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Les partis politiques en ordre de bataille pour exiger la fin de la transition : La guerre de Troie aura-t-elle lieu ent...
02/04/2024

Les partis politiques en ordre de bataille pour exiger la fin de la transition : La guerre de Troie aura-t-elle lieu entre autorités et classe politique ?

Publié le mardi 2 avril 2024 | L'Alternance

Après le vide juridique consécutif à la fin officielle de la transition, le pouvoir semble être désormais dans la rue et seul le rapport de force pourra le faire basculer d’un camp comme dans l’autre, c’est pourquoi partis politiques et autorités militaires de la transition se regardent en chiens de faïences. Les premiers s’organisent pour exiger la tenue des élections devant mettre fin à la transition, les secondes se préparent à réprimer toutes contestations voir protestations et n’entendent nullement laisser d’un IOTA le pouvoir qu’elles ont conquis au bout du fusil. Entre ces deux entités se trouve pris en otage le peuple qui ne demande qu’une seule chose, le bien être. Qui des autorités ou de la classe politique aura le dessus ? Et si on divisait la poire en deux en trouvant le juste milieu pour sauver ce qui pourrait l’être encore ? Le peuple continuera-t-il à être le spectateur-complice de la décadence ?

Le Mali entre véritablement dans une zone de turbulence politico-sociale, après la fin officielle de la transition. Pour rappel, selon le chronogramme souverainement fixé par les autorités de la transition l’investiture d’un nouveau Président démocratiquement élu devrait avoir lieu le 26 Mars 2024, mais il n’en est absolument rien et les autorités ne daignent même pas donner une raison du report. Cette situation inédite suscite des vives réactions de la part de la classe politique et de la société civile. Après les communiqués rappelant au respect du délai de la transition et exigeant le retour à l’ordre constitutionnel, les partis politiques et une frange de la société civile veulent passer à la vitesse supérieure en exigeant la tenue sans délai des élections pour sortir le Mali de la transition avec son corollaire de crise socio-sécuritaire et économico-financière sans précédent. En effet, c’est sous le leadership de l’ADEMA-PASJ et à son siège qu’a eu lieu une rencontre politique permettant aux partis politiques d’harmoniser leurs points de vue et de peaufiner des stratégies leur permettant d’exiger un mécanisme de retour à l’ordre constitutionnel. Ils étaient plus de 80 partis et associations ce dimanche 31 mars 2024 au siège de l’ADEMA et ont rendu public un communiqué qui demande en substance aux autorités de créer les conditions d’une concertation rapide et inclusive pour la mise en place d’une architecture institutionnelle, à l’effet d’organiser dans les meilleurs délais l’élection Présidentielle. Les partis politiques et associations présents à cette rencontre s’engagent à utiliser toutes les voies légales et légitimes, pour le retour du Mali à l’ordre constitutionnel normal. Sans être va-t’en guerre les partis et associations sont favorables à la mise ne place d’une transition civile inclusive composée de toutes les forces vives du pays avec comme seule mission sortir le Mali de la période exceptionnelle dans laquelle il est plongé depuis 4 ans. La question qui est sur toutes les lèvres est celle de savoir si cette classe politique fortement décrédibilisée pourrait faire fléchir la position du Colonel Assimi Goita qui, fort du soutien d’une frange importante du peuple, selon le sondage de Mali-mètre, a le vent en poupe et n’entend pas céder d’un iota son pouvoir conquis au bout du canon.

Qui des autorités ou de la classe politique aura le dessus ? Et si on divisait la poire en deux en trouvant le juste milieu pour sauver ce qui pourrait l’être encore ?

