Bibliothèque de Renaud Camus

Bibliothèque de Renaud Camus « Le seul secret qui vaille est le secret qui reste, lorsque tous les secrets sont levés. »

« For  , nothing is more precious than  . It is its “core business,” as the adverts would say. And equality is essential...
23/11/2024

« For , nothing is more precious than . It is its “core business,” as the adverts would say. And equality is essential for general interchangeability. Just look at how difficult, almost impossible, it is to trade between cultures, or should we say civilisations, that do not place the same value on human life. In this respect, I have never been able to understand how the Palestinians could agree to exchange one hundred, two hundred or five hundred of them for a single Israeli, and sometimes a dead Israeli. Not only is it completely undemocratic, but above all it runs completely counter to equality between the …, between the … — here all sorts of impossible words, you can fill in the blanks for me. This type of exchange strikes me as horribly humiliating for the . It seems to me that they should insist, when they set an abducted Israeli free, that a single detained Palestinian be released in exchange.

« Dogmatic , by its very existence, is just as favourable to the replacist doctrine. I’ve long been pleased to note that on this point my analyses, if I may call them that, are perfectly in line with those of your chairman, Gilles-William Goldnadel. He and I are in perfect agreement, he, most recently, in his Réflexions sur la question blanche, and I in a short essay entitled “Adolf Hi**er’s second career” (“La deuxième carrière d’Adolf Hi**er”), a text included in a collection with a title borrowed from Alain Finkielkraut, Le Communisme du XXIe siècle — by which Finkielkraut and I mean dogmatic anti-racism, anti-racism overflowing from its normal river-bed, morality, to be converted into power, and very quickly into abusive, repressive, oppressive power — perfectly in agreement, as I was saying, Mr Goldnadel and I, I think, in seeing in the disaster of disasters, the genocide, the death camps, the fundamental basis of the impossibility of defending anything remotely associated with Hi**er and the Final Solution, and of course compromised by them, irremissibly so: I mean the State, I mean borders, I mean citizenship insofar as it necessarily implies something that is not it, a non-citizenship, a foreignness; and I mean a fortiori the homeland, cultural heritage, national traditions — let’s not even talk about race, sitting as it is at the phosphorescent summit of the unspeakable.

Renaud Camus, “The Replaceable Man”, Lecture before the France-Israel Society, in The Great Replacement, March 8th, 2012

The Great Replacement is nothing like what you’ve probably been told. It is certainly not a conspiracy theory, and even ...
20/11/2024

The Great Replacement is nothing like what you’ve probably been told. It is certainly not a conspiracy theory, and even less an incitement to violence. It is the simple observation of a phenomenon, probably the most important of our time along with the ecological disaster: the change of people and civilisation in most of the major Western countries, their massive colonisation.

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But this phenomenon, colossal though it is, is only a small part of an even wider evolution, what Renaud Camus has called Global Replacism, based on the observation that replacement is the central gesture of contemporary societies. Global Replacism is both an ideology and a practice, and it is the theory that Renaud Camus developed in his subsequent books, La Dépossession and La Destruction des Européens d’Europe.

But it all started with this phrase and therefore with this book, Le Grand Remplacement, a kaleidoscope of lectures, speeches, essays and interviews (there’s even a children’s story!) in which all those who deal with public affairs today, as leaders, journalists, magistrates, intellectuals or citizens, can no longer avoid contemplating themselves.

The Great Replacement is a concept that has changed the world. All politicians are forced to take a stand, whether to endorse it or to denounce it. But above all it is a book, a socio-political essay. Here it is, translated in full by the author. Renaud Camus, the French writer and philosopher, h...

NOUVELLES DE LA CENSURE  vient de censurer la traduction en anglais d'un essai politique de Renaud Camus, Le Grand Rempl...
18/11/2024

NOUVELLES DE LA CENSURE

vient de censurer la traduction en anglais d'un essai politique de Renaud Camus, Le Grand Remplacement.

Deux jours après avoir reçu cette œuvre de cinq cent pages, où est décrit le phénomène fondamental de notre temps, le changement de peuple en cours dans tous les pays occidentaux, Amazon KDP a décidé de ne pas faire apparaître "The Great Replacement" sur sa plateforme.

Raison invoquée : l'œuvre ne respecterait pas les "conditions générales" du site. Il n'y a pourtant ni appel à la haine ou à la violence, ni complotisme, ni antisémitisme dans ce livre. La version française est pourtant bien en ligne... Se pourrait-il qu'Amazon soit intimidée par la diffamation en règle qu'inflige Wikipédia à Renaud Camus ?

