondérante à ceux qui constituent la mamelle du Sénégal à savoir les acteurs du secteur primaire”, a défendu le Secrétaire d’Etat aux coopératives et à l’encadrement paysan.

Selon lui, le Conseil est un moment de transmettre sans intermédiaire les préoccupations au président de la République pour que l’Etat puisse s’atteler à les régler. ”C’est quelque chose d’important qui est prévu dans notre dispositif”, a-t-il dit, concluant: ”Et nous espérons pouvoir le tenir avant la fin de l’année civile en cours”.

Comment les 2 policiers ont succombé aux « millions » de la fille de Mansour FayeLe nouveau régime qui a promis une «lut...
28/05/2024

Comment les 2 policiers ont succombé aux « millions » de la fille de Mansour Faye

Le nouveau régime qui a promis une «lutte acharnée» contre la corruption a du boulot. Deux policiers en service à Kébémer ont succombé à des pots-de-vin de la fille de Mansour Faye, Aïssatou Faye. Ils l’ont relâchée après avoir découvert plus de 25 millions de FCFA par devers elle, en contrepartie de «fortes sommes d’argent». Les deux agents, signalés par l’ancien ministre et maire de Saint-Louis, ont été suspendus et risquent la radiation. Mais le hic, c’est que la corruptrice présumée est libre comme le vent et ne fait l’objet d’aucune enquête.
C’est une affaire qui n’est pas si fraiche que ça, mais qui suscite frustrations et interrogations. Elle semble avoir été étouffée puisqu’elle date de près de 4 semaines maintenant. La fille de Mansour Faye, maire de Saint-Louis et ancien ministre, est au cœur d’une histoire de millions de francs Cfa et de corruption de policiers en service à Kébémer. Suite à une opération routinière de fouille de son véhicule, la jeune Aïssatou Faye, déjà célèbre pour avoir fait l’objet d’un reportage de BBC Afrique en 2022 pour sa ferme de 50 vaches, a été arrêtée par deux policiers de la circulation qui ont découvert dans son véhicule des dizaines de millions. Certains parlent de 25 millions de FCFA. Mais vérification faite, des sources policières bien au fait du dossier sont formelles : «C’est plus que ça, c’est beaucoup d’argent liquide.» Prise de panique apparemment, la fille, dont le nom est encore protégé, propose aux deux agents une somme d’argent, «une énorme somme d’ailleurs», persiste-t-on. C’était le prix pour se tirer d’affaire. Alors, les ripoux succombent à ces dessous-de-table. Relâchée, la fermière poursuit alors son chemin.

DECHEANCE HUMAINEVous doutez encore de la déliquescence de la pratique politique et aussi de la déchéance humaine dans c...
28/05/2024