Les autorités de la transition doivent comprendre aujourd’hui que le temps joue en leur défaveur, car plus ça dure plus ça devient dure et le soutien dont elles se prévalent est loin d’être éternel. Donc leur salut ne pourra venir que d’un dialogue avec la classe politique et la société civile afin d’aboutir à un consensus. Sinon toute autre stratégie ne sera que superfétatoire et incongrue et sera contreproductive. C’est pourquoi il serait mieux de prêter une oreille attentive au cri de cœur ou de détresse de la classe politique pour éviter que le pays ne sombre à nouveau dans un chaos qui sera fatal pour les citoyens. Ces derniers ne demandent qu’un mieux-être. Que les autorités de la transition sachent que le temps est leur premier ennemi et plus le temps passe et que la situation socio-sécuritaire se corse, leur popularité s’effiloche et elles deviennent vulnérables. En effet, malgré l’affaiblissement des partis politiques, en dépit de leur impopularité auprès de l’opinion à qui on a fait croire qu’ils sont à la base de tous les malheurs que connait le pays, les autorités doivent faire preuve d’analyse et de discernement pour en déduire que leur adversaire la plus redoutable est la crise sociale. Alors que cette dernière ne fait que s’exacerber rendant la population extrêmement vulnérable. Les politiques surferont sur cette thématique pour mobiliser le peuple qui sortira, à coup sûr de sa posture de spectateur pour être acteur majeur. Le plutôt serait le mieux pour éviter que le réveil ne soit brutal et que le pays ne se retrouve dans une situation peu enviable.

Le peuple continuera-t-il à être le spectateur-complice de la décadence ?

Le silence du peuple n’est ni un soutien à la transition, encore moins une posture de lâcheté, mais il doit être analysé sous l’angle de la prudence, voire de la vigilance, surtout après ce qu’il a subi comme déboire avec les régimes précédents, il veut jouer à la précaution pour ne pas commettre les mêmes bourdes que les acteurs politico-militaires. Les autorités doivent comprendre que cette situation chaotique dans laquelle se trouve le Mali ne peut plus perdurer. Le jour où le peuple se sentira flouer et qu’il se rende compte que derrière les beaux discours il y a que de la désolation, il se décidera de sortir pour prendre son destin à deux mains. Il répondra à l’appel des opposants quels qu’ils soient pourvu qu’il retrouve sa sérénité d’antan, la paix et le bien-être. Ceux qui pensent que les opposants ne sont pas assez crédibles pour mobiliser les citoyens se trompent lamentablement et des exemples existent à travers le monde.

En somme, il n’est jamais trop t**d pour agir dans le bon sens. Il revient au Président de la transition de sortir de son silence assourdissant pour établir déjà le pont du dialogue avec les forces vives de la nation afin de trouver un compromis sans compromission. C’est à ce seul prix qu’il pourra sauver ce qui peut l’être encore de la transition.

Youssouf Sissoko

Fin de la transition : Des partis rappellent Assimi à l’ordrePublié le mardi 2 avril 2024  |  Le FocusDe nombreux partis...
02/04/2024

Fin de la transition : Des partis rappellent Assimi à l’ordre

Publié le mardi 2 avril 2024 | Le Focus

De nombreux partis politiques ont communiqué à la veille du 26 mars sur la nécessité d’organiser des élections pour mettre fin à la Transition.

Selon le décret n°2022- 0335/PTRM du 6 juin 2022, la Transition civilo-militaire a pris fin à partir du mardi 26 mars 2024. Il n’y a pas eu un autre décret pour proroger la Transition.

Mais les défenseurs du maintien du pouvoir transitoire affirment que la Transition prend fin à partir de l’élection d’un président de la République. Les partis ne veulent pas entendre parler de cet argument qui est le substrat de la Transition à présent. C’était le 18 août 2020. Ce coup d'Etat militaire, selon le RPM, a ouvert la voie à une Transition politique dont la durée a été initialement fixée à dix-huit mois. Le
non-respect de cette échéance avait valu des sanctions économiques et financières de la Cédéao et de l’Uémoa.

Une deuxième phase avait été fixée à 24 mois pour compter du 25 mars 2022 par décret n°0335/PT-RM du 6 juin 2022. Le 25 septembre 2023, le gouvernement annonçait sa décision d’organiser exclusivement la présidentielle pour sortir de la Transition, avec un léger report pour des raisons techniques. "Six mois après cette annonce et à la veille de l’échéance juridiquement actée, on estime que les contraintes techniques précédemment évoquées par les autorités de la Transition ont toutes été levées", selon le RPM. Pour son président, Dr. Boukary Tréta, nonobstant la grande résilience dont le peuple malien a su faire preuve, le RPM estime que la Transition politique a l’obligation de s’achever, précisant que la situation socio-économique et financière du pays le commande.

