« ON N'EST JAMAIS TROP FAÇADE »
Créé en 1976, par Alain Benoist et Hervé Pinard, et sous influence warholienne,
Façade bouscule son époque, en affirmant, bien avant l’ouverture du Palace et des Bains-Douches,
que fête et création sont deux mots qui vont très bien ensemble. Symbole et spécificité de Façade :
le spectacle des doubles couvertures, mettant en scène des rencontres improbables de
venues légendaires :
Andy Warhol et Edwige, Mick Jagger et Sayoko, James Brown et Catherine Deneuve,
Keith Richards et Charlotte Rampling…
Inside Façade : des personnalités et personnages, pas nécessairement ceux qui font l’actualité,
qui se livrent à des performances exclusives. Ce qui fait de chaque page de Façade une création intemporelle, de chaque numéro, un collector.
13 numéros (de 1 à 14) paraissent, sans date ni périodicité, jusqu’en 1983.
30 ans après, Façade sort le °15.
État d’esprit intact : « f**k la crise et la morosité » Assumer la légèreté, pour plus de pertinence
et d’impertinence ; enchanter le lecteur-visiteur en prenant le temps de se détourner
du multi diffusé déjà jeté, pour ne proposer que l’inédit et l’inattendu.
« YOU CAN NEVER BE TOO FAÇADE »
Founded in 1976 by Alain Benoist and Hervé Pinard, with a warholian approach,
Façade shakes its time, saying, well before the opening
of Le Palace and Les Bains-Douches, that party and creation are two words that go together well. Façade symbol and specificity:
the spectaculary double covers, staging the improbable encounters wich became legendary:
Andy Warhol with Edwige, Mick Jagger with Sayoko,
James Brown with Catherine Deneuve, Keith Richards with Charlotte Rampling…
Inside Façade : personalities and characters, not necessarily the ones that make the news,
who engage in exclusive performance. That makes of each Facade page a timeless creation,
of each issue, a collector.
13 issues (1 to 14) were published, without any date or periodicity until 1983.
30 years later, Façade # 15 comes out. Our state of mind is unspoiled :
«f**k the crisis and the gloom» Assume lightness for more relevance and impertinence;
enchant the visitor-reader by taking time to turn away from the over published and already forgotten;
offering the unusual and the unexpected only.