CO2 Mon Amour

CO2 Mon Amour L’émission qui rapproche les Hommes en nous rapprochant de la nature…

des cérémonies nécessairesA-t-on fait un bilan de ces nationalismes enragés qui poussent à détruire en un même élan le...
11/11/2024

des cérémonies nécessaires
A-t-on fait un bilan de ces nationalismes enragés qui poussent à détruire en un même élan les hommes, les femmes, les enfants, les bêtes, les blés et la Terre ?
Terre qui porte ces femmes, ces enfants, ces hommes…je place l’élément féminin en première place. Freud nous a appris la difficulté, voire l’impossibilité à supprimer cette inclinaison humaine – sacrément masculine – à l’agression.
Les femmes sont porteuses de vie, et heureusement pas seulement, mais rarement semeuses de guerre et d’épouvante emportant le destin du monde en tempêtes de feu avec la plus grande reconnaissance des industriels de l’armement heureux.
En , à Termignon, Haute-Maurienne, est érigé un des très rares monuments aux morts de qui ne glorifie pas le héros mais qui montre une femme éplorée, la main sur le visage, ayant perdu mari, fils, proches…
Vive les Armistices !

Dans le chaudron du monde, la Terre deviendra de plus en plus plate ce qui sera plus pratique pour construire des autoro...
07/11/2024

Dans le chaudron du monde, la Terre deviendra de plus en plus plate ce qui sera plus pratique pour construire des autoroutes et forer, la nature devra ressembler à un terrain de golf, la géo ingenierie et le climato scepticisme entre deux incendies et quatre inondations seront enseignés dès la maternelle, un code barre sera apposé sur toute espèce vivante et pourra être vendue, les cerveaux devront réagir, obéir à la peur, l’émotion, aux pulsions.

Mars hébergera les plus riches quand la Terre sera toute rouillée et inutile Mais déjà sous terre s’invente un nouveau printemps. Quelle force aura t’il et en quelle année bourgeonnera t’il ?

La lumière est aussi en nous, aujourd’hui on nous l’éteint mais notre interrupteur et la petite fille espérance, première marche avant l’action existent encore. Le jeune La Boétie est un homme du futur. C’est dur de taire la part en nous qui rêve

Prendre son sandwich là...ca me plaît ! Vive les correspondances train
06/11/2024

Prendre son sandwich là...ca me plaît ! Vive les correspondances train

Un petit vélo rouge à la mer qui goûte les embruns de l’Ile Grande
25/10/2024

Un petit vélo rouge à la mer qui goûte les embruns de l’Ile Grande

La Clue de BarlesEntre Digne et Seyne-les-AlpesCol du Fanget 8 km, du brutal sur 4 km
21/10/2024

La Clue de Barles
Entre Digne et Seyne-les-Alpes
Col du Fanget 8 km, du brutal sur 4 km

C’est beau une ville la nuit
14/10/2024

C’est beau une ville la nuit

Après tout ce aussi a des cornes
14/10/2024

Après tout ce aussi a des cornes

Quand la mer monte, je bastonne, je tape, j’avance, lentement ou plus fortement avec plus de vigueur et d’énergie qu’ava...
13/10/2024

Quand la mer monte, je bastonne, je tape, j’avance, lentement ou plus fortement avec plus de vigueur et d’énergie qu’avant, grâce à vous tous dans le monde
Respirons l’air de l’Océan avec à Lacanau , où la côte est attaquée.
Quelle histoire d’avenir nous racontent les vagues ?
Des embruns et des éléments de réponse


.lsi

06/05/2024

Il est des vies d’empereur qui finissent mal, chez les humains comme chez les oiseaux torpilles de l’Antarctique.
Les satellites le disent, le réchauffement déstabilise notre calotte glaciaire.
Sur 5 colonies surveillées à l’ouest de l’Antarctique, 4 ont subi une perte de poussins de 100% noyés ou morts de froid quand la glace de mer a cédé sous leurs minuscules papattes.
- Nous chez les Empereurs, nous nous reproduisons en plein hiver austral quand rudes sont les températures ; longs sont les mois entre l’accouplement, le couvage et le moment où nos petits sont autonomes.

