12/09/2024
Proposition n°26°)- Pouvoir au Peuple lutte frontalement contre toute le chômage et la pauvreté de masse, priorité numéro une de son Gouvernement. Il créé des millions et des millions d’emplois, afin de parvenir à l’objectif zéro pauvre zéro chômeur
Notre politique est de créer des millions et des millions d’emplois. Parvenir à résorber 6,5 millions de chômeurs et 15 millions de pauvres. Et atteindre l’objectif « zéro chômeur zéro pauvre ».
A)-Constat : depuis les années 1980, on assiste à une explosion inédite, considérable, massive du chômage et de la pauvreté en France.
Comme écrit Alain Badiou : "Il y a une férocité de la Bourgeoisie quand elle se sent libre. Ils veulent nettoyer tout ça vraiment. Et ils prennent exemple sur l'Allemagne. En France les réactionnaires ont toujours suivi l'exemple de l'Allemagne. Or là-bas je le redis, 30% de la population est en état de grande pauvreté. Il faut le savoir. Il y a une pauvreté allemande massive, de type américain. Est-ce que les gens, ici, les gens ordinaires se rendent-ils compte que c'est à ça qu'on veut les amener ?" (sic) (Eloge de la Politique, édition Café Voltaire-Flammarion, 2017)
L'Histoire jugera sévèrement les années 1980-2023, notamment le double quinquennat Macron. Elle condamnera sans appel les tristes années d'hiver infligées au Peuple français, occupé uniquement de survivre. Si, depuis plus de quarante ans, les médias aux ordres ne disent que des mensonges, la grande Histoire dira la Vérité sur tous les Présidents compradore (traitres), qui se sont succédés depuis 1981, notamment le triste Mitterrand. Et Macron, Président félon, arrivé à l’Elysée grâce à des fraudes massives, en ponctionnant toutes les autres listes : y compris les petites listes de François Asselineau de l’UPR et de Philippe Poutou du NPA. Macron agent de la CIA, placé par cette dernière à l’Elysée. Macron, agent des élites économiques et politiques américaines, dont la seule tâche est de faire de la France une petite colonie insignifiante au seul service des Etats-Unis. Elites économiques et politiques américaines, dont la seule volonté est de rayer la France des pays qui comptent. Après tout, notre pays n’est-il pas passé de la quatrième place mondiale sous Pompidou à la 47ème place mondiale sous Macron, « tueur à gages du capitalisme américain », comme écrit le Président vénézuélien, Nicolas Maduro. Comme dit Vladimir Poutine : « l’avenir de la France va être bien triste »(sic).
Grâce au Capitalisme mondialisé occidental, dont Macron est la marionnette, les Classes populaires et les petites Classes moyennes sont au fond du trou. Le Peuple français reçoit la pire raclée de son Histoire. Pareilles aux communards tués, puis jetés dans la fosse commune, sur ordre d'Adolphe Tiers. Celle dont Monsieur Tiers a dit qu'on la fusille : Ma France ! Le Peuple français est battu par le totalitarisme du capital monopolistique mondialisé triomphant et arrogant.
Le chômage est une horreur. Le chômage est un crime ignoble. Le chômage est un sadisme effectué sciemment, froidement, chaque jour depuis 40 ans, contre des salariés sans organisation pour les défendre dignes de ce nom, dont on brise le dernier lien social.
- Mise à la rue et déchéance de 400 000 sans-abris.
- 7,2 millions allocataires d'un minima social (chiffre Drees).
- 6,5 millions de chômeurs inscrits à Pôle Emploi (chiffre Dares). 9 millions de chômeurs selon mes calculs.
- 17% des travailleurs pauvres (chiffre Insee)
- 15 millions de personnes vivant en dessous du seuil de pauvreté, selon nos calculs
- Les pauvres représentent 30% de la société française, avec les enfants et les conjoints, selon une étude du Secours Populaire.
- 80 % des français qui ont du mal à joindre les deux bouts (enquête Sud Ouest du 1er Mai 2010).
- 10% de l'humanité possède 86% des richesse, quand 50% de la planète ne possède rien du tout..!" (chiffres produits par Alain Badiou dans son livre : "Notre mal vient de plus loin, Penser les tueries du 13 novembre 2015", édition Fayard, 2016).