DECHEANCE HUMAINE

Vous doutez encore de la déliquescence de la pratique politique et aussi de la déchéance humaine dans ce charmant pays ? On a beau s’attaquer aux pratiques bordéliques en vigueur sous le magistère du président Wade, lesquelles avaient ébranlé les fondements de notre Etat,
force est de reconnaître cependant que c’est avec la seconde alternance que nous avonstouché le fond. Le communiqué de l’APR, publié il y a quelquesjours, vient nous rappeler combien on peut passer de la lumière à la plus grande décrépitude morale et intellectuelle. En quelques
semaines seulement. Il y a trente ans, des individus du genre de Bah Diakaté, personne ne penserait les retrouver dans une assemblée politique à fortiori entendre leurs voix. Des légions d’imbéciles produites par des réseaux sociaux qui leur ont donné le même droit à la parole qu'à un prix Nobel ou un professeur agrégé. Une parole qu’ils ont obtenue pour ne débiter que des énormités. Mais voilà donc que cet idiot est présenté par le communiqué de l’Apr comme un activiste « républicain» réputé pour ses analyses documentées et fouillées.
Fouillées dans les poubelles, oui ! Ça vous fait rigoler ?
On se calme… Quand ce sont des cadres qui pondent un communiqué d’une telle vacuité et revendiquent l’appartenance à leur mouvement d’un tel individu au langage de charretier tout en le hissant parmi les cerveaux de leur formation politique, on ne peut que comprendre pourquoi les Sénégalais ont congédié tous ces abrutis le 24
mars dernier. Il faut également ranger dans le même registre que l’idiot, tous ces hommes et femmes qui tentent de justifier ses errements. Un malotru enrichi par des gens qui le rétribuaient pour les insanités qu’il déversait sur d’honorables pères de famille. Les Assises nationales de la Justice, qui s’ouvrent aujourd’hui et qui pourraient ressembler à une séance de catharsis, doivent être l’occasion, au-delà de la Justice, de repenser la société sénégalaise. Si nous avons vécu deux années qui ont failli faire sombrer le pays dans un cycle de violences inouïes en plus d’avoir déchiré des familles, c’est surtout à cause de l’envahissement de l’espace politique par des
personnes sans foi, ni loi. Une faune hétéroclite de personnes aux ambitions divergentes mais toutes motivées parle désir obsessionnel de s’enrichir parla traitrise, la délation et le mensonge. Des gens prêts à tout, à toutes les sales besognes. Les mêmes qui ont inspiré les énormités que l’ « activiste républicain » — activiste répugnant, plutôt ! — a déversées sur d’honorables pères de famille.
kàccoor bi - le temoin

Dernière minute : Bah Diakhaté et imam Cheikh Tidiane Ndao déférés ce mercredi...Interpellé par la Dic tôt le matin, l'i...
21/05/2024

Dernière minute : Bah Diakhaté et imam Cheikh Tidiane Ndao déférés ce mercredi...

Interpellé par la Dic tôt le matin, l'imam Cheikh Tidiane Ndao vient d'être placé en position de garde à vue après son audition. Comme Bah Diakhaté, il est poursuivi pour "diffusion de fausses nouvelles" et "offense contre une personne exerçant tout ou une partie des prérogatives du Président de la République". Tous les deux seront finalement déférés au parquet demain.

avec LibérationOnline

Circulaire Fixant les prix de cession des semences et plants subventionnées pour la Campagne Agricole 2024/2025Dans le c...
21/05/2024

Circulaire Fixant les prix de cession des semences et plants subventionnées pour la Campagne Agricole 2024/2025

Dans le cadre de l'exécution du Programme Agricole 2024/2025, l'Etat maintient sa volonté de faciliter l'accès des intrants aux producteurs, en metant entre autres, à leur disposition, des semences et plants à des prix subventionnés.
Les prix de cession aux producteurs de ces semences et plants s'établissent ainsi qu'il suit :

Amal Clooney parmi les experts ayant conseillé la CPI sur les crimes de guerre à GazaL'avocate Amal Clooney a indiqué lu...
21/05/2024

Amal Clooney parmi les experts ayant conseillé la CPI sur les crimes de guerre à Gaza

L'avocate Amal Clooney a indiqué lundi qu'elle faisait partie d'un groupe d'experts ayant conseillé le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) qui a demandé des mandats d'arrêt contre deux ministres israéliens, dont Benjamin Netanyahu, et trois dirigeants du Hamas.
Dans un message sur le site de la "Clooney foundation for justice", fondée avec son mari acteur George Clooney, l'avocate et militante des droits humains explique qu'elle a été contactée "il y a plus de quatre mois" par le procureur de la CPI pour rejoindre un groupe d'experts en droit international chargé d'"examiner des preuves de crimes de guerre et crimes contre l'humanité présumés" commis en Israël et dans la bande de Gaza.

