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07/02/2025

Déclaration des médias...des éclaircissements
Par Ibra Khady Ndiaye
Fondateur, DG Iknews, votre média de proximité.( En wolof)

Iknews avait reçu samedi 28 décembre une nouvelle réponse concernant la déclaration des médias au Sénégal. Nous étions sollicités cette fois-ci pour le contrat de travail de 3 journalistes employés à titre régulier avant le 3 janvier.

Après avoir répondu favorablement à une première réponse des autorités sénégalaises qui nous demandaient un rédacteur en chef et un directeur de publication avec une expérience respective de 7 ans, nous avons fait les démarches nécessaires pour participer favorablement à cette volonté du gouvernement sénégalais de déclarer notre média.

Nous avons un programme de recrutement dans le futur, mais nous attendons la fin des travaux de notre siège à Dakar. Nous mobilisons, nos propres ressources et la situation ne nous permet pas aujourd'hui d'employer 3 journalistes dans l’immédiat.
Par ailleurs, le 3 janvier comme date butoire en période de fêtes pour apporter une réponse à cette nouvelle demande pour la déclaration, nous semble courte et ne joue pas en notre faveur. Nous regrettons aussi, le fait que, dans la première réponse, cette demande de contrats de 3 employés n'a pas été faite .

Nous nous battons depuis plusieurs années avec passion et détermination pour offrir à l'Afrique d'une manière générale un média digne de ce nom.
Avec le temps, le nombre d'événements couverts, notre engagement pour la démocratie au Sénégal, la qualité d'information offerte jusqu'ici nous confortent dans cette volonté et dans nos idées.
Iknews est plus que jamais déterminé à jouer son rôle.
Nous avons la chance d'avoir une formation et une expérience dans le journalisme,ce qui nous permet d'être polyvalent et de faire le travail de reportage d'images sur le terrain, de montage et d'écriture de tous nos sujets.
Des qualités qui font que nous faisons à la fois plusieurs postes et relevons jusqu'ici tous les défis de la rédaction chez IKNEWS.

Pour avoir notre indépendance financière, nous travaillons nuit et jour nous même dans un domaine complètement différent parallèlement à notre engagement chez IKNEWS.
Par ailleurs, Iknews a entre autres son NINEA et sa création respecte et répond aux besoins d'une entreprise.
Et nous sommes convaincus sans doute que notre vision claire et profonde relèveront tous les défis y compris celui de l'emploi le moment opportun.
La construction du siège d'Iknews n'est qu'une partie visible de nos ambitions.
Nous continuerons donc d'arroser et d'entretenir avec passion et patience cet arbre planté depuis des années quelque soit la reconnaissance des uns et des autres.
Conscient de la particularité du secteur de la presse qui, contrairement à d'autres domaines comme la médecine ou la petite enfance en guise d’exemple permet à des personnes non seulement d'exercer sans aucun diplôme ni formation mais d'être même patron de presse.
Anciens greffiers, des artistes musiciens.....sont depuis des années des patrons de presse.
Dès lors ceux qui ont des diplômes, une formation de journalisme et plusieurs années d'expériences sont naturellement légitimes.

05/02/2025
À la Une des journaux de ce mercredi 5 février 2025.
05/02/2025

À la Une des journaux de ce mercredi 5 février 2025.

À la Une des journaux de ce lundi 03/02/25Ibra Khady Ndiaye
03/02/2025

À la Une des journaux de ce lundi 03/02/25
Ibra Khady Ndiaye

31/01/2025

Sénégal:
Les nouvelles mesures pour les ex-detenus et autres victimes des événements de 2021-2024:*

*1- Octroi d’un montant de Dix millions (10 000 000) de francs CFA à chaque famille de personne décédée* assortie de :
✓ l’admission des orphelins mineurs au statut de Pupilles de la Nation ;
✓ l’enrôlement des familles dans les programmes sociaux du gouvernement (Bourses de Sécurité familiale, Couverture Sanitaire Universelle, Carte d’Egalité des Chances etc…), suivant des modalités à définir ;
✓ la facilitation à l’accès aux financements à travers les mécanismes de la Délégation générale à l'Entreprenariat Rapide des Femmes et des Jeunes (DER/FJ), du Fonds national de Crédit pour les Femmes et du Fonds national de Promotion de l’Entrepreneuriat Féminin ;