Honte au capitalisme mondialisé occidental. Honte à la recherche forcenée du profit ! Honte à la baisse gigantesque et sans fin du coût du travail, provoquant notamment des millions de charrettes de licenciements, rien que pour faire monter le cours de la bourse. Une explosion continue du chômage : 1 million de chômeurs en 1980. 2 millions en 1988. 3 millions en 1997. 6,5 millions aujourd’hui selon les chiffres de la DARES. 9 millions selon mes calculs, si on ajoute les 2 millions de chômeurs cherchant un emploi sans l’aide de Pôle emploi, les radiés, etc. De plus et comme dit le regretté Julien Lauprêtre, Président du Secours Populaire, : « la France est recouvert par un ras de marée de pauvreté »(sic).
Paraphrasant l’Abbé Pierre, on peut dire : « la beauté de la France, elle n’est pas dans ses monuments. Elle est d’abord de ne pas avoir de chômeurs et de pauvres, de ne jamais plus avoir de sans logis sur les trottoirs ».
B)-Propositions de Pouvoir au Peuple afin de lutter contre le chômage et la pauvreté : créer des millions et des millions d’emplois. Parvenir à l’objectif zéro pauvre, zéro chômeur :
B-1°)-Pouvoir au Peuple crée 2,5 millions d’emplois dans le secteur secondaire, afin de recréer un secteur industriel relocalisé et digne de ce nom. On rappelle que, depuis 1974, notre secteur secondaire est passé de 25% de la population salariée à 10% de la population salariée, soit la suppression précisément de 2,5 millions d’emplois. L’objectif est que notre nouveau secteur industriel compte de nouveau 25% des actifs français.
B-2°)-Pouvoir au Peuple crée 400 000 emplois dans les hôpitaux : c’est le nombre d’emplois supprimés par les politiques austéritaires successives depuis trente ans. Aujourd’hui, l’hôpital est devenu une coquille vide. L’objectif est de revenir à un hôpital disposant d’un personnel soignant nécessaire capable de bien soigner les malades. Pouvoir au Peuple crée massivement des emplois dans tous les autres services publics : éducation, Pôle emploi, caisses de sécurité sociale...
B-3°)-Pouvoir au Peuple lance aussi un grande loi cadre, visant à lutter frontalement contre le chômage et la pauvreté de masse. Elle est dotée de 500 milliards d’euros. Elle vise à tirer vers le haut 15 millions de français vivant aujourd’hui sous le seuil de pauvreté. Et avec pour objectif, zéro pauvre, zéro chômeur.
Dans le cadre de cette loi, elle crée, sur la base d’un contrat à durée indéterminée rémunéré 120% du SMIC, 3 millions d’emplois dans le secteur associatif et non marchand. Ces emplois seront pris en charge par l’Etat, à hauteur de 80% du cout afférent à l’embauche.
B-4°)-Pouvoir au Peuple crée un nouveau revenu minimum ( voir proposition sociale n°29).,
B-5°)- Pouvoir au Peuple lance un grand plan de relance de l’économie d’un montant de 500 milliards d’euros. Il est de nature à favoriser la création massive et volontariste de millions d’emplois de salariés conclus sur la base de contrat à durée indéterminée.
Proposition n°27 : Pouvoir au Peuple se bat aussi pour des augmentations très importantes de salaires, des retraites, et du montant revalorisé de l’allocation du nouveau minima social. Le retour à l’échelle mobile, c’est-à-dire à l’indexation des salaires sur le coût de la vie. Ainsi qu’un grand plan de rattrapage salarial, afin de contre carrer la baisse gigantesque des salaires réels observée depuis les années 1980.
A)-Constat :
Sur longue période, c’est-à-dire depuis les années 1980, à compter de Mitterrand, et afin de lutter contre la chute du taux de profit du capital, on assiste à une baisse réelle et massive des salaires français avec l’aide de l’Etat totalement contrôlé par le capital, comme le montre l’historienne Madame Annie Lacroix-Riz dans une vidéo intitulée « Les parades du grand patronat à la chute du taux de profit ». En effet, à compter des années 1980, les salaires n’augmentent plus que de +0,7% par an contre +2,25% par an entre 1959 et 1979 (chiffres INSEE).
