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MiniExplorers Thérapie d'accompagnement et de soutien, pour adulte, ado, enfant (individuel / couple / groupe)
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19/02/2024

Play with friends and family
Create your own multiplayer party game to play against friends and family. Find out who is the fastest, fight using your best skills and survive the chaos!

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19/02/2024

Run, stumble and fall against up to 32 players in knockout, survival knockout and team play across different maps, levels and game modes. Survive the fun multiplayer melee and cross the finish line before your friends to qualify for the next round. Keep playing and winning in Stumble Guys to earn fun rewards and stars!

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19/02/2024

Join millions of players stumble to victory in this fun multiplayer elimination battle royale! Are you ready to join the chaotic run? Running, stumbling, falling, jumping and winning have never been so fun!

13/01/2024

Il N’Y A PAS DE CONFLIT DE BESOIN, SEULEMENT DE STRATÉGIE.
"Marshall Rosenberg, dans un texte intitulé « A partir de maintenant » écrivait : « A partir de maintenant, je choisis de croire que la non satisfaction de nos besoins résulte d’un manque de dialogue et de créativité plus que d’un manque de ressources ».
Je suis très inspirée par cette phrase où il précise que c’est un choix de vision du monde qu’il fait. Et ce choix fait toute la différence.
1 – Si je crois que je n’ai qu’un unique moyen pour satisfaire mon besoin, je vais être prête à tout pour l’obtenir : pression sur l’autre, domination, soumission.
Ainsi, je vais vivre dans un monde de lutte, de compétition, de confrontation. Un monde où c’est Toi OU Moi.
2 – Si je crois que les ressources sont abondantes et que c’est par manque de dialogue et de créativité qu’elles ne m’apparaissent pas, je suis beaucoup plus détendue lorsqu’une stratégie me semble indisponible.
L’indisponibilité d’une ressource ne signifie plus que mes besoins sont condamnés à dépérir, cela m’invite juste à découvrir comment les combler autrement.
Ainsi, lorsque l’autre dit NON à ma stratégie préférée, lorsque j’ai conscience que les ressources pour satisfaire nos besoins existent, l’autre n’est plus une menace pour la prise en compte de mes besoins, mais devient un partenaire, un soutien pour trouver des stratégies qui nous conviennent à chacun.
En effet, puisque nous sommes deux à avoir des besoins précieux cela va être beaucoup plus productif de coopérer pour trouver des solutions qui nous conviennent à chacun que si l’on cherche chacun dans son coin en n’ayant que la moitié des informations.
Dans ce monde d’abondance, nous allons vivre spontanément davantage de coopération, d’entraide, d’interdépendance créative . C’est beaucoup plus nourrissant et paisible de mobiliser des stratégies qui nous servent chacun , que de subir les conséquences d’une stratégies qui sert l’un au détriment de l’autre.
Faire le choix de croire dans le dialogue et la possibilité de co-créer, ne veut pas dire que ça ne fait jamais mal lorsque ma stratégie préférée n’est pas accessible.
J’ai des préférences comme tous les humains. Mais désormais je peux faire le deuil d’une stratégie, accueillir pleinement ma tristesse sans que cela n’entraine le deuil de mon besoin et la douleur de renoncer à un bout de moi.
Et lorsqu’une stratégie s’avère indisponible, ou trop lourde en conséquences, dans la confiance qu’il y a d’autres manières de prendre soin de mes élans de vie, il m’est beaucoup plus facile désormais de m’ouvrir à d’autres possibilités et de nouvelles opportunités."
Apprentie Girafe

09/01/2024

"Je vous souhaite de vous connecter à votre vulnérabilité, d’ouvrir vos blessures en deux et d’en déverser le contenu sur le seuil de votre conscience, car personne n’aime embrasser un masque.
Je vous souhaite de devenir ce que vous ne faites que caresser du bout des doigts, d’enlever ce gant de peur et de poser les mains sur le fil dénudé de la conscience, en vous rappelant qu’une part de vous ne meurt jamais.
Je vous souhaite d’entendre ce vent du changement qui nous murmure à chaque accident, rupture, ou tragédie :
« Viens, je t’offre l’occasion de te transmuter »"
Stephan Schillinger

