L'oncle d'Amérique, traducteur-éditeur

L'oncle d'Amérique, traducteur-éditeur Informations de contact, plan et itinéraire, formulaire de contact, heures d'ouverture, services, évaluations, photos, vidéos et annonces de L'oncle d'Amérique, traducteur-éditeur, Éditeur, 125 Avenue Simon Bolivar, Paris.

L'oncle d'Amérique, traducteur-éditeur à Paris, publie des livres traduits du portugais & de l'espagnol, principalement américains, de tous genres & de toutes époques, avec une prédilection pour les avant-gardes du début du XXe siècle.

[quelque chose dans l’air]Nous n’y sommes absolument pour rien mais la r***e Europe, dans sa nouvelle livraison (n°1142-...
10/06/2024

[quelque chose dans l’air]

Nous n’y sommes absolument pour rien mais la r***e Europe, dans sa nouvelle livraison (n°1142-1144, juin-août 2024), consacre tout un dossier à Pierre Morhange (1901-1972), poète «à l’écart» ou «occulté» (on jugera), qui fut tout d’abord l’animateur d’importantes r***es ayant plus ou moins prospéré (ou végété, on jugera) à la périphérie du surréalisme triomphant (pour parler vite, excusez).

Dans la première de ces r***es tristement oubliées (ô histoire littéraire!), la r***e Philosophies (1924-1925), ce Morhange-là se trouva publier et louer sans ambages un tout jeune poète latino-américain (de Paris) qui avait alors décidé d’écrire en français, mais oui.

Or ce poète-là, d’un singulier génie (pour vous parler franchement), figure au programme éditorial de L’oncle d’Amérique pour le printemps 2025 (convenons que maintes catastrophes ne manqueront pas de se produire d’ici-là).

Saurez-vous (re)trouver de qui il s’agit?
Quoi qu’il en soit, on vous en donnera prochainement des nouvelles. On travaille sur le livre et ça promet (comme on dit).

Pierre Morhange (1901-1972) est un poète considérable mais étrangement et scandaleusement occulté. L’œuvre de Marie-Claire Bancquart (1932-2019) est une quête, par les mots, d’un lieu habitable…

[à l’horizon]Notre traducteur s’étant avisé enfin de parachever le manuscrit que nous espérions tant (parmi d’autres), n...
03/04/2024

[à l’horizon]

Notre traducteur s’étant avisé enfin de parachever le manuscrit que nous espérions tant (parmi d’autres), nous sommes bien heureux d’envoyer à la mise en pages, ces jours-ci, notre prochain titre.

Une nouvelle longue, pour cette fois, et la dernière fiction publiée par notre cher Alcântara Machado. Une satire des mœurs politiques au Brésil, à l’occasion de la révolution de 1930. Une pochade.

Dans son inévitable postface, le traducteur s’amuse à évoquer les rapports de l’écrivain avec le champ politique durant ses dernières années. Et ce n’est pas triste.

Et comme on vous gâte, on a redécouvert dans un vieux journal une adaptation du récit en bande dessinée, dont plusieurs dizaines de cases viendront illustrer notre petite édition.

Notre graphiste a de quoi s’occuper.

[relations extérieures]Pour faire écho à certaine visite d’État au Brésil, annoncée cette semaine dans les gazettes, le ...
26/03/2024

[relations extérieures]

Pour faire écho à certaine visite d’État au Brésil, annoncée cette semaine dans les gazettes, le traducteur en chef de L’oncle d’Amérique a bien voulu extraire pour nous, d’un manuscrit peut-être en préparation, une chronique idoine signée par António de Alcântara Machado en 1926.

Plutôt cocasse, la chronique, irrévérencieuse pour qui de droit et d’un chauvinisme garanti d’époque. Diplomatie d’antan. Modeste contribution à la diplomatie d’aujourd’hui. De rien.

Pour faire écho à certaine visite d’État au Brésil, annoncée cette semaine dans les gazettes, le traducteur en chef de L’oncle d’Amérique a bien voulu extraire pour nous, d’un manuscrit peut-être en préparation, une chronique idoine signée par António de Alcântara Machado en 1926....

[à l’université]«Les chemins du livre dans l’Atlantique: entre médiation, traduction et réception»: c’est l’intitulé d’u...
12/05/2023

[à l’université]

«Les chemins du livre dans l’Atlantique: entre médiation, traduction et réception»: c’est l’intitulé d’une Journée d’étude internationale qui se tiendra pas plus t**d que mardi 16 mai 2023 à la Cité internationale universitaire (Paris 14e) — et en ligne via Zoom —, sous l’égide de Sorbonne Université et de l’Universidade Federal de Minas Gerais.