Cette érosion massive des salaires s’opère en amont et en aval de ce dernier :
a)-On assiste d’abord à une pression gigantesque, forcenée et réitérée du grand patronat sur la masse salariale française. Le coût du travail devient l’épouvantail numéro agité par les patrons : quand bien même les salaires dans la sidérurgie dans les meilleures années n’excédaient pas 5% du coût du capital analyse Madame Lacroix-Riz. Le grand patronat automatise tout ce qu’il peut : autoroutes, supermarchés, etc. Les salariés sont licenciés massivement, ce qui permet d’augmenter le cours de l’action en bourse.
Dans le partage de la valeur ajoutée, le facteur travail perd dix points par rapport au facteur capital.
b)-Mais ce n’est pas tout. Grâce à l‘impôt sur le revenu, chaque année, les salariés sont ponctionnés de leurs revenus au profit du 1% le plus riche. Par exemple, au titre du budget public de l’Etat, 157 milliards sont donnés chaque année en « aides aux entreprises » aux plus hauts revenus. Ils sont pris sur les salaires les plus modestes. Et personne en s’en émeut au sein des organisations syndicales et de la France Insoumise. Pour information, il faut savoir qu’entre 1945 et 1983, le budget de l’Etat permettait de redistribuer d’importante sommes des hauts revenus vers les revenus les plus modestes. En effet, les hauts revenus étaient imposés à hauteur de 40% (chiffre Thomas Piketty), contre 21% aujourd’hui (chiffre Alternatives Economiques). Soit l’exact mouvement contraire ponctionnant les plus riches au profit des plus pauvres, tel qu’il existait dans les années 1960.
B)-Voilà pourquoi Pouvoir au Peuple fait trois propositions de hausse des salaires, retour de l’échelle mobile, diminution de la fiscalité:
-proposition n°32-A (hausse des salaires) : Pouvoir au Peuple se bat pour obtenir une progression substantielle du pouvoir d’achat des salariés. Il exige l’augmentation des salaires directs, dans un premier temps de +20% pour tous les salaires. Aucun salaire ne doit être inférieur à 1500 euros. Il veille à réserver une attention particulière aux bas salaires et aux travaux les plus pénibles.
*Pouvoir au Peuple met en place un grand plan de rattrapage salarial, afin de neutraliser les énormes baisses des salaires réels, hélas subies par la population salariée française, à compter des années 1980. Chaque salarié touchera un capital correspondant au manque à gagner, dont il a été la victime.
Naturellement Pouvoir au Peuple supprime le salaire au mérite : tous les salaires seront revus dans leur globalité et de la même façon.
Pouvoir au Peuple demande aussi l’augmentation des prestations sociales, afin de faire en sorte que les dépenses de santé ne coûtent rien au salarié, chômeur, jeune ou retraité : frais d’hôpital, de spécialiste, de lunettes, etc. : une fois payée la sécurité sociale.
-Proposition 33-B (retour de l’échelle mobile) : Pouvoir au Peuple rétablit l’échelle mobile, c’est-à-dire l’indexation des salaires sur les prix, supprimée en 1983 pour cause de politique de rigueur est rétablie (voir propositions économiques du programme Pouvoir au Peuple°.
-Proposition 33-C (fiscalite) : Pouvoir au Peuple se bat aussi afin que diminue fortement la pression fiscale pesant sur les petits et moyens contribuables, c’est-à-dire sur 90% des salariés gagnant moins de 3500 euros par mois.
Pouvoir au Peuple supprime toutes les aides aux entreprises donnés chaque année dans le cadre du budget public de l’Etat : soit 157 milliards d’euros qui seront affectés aux budgets sociaux du Peuple français.
Pouvoir au Peuple impose à hauteur de 40% les hauts revenus et surtaxe ces derniers de +20% chaque année (voir propositions économiques du programme Pouvoir au Peuple)
De façon générale, Pouvoir au Peuple agit fermement, afin que le budget de l’Etat redevienne un budget redistributeur des hauts vers les bas revenus, tel qu’il existait dans les années 1960/1970.
Proposition n°34 : Le rassemblement Pouvoir au Peuple lutte activement contre les inégalités abyssales actuelle : aujourd’hui, on est passe d’un écart des revenus de 1 à 20 dans les années 1960 à un écart de 1 à 400 aujourd’hui (chiffre Martine Orange).