13/12/2023

"C’est déjà une première prise de conscience, sur ce chemin d’éveil, de fissurage de cette armure rouillée, étroite, sclérosée, dans ce processus de déconstruction de tous les mécanismes : ce nouveau chantier ne s’entame pas à coups de masse, de pelles mécaniques, ou à mesure d’efforts ; ou bien pour les plus courageux, par quelques bâtons de dynamite, intelligemment placés, parfois proches, très proches, des fondations. Mais, par la volonté d’abandon de toute poursuite, de toute défense, de toute protection et de toute identité factice.
À notre décharge, nous n’y pouvons rien, ou presque. Nous avons été catapultés là, dans ce monde matériel, en totale innocence, et, bien que nous soyons tous volontaires dans ce laboratoire qu’est l’existence humaine dans un monde matériel, la création d’une identité délimitée et séparée du grand tout dont nous venons, nous tombe dessus dès le plus jeune âge.
Mais alors, que découvrons-nous en dessous de ces gravats ? Sous ces coups de pioche ? Sous les fondations de ces remparts ? À quel endroit prennent racine les muscles qui relient la tortue à sa carapace ? Réponse : à l’endroit le plus fragile, le plus meurtri, le plus atteint. Les civilisations ont construit leurs ouvrages de défense aux endroits de défaites mémorables – « je ne me ferai plus avoir à cet endroit ! »
Nous construisons nos défenses les plus infranchissables à l’endroit où l’épée a transpercé nos croyances sur la valeur que nous nous accordions. La carapace de la tortue n’est pas orientée vers le sol, mais vers la direction d’où des milliards d’entre-elles se sont vu enlever la vie. C’est donc bien à ces endroits, d’inconsolable tristesse et de mémorable débâcle, qu’il conviendra d’avoir le courage de se déshabiller, et de se regarder."
Stephan Schillinger

30/11/2023

"L’autre, ce coupable idéal, pour nous libérer de ce dont nous ne pouvions accoucher seul"
Faire de l’autre le coupable de cette douleur qui nous traverse est le piège qui se referme sur nous, quand, refusant de vivre pleinement cette émotion présente depuis toujours, notre inconscient nous fait choisir les relations (amicales, amoureuses, thérapeutiques, etc.) qui la réveillent.
Cet autre vers qui, quand il n’est pas un de nos parents, l’emotion refoulée nous a dirigé, en l’idéalisant afin de revivre plus intensément ce qui appelait à être extériorisé, libéré, accouché, depuis toujours.
Touchés précisément à l’endroit de la blessure que nous avons placé au centre de la relation — comme un trophée, si imposant qu’il devient impossible pour cet autre de ne pas marcher dessus — nous faisons de cet autre le coupable, dont nous transformons les mots et les actes en autant de poignards pour rouvrir nos blessures. L’enjeu inconscient étant de revivre des émotions qui, contrairement à ce que nous prétendions vouloir, appelaient à être contactées pour être libérées, transcendées, guéries.
Le mal est fait, la douleur inacceptable est enfin contactée, et nous tentons de justifier cette douleur, pourtant tapie dans tous nos comportements, par les mots ou les actes de cet autre, alors si irrespectueux de cet enfant intérieur que nous lui avons confié à pleines mains, et qu’il n’a pourtant jamais demandé.
Un pas de plus sur le chemin de la guérison, qui part de Soi, passe par le moi, et mène, au final, à Soi. La guérison s’il en est, passe par la ré-appropriation de notre responsabilité, dans la construction des dynamiques relationnelles, dont nous tenterons de nous sortir vainqueurs, à l’aide d’une narration accusatrice. Le pouvoir est alors, une nouvelle fois, placé à l’extérieur de nous. Et nous pouvons revivre cette émotion qui à tellement besoin de sortir, en remontant à la conscience.
Le principal écueil qui se présente sur notre chemin de guérison est le contournement des émotions, en élaborant des narrations. En plaquant sur nos émotions plus de signification intellectuelle, que de présence ou de sensation. Nous voilà à vouloir « comprendre ». A accuser et déplorer, plus que de découvrir et embrasser notre rôle central dans l’accouchement, libérateur, de notre propre blessure originelle.
Retiens ceci : Tout ce qui se révèle souffrant en présence de l’Amour, est ce qui appelle à être purifié par lui."
Stephan Schillinger