Le RPM, fidèle aux principes de la République et aux valeurs démocratiques chèrement acquises la révolution de mars 91, appelle les autorités de la Transition au respect des engagements souverainement pris devant la communauté nationale et internationale.

Ainsi, le RPM en appelle à la responsabilité du président de la Transition pour mettre en place d’urgence un nouveau mécanisme transitionnel pour un retour à l’ordre constitutionnel dans un délai de six mois. D’autres partis politiques dont l’Adéma, le Parena ont abondé dans le même sens dans leurs communiqués.

Fatoumata Traoré

FIN DE LA TRANSITION AU MALI : DES PARTIS POLITIQUES ET ORGANISATIONS DE LA SOCIÉTÉ CIVILE INVITENT LES AUTORITÉS À « OR...
02/04/2024

FIN DE LA TRANSITION AU MALI : DES PARTIS POLITIQUES ET ORGANISATIONS DE LA SOCIÉTÉ CIVILE INVITENT LES AUTORITÉS À « ORGANISER, DANS LES MEILLEURS DÉLAIS L’ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE »

Dans une déclaration commune rendue publique, le 31 mars 2024, des partis, regroupements politiques et d’organisations de la société civile du Mali ont demandé aux autorités de la transition de « créer les conditions d’une concertation rapide et inclusive, pour la mise en place d’une architecture institutionnelle, à l’effet d’organiser, dans les meilleurs délais l’élection présidentielle ». « Nous utiliserons toutes les voies légales et légitimes, pour le retour de notre pays à l’ordre constitutionnel normal et dans le concert des Nations, gage de la stabilité politique et du développement durable », précisent les signataires (une trentaine d’organisations) de cette déclaration commune.

Ces différents partis politiques, regroupements politiques et d’organisations de la société civile ont produit leur déclaration pour attirer l’attention des autorités sur la fin de la transition au Mali. « Nous, Partis politiques, regroupements politiques et d’organisations de la Société civile du Mali ; Vu la Charte de la Transition révisée ; Vu le décret n°2022-0335/ PT-RM du 06 juin 2022 fixant le délai de la Transition à deux (2) ans ; Considérant les engagements pris par les Autorités de la Transition devant le Peuple malien et la Communauté internationale ; Constatons que la Transition, dont la durée avait été établie à 24 mois, à partir du 26 mars 2022, conformément à l’article 22 de la loi n°2022-001 du 25 février 2022 révisant la Charte de la Transition et le décret susvisé, a pris fin le mardi 26 mars 2024 ; Rappelons que c’était la prolongation d’un délai initial d’un an et 6 mois (18 mois) : En conséquence, réunis ce jour 31 mars 2024, demandons aux Autorités en place, au regard du vide juridique et institutionnel ainsi provoqué, de créer les conditions d’une concertation rapide et inclusive, pour la mise en place d’une architecture institutionnelle, à l’effet d’organiser, dans les meilleurs délais l’élection présidentielle », révèle la déclaration commune des partis politiques et organisations de la société civile. Les signataires précisent qu’ils utiliseront toutes les voies légales et légitimes, pour le retour de notre pays à l’ordre constitutionnel normal et dans le concert des Nations, gage de la stabilité politique et du développement durable. « Décidons de mettre en place, un Comité de suivi de la présente initiative. La présente déclaration reste ouverte à tous les Maliens de l’intérieur et de la diaspora », souligne la déclaration commune en date 31 mars 2024.