"Nos conclusions juridiques ont été unanimes", a-t-elle assuré.
"Nous avons unanimement établi qu'il y a des motifs raisonnables pour penser que les chefs du Hamas Yahya Sinouar, Ismaïl Haniyeh et Mohammed Deif ont commis des crimes de guerre et contre l'humanité, notamment prise d'otage, assassinat et crime sexuel. Nous avons unanimement établi qu'il y a des motifs raisonnables pour penser que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et le ministre israélien de la Défense Yoav Gallant ont commis des crimes de guerre et contre l'humanité, notamment l'emploi de la famine comme arme de guerre, assassinat, persécution et extermination", a-t-elle écrit.
Au sujet des demandes de mandats d'arrêt réclamés lundi par le procureur Karim Khan, l'avocate libano-britannique a assuré qu'elle soutenait cette "étape historique" visant à "faire justice aux victimes d'atrocités en Israël et en Palestine".
La guerre a été déclenchée par l'attaque sans précédent du Hamas sur le sol israélien le 7 octobre, qui a entraîné la mort de plus de 1.170 personnes, majoritairement des civils, selon un bilan de l'AFP établi à partir de données officielles israéliennes. Sur les 252 personnes emmenées comme otages, 124 sont toujours détenues à Gaza, dont 37 mortes selon l'armée.
Israël, qui a juré de détruire le mouvement islamiste palestinien, a lancé une offensive dévastatrice dans la bande de Gaza qu'elle a assiégée, entraînant la mort d'au moins 35.562 personnes, pour la plupart des civils, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement de Gaza dirigé par le Hamas.

Avec AFP

Homosexualité : Oumar Youm demande à Ousmane Sonko de respecter ses engagementsA la suite de son arrestation par la Divi...
21/05/2024

Homosexualité : Oumar Youm demande à Ousmane Sonko de respecter ses engagements

A la suite de son arrestation par la Division des Investigations Criminelles (DIC), Bah Diakhaté reçoit le soutien de plusieurs personnes dont l'ancien ministre Oumar Youm. Ce dernier se dit indigné par cette arrestation. Selon le responsable de l'APR, le délit reproché au chroniqueur est un "délire". Il demande d'arrêter "de nous ridiculiser" et apporte son soutien à Bah Diakhaté.

Rappelant la position de son camp quant à la criminalisation de l'homosexualité, Oumar Youm reste ferme. "J’avais dit du haut de La Tribune de l’assemblée que notre majorité n’entendait pas dépénaliser l’homosexualité. Chose faite!", écrit-il.

Non sans nommer Ousmane Sonko, il lui demande, notamment, de respecter sa promesse. "À celui qui avait promis fermement de criminaliser l’homosexualité de passer aux actes", a t-il dit, espérant "que cette proposition ressortira très clairement de sa déclaration de politique générale (DPG)".
Le débat sur l'homosexualité a été, de nouveau, agité après la conférence co-animée par Ousmane Sonko et Jean Luc Mélenchon à l'université Cheikh Anta Diop de Dakar le jeudi 16 mai dernier. Ousmane Sonko avait déclaré, lors de cette rencontre, que cette thématique risquait d'être le "casus belli" des relations entre l'occident et des pays comme le Sénégal, soulignant, par ailleurs, que l'homosexualité était "toléré" sous nos tropiques.

D.S

Mandats d’arrêt contre Netanyahu : Le procureur de la CPI menacéKarim Khan affirme qu'une "personnalité de haut rang" lu...
21/05/2024