25/11/2023

"Tu ne me connais pas tu m'imagines.
Tu ne vois en moi que ce que tu es.
Si tu vois de l'amour en moi c'est parce qu'en toi il y a de l'amour...
Si tu vois de l'agressivité en moi, c'est parce qu'il y a de l'agressivité en toi...
Si tu admires une de mes qualités, c'est parce que tu l'as aussi...
S'il y a quelque chose chez moi que tu détestes, c'est parce que tu le détestes chez toi.
Ce n'est pas étrange...
Je suis un reflet qui conçoit ta réalité.
Tu m'imagines juste, je suis ton invention, et tu ne verras en moi que ce que tu as en toi.
Si tu aimes ce que tu vois en moi, ne change pas ça !
Mais si tu n'aimes pas ça... change le en toi !
En ce qui me concerne, je t'aime.
Tu es le miroir que j'ai choisi d'observer pour grandir."
Alexandro Jodorovski

https://www.youtube.com/watch?v=7l579Lbdf5g
14/11/2023

https://www.youtube.com/watch?v=7l579Lbdf5g

Dans cette vidéo, Franck Lopvet répond à la question de Sofia qui se demande pourquoi elle ne prend pas la décision de changer sa vie de couple insatisfaisan...

12/11/2023

"Sur le chemin d’une guérison consciente, oeuvrent des forces et des influences qui ne sont ni celles du corps, ni bien sûr celles du mental.
Au-delà du comprendre et du ressentir, au-delà des narrations, il existe une posture qui consiste à complètement lâcher toute forme d’attente de peur et de désir faisant obstacle au mouvement naturel du vivant, à la dimension organique de la résilience.
La guérison n’est pas un animal qui s’attrape, ou se laisse posséder. Elle est cet animal sauvage qui, si tu fais consciemment un travail de présence au monde et à toi, s’approche lentement au fil des saisons, pour s’asseoir et contempler cette tâche qui te rend vivant, t’absorber tout entier.
C’est alors que tu peux non seulement comprendre mais surtout vivre quelque chose de nouveau : Il ne se dresse, ni ne s’appâte, ni ne se mange.
C’est à ce moment où tu peux le voir et le sentir à tes côtés sans le posséder, qu’il se met à te parler du monde qu’il voit, et qu’une communication organique, non-verbale, s’établit."
Stephan Schillinger

10/11/2023

"Quand tu dis NON,
quand tu fixes des limites,
tu peux te sentir... Coupable.
Merveilleux. Se sentir coupable !
Et dire non quand même.
Fixe des limites quand même.
Dis ta vérité la plus profonde quand même.
Se sentir coupable n'est pas si mal,
quand tu trempes cette expérience
avec une curieuse conscience.
Tiens « celui qui se sent coupable » dans tes bras
Laisse-lui de la place.
Respire dans l'inconfort.
Laisse-le se sentir "mal" pendant un moment.
Et dis ta vérité quand même.
Dis non quand même.
Fixe des limites quand même.
Tu dis OUI parfois pour éviter la douleur de la culpabilité, n'est-ce pas ?
Tu ignores tes propres limites pour éviter la douleur ?
Mais la douleur est supportable.
Tu peux y survivre.
La culpabilité va monter comme une vague, parfois.
Et se calmer. Et se relever, peut-être.
Et finalement passer.
Mais tu restes fidèle à toi-même peu importe.
Sur ton chemin. Dans ton intégrité.
La culpabilité en tant que gentil compagnon.
La culpabilité d'un enfant fragile ayant besoin de ton amour.
La culpabilité comme un allié sur la route.
Tu n'es plus contrôlé par la culpabilité,
quand tu es prêt
pour la sentir."
Jeff Foster