A)-Constat :
Sur longue période, c’est-à-dire depuis les années 1980, à compter de Mitterrand, et afin de lutter contre la chute du taux de profit du capital, on assiste à une baisse réelle et massive des salaires français avec l’aide de l’Etat totalement contrôlé par le capital, comme le montre l’historienne Madame Annie Lacroix-Riz dans une vidéo intitulée « Les parades du grand patronat à la chute du taux de profit ». En effet, à compter des années 1980, les salaires n’augmentent plus que de +0,7% par an contre +2,25% par an entre 1959 et 1979 (chiffres INSEE).
Cette érosion massive des salaires s’opère en amont et en aval de ce dernier :
a)-On assiste d’abord à une pression gigantesque, forcenée et réitérée du grand patronat sur la masse salariale française. Le coût du travail devient l’épouvantail numéro agité par les patrons : quand bien même les salaires dans la sidérurgie dans les meilleures années n’excédaient pas 5% du coût du capital analyse Madame Lacroix-Riz. Le grand patronat automatise tout ce qu’il peut : autoroutes, supermarchés, etc. Les salariés sont licenciés massivement, ce qui permet d’augmenter le cours de l’action en bourse.
Dans le partage de la valeur ajoutée, le facteur travail perd dix points par rapport au facteur capital.
b)-Mais ce n’est pas tout. Grâce à l‘impôt sur le revenu, chaque année, les salariés sont ponctionnés de leurs revenus au profit du 1% le plus riche. Par exemple, au titre du budget public de l’Etat, 157 milliards sont donnés chaque année en « aides aux entreprises » aux plus hauts revenus. Ils sont pris sur les salaires les plus modestes. Et personne en s’en émeut au sein des organisations syndicales et de la France Insoumise. Pour information, il faut savoir qu’entre 1945 et 1983, le budget de l’Etat permettait de redistribuer d’importante sommes des hauts revenus vers les revenus les plus modestes. En effet, les hauts revenus étaient imposés à hauteur de 40% (chiffre Thomas Piketty), contre 21% aujourd’hui (chiffre Alternatives Economiques). Soit l’exact mouvement contraire ponctionnant les plus riches au profit des plus pauvres, tel qu’il existait dans les années 1960.
B)-Voilà pourquoi Pouvoir au Peuple fait trois propositions de hausse des salaires, retour de l’échelle mobile, diminution de la fiscalité:
-proposition n°27-A (hausse des salaires) : Pouvoir au Peuple se bat pour obtenir une progression substantielle du pouvoir d’achat des salariés. Il exige l’augmentation des salaires directs, dans un premier temps de +20% pour tous les salaires. Aucun salaire ne doit être inférieur à 1500 euros. Il veille à réserver une attention particulière aux bas salaires et aux travaux les plus pénibles.
*Pouvoir au Peuple met en place un grand plan de rattrapage salarial, afin de neutraliser les énormes baisses des salaires réels, hélas subies par la population salariée française, à compter des années 1980. Chaque salarié touchera un capital correspondant au manque à gagner, dont il a été la victime.
Naturellement Pouvoir au Peuple supprime le salaire au mérite : tous les salaires seront revus dans leur globalité et de la même façon.
*Pouvoir au Peuple demande aussi l’augmentation des prestations sociales, afin de faire en sorte que les dépenses de santé ne coûtent rien au salarié, chômeur, jeune ou retraité : frais d’hôpital, de spécialiste, de lunettes, etc. : une fois payée la sécurité sociale.
-Proposition 27-B (retour de l’échelle mobile) : Pouvoir au Peuple rétablit l’échelle mobile, c’est-à-dire l’indexation des salaires sur les prix, supprimée en 1983 pour cause de politique de rigueur est rétablie (voir propositions économiques du programme Pouvoir au Peuple°.
-Proposition 27C (fiscalite) : Pouvoir au Peuple se bat aussi afin que diminue fortement la pression fiscale pesant sur les petits et moyens contribuables, c’est-à-dire sur 90% des salariés gagnant moins de 3500 euros par mois.
Pouvoir au Peuple supprime toutes les aides aux entreprises donnés chaque année dans le cadre du budget public de l’Etat : soit 157 milliards d’euros qui seront affectés aux budgets sociaux du Peuple français.
Pouvoir au Peuple impose à hauteur de 40% les hauts revenus et surtaxe ces derniers de +20% chaque année (voir propositions économiques du programme Pouvoir au Peuple)
De façon générale, Pouvoir au Peuple agit fermement, afin que le budget de l’Etat redevienne un budget redistributeur des hauts vers les bas revenus, tel qu’il existait dans les années 1960/1970.