Mandats d’arrêt contre Netanyahu : Le procureur de la CPI menacé

Karim Khan affirme qu'une "personnalité de haut rang" lui a dit que "la CPI avait été ‘créée pour l'Afrique et pour des voyous comme Poutine’, et non pour l'Occident et ses alliés"
Le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) a déclaré avoir reçu des menaces alors qu'il menait des enquêtes contre de hauts responsables israéliens. Une personnalité de haut rang lui a dit que la Cour avait été "créée pour l'Afrique et pour des voyous comme Poutine ", et non pour l'Occident et ses alliés.
Dans une interview accordée à CNN, Karim Khan a déclaré : "Certains dirigeants élus ont pris langue avec moi et ont été très virulents. ‘Cette Cour a été créée pour l'Afrique et pour des voyous comme Poutine’, m'a dit l'un d'entre eux''.
Nous ne procédons pas de cette manière", a-t-il affirmé, avant d'ajouter : "Cette Cour devrait être le triomphe du droit sur le pouvoir et la force brute : prendre ce que l'on peut, prendre ce que l'on veut, faire ce que l'on veut".
La CPI a demandé la délivrance de mandats d'arrêt contre le premier ministre israélien Benyamin Netanyahu et le ministre de la défense Yoav Gallant, ainsi que contre les dirigeants du Hamas Yahya Sinwar, Ismail Haniyeh et Mohamed Deif.
Les chefs d'accusation retenus contre Netanyahu et Gallant sont "la provocation à l'extermination, l'utilisation de la famine comme méthode de guerre en refusant l'acheminement de l'aide humanitaire, et le ciblage délibéré des civils dans le conflit", a-t-il ajouté.
Les charges retenues contre Sinwar, Haniyeh et Deif comprennent "l'extermination, le meurtre, la prise d'otages, le viol et l'agression sexuelle en détention", a déclaré Khan à CNN.
"Personne n'est au-dessus de la loi", a-t-il ajouté.
Il a suggéré que si Israël n'est pas d'accord avec la CPI, "ils sont libres de contester la compétence devant les juges de la Cour, et c'est le conseil que je leur donne".
Israël poursuit son offensive brutale contre la Bande de Gaza en dépit d'une résolution du Conseil de sécurité des Nations unies exigeant un cessez-le-feu immédiat dans l'enclave.
Plus de 35 500 Palestiniens ont été tués, dont une grande majorité de femmes et d'enfants, et plus de 79 600 autres ont été blessés depuis octobre dernier, à la suite d'une attaque transfrontalière menée par le mouvement palestinien Hamas. L'attaque du Hamas aurait fait près de 1 200 morts coté israélien, et des centaines d'autres ont été faits prisonniers.
Plus de sept mois après le début de la guerre israélienne, de vastes pans de la Bande de Gaza sont en ruines, victimes d'un blocus paralysant qui les prive de nourriture, d'eau potable et de médicaments.
Israël est poursuivi devant la Cour internationale de justice (CIJ) pour crime de génocide. Celle-ci lui a enjoint de veiller à ce que ses forces ne commettent pas d'actes à caractère génocidaire et de prendre des mesures pour garantir l'acheminement de l'aide humanitaire à la population civile de la Bande de Gaza.

Poursuivi pour diffusion de fausses nouvelles et offense au chef de l’État : Les détails de l’audition de Bah DiakhatéSu...
21/05/2024

Poursuivi pour diffusion de fausses nouvelles et offense au chef de l’État : Les détails de l’audition de Bah Diakhaté

Suite à son audition, Bah Diakhaté a été placé en position de garde à vue à la Division des Investigations Criminelles (Dic). Selon les informations de Seneweb, il est poursuivi pour diffusion de fausses nouvelles et offense au chef de l’état.

Lors de son interrogatoire, les policiers- enquêteurs l’ont confondu avec deux vidéos. L’une date de l’année 2022 et l’autre est le live qu’il a tenu hier, sur sa chaîne YouTube. Après avoir visionné les vidéos, sous l’assistance de ses conseils, Bah Diakhaté a assumé ses propos.

Sur la vidéo de 2022, il avait soutenu que Bassirou Diomaye Faye a vendu un terrain à Cheikh Diba. Il a déclaré que la vidéo a été republiée, avant-hier par des personnes mal intentionnées. Mais, il a dit aux policiers que ses propos sont avérés, remettant des documents sur les tables des enquêteurs. Sur ce point, il a contesté le délit d’offense au chef de l’état. Il s’est défendu, précisant que Bassirou Diomaye Faye n’était pas président de la République à l’époque.