Nous n'avons pas choisi une voie facile pour notre carrière.
Pondre un seul œuf en plein hiver sur un glaçon géant appelé « banquise », le confier au papa, qui n‘a comme berceau pour couver sur ses pattes qu’un repli adipeux de son bide. Puis la mère doit partir pêcher en mer à des centaines de kilomètres, c’est tout de même prendre le risque de ne rien retrouver au retour. Maman manchote n’a pas froid aux yeux mais c’est le karma des Empereurs.
- Jusqu’ici, depuis des millénaires, notre affaire n’avait pas trop mal marché il faut reconnaitre, au point d’avoir même décrocher à Hollywood un oscar en 2005 ! Chapeau à plumes Monsieur Luc Jacquet

Mais les climats du jour sont à la réchauffe, les chevaux de mer en chaleur galopent et leur naseaux de CO2 larguent les amarres et pour nous ça va trop vite.
Même assis, accroché sur la soupape, il semble que Superman soit dans l’incapacité de stopper la marmite.
De moins en moins de glace dans le whisky pour nos poussins manchots transis qui partent à la dérive, puis à la baille, car ils ne sont pas encore équipés de leur combinaison de survie garantie waterproof : des plumes imperméables.
Papa n’y peut rien, il ne sait pas tricoter et maman est aux commissions pour des semaines. Manque de chance, il leur faut du froid et là, il n'y en a pas assez.

Radeau de la méduse, apocalypse annoncée, pour la marche de l’empereur, c’est déjà la Bérézina. Pas tout à fait encore la retraite de Russie, mais ça y ressemble.
Alors faisons que nous ne soyons pas la dernière génération à crier : vive l’Empereur !


🎥 pairpenguin

Apparemment la seule cible que n‘aura pas impacté le bouleversement climatique c’est le cerveau blindé de tous les scept...
30/04/2024

Apparemment la seule cible que n‘aura pas impacté le bouleversement climatique c’est le cerveau blindé de tous les sceptiques en hausse à travers le monde, convaincus que rien n'entrave la marche inexorable du progrès…surtout sans jamais chercher à le définir. Tant que leur jardin personnel ne sera bousculé par un effondrement de carrière, une submersion de maison « Les pieds dans l’eau » ou l’installation d’une éolienne, tout reste pour le mieux dans le meilleur des mondes possible !
- Que voulez-vous qu’on y fasse ? On ne peut rien y faire. Et puis sur les réseaux sociaux, y en a qui disent que c’est pas vrai !

Les scientifiques ont beau remuer ciel et terres médiatiques depuis des décennies, coller des capteurs au fond des aires marines protégées de Bretagne, on ne sent pas une opposition farouche du Conseil régional pour continuer à chaluter en rond comme avant "Ratissons un jour, ratissons toujours" sinon les autres le feront.
- Oui mais nous sommes dans un monde fini.

Sur l’autre épaule de la France, en Alsace, la cathédrale Notre-Dame de Strasbourg en appelle aux scientifiques plus qu’à Dieu et ses gargouilles pour ausculter sa flèche qui encaisse les variations du climat. Elle a fait fi des guerres, des incendies mais sa grande flèche ne peut donner que ce qu'elle a face aux pluies gorgées de sel qui lèchent trop la pierre en s’infiltrant dans le beau grès rose. Le ciel la sauvera-t-elle des méfaits du ciel et des humains qui l’ont déréglée ?
L'augmentation du CO2 ne se met pas sur pause.

Il y a des études similaires sur le site granitique de Bibracte (CO2) et la chapelle St Pierre de Villefranche-sur-Mer en calcaire et décorée par Cocteau, qui disait : « Le drame de notre époque, c’est que la bêtise s’est mise à penser ».

Les scientifiques sont désabusés ou en colère de ne pas être écoutés. Autant cracher dans les viscères de poulet offerts en vain aux dieux. La Pythie ne fait pas recette, les foules regardent ailleurs. L’avenir s’annonce encombré d’orages lumineux.
Rien ne bouge dans les bunkers.

A l’extérieur c’est la panique, tout le monde court sans directives dans les coursives et les monstrueux navires de croisière défoncent toujours les fondations de Venise.
On crie à tu et à toi, on signe les pétitions à tour de bras, contre le bitume, les chênes qu’on abat, les coins à morilles sur fréquentés grâce aux applications GPS, pour l’eau potable qui manque et dessèche les belles Pyrénées Orientales. Tout cela au moment où le peuple en déroute réclame ordre, discipline, sécurité, médecins de l’âme et du corps.

Pas question de ramasser les ordures en ville ou de nettoyer, les bureaux à l’aube, laissons cela à ceux qui n’ont rien ! Et cette chanson-là dans les bunkers, on sait l'entendre. Mais les meilleurs talents du pays ont su conjuguer leurs efforts pour remonter en quelques années les voûtes, la charpente de Notre-Dame de Paris. Vous voyez bien qu'on est aussi capables du meilleur !