Le colloque   qui s'est tenu à l'Intercollegiate Studies Institute a été un grand succès ! Merci à Nathan Pinkoski. Le s...
12/11/2024

Le colloque qui s'est tenu à l'Intercollegiate Studies Institute a été un grand succès ! Merci à Nathan Pinkoski. Le sujet : “Le remplacisme global : lire Renaud Camus dans — et au-delà — du contexte français”.
Le dernier colloque universitaire sur l'œuvre de Renaud Camus avait eu lieu à Yale, les 28 et 29 avril 2000.

Introduction to Global Replacism
03/10/2024

Introduction to Global Replacism

« Plieux, lundi 25 septembre 2023, midi et quart. J’évoquais ici, ces jours derniers, le rôle en politique de la testost...
18/09/2024

« Plieux, lundi 25 septembre 2023, midi et quart. J’évoquais ici, ces jours derniers, le rôle en politique de la testostérone et de sa répartition inégale entre les individus et entre les peuples : il est encore bien plus marqué au cinéma.

« Soit un film comme Red Dust, La Belle de Saïgon, 1932, de Victor Fleming, qui, au passage, traite assez cavalièrement, mais c’est un autre sujet (encore que…), la présence française en Indochine française, où se situe l’action, sur une plantation isolée, assez durassienne — non, pas "jurassienne", correcteur automatique : "durassienne" —, mais néanmoins américaine, bizarrement, Hollywood oblige. De toute évidence, il est antérieur à l’entrée en application de “Code Hays”, qui va réglementer pendant vingt ans au moins, à partir du 1er juillet 1934, et principalement sous la pression de l’Église catholique, ce qui peut se faire et ne pas se faire en matière de liberté sexuelle au cinéma — incidemment, cherchant sur Internet ce qu’il en est du concept de “pre-code movies”, auquel appartient très manifestement "Red Dust", très osé, je tombe sur cette phrase étrange :

"Dès 1907, cependant, un système de censure (films visionnés d’abord par la police) est mis en place à Chicago sous la pression de lobbies catholiques et puritains, ligues de vertu minoritaires (les États-Unis étant majoritairement protestants) mais suffisamment puissantes pour influer sur l’industrie cinématographique essentiellement juive à l’origine." (Wikipedia français, article “Code Hays”.)

« Le titre français du film est absurde, car il fait de Jean Harlow le personnage principal, ce qu’elle n’est pas du tout, même si les hétérosexuels ont tendance à voir en elle, j’imagine, l’atout majeur de la distribution — son rôle de prostituée très délurée tombée de Saïgon dans cette jungle hostile lui permet toute sorte de déshabillages retentissants et de plaisanteries à double entendre, souvent très drôles, qui, elles non plus, "ne seraient plus possible aujourd’hui", comme dirait Pierre ; ou du moins ne l’auraient plus été deux ans plus t**d. La liberté de ton est vraiment étonnante. Toutefois le plus surprenant est que "Poussière rouge" (celle qu’amène la mousson) fait partie de ces films assez rares (mais peut-être moins qu’on ne le croit ?) où l’objet central du désir n’est pas l’actrice principale, mais l’acteur tête d’affiche : et cela non seulement pour le public, ou du moins pour les femmes et les homosexuels masculins du public, qui forment sans doute une majorité, mais "dans le récit lui-même" et, pour une large part, dans la mise en scène (la caméra l’adore, elle est pendue à ses lèvres). Les deux femmes qu’interprètent Jean Harlow et Mary Astor se disputent Clark Gable, et ce qui l’érige, lui, en objet central du désir, dès sa première apparition, et lors de chacune de ses scènes avec les deux actrices ou avec le personnel de son exploitation (cela non plus, « ce ne serait plus possible aujourd’hui »), c’est sa présence testostéronique — ce qui a dû s’appeler, dans un autre contexte, sa "virilité supérieure". La prostituée, qui sans doute en a vu d’autres, tombe amoureuse de lui au premier regard (il la remarque à peine, à ce stade), et la femme du monde égarée entre ces forêts d’hévéas suintants fait rapidement sa tacite soumission. La virilité du planteur est d’autant plus "supérieure" que le femme du monde a un jeune et beau mari, un ingénieur blond auquel elle semble très heureusement assortie, et qu’elle va oublier, confrontée à des liqueurs plus fortes, dès qu’il aura imprudemment tourné le dos (et même avant). Toxique ou pas (elle serait certainement jugée telle parmi nous), la masculinité triomphante a été rarement si simplement et flatteusement exposée au cinéma. Elle est d’ailleurs tout le jeu de l’acteur — non qu’il joue mal, pas du tout, et même très au contraire : mais ce qu’exprime à chaque geste son jeu, c’est elle. »

📙 LE JOURNAL 2023 EST ARRIVÉ 📙« On est trop sévère avec l’insomnie. Certes elle peut se montrer épouvantable, horribleme...
17/09/2024