06/11/2023

"Aujourd’hui, j’ai dansé avec mon ombre. Cette adversité qui nous apparaît parfois comme une guerre à mener, le sera jusqu’à ce que nous y voyions une danse. Il faut du courage pour danser avec ce qui incarne pour nous une polarité négative, et sans qui souvent nous ne sommes rien. Le courage de danser les guerres est plus intense que celui qui permet de les mener : C’est le courage initiatique. Celui que la nature récompense.
Que ce soit marcher sur des braises, boire le Soma des Védas, le Yage des Shipibos, le Peyotl des Kiowas, il s’agit à chaque fois d’une initiation, c’est-à-dire d’une expérience directe. L’expérience directe, consiste à cesser de jouer à la dînette, avec décors, accessoires, grigris, livres et titres pompeux. C’est se heurter aux parois de sa personne en supprimant les gargarisantes spéculations, la prétention de quelconque titre ou don autoproclamé, ou tout autre masque.
Il n’y a besoin d’aucune étiquette si nous nous affranchissons de toute perspective de profit et tendons simplement la main. Seul celui qui fait n’a besoin d’aucun titre, puisqu’il fait. Tout au plus est-il à ce moment, poète ou mystique.
Baignons-nous dans la rivière, enlaçons les arbres, approchons-nous du feu, buvons l’eau de la source, trouvons les autres.
Celui qui a trouvé cette voie vers le courage ne combat plus, il danse."
Stephan Schillinger

04/11/2023
21/10/2023

"L’enfance confisquée laisse un vide sidéral entre les deux épaules, que rien ne remplace vraiment.
Certains le remplissent alors de tout, et ne laissent plus place à rien. Chez d’autres, il reste éternellement vide et résonne à tout. Il devient alors le théâtre d’un echo permanent, caisse de résonance aux autres et à la Vie, qui devient insupportablement douloureuse. L’arpentage de ce vide permet la délimitation d’une dimension dont la profondeur, magnétique, attire nos semblables.
La rupture avec un être aimé venu se blottir dans le vide de chaque atome en nous, laisse alors un vide encore plus grand qui vibre encore plus fort. Cesser alors de vouloir remplir ce vide et contacter les émotions au-delà des mots du moment, permet de contacter la vibration originelle qui permettait à ce même vide d’être ressenti.
S’ouvre alors une porte entre les deux épaules, offrant à notre vide intérieur d’être en contact avec le vide infini de l’univers. Jusqu’au moment où nous ne contenons plus le vide, mais le vide nous contient, nous enveloppe.
De cette vibration, tout peut émerger. Elle est la glaise primordiale du désir qui donne naissance aux curieux hasards, avant de devenir Rencontre. Elle transmute cette insupportable douleur à tout, en jouissance à tout."
Stephan Schillinger

02/10/2023

Franck Lopvet nous expose une nouvelle perspective sur le développement personnel et l'émotivité humaine. Il dénonce une vision trop courante qui considère l...

https://www.youtube.com/watch?v=Q2xWIQTVwOY
26/09/2023

https://www.youtube.com/watch?v=Q2xWIQTVwOY

Franck Lopvet partage son interprétation de l'adage "Comme on fait son lit, on se couche". Cette phrase, souvent comprise de manière littérale, cache en réal...

26/09/2023

"Si le traumatisme peut nous briser et changer notre vie, il est vraisemblable qu’un évènement positif d’intensité égale de l’ordre de l’épiphanie, de l’extase mystique, ou de la Rencontre, peut la sauver, initier, et impulser le chemin vers la guérison.
Nous menons nos vies autour de nos peurs, ce qui revient à éviter l’inconnu et ne laisse aucune place à la survenance de curieux hasards. La curiosité est cette attitude qui nous pousse à sortir de la zone de confort, à passer la tête par une trappe inexplorée, découverte derrière plusieurs couches de tapisseries, comme autant d’années de tentative de redécoration de notre intérieur.
L’humain a survécu grâce à l’équilibre entre ces deux forces contraires, la peur qui consiste à se prémunir du danger que recèle l’inconnu ou l’inexploré, et la curiosité qui consiste à explorer l’inconnu.
Que sommes-nous prêts à perdre pour favoriser la survenance d’évènements hors du commun ? Quel confort sommes-nous prêts à abandonner pour cela ?
La curiosité ici évoquée, dont la source est l’Amour, donne l’impulsion nécessaire à la transgression de la peur. Que l’on appelle courage.
Si le but de la nature est de se répandre, et si nous croyons en la nature collective de la conscience, nous ne prenons pas grand risque à parier que celle-ci rétribuera nos actes de courage.
Il n’est de conquête que d'inconnu. Il n’est d’extraordinaire que ce qui se tapit dans l’inconnu."
Stephan Schillinger