Sur l’homosexualité, Ousmane Sonko et Colonel Abdourabim Kébé

Sur la deuxième vidéo dans lequelle il s’attaque au Premier Ministre Ousmane Sonko, Bah a repris le propos de Jean Luc Mélenchon, disant qu’il défend la cause des Lgbt. Il a soutenu qu’en invitant Mélenchon, Ousmane Sonko défend lui-aussi la cause Lgbt.

Et sur le colonel Abouramhim Kébé, Bah Diakhaté a aussi reconnu ses propos. Il a affirmé que celui-ci « a fait l’objet de 45 jours d’arrêt de rigueur pour une histoire de mœurs avec des hommes ». Selon les informations de Seneweb, Bah Diakhaté sera présenté dans les prochaines heures devant le procureur de la République près du tribunal de Dakar qui a demandé son arrestation.

Avec Seneweb

Mesures contre la cherté de la vie, oreille attentive à la jeunesse désorientée : «Recommandations» de Mgr Benjamin Ndia...
21/05/2024

Mesures contre la cherté de la vie, oreille attentive à la jeunesse désorientée : «Recommandations» de Mgr Benjamin Ndiaye au président Diomaye Faye

Le ministre de l’Intérieur, chargé des cultes, le Général Jean Baptiste Tine, a conduit la délégation gouvernementale à la cérémonie officielle de la 136e édition du pèlerinage marial de Popenguine hier, lundi 20 mai 2024. S’exprimant à cette occasion, marquant la clôture de l’événement religieux, l’archevêque de Dakar, Monseigneur Benjamin Ndiaye, a plaidé pour les ménages et la jeunesse, invitant les autorités étatiques à prendre les mesures nécessaires pour soulager les Sénégalais de la cherté de la vie, à prêter une oreille attentive aux jeunes et à lutter contre le changement climatique. Quant au ministre de l’Intérieur, il a salué «la parfaite communion légendaire» entre musulmans et catholiques, «dans un contexte d’extrémisme religieux de plus en plus noté».

Lors de la cérémonie officielle de la 136e édition du pèlerinage marial de Popenguine, tenue hier, lundi 20 mai 2024, après trois jours de recueillement et de prière, l’archevêque de Dakar, Monseigneur Benjamin Ndiaye, a demandé au chef de l’État d’inscrire en priorité dans sa nouvelle feuille de route, les questions relatives à la jeunesse, au coût de la vie et à la lutte contre le changement climatique. «J’appelle le gouvernement à prendre les mesures nécessaires pour soulager les ménages de la cherté de la vie, prêter une oreille attentive à cette jeunesse désorientée et à lutter plus efficacement contre le changement climatique», a-t-il déclaré dans l’APS. La prise en charge de ces questions prioritaires devrait permettre au gouvernement de garantir la protection et le bien-être de la population, selon l’archevêque de Dakar.

Saluant l’issue heureuse de la présidentielle du 24 mars 2024, l’archevêque de Dakar a souligné que «notre pays a su encore une fois, faire preuve de résilience et de maturité démocratique», avec une nouvelle alternance au sommet de l’Etat. C’est pourquoi il a invité les politiques «à chercher l’intérêt général en lieu et place de tout intérêt particulier ou sectaire, le tout dans une cohésion sociale, socle d’un développement harmonieux». Pour cela, il appelle les hommes politiques à «promouvoir les valeurs qui constituent l’identité de notre société, dans le respect de nos diversités». Non sans prier pour les nouvelles autorités au pouvoir, afin qu’ils aient «la claire vision de ce qu’ils doivent faire, et la force de l’accomplir».