📙 LE JOURNAL 2023 EST ARRIVÉ 📙

« On est trop sévère avec l’insomnie. Certes elle peut se montrer épouvantable, horriblement douloureuse, désespérante de lucidité sombre. Il arrive aussi qu’elle soit douce, tendre, bienveillante, et qu’elle revête le caractère d’une vieille amie familière, qui ne désirerait pour nous que le meilleur s’il ne lui fallait malheureusement, par état, nous refuser tout à fait le sommeil. Parfois elle est de si bonne compagnie, d’ailleurs, qu’on n’a même plus envie de dormir, et qu’on ne lui en veut pas de nous tourner et retourner entre les draps comme elle le fait. De combien de romans a-elle offert le dénouement au malheureux qu’elle semblait torturer, de combien de crises conjugales la solution, de combien de situations politiques inextricables l’issue toute simple, encore qu’un peu radicale ? C’est une personne entière, aux opinions tranchantes. Il est rare qu’elle conseille la prudence. Elle voit loin. À l’instar de la Liberté elle brandit une torche, mais comme elle n’est pas de bronze elle peut décider d’éclairer ce qu’elle veut, et même certains recoins et corridors qu’on n’aurait pas nécessairement choisi d’explorer si avant.

« Cette nuit, c’était tempête sous un crâne — je ne saurais dire pourquoi, ni comment avait débuté, ni sur quel thème, ce déchaînement des éléments dans ma tête. La science a bon dos, c’est une poupée de ventriloque. Si on la laissait à elle-même, elle mettrait le feu à toutes les poudres, dont Dieu sait qu’elles ne manquent pas. C’est sans doute ce que j’entrevoyais confusément au temps de L’ombre gagne, et qui m’a perdu (ou sauvé). Tel qui s’approche à l’excès de la vérité, il part en lambeaux, puis tombe en cendres. C’est une statue calcinée. On voit le jour à travers elle.
Je devrais faire la liste de toutes celles de mes opinions qui sont parfaitement bien pensantes… Je crois en avoir même d’assez gnangnan — limite dégoulinant, disait Farid Tali… »
Cancer, Journal 2023, entrée du 19 septembre

Renaud Camus, ou le grand style — dans les lettres comme en voyage. Ici au monastère Saint-Jean de la Peña, où l'on main...
10/08/2024

Renaud Camus, ou le grand style — dans les lettres comme en voyage. Ici au monastère Saint-Jean de la Peña, où l'on maintint la foi chrétienne au temps de l'occupation musulmane ; et à l'abbaye de Leyre, panthéon des rois d'Aragon.

Joyeux anniversaire, Renaud Camus !

« Arrêtez le massacre ! » : dispositif de colorisation des façades et de sonorisation nocturnes sur la plus belle place ...
06/08/2024

« Arrêtez le massacre ! » : dispositif de colorisation des façades et de sonorisation nocturnes sur la plus belle place et devant le plus bel hôtel de Salers, Cantal, Haute-Auvergne, jeudi 1er août 2024, 18:01:49

01/08/2024

Je règne par l’étonnant pouvoir de l’absence. Mes deux cent soixante-dix palais tramés entre eux de galeries opaques s’emplissent seulement de mes traces alternées.
Et des musiques jouent en l’honneur de mon ombre : des officiers saluent mon siège vide ; mes femmes apprécient mieux l’honneur des nuits où je ne daigne pas.
Égal aux Génies qu’on ne peut récuser puisque invisibles — nulle arme ni poison ne saura venir où m’atteindre.

27/07/2024

Son fiancé mourut à la guerre, aux Éparges. Elle vécut encore quatre-vingts ans, mais morte. Elle était un peu ridicule. On l’aimait bien et s’en moquait beaucoup. Elle finit par devenir tout à fait f***e, il fallut la mettre à l'asile, place Lamartine, à Clermont. On allait la voir quelquefois, de moins en moins souvent, avec l'excuse qu’elle ne reconnaissait personne. [Destins]

26/07/2024

Je crains que les actions de Leni Riefenstahl ne commencent à remonter grave.
[Non, ceci n’est pas une apologie de crime contre l‘humanité.]

26/07/2024

Rien à voir avec le chien Snoopy, j‘imagine ?

26/07/2024

Jadis, quand on arrivait dans une maison et qu‘on entendait du Céline Dion, on ne savait pas ce que c’était, naturellement, mais on pensait :
« Ah zut, ils ne sont pas là, il n’y a que la bonne… ».
Aujourd'hui le président de la République, la voix tremblante d'émotion, déclare :
« Bien sûr je ne peux rien garantir mais peut-être, peut-être, peut-être il y aura Céline Dion » — c’est ce que ce salopard de René Camus, du temps qu’il était vivant, appelait “Le Petit Remplacement”.

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Château De Plieux
Plieux
32340

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