Parmi les signataires de cette déclaration commune, on peut citer entre autres : YELEMA, RPM-CADRE DES PARTIS ET REGROUPEMENTS POLITIQUES (EPM, ASMA-CFP, CNDR, ADRP, CVCRT), ADÉMA-PASJ, MPM, M5-RFP MALI KURA (LDC, FARE AN KA WULI, MODEC, REPARE, PASODE, AKMD, EMK, EMA, MOTEMA, etc.), CODEM, JIGIYA KURA, APPEL DU 20 FEVRIER, PDES, ACRT-FASO KA WALE, NOUVELLE VISION POLITIQUE POUR LE MALI (NVPM), NEMA, ALTERNATIVE, CDR, SIGUITA NIETA, PARTI UNION AN KA BOLO DI GNONGON MA, VISION NOUVELLE POUR LA DEMOCRATIE ET L’ALTERNANCE (VNDA), ARP/AFD, UDD, PJA-MALI, MARD, PDPM, PS-YELEN KURA, ETC.

Aguibou Sogodogo

Source : Le Républicain

La Transition à l’épreuve du dépassement du délai convenu : La classe politique dans sa majorité vent debout!Publié le l...
02/04/2024

La Transition à l’épreuve du dépassement du délai convenu : La classe politique dans sa majorité vent debout!

Publié le lundi 1 avril 2024 | le sursaut

Après des déclarations séparées pour interpeller les Autorités de la Transition sur la fin officielle de la durée de la Transition le 26 mars dernier, des Partis, Regroupements politiques et d’Organisations de la Société Civile du Mali ont amorcé une nouvelle dynamique. Ils se sont réunis, le dimanche 31 mars dernier, pour émettre une déclaration commune. C’était pour demander aux Autorités en place de créer les conditions d’une concertation rapide et inclusive pour l’organisation, dans les meilleurs délais de l’élection présidentielle. Cette fois-ci, la classe politique est déterminée en rang serré.

Ils sont plus d’une vingtaine de Partis et Regroupements Politiques, en plus des Organisations de la Société Civile du Mali à tirer la sonnette d’alarme à l’endroit des Autorités actuelles pour la tenue rapide de l’élection présidentielle vu la fin officielle de cette période transitoire. Ce, après la prolongation d’un délai initial d’un an et 6 mois (18 mois).

Dans une déclaration commune, lue par l’ancien ministre Amadou Koïta du parti PS Yelen Kura, ils affirment constater que la Transition, dont la durée avait été établie à 24 mois, à partir du 26 mars 2022, conformément à l’article 22 de la loi n°2022-001 du 25 février 2022 révisant la Charte de la Transition et le décret n°2022-0335 fixant le délai de la Transition à 2 ans, avait pris fin le mardi 26 mars 2024 à la suite d’un prolongement.

En conséquence, dit cette déclaration, après réunion le 31 mars, le Regroupement demande aux Autorités de la Transition, au regard du vide juridique et institutionnel ainsi provoqué, de créer les conditions d’une concertation rapide et inclusive, pour la mise en place d’une architecture institutionnelle, à l’effet d’organiser, dans les meilleurs délais l’élection présidentielle.

« Nous utiliserons toutes les voies légales et légitimes, pour le retour de notre pays à l’ordre constitutionnel normal et dans le concert des Nations, gage de la stabilité politique et du développement durable. Décidons de mettre en place, un Comité de suivi de la présente initiative » ont-ils annoncé.

Le moins qu’on puisse dire est que, les Partis, Regroupements politiques et d’Organisations de la Société Civile sont sortis de leur torpeur et ne baissent plus les bras face à cette situation. Ce, avec des publications des déclarations pour inviter les Autorités à honorer son engagement qu’est l’organisation de l’élection présidentielle. Pour ce qui est du gouvernement, sa réaction se fait toujours attendre !

Mariam Sissoko

Sur 22 440 suffrages exprimés, le candidat du parti FAD a obtenu 228 voix, soit 0,83% dans sa propre circonscription. Vo...
02/04/2024

Sur 22 440 suffrages exprimés, le candidat du parti FAD a obtenu 228 voix, soit 0,83% dans sa propre circonscription. Voyez-vous maintenant pourquoi ils réagissent au mot "ÉLECTION" de façon allergique ? En se déplaçant de plateau en plateau pour proclamer "A bas les élections", ils révèlent leur crainte de perdre leur position actuelle si des élections étaient tenues.