De bon matin ou presque, dans une table ronde sur «Les chemins de l’édition», le traducteur en chef de L’oncle d’Amérique n’évitera pas une petite bafouille dont voici le titre: «Import-export: le cas d’António de Alcântara Machado», et le résumé officiel:

«La récente traduction de "Brás, Bexiga et Barra Funda" (1927), fameux volume de nouvelles d’António de Alcântara Machado (1901-1935), a pu venir combler une lacune objective dans notre réception des lettres brésiliennes. En donnant à lire si t**divement un classique du modernisme, il s’agissait également de produire une édition critique susceptible de faire référence, synthèse mais aussi révision et reprise des recherches sur le texte et son auteur. De là, en retour, l’opportunité d’une publication au Brésil même, propre à favoriser de nouvelles lectures d’une œuvre un peu malmenée dans ses dernières rééditions en date, et à remettre en évidence un grand oublié dans les commémorations du centenaire du modernisme. Antoine Chareyre, responsable de l’édition française comme de la nouvelle édition brésilienne en préparation, témoignera des conditions concrètes et des enjeux nullement divergents de cette double démarche.»

Au programme [ci-contre], on ne manquera pas entre autres l’évocation des cas de Machado de Assis, de Murilo Rubião — dont Dominique Nédellec proposait récemment une première traduction d’ensemble ("L’ex-magicien de la taverne du Minho", éd. L’arbre vengeur, 2021) —, et les réflexions du traducteur Mathieu Dosse.

Qu’on se le dise.

10/01/2023

«En fin de compte, ce que voulait vraiment Alcântara Machado c’était tuer la littérature. Il l’a tuée. "Brás, Bexiga et Barra Funda" est le meilleur journal jamais apparu au Brésil. Il ne contient pas une goutte de littérature.»

C’est ainsi que le poète Carlos Drummond de Andrade résume sa lecture de ce titre - que nous lisons pour la 9e recontre de notre club de lecture – de António de Alcântara Machado (1901-1935), écrivain associé au modernisme brésilien.

Né à São Paulo le 25 mai 1901, Antônio Castilho de Alcântara Machado d’Oliveira est écrivain, journaliste et homme politique. Lancé corps et âme dans son travail de journaliste engagé pour la culture, le jeune homme ne participe pas directement aux manifestations de la Semaine d’art moderne de 1922, mais se lie d’amitié avec l'auteur Oswaldo de Andrade et se rallie au mouvement moderniste – dont il finira par devenir l’une des principales figures littéraires. Ainsi, il signe en 1926, à 25 ans à peine, son premier texte – « Pathé Baby » (en français, aux éditions Petra) - qui rassemble ses impressions du voyage qu’il fait à travers l’Europe deux ans auparavant. Les nouvelles de « Brás, Bexiga et Barra Funda » se caractérisent par leur dynamisme, leur style objetif et direct, leur langage inspiré à la fois du journalisme et du vernaculaire des immigrés italiens qui en sont les protagonistes.

Disparu précocement en 1935, Alcântara Machado demeure aujourd’hui un classique du modernisme brésilien, à l’égal de ses amis Oswald de Andrade et Mário de Andrade, mieux connus en France,

On se retrouve le 14.01 à la BNF pour se plonger dans ces histoires à la fois réalistes et touchantes, avec Antoine Chareyre, traducteur-éditeur chez L’oncle d’Amérique, et Maud Lageiste, chargée de collections lusophones à la BNF.

02/01/2023

Pour sa prochaine séance, le club de lecture de l’ambassade vous emmène à São Paulo 🇧🇷❤️🖤🤍!
Au programme pour cette 9e et dernière rencontre de sa première édition : « Brás, Bexiga et Barra Funda », nouvelles d’Antônio de Alcântara Machado qui racontent la présence italienne dans la plus grande ville du Brésil au début du XXe siècle. Dans ces trois quartiers populaires de la capitale de l’État de São Paulo, on découvre les petits détails, les banalités, les rituels et les gestes du quotidien des "oriundi" qui ont transformé la physionomie urbaine et la société paulistana.
On vous attend le 14.01 à 10h30 à la Bibliothèque nationale de France (Quai François Mauriac, 75013) en présence d’Antoine Chareyre, traducteur et éditeur de l’édition française, et de Maud Lageiste, chargée de collections lusophones à . Pour réserver votre place, envoyez-nous un mail, à [email protected], en précisant dans l’objet « Club de lecture #9 », et venez clôturer une année de lecture en beauté !

 

[rencontre]Figurez-vous que le prochain rendez-vous du très couru CLUB DE LECTURE de l’Ambassade du Brésil sera consacré...
28/12/2022

[rencontre]

Figurez-vous que le prochain rendez-vous du très couru CLUB DE LECTURE de l’Ambassade du Brésil sera consacré à BRÁS, BEXIGA ET BARRA FUNDA de notre cher António de Alcântara Machado.