19/09/2023

"Ne cherchez pas la paix.
Ne cherchez pas d’autre état que celui dans lequel vous êtes maintenant
sinon vous allez mettre en place un conflit intérieur
et une résistance inconsciente.
Pardonnez vous de ne pas être en paix.
Au moment où vous accepterez complètement votre non-paix,
votre non-paix se transmute en paix.
Tout ce que vous accepterez pleinement vous parviendra,
vous emmènera en paix.
C’est le miracle de la capitulation."
Eckhart Tolle

19/09/2023

A compter d'octobre 2023 je pourrais vous recevoir à Rouzède (et toujours à Angoulême ou en visio) ☺️

12/09/2023

Pour C.G. Jung, l’ombre représente ce que nous avons refoulé dans l’inconscient par crainte d’être rejetés par les personnes importantes de notre vie : parents, éducateurs, et d’une façon générale, la communauté dans laquelle nous avons grandi. Ces parties reléguées de nous-mêmes peuvent paraitre redoutables ou honteuses. Elles se manifestent souvent sous forme de jugements, rejets, peurs ou projections, et sont à la base des préjugés sociaux et moraux. Pourtant elles sont riches en potentiel si nous apprenons à réunir et pacifier des aspects de soi qui semblent contradictoires. La connaissance du concept de l’ombre est un outil d’acceptation qui permet de consolider la confiance en soi, de pratiquer l’ouverture, la bienveillance et la créativité, bases de saines relations. C’est aussi un outil majeur pour comprendre la dynamique de beaucoup de conflits familiaux et en entreprise.
Tout est fondamentalement bon en nous !
« L’ombre est quelque chose d’inférieur, de primitif, d’inadapté et de malencontreux, mais non d’absolument mauvais. »
« Il n’y a pas de lumière sans ombre et pas de totalité psychique sans imperfection. La vie nécessite pour son épanouissement non pas de la perfection, mais de la plénitude. Sans imperfection, il n’y a ni progression ni ascension. »
« La clarté ne nait pas de ce qu’on imagine le clair, mais de ce qu’on prend conscience de l’obscur. »
C.G. Jung — L’Âme et la vie, LGF, Livre de Poche, 1995
C.G. Jung fait allusion à deux polarités qui nous constituent : l’ombre et la lumière.
Il nous dit aussi que « Sans émotion, il est impossible de transformer les ténèbres en lumière et l’apathie en mouvement. »
« Mettre l’homme en face de son ombre cela veut dire aussi lui montrer sa lumière. Il sait que l’ombre et la lumière font le monde… S’il voit en même temps son ombre et sa lumière, il se voit des deux côtés et ainsi il accède à son milieu. »
C.G Jung – Psychologie de l’Inconscient, Éd. Livre de Poche, 8e éd., p. 224.
Le rôle de l’Ombre
Dans la psychologie de Jung, l’Ombre joue un rôle capital. Elle représente tout ce que nous cachons aux autres et à nous-mêmes pour ressembler à un « modèle idéal ». C’est en fait notre partie obscure, le pôle complémentaire, mais négatif, de notre complexe du Moi. Au cours de notre vie, cette zone ignorée reçoit le dépôt de plus en plus épais de nos actes passés, du refoulement de nos désirs illicites, de tout ce que nous avons entrepris et raté, dépôt alimentant notre culpabilité et notre amertume. Plus nous ignorons volontairement cette lie, plus elle devient noire et épaisse. Ce dépôt ne représente pas forcément le Mal en nous, mais plutôt tout ce qui est primitif, aveugle, inadapté. Il alimente notre peur. En fait, l’Ombre incarne notre inconscient personnel. Mais, à cause de ses racines archétypiques, elle peut figurer aussi bien le Mal absolu, surtout sur le plan collectif. C’est alors que surgit le Diable entouré de ses créatures maléfiques.
« Les côtés malaimés de nous-mêmes que nous tentons en vain d’éliminer de nos vies se projettent sur les autres, et nous forcent à les reconnaitre. »
Jean Monbourquette.

07/09/2023

"Vous n'avez pas idée à quel point j'ai cherché un cadeau à vous apporter.
Rien ne semblait normal.
A quoi bon apporter de l'or à la mine d'or, ou de l'eau à l'océan.
Tout ce que j'ai trouvé était comme emmener des épices en Orient.
Il n'est pas bon de donner mon cœur et mon âme parce que vous avez déjà ça.
Je vous ai donc apporté un miroir. Regarde-toi et souviens-toi de moi."
Rumi

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Rouzède
16220

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