Feu Ibrahim Boubacar Keita a été contraint d'organiser les élections législatives malgré les défis sécuritaires et sanitaires. On a critiqué Tane Manassa pour avoir invoqué "insécurité résiduelle" comme prétexte pour ret**der les scrutins, mais aujourd'hui, les mêmes agissent de manière plus contestable qu’elle. Il est essentiel d'être cohérent dans sa lutte et envers soi-même.

Si vous êtes vraiment convaincus que le peuple est derrière vous, alors participez aux élections. Pourquoi avoir peur ? Après tout, vous avez déjà organisé des élections référendaires en grande pompe ici.

Allons aux élections !

Élections législatives 2020 : Le candidat du Parti FAD a obtenu 99 voix soit 1,29% à Lafiabougou, le quartier où il rési...
02/04/2024

Élections législatives 2020 : Le candidat du Parti FAD a obtenu 99 voix soit 1,29% à Lafiabougou, le quartier où il réside.

« Tenue des élections : Le secrétaire général de la Codem crache ses vérités à Choguel Kokalla MaigaLors de la dernière ...
02/04/2024

« Tenue des élections : Le secrétaire général de la Codem crache ses vérités à Choguel Kokalla Maiga

Lors de la dernière rencontre des partis politiques avec le Premier ministre Choguel Kokalla Maiga, le secrétaire général de la Convergence pour le Développement du Mali (CODEM), l’ancien député Alhassane Abba, a exprimé son mécontentement lorsque le chef du gouvernement a invoqué l’insécurité comme seule raison de la non-tenue des élections.

« J’ai salué et apprécié la plupart de vos propos, sauf lorsque vous avez affirmé que tant qu’il n’y aura pas de sécurité, il n’y aura pas d’élections. Cela implique une durée indéterminée », a répliqué l’ancien député élu à Goundam en réponse aux propos du chef de gouvernement.

Selon le secrétaire général, qui n’a pas ménagé ses critiques envers les autorités de la transition, il est nécessaire de revoir cette affirmation car il estime que lier la tenue des élections à la sécurité « nous ramène à une situation antérieure et contredit les engagements pris par les militaires qui avaient promis de partir après un laps de temps ».

« Tout ce qui a été entrepris jusqu’à présent, comme les ANR, la création de l’AES et la sortie de la CEDEAO, apparaît pour nous, à la Codem, comme des manœuvres stratégiques visant à rester au pouvoir le plus longtemps possible et à éviter la tenue des élections en prétextant que l’équipe dirigeante accomplit un bon travail », a-t-il ajouté.

Plus loin, l’ancien élu de Goundam propose de tenir les élections, une demande que son parti (CODEM) continuera toujours à réclamer, car les élections, qui servent de baromètre pour choisir un dirigeant, ne devraient pas être imposées par la force.

R***e de la presse à la UNE de certains journaux maliens ce Mardi 02 Avril 2024
02/04/2024

R***e de la presse à la UNE de certains journaux maliens ce Mardi 02 Avril 2024

Alassane ABBA, Secrétaire Général du Parti  :
02/04/2024

Alassane ABBA, Secrétaire Général du Parti :

02/04/2024

Leçon du jour ! À ÉCOUTER ET À MÉDITER POUR LES APPRENTIS GOUVERNANTS

لقاء بين السّيد عميد جامع الجزائر، محمّد المأمون القاسميّ الحسنيّ، والشّيخ محمود ديكو، رئيس السابق لمجلس الأعلى الإسلامي...
01/04/2024

لقاء بين السّيد عميد جامع الجزائر، محمّد المأمون القاسميّ الحسنيّ، والشّيخ محمود ديكو، رئيس السابق لمجلس الأعلى الإسلامي في مالى ، بعد صلاة #التراويح، ليوم 21 #رمضان 1445هـ، بـ .

🟥Au Mali, plus de 80 partis et organisations de la société civile appellent à l'organisation d'une élection présidentiel...
01/04/2024

🟥Au Mali, plus de 80 partis et organisations de la société civile appellent à l'organisation d'une élection présidentielle et à la fin de la transition "dans les meilleurs délais", dans ce pays dirigé par une militaire depuis 2020. En juin 2022, celle-ci avait affirmé que les militaires céderaient le pouvoir aux civils, après une période de transition prenant fin le 26 mars cette année.

