Awdiar News

21/01/2025

La en mode

06/01/2025

Le Président Emmanuel Macron a affirmé aujourd’hui que le départ annoncé des bases françaises aurait été négocié entre les pays africains qui l’ont décrété et la France.

Il poursuit en estimant que c’est par simple commodité et par politesse que la France a consenti la primeur de l’annonce à ces pays africains.

Je tiens à dire que, dans le cas du Sénégal, cette affirmation est totalement erronée.
Aucune discussion ou négociation n’a eu lieu à ce jour et la décision prise par le Sénégal découle de sa seule volonté , en tant que pays libre, indépendant et souverain.

Il déclare, enfin, « qu’aucun pays africain ne serait aujourd’hui souverain, si la France ne s’était déployée ». Constatons que la France n’a ni la capacité ni la légitimité pour assurer à l’Afrique sa sécurité et sa souveraineté.

Bien au contraire, elle a souvent contribué à déstabiliser certains pays africains comme la Libye avec des conséquences désastreuses notées sur la stabilité et la sécurité du Sahel.

C’est enfin le lieu de rappeler au Président Macron que si les soldats africains, quelquefois mobilisés de force, maltraités et finalement trahis, ne s’étaient pas déployés lors la deuxième guerre mondiale pour défendre la France, celle-ci serait, peut être aujourd’hui encore, allemande.
: Ousmane SONKO 1er Ministre sénégalais.

06/01/2025

Panel panafri du 6 Juin sur le discours de

31/12/2024

🛑 Logo de l'AES dévoilé ce soir à Bamako
Au cœur de ce logo se trouve un cercle orange, illustrant un soleil rayonnant accompagner d'un majestueux baobab.
Ce dernier, est un symbole de vie et de diversité enraciné dans notre culture.
Sous le baobab, les silhouettes de personnages représentent la diversité démographique de notre région, un atout majeur de notre alliance.
Les trois étoiles dorées qui brillent, représentent nos trois pays membres fondateurs.
RTB

26/12/2024

23/12/2024

゚viralシ

21/12/2024

ancien haut cadre responsable francais appelle les Touaregs du Mali et du Niger à prendre leur
゚viralシ ゚

19/12/2024

18/12/2024

LA QUESTION AES- CEDEAO

De 1975, date de sa création, à nos jours, la CEDEAO a permis la libre circulation des biens et des personnes, mais ses acquis s'arrêtent là, hélas ! Pas de monnaie commune. Pas de respect des critères de convergence entre les économies de ses membres. Pas d'hyfrastructures d'intérêt sous-régional. Pas de banque pour financer les entreprises. Pas de troupes pour combattre les terroristes...

P*s, lorsqu'elle a décidé de se mêler de politique et qu'elle s'est dotée, à cette fin, d'un protocole additionnel sur la démocratie et la bonne gouvernance, la CEDEAO n'a jamais pu imposer les règles démocratiques et de bonne gouvernance aux dirigeants en exercice, comme le prouvent les élections truquées et les épidémies de troisièmes mandats présidentiels. Elle a plutôt poussé le ridicule jusqu'à se mettre au service de l'Occident et à placer sous embargo des peuples qui ont décidé de prendre leur destin en mains.

L'Organisation a, en fin de compte, perdu toute crédibilité en piétinant les peuples au profit des gouvernants.

Certes, il aurait été possible aux trois pays récemment malmenés par la CEDEAO (Mali, Burkina et Niger) de réintégrer la CEDEAO, à la condition que celle-ci abandonne toute idée de sanction contre ses membres. Mais je comprends parfaitement que ces pays aient préféré la quitter pour aller fonder une Confédération: l'AES. Il ne sert à rien d'épiloguer sur ce départ déjà déclaré irrévocable tant par les ministres que par les chefs d'Etat de l'AES.

À présent, il convient d'entamer des pourparlers en vue de préserver le seul vrai héritage de la CEDEAO: la libre circulation des personnes et des biens. J'ai bon espoir qu'un accord sera trouvé, sur ce point crucial, entre la CEDEAO et l'AES. Les deux organisations se tiennent, en effet, par un équilibre des armes : aucune d'elles ne gagnerait à ériger des barrières devant l'autre, les pays qui les composent étant voisins et interdépendants. Au-delà, il est envisageable de signer, par la suite, des accords de coopération multiformes entre l'AES et la CEDEAO, toutes deux y ayant un intérêt évident.

Toutefois, l'avenir de l'AES, bien qu'il puisse prospérer hors de la CEDEAO, soulève des interrogations majeures que j'évoquerai dans une prochaine publication, inchallah.
Maître Cheick Oumar Konaré

15/12/2024

14/12/2024

13/12/2024

11/12/2024

Pour ceux qui n'ont pas encore eu l'occasion de lire le livre des français et Pascal Airault intitulé "Le piège africain de Macron", je vous recommande de vous penchez sur le Chapitre 11, pages 195.

09/12/2024

25/11/2024

Panel sur le HAV vs et le problème de sa

24/11/2024

Affaire vs Maison de la

21/11/2024

INFO : Général de division Abdoulaye MAIGA, le désormais Premier Ministre de la République du Mali