07/04/2025
➡️« Il y a l'image que l'on se fait d'un autoportrait littéraire. Et puis il y a la vaste étendue des possibles que cette notion recouvre, et dont le périmètre ne cesse d'être élargi, au Mercure de France, par la collection « Traits et portraits » (…) Il y a les images que l'on se fait des êtres ou des événements. Et puis il y a tout ce qu'elles recouvrent et cachent, la somme de malentendus, erreurs d'appréciation, déformations, oublis, dénis et délires dont elles sont la résultante. C'est ce que Marie NDiaye brasse dans le kaléidoscope du Bon Denis et de ses quatre parties. » Le Monde
➡️« Marie NDiaye est sans aucun doute l'une des autrices françaises les plus importantes de ces quarante dernières années à la tête d'une œuvre fascinante, complexe, volontiers mystérieuse, se jouant des genres comme de toute injonction au réel. (…) Elle est là à chaque page, ni tout à fait la même ni tout à fait une autre. C'est du grand art. Celui magnifique de la dissimulation. » Olivier Mony pour Livres Hebdo
➡️« Le père de Marie Ndiaye, prix Goncourt en 2009, est reparti au Sénégal en 1968, quelques mois après la naissance de sa fille. Pourquoi ? En quatre actes étonnants, surfant entre réalisme magique et la chronique familiale, la romancière recompose, virevoltante, le puzzle d’une question restée sans réponse. (…) C’est à la fois terrible et virevoltant de liberté. » Jacques Lindecker pour L’Alsace
➡️« Marie Ndiaye est métisse, née d’une mère française dont les parents étaient cultivateurs et d’un père sénégalais tôt reparti. L’imaginaire déployé dans Le Bon Denis est nourri de cette origine plus directement que dans les autres romans. » Claire Devarrieux pour Libération