01/04/2024

Allons Aux Élections et puis c'est tout !

Deux organisations de magistrats saisissent la Cour constitutionnelle sur la fin de la transition. Elle devait initialem...
01/04/2024

Deux organisations de magistrats saisissent la Cour constitutionnelle sur la fin de la transition. Elle devait initialement s'achever le 26 mars dernier, mais les autorités militaires, qui dirigent le pays depuis le coup d'Etat de mai 2021, sont toujours en place.

01/04/2024

Brève vidéo de l'exposé de l'imam Dicko

Cheikh , l'imam et Coordinateur Général de la Communauté Sunnite de la République du , présente la leçon ( Darsou) de ramadan pour le 22ème du , à la mosquée ..

01/04/2024

Fin de la leçon ( Darsou) sur la fraternité en islam animée par le Cheikh Imam Mahmoud Dicko dans la grande mosquée d'Alger

22e nuit de Ramadan Mubarack
31 Mars 2024

Mali : Fin de la Transition ? Déclaration des partis politiques et de la société civileLe 31 mars 2024, une coalition de...
01/04/2024

Mali : Fin de la Transition ? Déclaration des partis politiques et de la société civile

Le 31 mars 2024, une coalition de partis politiques, de regroupements politiques et d’organisations de la société civile du Mali a publié une déclaration commune sur la fin de la Transition.

La déclaration constate que la Transition, initialement prévue pour 18 mois et prolongée de 24 mois supplémentaires, a pris fin le 26 mars 2024. Cette situation crée un vide juridique et institutionnel que les signataires de la déclaration appellent à combler rapidement.

Pour sortir de cette impasse, la déclaration appelle à une concertation rapide et inclusive entre toutes les parties prenantes. Cette concertation devrait permettre de mettre en place une architecture institutionnelle et d’organiser, dans les meilleurs délais, l’élection présidentielle.

Les signataires de la déclaration affirment leur engagement à utiliser toutes les voies légales et légitimes pour le retour du Mali à l’ordre constitutionnel normal. Ils soulignent que la stabilité politique et le développement durable du pays ne peuvent se réaliser qu’à travers un retour à un régime démocratique.

Enfin, la déclaration annonce la mise en place d’un Comité de suivi de la présente initiative. Ce comité aura pour mission de veiller à la mise en œuvre des recommandations issues de la concertation nationale.

La déclaration est ouverte à tous les Maliens de l’intérieur et de la diaspora qui souhaitent contribuer au retour du pays à la paix et à la stabilité.

La déclaration a été signée par de nombreux partis politiques, regroupements politiques et organisations de la société civile, dont YELEMA, RPM-CADRE, ASMA-CFP, CNID, ADRP, CVCRT, ADEMA-PASI, MPM, M5-RFP MALI KURA, CODEM, JIGIYA KURA, etc.

La publication de cette déclaration intervient à un moment crucial pour le Mali. La fin de la Transition sans la mise en place d’institutions démocratiques durables pourrait plonger le pays dans une nouvelle crise. La concertation nationale appelée de ses vœux par les signataires de la déclaration est une occasion unique pour le Mali de sortir de l’impasse et de retrouver le chemin de la paix et de la prospérité.

La Rédaction

31/03/2024

Allons Aux Élections !!!

Cheikh  , l'imam et Coordinateur Général de la Communauté Sunnite  de la République du  , présente la leçon ( Darsou) de...
31/03/2024

Cheikh , l'imam et Coordinateur Général de la Communauté Sunnite de la République du , présente la leçon ( Darsou) de ramadan pour le 22ème du , à la mosquée ..

Politique: plusieurs partis politiques réclament le retour à l’ordre constitutionnelLors d'une déclaration faite ce dima...
31/03/2024

Politique: plusieurs partis politiques réclament le retour à l’ordre constitutionnel

Lors d'une déclaration faite ce dimanche 31 mars 2024 au siège de l'Adema PASJ, plusieurs partis, regroupements politiques et organisations de la société civile réclament la mise en place d'une architecture institutionnelle à l'effet d'organiser, dans les meilleurs délais, l'élection présidentielle.