Victor Noël préfèrera toujours la chicorée sauvage sur le trottoir, butinée par un insecte, l'aubépine, le cornouiller, ...
28/04/2024

Victor Noël préfèrera toujours la chicorée sauvage sur le trottoir, butinée par un insecte, l'aubépine, le cornouiller, le prunelier, la ronce généreuse aux haies uniformisée.
Entre étangs, mares, friches industrielles, la vie ordinaire est là, elle passionne Victor que j'avais rencontré quand il avait 15 ans et j'avais le désir de le retrouver quelques courtes années plus t**d sur le bord de cette Moselle, sa rivière d'enfance et d'observation.
Un autre lieu dans notre herbier de paysage, dans le carnet de nature de et avec un garçon lucide, mature, aux désirs stimulants.
👉 https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/co2-mon-amour/co2-mon-amour-du-dimanche-28-avril-2024-3471769

Bon sang, encore un Jour de la Terre ! Quand vont-ils vraiment se rendre compte ?Un jour, vous aurez tellement réussi vo...
22/04/2024

Bon sang, encore un Jour de la Terre !
Quand vont-ils vraiment se rendre compte ?

Un jour, vous aurez tellement réussi votre coup les Sapiens que vous disparaitrez et laisserez la place aux animaux qui ne voudront pas dominer le monde. Ils vous auront observés... ils seront plus calmes.
Oui, Jour de la Terre France alors que tous les jours c’est la fête mondiale des pesticides, du gâchis de l’eau, du gaspillage alimentaire, de la voiture électrique qui va sauver le monde, du smartphone greffé au cerveau, fête du cassage de gu**le de la nature, de l’arrachage des haies, du De profundis pour les abeilles, des linéaires d’aliments pour chats, des glaciers qui fondent, fête du burn-out, de l’éco-anxiété, des bêtes sauvages qu’on tue, la fête du marché dernière croyance de l’Occident, du détricotage de l’ambition environnementale de l’Europe, des milliards d’animaux consommés, des algues vertes et de l’omerta agricole en Bretagne.

Moi, la Terre 🌍, j’aime la vie, je la fabrique pour tous, je suis vivante et aime les non vivants, sans doute bien plus que beaucoup d’entre vous. J’ai un cœur de fer et de nickel, puis un manteau jeté sur les épaules de mon noyau, enfin une jolie croute terrestre que vous piétinez, perforez, défoncez avec un talent exceptionnel !
J’ai une gu**le d’atmosphère, de CO2 bien utile aussi, cette pellicule d’œuf, les sols, les forêts pas encore rasées, les mers et les poissons que vous aurez laissés...tout ça vous fait vivre, respirer, boire, chanter et gravement dé****er.
Fêtez-moi, soyez à l’aise, fête de la communication écologique à tous les étages...faites-vous plaisir !

Un bocage, des forêts, un cheval : le Perche !Pays de contes, croyances, légendes qui puisent son histoire dans l’eau vi...
21/04/2024

Un bocage, des forêts, un cheval : le Perche !

Pays de contes, croyances, légendes qui puisent son histoire dans l’eau vive, les grandes forêts, les sources anciennes...
Je vous emmène à la rencontre de Denis Guillemin du Parc naturel régional du Perche et de Stéphane Bern. Puis, nous chevaucherons, euh non, nous admirerons le solide et emblématique Percheron, cheval de charges, de trait sous l’œil de Valérie Gesbert, éleveuse, et du photographe Jean-Léo Dugast, fin connaisseur de la bête.
👉 https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/co2-mon-amour/co2-mon-amour-du-dimanche-21-avril-2024-6552862
France Inter Société Hippique Percheronne de France - SHPF

Il y a les braves cons, les pauvres cons, mais aussi les sales cons. De l'espèce de ceux qui tuent pour jouer, par plais...
28/03/2024

