18/12/2024
Info de service : Le Postillon d'hiver est sorti ! Et il est dispo à Voiron, quand on sait où chercher.
Au sommaire - outre la brève sur Rue Haute, bien sûr :
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Pour la première fois en quinze ans d'existence, Le Postillon s'est aventuré dans le Nord-Isère, terra incognita.
Ces excursions devraient rester une exception. Vu notre mode de diffusion artisanale (d'ailleurs on recherche de nouveau des livreurs à vélo bénévoles réguliers si jamais !), on ne peut pas être diffusés là-haut. Si on a pris le temps d'y traîner nos guêtres, c'est pour documenter le fossé grandissant entre notre territoire métropolitain et les territoires ruraux ou péri-urbains comme le Nord-Isère. En résulte quatre articles : deux petits (un sur l'extension du domaine des entrepôts, un autre sur les personnages d'extrême-droite de ce territoire) et deux grands (un long reportage à la recherche du Nord-Isère avec quantité de rencontres) et un autre d'analyse sur les tribunes anti-fascistes et sur l'éléphant (du déferlement technologique) dans la pièce (de l'anti-fascisme).
Ça remplit quand même neuf pages, les dix-neuf autres étant occupées par les traditionnelles brèves, mots fléchés, épisode du guidon connecté (sur l'Inria) mais aussi :
- Deux pages sur le greenwashing en béton armé de Vicat qui transforme notamment la vallée de la Maurienne en vaste carrière à l'occasion du Lyon-Turin.
- Trois pages sur "la Vi(ll)e sauvage" et tous les petits et grands êtres vivants qui peuplent Grenoble, plus ou moins contre notre gré.
- Deux pages d'interview d'Enzo Lesourt, l'ancien conseiller spécial de Piolle en conflit judiciaire avec le maire de Grenoble et la députée insoumise Élisa Martin.
- Un reportage de 24 heures autour de Grand'Place et d'Alpexpo.
- Deux articles édifiants sur la dématérialisation à la Préfecture et aux Impôts.
- Une page "Père Chlorate, raconte-nous des histoires", en l’occurrence des anecdotes sidérantes autour des plateformes chimiques de Pont-de-Claix et Jarrie.
Le sommaire complet est disponible ici :
Mais qu’est-ce qui unit le Lyon-Turin, les JO de 2030, les grands projets d’aménagement urbain ? Le béton, bien entendu, qui dans le coin est surtout coulé par un de nos « fleurons » grenoblois : Vicat. Alors que le cimentier proclame partout ses bonnes intentions écologiques, plongeon...