#CEDEAO, le Sénégal dans tout ça
#CEDEAO, le Sénégal dans tout ça?
En tout cas, on dirait que le chemin est ouvert pour #laChine et #laRussie.
#VOTEPOURTOUS
2022 est pour le Sénégal une année d'élections locale et législative. Une élection est pour un Etat démocratique, le moment de conférer légitimement le pouvoir du Peuple à ses représentants. Le Peuple au Sénégal n'est pas seulement ceux qui habitent le pays mais les sénégalais et sénégalaises où qu'ils soient dans le monde entier. De ce fait, nous pensons dès l'instant que le citoyen est majeur et sans contrainte juridique (Constitution:« Tous les nationaux sénégalais des deux sexes, âgés de 18 ans accomplis, jouissant de leurs droits civils et politiques, sont électeurs dans les conditions déterminées par la loi. », rien ne doit l'empêcher à effectuer son devoir civique. Le Décret n°2021-1196 du 20 septembre 2021 abrogeant et remplaçant le décret n°2017-170 du 27 janvier 2017 portant partie réglementaire du code électoral, avait indiqué que « la liste des pays qui composent les départements de l'extérieur a été mise à jour (R.93) avec l'évolution du nombre d’inscrits enregistré dans certains pays. ». Une chose bien mais pas suffisante. En effet, on a constaté qu'il y a des sénégalais dans la diaspora qui n'ont pas la possibilité de voter à cause de leur petit nombre dans leur pays d'accueil. Ce fait était compréhensible avant l'ère numérique mais aujourd'hui, avec les possibilités offertes par les nouvelles technologies de communication (le vote électronique, le vote par correspondance), l'État du Sénégal doit apporter des réponses pour corriger ce manquement discriminatoire. Oui, il est discriminatoire car, la Constitution dans son préambule, il est : « CONVAINCU de la volonté de tous les citoyens, hommes et femmes, d’assumer un destin commun par la solidarité, le travail et l’engagement patriotique ; ». Cet engagement patriotique implique aussi le fait de pouvoir voter.
On l'a vu lui le Président de la république pendant la période de Civid-19 tenir des rencontres virtu
#la TERreestailleurs
Une Terre désertée pour un TER de luxe voilà la pertinence selon moi du nouveau projet du train express régional du Sénégal. Le Sénégal se veut grand, une chose qu’on peut apprécier mais en voulant sauter les étapes, les pertes peuvent être plus conséquentes que les attentes.
Gouverner, c’est avoir une vision, un plan à long terme. Cela veut dire, penser au futur surtout. Avant l’indépendance, on comptait 4 communes au Sénégal : Dakar, Rufisque, Gorée et Saint-Louis. Des communes fortes qui généraient plus sur le plan économique pour le colonisateur. Ce qui s’est passé par la suite après l’indépendance nous le savons tous : « au lieu de fédérer toutes les régions du Sénégal et tirer le potentiel, nous sommes en train de tuer ses régions une après une ». Aujourd’hui seule Dakar qui est la capitale est « viable ».
Le Sénégal ne se limite pas seulement à Dakar. A la place de la décentralisation, nos gouvernants préfèrent la concentration non pas seulement du pouvoir mais aussi du territoire. Tout se concentre à la capitale.
Abdoulaye Wade nous a imposé son monument de la Renaissance Africaine que des citoyens quelques parts du Sénégal ne verront jamais à moins, si ce n’est à la télé. Aujourd’hui, les habitants de Matam, Kédougou, etc sont engagés dans une dette (le TER) qu’ils ne bénéficieront guerre car ils avaient plus besoin à la place, le renouvellement du chemin de fer dans le Sénégal pour mieux faire leurs commerces partout dans le pays.
A ce rythme, l’avenir du Sénégal est sombre. Des régions comme Kédougou sont mortes, Ziguinchor suffoque, TAMPI » pour Fouta. La désertification avance, les problèmes de l’eau arrive, l’insécurité à nos frontières et la démographie croissante sont les problèmes en face. Voilà où les gouvernants doivent se focaliser. Mais une nouvelle ville de Diamniadio à l’intérieur de Dakar avec son TER ne sera pas pour les sé
#Juridiquementpossible
Un article avec ses problèmes. La possibilité d'un troisième mandat du président du Sénégal Macky Sall ne cesse de susciter débat au pays. Mais jusqu'à présent à part certains juristes spécialistes à la matière comme monsieur Doudou Ndoye, personne n'ose nous déchiffrer cet article. Chaque jour, ce qu'on entend sur ceux qui défendent le non candidature pour un troisième mandat est: «Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs». Ils ont raison en partie si on se limite sur cette partie de l'article 27.
Bref, en Constitution, il y'a ce qu'on appelle « la suprématie de Constitution » par rapport aux autres législations (loi, règlement…). Dans une république, il n'y a aucune charte, loi ou protocole qui est supérieur à la Constitution. En effet, elle constitue, la charte suprême, (supérieure). D'ailleurs c'est ce qui lui donne son caractère fondamental. Cela veut dire que toutes les décisions juridiques (loi, règlement, décret...) se basent d'abord sur Elle, c’est-à-dire, la CONFORMITE. La Constitution a un caractère fondamental parce que les articles qui la composent ont un caractère fondamental. De ce fait, comme la Constitution est supérieure sur le plan interne à la loi, au règlement.... les articles de la Constitution sont aussi supérieurs aux alinéas qui les encadrent. En plus, ce caractère fondamental répond à ceux qui disent que Abdoulaye Wade pouvait faire un troisième mandat car, il avait changé la Constitution, alors Macky Sall a modifié seulement certains articles.
Les articles sont les idées que dégagent la législation et les alinéas ne font que encadrer ceux-ci. Vous dîtes que l'article est clair:« Nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs» alors que cette phrase n'est pas l'article. Cette phrase est l'alinéa. Il ne fait qu'encadrer l'article qui est «La durée du mandat du Président de la République est de cinq ans.» Donc lorsque des juristes comme M
#loigazpétrole
Le Conseil Présidentiel sur le projet de loi relatif à la Gestion des hydrocarbures au Sénégal est une bonne initiative. Les problèmes issus de cet or noir ne doit pas nous affecter car nous ne sommes pas les premiers à l'avoir et on a vu les conséquences malheureuses qu'il a causé ailleurs. En adoptant la transparence, cette ressource des hydrocarbures pourrait être bénéfique pour les sénégalais et sénégalaise. L'exploitation de ces découvertes demande des institutions fortes et c'est la raison pour laquelle ce projet de loi est positif.
Par ailleurs, il est nécessaire d'éclaircir le rôle de Frank Timis, Alioune Sall et consorts pour conforter la population sénégalaise qui pense que la corruption est déjà dedans. Les partenaires au développement même si on ne peut pas les exclure, il faut en effet savoir qu'ils ne sont pas indispensables et avec une bonne gestion, cette ressource à elle seule peut développer le Sénégal. Merci et que Dieu bénisse le Sénégal, l'Afrique et le monde entier.
discours à l'union nationale
Pourquoi tant de manipulations?
le Président Macky Sall doit se réconcilier avec les sénégalais
l'affrontement est-il inévitable?
sounou guiss guiss
pas 900 mais 96 milliards