*2- Prise en charge médicale et psycho sociale pour tout ex-détenu ou autre victime, blessé ou malade,* en lien direct avec les évènements indiqués. Cette prise en charge se fait sur la base d’un dossier médical établi par les structures sanitaires. Les membres de leurs familles peuvent aussi en bénéficier,

*3- Allocation forfaitaire de Cinq cent mille (500 000) FCFA à toutes les personnes figurant dans la base de données* établie par l’ANSD, en relation avec le Ministère de la Justice, les sources policières, les représentants de victimes et ceux de la société civile.
Mme Maïmouna DIEYE, ministre de la famille et des solidarités.
Ibra Khady Ndiaye

31/01/2025

Ils ont tout essayé pour passer en force et obtenir un 3eme mandat.
Macky avait érigé l'emprisonnement comme mode de gouvernance, interdire les manifestations, faire taire certains marabouts à sa manière..Macky réprimandait les manifestants avec la complicité des forces de l'ordre...
Des armes ont été achetées illégalement ....
Grâce à la bravoure de quelques sénégalais, notre pays reste un exemple.
Merci au vaillant peuple sénégalais le recul de Macky dans son projet funeste pour un 3eme mandat est le fruit de l'héroïsme des sénégalais.
Il n'a pas cèdé, ni respecté sa parole et les texte s de gaieté de cœur ou Grâce à un esprit républicain ou démocrate.....
Aujourd'hui tout est redevenu normal, on peut oublier donc rapidement la terreur.
Certains sénégalais de la Diaspora ne pouvait même plus revenir au pays.
Et comme je l'ai souvent dit même sur la place de la République, un jour viendra Macky sera loin et il vivra avec les sénégalais comme Abdoulaye Wade ou Abdou Diouf...
La seule différence, les autres ne sont pas allés aussi loin quand ils étaient à la tête du pays et peuvent vivre en paix avec les sénégalais.
Le mal du pays pour ceux qui sont loin du Sénégal savent que c'est déjà une punition.

Sénégal: dans le passé, certains hommes politiques se partageaient les offres sur les contrats en Espagne. Ce régime a i...
30/01/2025

Sénégal: dans le passé, certains hommes politiques se partageaient les offres sur les contrats en Espagne.
Ce régime a informé tous les sénégalais
et désormais les candidats vont déposer leur demande en ligne. Le chômage se gagne sur tous les fronts. Et le Sénégal dispose de plus d'atouts pour l'agriculture. Nous avons plus de terres cultivables, de soleil.
Au gouvernement d'orienter les jeunes dans des structures agricoles pour faire du Sénégal le grenier de l'Afrique avec des ambitions fortes. La transformation des produits issus de l'agriculture peut aussi contribuer à la lutte contre le chômage.
N'oublions pas que les ennemis d'hier attendent la moindre occasion pour saboter et critiquer le choix actuel de la majorité des sénégalais. Le jub Jubaal Jubanti menace les intérêts de beaucoup de malfrats, de parasites...
Par ailleurs, la première victoire, c'est la paix et le vivre ensemble dans notre beau pays.
Plus d'emprisonnements arbitraires, plus d'achats d'armes, plus de nervis....
Cette révolution a permis aussi de renvoyer à la retraite des profiteurs qui, depuis Senghor, vivaient sur le dos du peuple sénégalais.
Donc, il y a aussi le renouvellement de la classe politique, une autre victoire du vaillant peuple sénégalais.





Ibra Khady Ndiaye

30/01/2025

Pour le moral ?
Sous Macron on y comprend plus rien....

CAN 2025 Maroc : voici les groupes....
29/01/2025

CAN 2025 Maroc : voici les groupes....

29/01/2025

Les entrepreneurs de la haine

Par DEMBA NDIAYE

Le Fouta serait donc meurtri parce que victime d’une persécution ethnique, voire ethniciste de la part du nouveau régime qui appliquerait contre les « Hal Pulaar », la justice dite des vainqueurs. Et pourquoi cette sordide chasse à d’innocentes sorcières dont le seul tort serait, oh suprême faute de naissance, donc d’être nées pulaar dans le fier Fouta ? Foutaises !

