21/10/2022
La malédictions de Poutine a encore frappé :
Tous ceux qui s’opposent à Poutine finiront par croquer la poussière ou à défaut, manger le sable.
de Jean-Paul Pougala
La première ministre britannique Liz Truss vient d’annoncer sa démission du poste de premier ministre après 44 jours de fonction débutée le 6 septembre 2022, pour cause de manque de stratégie et d’idée pour freiner la grave crise économique qui frappe le pays après les sanctions hasardeuses contre la Russie.
Il ne faut pas oublier que c’est après avoir changé 4 ministres de l’économie en 3 ans sans succès que désormais c’est la dégringolade des premiers ministres.
Tous ont des milliards pour armer l’Ukraine contre Poutine, mais pas assez d’argent pour payer les quittance de gaz et d’électricité de leurs citoyens.
Aux Royaume Unis, la moitié des entreprises d’électricité ont déposé le bilan en moins d’un an. La plupart vivaient et prospéraient grâce au gaz russe.
Après Emmanuel Macron qui a perdu sa majorité parlementaire cet été et est obligé pendant 5 ans à recourir au 49.3, c’est-à-dire à demander la confiance du parlement pour faire passer ses lois, le Premier Ministre italien Mario Draghi a été le second à manger la poussière après s’être opposé à Poutine.
Boris Johnson a suivi, ensuite les démocrates suédois et maintenant, Liz Truss avec à peine 44 jours de gouvernement, elle qui trouvait que les européens avaient été trop mous avec Poutine.
Elle avait promis de larguer une bombe sur Moscou pour se montrer plus dur que son prédécesseur Johnson qui défiait Poutine aux muscles et les pectoraux au G7 de juillet dernier.
Mais la bombe de Truss était apparemment dans ses rêves qu’elle emporte avec elle dès ce soir.
Draghi se trouve à Bruxelles pour son dernier Conseil européen. Il avait promis à Biden d’avoir trouvé la solution miracle pour arrêter de financer la guerre de Poutine : le Price Cap aux hydrocarbures russes.
Non seulement l’Allem gêne n’en veut pas, mais si n n’a pas be