LE GENERAL JEAN BAPTISTE TINE SALUE «LA PARFAITE COMMUNION LEGENDAIRE» ENTRE MUSULMANS ET CATHOLIQUES

Prenant la parole, le ministre de l’Intérieur, saluant la présence de représentants des autres foyers religieux à ce rendez-vous annuel, a magnifié «la parfaite communion légendaire» entre les communautés musulmane et catholique, «dans un contexte d’extrémisme religieux de plus en plus noté». Pour le Général Jean Baptiste Tine «l’Eglise mérite toute la reconnaissance de la République car elle a toujours joué sa partition dans l’effort national de développement, à travers des positions sages, courageuses et pertinentes», a-t-il soutenu. Le ministre de l’Intérieur de relever que «la vie inspirante de la vierge Marie sera un intrant important dans le nouveau projet de société défini par les autorités» nouvellement élus. Il a, par ailleurs, réitéré l’engagement du gouvernement à poursuivre le programme de modernisation du site de Popenguine et des autres diocèses du Sénégal.

La 136e édition du pèlerinage marial de Popenguine s’est tenue du 18 au 20 mai 2024. Le thème retenu cette année est : «Avec Marie, marchons ensemble pour un Sénégal de justice et de paix». Représentants de familles religieuses musulmanes, de la classe politique, de la société civile ont pris part à la cérémonie officielle, marquant la clôture de ce pèlerinage ayant rassemblé des milliers de pèlerins venus de sept (7) diocèses du Sénégal et de la sous-région.

Sud Quotidien

Situation des finances publiques : Abdou Karim Sock dresse un état des lieux « calamiteux »Invité de l’émission Objectio...
21/05/2024

Situation des finances publiques : Abdou Karim Sock dresse un état des lieux « calamiteux »

Invité de l’émission Objection du dimanche 19 mai, Abdou Karim Sock, Expert en gestion des finances publiques, a confirmé la situation de tension à laquelle sont confrontées les finances publiques, et dont a héritée la nouvelles équipe dirigée par le président Bassirou Diomaye Diakahar Faye. Dans un réquisitoire sans complaisance, l’ancien chef de bureau à la direction du ministère de l’Economie, a justifié l’existence d’une telle crise par le simple fait d’une option politique basée sur le financement du développement du Sénégal beaucoup plus appesantie sur les infrastructures à travers l’endettement.

« Les finances publiques sont mal en point » ; c’est en tout cas l’avis d’Abdou Karim Sock, expert en finance publique, par ailleurs ancien chef de bureau à la direction du ministère de l’Economie. L’expert a justifié cette tension financière par le fait qu’il y a eu sous le régime du président Macky Sall, beaucoup d’investissements qui ont été réalisés dans le cadre de l’axe 1 basé sur l’endettement. M. Sock a déploré le fait que «La transformation structurelle de l’économie sous Macky Sall, c’est aller s’endetter pour financer des projets en montage complexe et qui sont déroulés en marge du secteur privé national».

Parmi ces projets phares, il cite comme exemple le Bus Rapid Transit (BRT) comme l’une des infrastructures sous Macky Sall, dont la réalisation a coûté très cher, environ 300 milliards. « Ce BRT a été monté dans des conditions de marché clé à main avec son lot de problèmes de soutenabilité budgétaire et éventuellement de conséquences au niveau de la trésorerie. Il en est ainsi du TER également et puis les stades de Diamniadio », a-t-il fustigé. L’expert en finance publique de poursuivre : « Aujourd’hui, si on veut faire le point sur la situation des finances publiques, il faut les appréhender à travers les critères de convergence de l’UEMOA, qu’on appelle un peu les indicateurs macro-économiques. Prenons le déficit budgétaire, le critère de convergence de premier rang dans l’UEMOA dit qu’il doit être inférieur à 3% du PIB. Nous sommes sensiblement à 4%, après un déficit de 5% environ en 2023».

De même, l’encours de la dette, selon l’invité de l’émission Objection, est aujourd’hui à 15 000 milliards, soit 73% du PIB pour ce qui concerne la dette de l’administration centrale, dépassant même la dette communautaire de 3%. A cet effet, l’expert indiquera que « Si on raisonne en termes de déficit public, on prend en compte les déficits au niveau des organismes publics, on rajoute aux déficits un peu des administrations centrales, nous sommes à peu près 80%, avec un service de la dette qui est chiffré à 1800 026 000 000 FCFA».