Les « Hal Pulaar » encore moins les foutankobés ne sont victimes d’aucune chasse, sinon celle des chasseurs de primes d’hier qui ont vu leur marché de rapines si florissant hier, imploser le 24 mars dernier sous la bourrasque populaire, toutes ethnies confondues, contre les rapines des prédateurs de la Galaxie Mackyste à jamais anéantie. Celui qu’ils veulent ériger en héros d’un Fouta qui serait méprisé, persécuté, ostracisé, n’est en réalité qu’une grosse sangsue qui a prospéré dans la nasse d’une gouvernance dont le trait distinctif était la prédation dans tous les domaines : financiers, fonciers, immobiliers. C’est tout !

NI ROBIN DES BOIS NI ZORO…

Monsieur le député Farba Ngom est loin de vêtir les nobles habits des preux voleurs des riches pour distribuer aux pauvres. Ces voleurs sympathiques sont entrés dans le roman social européen et mexicain grâce à leurs actes que sans doute la Justice réprouve, mais que la masse des laissés pour comptes par les fortunés de ces temps-là, les riches paysans et autres grands affairistes, en ont fait leurs héros, voire leurs sauveurs. Ils leur permettaient de survivre en délestant les riches de leurs trop-pleins de rapines accumulées. Or chez nous, nos prédateurs se sont spécialisés dans la rapine et la captation des biens publics destinés justement aux plus démunis, dont justement le Fouta que tous les régimes ont usé comme d’une serpillière et jeté après usage. Ce sont des spécialistes du ruissellement social comme poudre jetée aux yeux de ceux à qui justement ces ressources étaient destinées. Des amis, intellectuels de surcroît, tiennent ce discours hallucinant : d’accord il (détourne sans doute) mais il distribue beaucoup aux parents du Fouta. Voilà donc des bienfaits : on vole l’argent des pauvres et on en redistribue une (infime) partie à des masses populaires qui tirent le diable par la queue à longueur d’année, en échange de bulletins de voter pour ériger des « titres fonciers » usurpés. Quelqu’un a dit, il faut être juste avant d’être généreux. Surtout avec l’argent des autres, du peuple…

«LAWOL» ET «REWDÉ E LAWOL»

C’est mon ami Buuba Diop, historien, égyptologue et antaïste devant l’Éternel, qui un soir de l’année 2021, au cours de discussions sur la Justice, m’a dit : « Tu sais que la Justice en pulaar se dit Lawol, le chemin, la route, de la droiture. Et semble-t-il aussi comme en égyptologie. Lawol donc ! Le chemin, la route, de la droiture. « Rewdé e lawol » suivre le chemin, le bon, le droit, qui ne zigzague pas dans les voies obscures, les chemins qu’empruntent les délinquants qui cherchent à se soustraire de la Justice, du droit chemin, de la morale sociale… Et le Fouta de Thierno Souleymane Baal et de Cheikh Oumar Foutiyou Tall ne peut s’accommoder de l’image de fils de « woudiobés » (voleurs). Ceux des « Hal Pulaar » du Fouta et d’ailleurs, disciples du fondateur de la première constitution démocratique du monde moderne, celui-là même qui enseignait d’éloigner de la gestion du pouvoir ceux dont les mains ne sont pas propres et qui ont des problèmes avec les deniers publics. Ceux qui, par posture et proximité politique avec la hiérarchie étatique, deviennent riches comme Crésus. Et que la Justice, Lawol, voudrait bien en connaitre l’origine. Il n’y a ni persécution d’une ethnie, ni un quelconque harcèlement d’un « pauvre » griot de son état. Et de son (ex) Président.

