15/11/2024
Magnifique accueil critique pour Un corps d’homme, d’Olivier Haralambon, récit d’une chute et de l’entrée dans le corps incertain de la cinquantaine.
À retrouver, évidemment, en librairie 🔥
« Un livre magnifique. (…) Olivier Haralambon a réussi à mettre des mots sur ce que notre chair ne sait pas dire, à faire sourire nos plaies. »
Pierre Adrian, La Croix
« Une révélation sensible qu’Olivier Haralambon raconte avec humour et élégance. »
Virginie Bloch-Lainé, Libération
« Dans ces pages intimes, Olivier Haralambon trouve des mots pudiques pour honorer le corps de la cinquantaine, ce presque inconnu, qui ne fait l’objet ni des fantasmes de la jeunesse ni des inquiétudes de la fin de vie. Avec tendresse et humour, le philosophe dessine les désillusions et les promesses amputées de sa chair blessée. (…) Ainsi la sagesse consisterait-elle à “attendre de l’âge”, à rebours de notre époque qui en attend si peu… »
Élodie Maurot, La Croix
« Est-ce cette similarité entre l’enroulement des jambes et celui des phrases? Le cyclisme a toujours entretenu une relation étroite avec l’écriture, faisant de ses auteurs des coureurs stylistes. Il faut compter aujourd’hui avec Olivier Haralambon. »
Pierre Vavasseur, Le Parisien Mag
Pierre Vavasseur, Le Parisien week-end
« Voilà quelques années que je suis Olivier Haralambon, et chaque fois je suis ébloui par la beauté de ses textes. »
Antoine de Caunes
« Un livre qui m’a passionné et que j’ai lu d’une traite. »
Étienne Klein, France Culture
« Une passionnante méditation sur le corps, l’identité et leurs métamorphoses. »
Sidonie Blaise, Le Monde des livres
« Écrivain magnifique, philosophe du sport, Haralambon se penche sur notre enveloppe de chair qui prend petit à petit ses distances de nous. C’est un grand livre. »
Jean-François Nadeau, Le Devoir
« Ce que Haralambon raconte (fort bien), c’est la redécouverte du corps, la jambe gauche pour boulet. Comment ce corps qui dysfonctionne prend une vie propre. Comment s’y lit le vieillissement – poils qui poussent laids, muscles qui fondent, sommeil qui fuit. »
François Montpezat, Les DNA