Déclaration commune de Partis, regroupements politiques et d'organisations de la société civile sur la fin de la transition

Nous, Partis politiques, regroupements politiques et d'organisations de la Société civile duMali:

Vu la Charte de la Transition révisée,

Vu le décret n°2022-0335/ PT-RM du 06 juin 2022 fixant le délai de la Transitionà deux (2) ans,

Considérant les engagements pris par les Autorités de la Transition devant lePeuple malien et la Communauté internationale,

1- Constatons que la Transition, dont la durée avait été établie à 24 mois. à partir du 26 mars2022, conformément à l'article 22 de la loi n°2022-001 du 25 février 2022 révisant la Chartede la Transition et le décret susvisé, a pris fin le mardi 26 mars 2024:

2- Rappelons que c'était la prolongation d'un délai initial d'un an et 6 mois (18 mois):

3- En conséquence, réunis ce jour 31 mars 2024, demandons aux Autorités en place, au regard du vide juridique et institutionnel ainsi provoqué, de créer les conditions d'une concertation rapide inclusive. pour mise en place d'une architecture institutionnelle, à l'effet d'organiser, dans les meilleurs délais l'élection présidentielle:

4- Utiliserons toutes les voies légales et légitimes, pour le retour de notre pays à l'ordreconstitutionnel normal et dans le concert des Nations, gagela stabilité politique et dudéveloppement durable;

5- Décidons de mettre en place, un Comité de suivi de la présente initiative.

La présente déclaration reste ouverte à tous les Maliens de l'intérieur et de la diaspora.

Fait à Bamako, le 31 mars 2024

Ont signé (CF liste jointe des Partis, Regroupements politiques et Organisations de laSociété civile):

YELEMA, RPM-CADRE DES PARTIS ET REGROUPEMENTS POLITIQUES (EPM.ASMA-CFP, CNDR, ADRP, CVCRT), ADÉMA-PASJ, MPM, M5-RFP MALI KURA

(LDC, FARE AN KA WULI, MODEC, REPARE, PASODE, AKMD, EMK, EMA, MOTEMA, etc.), CODEM, JIGIYA KURA, APPEL. DU 20 FEVRIER, PDES, ACRT-FASO KA WALE, NOUVELLE VISION POLITIQUE POUR LE MALI (NVPM). NEMA, ALTERNATIVE, CDR, SIGUITA NIETA, PARTI UNION AN KA BOLO DI GNONGON MA, VISION NOUVELLE POUR LA DEMOCRATIE ET L'ALTERNANCE (VNDA), ARP/AFD, UDD, PJA-MALI, MARD, PDPM, PS-YELEN KURA, ETC.

31/03/2024

DÉCLARATION DES PARTIS ET REGROUPEMENT DES PARTIS POUR CONSTATE LA FIN DE LA TRANSITION

31/03/2024

Allons aux élections les maliens s'expriment

🔴🇲🇱 DÉCLARATION DES PARTIS ET REGROUPEMENT DES PARTIS POUR CONSTATE LA FIN DE LA TRANSITION
31/03/2024

🔴🇲🇱 DÉCLARATION DES PARTIS ET REGROUPEMENT DES PARTIS POUR CONSTATE LA FIN DE LA TRANSITION

Selon mes informations, la quasi-totalité des grands partis politiques au Mali, rendra publique une déclaration commune ...
31/03/2024

Selon mes informations, la quasi-totalité des grands partis politiques au Mali, rendra publique une déclaration commune ce dimanche dans la soirée. Ils vont, ai-je appris, demander "la mise en place d’une nouvelle transition qui devrait s’atteler à organiser les élections".

À suivre...

Restons debout, mobiliser et déterminer !
31/03/2024

Restons debout, mobiliser et déterminer !

31/03/2024

: J'ai été deux fois candidats aux élections présidentielles et j étais dans les 5 premiers , en 2013 et en 2018, député pendant 10 ans et ministre pendant 4 ans....

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