LA FABRICATION D’UN MYTHE SOCIAL

Les mythes se fabriquent. Par des histoires contées au coin du feu et depuis l’ère de la communication de masse et technologique, ces histoires racontées pour créer un récit social d’acceptation par les pauvres notamment, ont pris des dimensions de fables. Ainsi, l’histoire du député Farba, celle de son ascension sociale, sa fortune réelle ou fantasmée, son entregent au cœur de l’Etat-Apr, dans les profondeurs nauséabondes de la gouvernance de l’exilé de Marrakech, ses pouvoirs maléfiques et miraculeux de faire et de défaire des carrières, de briser des destins si le monarque le souhaite. Ainsi, l’histoire de l’homme, son « fabuleux » destin mériterait une saga cinématographique à la hollywoodienne, tant les brosses à reluire des armées mexicaines de la plume, du micro et de la jactance ont frotté si fortement, que la nature elle-même s’est pliée. Ainsi, ce n’est plus le griot de parti avec son rôle social et historique dans la société qui tend la main pour recevoir la dîme des louanges chantées, mais sa main est désormais au-dessus des autres. Parce que c’est lui le riche qui donne aux gueux comme aux courtisans intéressés. Ce n’est plus celui qu’on commissionne à cause de son entregent et de sa cordialité, non c’est lui qui envoie, réceptionne, récompense, sanctionne. Voilà comment on fabrique des hauts faits usurpés. Voilà ce qui justifie que le ban et l’arrière-ban des courtisans d’hier et bénéficiaires du ruissellement d’hier crient « aux armes peuls, hal pulaar en » de tout le pays et de la diaspora, pour aller faire le « siège » de Agnam, la supposée forteresse du « martyr » Farba. Dans leurs délires ethnicistes, ils veulent faire de ce bled le lieu de la « résistance » (à quoi ?), le « point de ralliement » de toutes les victimes ha pulaar en ». De qui sont-ils les victimes ? Mais vous le savez bien ! Celui qui a hanté leur sommeil et peuplé leurs cauchemars : Sonko pardi ! Hier opposant dangereux, empêcheur de voler en toute quiétude, celui-là même qui est sorti de son cachot (bon haut de gamme quand même puisqu’il l’a dit) à dix jours, les dix jours cauchemardesques pour la galaxie prédatrice, pour installer son pote et camarade de codétenu au Palais dès le premier tour !

AU NOM DE QUI, DE QUOI ?

Pourquoi appelez-vous au secours ? Pour qui déversez-vous ces tonnes de venin ? Pas pour les Foutanké encore moins pour les halpulaars ! Ni mandat ni délégation. Vous n’avez reçu de personne. Surtout pas pour fracturer notre assise commune, notre commun vouloir et impérieux vivre en commun. En humanité seulement.
Vous dites défendre dire un innocent injustement accusé, persécuté par de vilains non pulaar avec à leur tête votre cauchemar de toujours, l’actuel Premier ministre, et naguère l’opposant premier. S’il est innocent de ce dont on le soupçonne (pour le moment), alors la Justice (Lawol) le blanchira. S’il est coupable de ce dont la Centif le soupçonne, ce sera à la Justice (Lawol) de le prouver…

Où étiez-vous, vous qui criez que le Fouta est abandonné ? Par qui, diantre ? Par un régime qui n’a pas encore fait douze mois, pour celui qui a régné pendant douze longues années ? Oui, où étiez-vous du temps du régime de Wade dans lequel beaucoup de vos compagnons d’hier et d’aujourd’hui ont brouté, à commencer par votre chef en fuite, exilé royal de Marrakech ? Qui a foutu le pays dans la m… avant de s’enfuir comme un voleur (tiens !) à bord de notre Sangomar ? Et ça, monsieur le Président Diomaye, ce n’était pas opportun, ni moral. On ne prête pas à un voleur le moyen de prendre la fuite…

Oui, où étiez-vous les baveux d’aujourd’hui alors que, depuis des décennies, la mine de phosphates de Ounaré (oui chez moi, mon bled) et Ndendory, a été infoutue de créer une usine de transformation du minerai en lieu et place du cycle peu productif d’extraction-convoyage à Dakar et à l’étranger ? Ou étiez-vous, quand pendant des années, l’usine de phosphates a pollué les villages environnants sans compensations véritables ? Là aussi, pour rester dans la tradition, il semblerait qu’on ait ruisselé sur beaucoup d’échines qui sont restées courbées. Et les langues se sont tues. Tout devrait, va changer. Voilà pourquoi vous hurlez en crachant votre venin sur la marche victorieuse du pays depuis mars 2024.

« FOUTA TAMPI » DEPUIS TRÈS (et trop) LONGTEMPS

Fouta Tampi fut un slogan enfourché depuis longtemps par des milliers de jeunes du Fouta depuis des années et particulièrement pendant les dernières années de votre funeste et détestable règne ? Avant que vous ne fassiez ce que vous savez faire : acheter des consciences à coups de millions soustraits frauduleusement des caisses de l’État. Où étiez-vous pendant ces plaintes et complaintes, ces cris de détresse ? Dans la fange des affaires, sinon vous les auriez entendus… Hombo tampini Fouta. Qui a (trivialement) « fatigué » Fouta ? Ceux qui vous ont chassés à coups de pieds dans vos derrières dodus, il n’y a pas douze mois ? Où étiez-vous, vous qui, douze ans durant, vous êtes acharnés à dépecer ce pays morceau par morceau ?