Abdou Karim Sock n’a pas aussi manqué de pointer du doigt le budget 2024 dont il dénonce la non-sincérité liée au mélange de choses qui ne vont pas ensemble. Selon lui, « La loi organique relative à la loi de finances est très claire. Elle dit qu’il faut séparer les ressources et charges budgétaires, des recettes et dépenses budgétaires, des ressources et charges de trésorerie. Alors que quand vous regardez tel que le budget est conçu, ils ont mélangé les ressources budgétaires, des ressources de trésorerie, les charges budgétaires, des charges de trésorerie ».

Devant ces faits qui font froid dans le dos, l’invité de Baye Oumar Guèye estime que le Projet répond par la nécessité de procéder à des réformes de la fiscalité intérieure pour avoir des ressources endogènes. Pour lui, le projet « C’est d’abord la maîtrise du déficit budgétaire, la rationalisation des dépenses, la réforme de la fiscalité et des ressources des recettes intérieures mais également la maîtrise de la dette parce qu’il y a des relations étroites entre le déficit budgétaire et l’endettement». Dans ce même sillage, il plaide pour la rationalisation des dépenses publiques. D’après lui, « Les dépenses publiques ne sont pas centrées autour des objectifs. C’est distrait. Ça va dans tous les sens. Il y a des activités qui ont des chapitres budgétaires qu’on peut supprimer. »

Par contre, l’économiste exhorte les Sénégalais à s’armer de patience estimant qu’il faudra se projeter à partir de 2025 pour espérer voir enfin une loi de finance qui a été élaborée par les autorités qui sont là. « Les Sénégalais doivent aussi être tolérants. Ce qui a lieu, c’est le bilan de ceux qui sont passés. Ce qui va venir, ça vient d’être semé : il faut prendre le temps de le laisser grandir pour après récolter les fruits. C’est à cela que j’appelle les Sénégalais », a-t-il conclu.

Sud Quotidien

LES IDIOTSIl se trouve donc des gens à cautionner les dérapages d’un idiot qui s’est permis de s’attaquer à l’honorabili...
21/05/2024

LES IDIOTS

Il se trouve donc des gens à cautionner les dérapages d’un idiot qui s’est permis de s’attaquer à l’honorabilité de quelques citoyens. On ne trouverait rien à redire si les défenseurs du taré se recrutaient dans la faune hétéroclite de gens de son espèce. Mais voilà qu’un ancien ministre présente le stupide garçon comme un lanceur
d’alerte. Il est ainsi permis aux lanceurs d’alerte de fouiller les poubelles ou des attaques en dessous de la ceinture. Un monsieur - soit dit en passant- qui aurait dû se taire et attendre de répondre de sa gestion calamiteuse de nos finances publiques. Mais voilà qu’il sort de son trou pour narguer son monde et prenant la défense d’un calomniateur. Et il n’est pas le seul. Un autre tente de soustraire l’idiot des critiques. Celui que le malotru garçon calomnie gratuitement et de façon bête et méchante ne serait pas une institution. L’idiot a donc le droit de mentir sur tout le monde et s’attaquer à la vie privée d’honorables pères de famille sans que rien ne puisse lui arriver. Au nom de la liberté d’expression, il peut mentir, dire du n’importe quoi sur des gens. Notre société…
Quelle société. Il ne faut pas porter des œillères. Elle est en train de fo**re le camp. Elle part en vrille avec la com-mplicité de gens qui ont, eux-mêmes, perdu toute respectabilité à force de soulever des caniveaux. Ils ont tellement menti sur des gens que personne n’arrive plus à les croire. La réconciliation à laquelle appelle le nou-
veau régime ne doit pas être un laisser- aller. Que les perdants s’opposent mais qu’ilsle fassent dans les règles.
On ne peut permettre à des gens de briser des vies à travers des accusations gratuites ou en s’attaquant à la vie privée de personnalités. Il nous faut plus d’élégance dans la parole. L’idiot qui est depuis hier entre les mains des enquêteurs ne peut mériter notre sympathie. On ne peut proférer des grossièretés et espérer s’en sortir indemne. Ce serait un permis de détruire des vies.
Faites la politique autrement…
kaccoor bi - le temoin