Il y a les braves cons, les pauvres cons, mais aussi les sales cons. De l'espèce de ceux qui tuent pour jouer, par plaisir, pour se désennuyer.
Qui braconnent et se croient au-dessus des lois. Tout doit y passer, chamois, chevreuil, vautour, aigle royal ou pygargue à queue blanche. Morzine est morte en Oisans, il y a dix jours d'une b***e en pleine poitrine.
Vous ne connaissez pas Morzine ? C'est le nom d’un très grand oiseau car la station éponyme a financé sa balise GPS. Le pygargue à queue blanche est quasi inconnu du public. Normal, il ne joue pas en équipe de France et se produit pas dans le zénith de votre ville, ce rapace avait disparu de France depuis 1959.
Certains fadas de nature sauvage s'ingénient depuis des années à lui redonner droit de cité en France et dans les Alpes. Il a fallu deux malfrats pour lui régler son compte un jour d'ennui. Presque trois mètres d'envergure, difficile de le confondre avec un étourneau.
Si ces deux criminels du vivant s'étaient renseignés, ils auraient appris que le bel oiseau était suivi à la trace par des enfants et des scientifiques qui ont pu ainsi retrouver son cadavre grâce à son collier émetteur.
L'Office français de la biodiversité a très bien fait son travail, bravo à ses agents qui ont remonté la piste en traçant leurs portables.
Fini l'impunité des lâches. On a déniché les deux emplumés dans leur repaire, ils ont avoué. Ils vont devoir payer la note. Leur faire porter en montagne les caisses des oiseaux à réintroduire serait une très salutaire approche de l'ornithologie et des difficultés qu'il y a pour remettre en place péniblement des oiseaux dans leur milieu dans l'enthousiasme d’une riche biodiversité montagnarde.
Le visage radieux de ces deux frères ne feront pas la une des médias. Dommage on aimerait savoir à quoi à ça ressemble deux cons.


ASPAS - Association pour la protection des animaux sauvages LPO France France Nature Environnement
📷 Remi Chapeaublanc
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Ne m'appelez plus jamais "Nevada". Non il ne s'agit pas du titre d'un nouveau western spaghetti italien. Mais d'un joyeu...
19/03/2024

Ne m'appelez plus jamais "Nevada". Non il ne s'agit pas du titre d'un nouveau western spaghetti italien. Mais d'un joyeux constat climatique de plus.
Des glaciers, des neiges, il n'y en a quasiment plus dans les Andes colombiennes. Ils fondent à une telle vitesse que l'équilibre des survies agricoles et culturelles millénaires des habitants de la région andine est totalement bouleversé. Les Arhuacos assistent impuissants à la disparition des grands glaciers tropicaux. 6 glaciers sur 14 ont déjà disparu.
Pour rappel, l’empreinte carbone de ces frères humains lointains doit tourner à 700 kg/personne/an. 9 tonnes en France, 18 aux Etats-Unis, 35 au Qatar...
Inutile de préciser que sans l'eau des montagnes sacrées toute économie fragile est remise en question et que les Indiens comme tant d'autres peuples des contreforts de l'Himalaya n'auront plus qu'à périr ou déguerpir, se réfugier dans les fourmilières de misères humaines que sont devenues les grandes cités de la côte, des plateaux et des plaines ! Mais, tant que les jeux d'eau animent les bassins des casinos de Las Vegas, pourquoi se faire du souci ? !

Adresse

116 Avenue Du Président Kennedy
Paris
75016

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Il est des vies d’empereur qui finissent mal, chez les humains comme chez les oiseaux torpilles de l’Antarctique. Les satellites le disent, le réchauffement déstabilise notre calotte glaciaire. Sur 5 colonies surveillées à l’ouest de l’Antarctique, 4 ont subi une perte de poussins de 100% noyés ou morts de froid quand la glace de mer a cédé sous leurs minuscules papattes. - Nous chez les Empereurs, nous nous reproduisons en plein hiver austral quand rudes sont les températures ; longs sont les mois entre l’accouplement, le couvage et le moment où nos petits sont autonomes. Nous n'avons pas choisi une voie facile pour notre carrière. Pondre un seul œuf en plein hiver sur un glaçon géant appelé « banquise », le confier au papa, qui n‘a comme berceau pour couver sur ses pattes qu’un repli adipeux de son bide. Puis la mère doit partir pêcher en mer à des centaines de kilomètres, c’est tout de même prendre le risque de ne rien retrouver au retour. Maman manchote n’a pas froid aux yeux mais c’est le karma des Empereurs. - Jusqu’ici, depuis des millénaires, notre affaire n’avait pas trop mal marché il faut reconnaitre, au point d’avoir même décrocher à Hollywood un oscar en 2005 ! Chapeau à plumes Monsieur Luc Jacquet Mais les climats du jour sont à la réchauffe, les chevaux de mer en chaleur galopent et leur naseaux de CO2 larguent les amarres et pour nous ça va trop vite. Même assis, accroché sur la soupape, il semble que Superman soit dans l’incapacité de stopper la marmite. De moins en moins de glace dans le whisky pour nos poussins manchots transis qui partent à la dérive, puis à la baille, car ils ne sont pas encore équipés de leur combinaison de survie garantie waterproof : des plumes imperméables. Papa n’y peut rien, il ne sait pas tricoter et maman est aux commissions pour des semaines. Manque de chance, il leur faut du froid et là, il n'y en a pas assez. Radeau de la méduse, apocalypse

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