La Révolution citoyenne de mars et novembre derniers puise ses racines dans l’héritage riche et fécond des enseignements de Thierno Souleymane Baal. Droiture, abnégation, Justice. Au lieu de répéter comme des perroquets vouloir copier le Gatsa-Gatsa et la forteresse de Ziguinchor, vous devriez d’abord en comprendre les ressorts profonds : la haine de l’injustice, la volonté et le désir intense d’extraire le pays de la fange corruptrice, la volonté de remettre la République sur ses pieds en l’expurgeant de la gangrène. Les enseignements de Thierno Souleymane Baal furent la boussole qui traça le Lawol de la victoire et de votre déchéance. Vous ne parlez pas, ne parlerez jamais en mon nom. Moi, « Hal Pulaar », Foutanké du Sénégal, et farouchement panafricaniste. Je ne serais jamais de votre armée de haineux, vils mercenaires au chômage.

Terminons par poser la même question que la « UNE » d’hier de Yoor-Yoor Bi : « Que fait donc le procureur de la République ? » Alors que des appels à des quasi-séditions prolifèrent et que quelques malfrats tentent de distiller de la haine dans notre pays, dans notre société. Oui, que faites-vous Monsieur le procureur de la République, alors que des menaces intérieures planent sur la Nation ? Face aux entrepreneurs de la haine, toute faiblesse devient culpabilité.

VAR: nous venons d'apprendre ce jour depuis Marseille,  l'arrestation du leader du Pastef Ousmane SONKO...Républicain et...
25/01/2025

VAR: nous venons d'apprendre ce jour depuis Marseille, l'arrestation du leader du Pastef Ousmane SONKO...Républicain et défenseur de nos acquis démocratiques....merci au vaillant peuple sénégalais qui s'est toujours levé pour le respect de nos droits.

Urgent: Arrestation d' nous condamnons avec la plus grande fermeté cet acte anti-républicain qui met en danger la paix au Sénégal. Notre soutien...

A la Une de vos journaux de ce samedi 25 janvier 2025.Ibra Khady Ndiaye
25/01/2025

A la Une de vos journaux de ce samedi 25 janvier 2025.
Ibra Khady Ndiaye

24/01/2025

Sénégal: l'immunité parlementaire du député Farba NGOM de l'APR levée par un vote à l'Assemblée nationale.

A la Une de vos journaux de ce vendredi 24 janvier 2025.Ibra Khady Ndiaye
24/01/2025

A la Une de vos journaux de ce vendredi 24 janvier 2025.
Ibra Khady Ndiaye

UNESCO: Ernesto Renato Ottone Ramirez, Directeur Général adjoint pour la cultureIbra Khady Ndiaye
23/01/2025

UNESCO: Ernesto Renato Ottone Ramirez, Directeur Général adjoint pour la culture
Ibra Khady Ndiaye

22/01/2025

Miguel Angel HILDMANNAmbassadeur délégué Permanent de l'Argentine auprès de L'UNESCO

22/01/2025

Simona-Mirela Miculescu Ambassadrice Déléguée Permanente de la Roumanie à L'UNESCO

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IKNEWS: “le Petit Poucet!”. L’Info Autrement et en temps réel !

Petite Présentation.....

Cette pensée d'Albert Londres, que mon ancien professeur Monsieur Edwy Plenel fondateur et directeur de Mediapart aime bien citer, demeure un idéal pour moi dans notre métier de journaliste: « Je demeure convaincu qu'un journaliste n'est pas un enfant de chœur et que son rôle ne consiste pas à précéder les processions, la main plongée dans une corbeille de pétales de roses. Notre métier n'est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort, il est deporter la plume dans la plaie. » Albert Londres

Nous avons un rôle fondamental à jouer dans la conscientisation du peuple de tous les continents. Un peuple bien informé est un peuple qui connaît ses droits et ses devoirs. Et cette prise de conscience ne peut qu' être un atout dans la consolidation de la démocratie et dans la marche vers le développement et le progrès dans le monde.

Pour emprunter ce passage d'Albert Camus, dans son Discours de réception du Prix Nobel de Littérature: "Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu'elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde se défasse."