PM Ousmane SONKO sur la baisse du coût de la vie : ‘’Les denrées visées sont le riz brisé non parfumé, le pain, le sucre...
16/05/2024

PM Ousmane SONKO sur la baisse du coût de la vie : ‘’Les denrées visées sont le riz brisé non parfumé, le pain, le sucre cristallisé et l’huile".

ENFANTS DU NET (Par Kaccor Bi)On peut ignorer ce que font nos enfants, ne pas savoir qui ils fréquentent encore moins le...
16/05/2024

ENFANTS DU NET (Par Kaccor Bi)

On peut ignorer ce que font nos enfants, ne pas savoir qui ils fréquentent encore moins les pratiques auxquelles ils s’adonnent. On peut être un bon père de famille mais il arrive que nos mômes échappent à notre vigilance. Personne d’ailleurs ne peut être en mesure de les surveiller. On a beau se défausser sur les parents, les accusant d’avoir démissionné de l’éducation de leurs enfants, la vérité est autre et peut être
cruelle. Surtout dans un monde où les frontières sont devenues artificielles. Et où les réseaux sociaux ont remplacé les parents dans l’éducation des garnements. Au-delà des actes répréhensibles que posent certains de nos mômes, c’est la société sénégalaise, elle-même, qui est pourrie de la tête aux pieds. Le « Ndeup national » auquel appelait, il y a plus de trente ans, le clinicien et psychologue Serigne Mor Mbaye, devient plus qu’urgent. Il est d’une brûlante actualité.
Ce charmant pays est un grand corps malade, et sa jeunesse particulièrement est atteinte. Faut-il se nourrir d’illusions quand ce sont des adultes, eux-mêmes, qui viennent enfreindre l’ordre établi, offrant à la jeunesse le visage répugnant de leurs pratiques ? On est à la quête effrénée de jouissances, on court derrière le profit. Plus les rétributions sont importantes, plus on en veut encore, devenant ainsi, à notre corps défendant, les esclaves d’une société de consommation
et de plaisirs. Au rang des priorités, l’argent et le sexe. Le couple infernal et démoniaque qui a fini de détruire toutes les strates d’une société gangrenée par la corruption, la cupidité et le mensonge. Des pratiques érigées en modèles d’ascension sociale. Tout le monde veut s’enrichir sans effort, et vite ! Quitte à emprunter des raccourcis peu recommandables. Les derniers rapports de la Cour des comptes et de l’Ofnac montrent que les adultes ne sont guère des références dans la gestion des affaires publiques. Ils offrent ainsi à une jeunesse désorientée et sans repères axiologiques des exemples dangereux et corrosifs. L’argent mal acquis, le sexe, l’alcool et la drogue. Choix de vie d’une certaine jeunesse. On est souvent effaré de recevoir des vidéos dans lesquelles ils s’accouplent à visage découvert avec une audace qui frise la folie. Loin du cocon familial, ils vivent leur vie, jusqu’à ce que tout explose devant des parents incrédules qui étaient loin d’imaginer leurs progénitures dans de telles postures dégradantes. Ce qui arrive, ces derniers temps, à des enfants de personnalités de la vie politique, économique etc… constitue un échec. Personne ne souhaiterait vivre ce que ces parents vivent à travers leur progéniture. Le chemin de la rupture, c’est aussi donner à cette jeunesse des rêves autres que le sexe, l’argent mal acquis, l’alcool et la drogue. Des ingrédients qui sont en train de les détruire.

Kaccoor Bi- Le Témoin

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