Notez que cette rencontre au sommet se tiendra le samedi 14 janvier à 10h30, à la BnF, et sera modestement animée par le traducteur en chef de L’oncle d’Amérique, Antoine Chareyre, avec Maud Lageiste, chargée de collections en langue et littératures d’expression portugaise à la BnF.

N’oubliez pas qu’on s’inscrit fissa en écrivant à [email protected] (en précisant dans l’objet «Club de lecture #9»).

Et ne soyez pas sans savoir que les 12 premiers inscrits pourront se porter acquéreurs du livre susmentionné avec un rabais de 50% à la Librairie Portugaise & Brésilienne (21 rue des Fossés Saint-Jacques, Paris 5e).

«Le dit public lecteur est celui qu’on sait», déclarait Alcântara Machado en 1927, en pleine promo de son petit livre.
C’est ce qu’on verra.

27/12/2022

La dernière rencontre de la 1ere édition du club de lecture de l’ambassade se déroulera en 2023, à la Bibliothèque nationale de France. Maud Lageiste - l’un ...

27/12/2022

Ami.e.s lecteurs.trices ! Les inscriptions sont ouvertes pour la prochaine rencontre du club de lecture de l’ambassade 📚💙💛💚!
Le 14.01.2023, on se retrouve à 10h30 à la BNF (site Quai François-Mauriac, 75013 Paris) pour lire les nouvelles d’Antônio de Alcântara Machado. On aura le privilège d’être accompagné dans nos échanges par Antoine Chareyre, qui a fait un travail exceptionnel de traduction du titre du mois, « Brás, Bexiga e Barra Funda » - qu’il a aussi édité, sur son label L’Oncle d’Amérique.
À ses côtés, Maud Lageiste, chargée de collections en langue et littératures d’expression portugaise à la BNF, apportera son regard sur le modernisme brésilien – mouvement littéraire et artistique qui était en plein essor à l’époque où Alcântara Machado redigeait ces histoires.

Alors, vite, vite, on réserve sa place en écrivant à [email protected], en précisant dans l’objet « Club de lecture #9 ». Comme d’habitude, les 12 premiers inscrits bénéficieront d’un rabais de 50% sur le recueil, exclusivement à la Librairie portugaise et brésilienne (21 rue des Fossés Saint-Jacques, 75005 Paris). On vous transmettra les détails pratiques de la rencontre par email – en attendant, continuez à nous suivre sur les réseaux pour rester au courant de l’actualité du Club de lecture et du Brésil en France !

[pages d’anthologie]Comme chaque Sept Septembre, fête nationale au Brésil, relisons ce drolatique épisode des aventures ...
07/09/2022

[pages d’anthologie]

Comme chaque Sept Septembre, fête nationale au Brésil, relisons ce drolatique épisode des aventures d’Aristodemo Guggiani, fils d’immigrés italiens à São Paulo.
Une nouvelle à retrouver dans notre édition de BRÁS, BEXIGA ET BARRA FUNDA (1927) d’António de Alcântara Machado…

«Le sergent Aristóteles Camarão de Medeiros, natif de São Pedro do Cariri, quand il parlait honneur de l’uniforme, devoirs du soldat et grandeur de la patrie, enthousiasmait n’importe qui.
Aristodemo rien qu’à l’entendre devint un Brésilien jacobin. Aristóteles le choisit comme adjudant d’ordres. Une sorte de.
— Vous connaissez l’hymne national, mon garçon?
— Pardi si je le connais, sergent!
— Alors allez pas oublier, hein? Vous en amènerez demain quelques copies pour que la troupe puisse répéter en vue du Sept Septembre. C’est tout.

Aristodemo mit un peu de repos dans le service. Il apporta aussi tout un tas de copies.
Et la première répétition eut lieu le soir même.

“Ou-viram do I-piranga as margens plá-cidas…”

— Arrêtez, ça va pas, non! Ça manque de patriotisme. On dirait même pas des Brésiliens. Allons!

“Ou-viram do I-piranga as margens plá-cidas
Da Inde-pendência o brado re-tumbante!”

— C’est pas comme ça, non. “Retumbante”, faut que ça éclate, les gars, faut que ça retentisse! C’est un mot… comment dit-on, déjà?... c’est un mot… ah!... onomatopéique: “RETUMBANTE”!
Et l’hymne reprit en grondant:

“… da Inde-pendência o brado re-TUMBAN-te!
E o sol da li-berdade em raios fúl…”

Tout à coup, du bruit dans le deuxième peloton.
— C’est quoi c’t’engueulade, les gars?
Une sacrée engueulade. Le petit Allemand reçut une beigne dans le grand style. Aristodemo y mit tout le punch dont il put disposer sur le moment.
— La répétition est suspendue. Rompez les rangs.

— Je l’ai bel et bien frappé, sergent. Dieu du ciel! Une grosse claque, c’est ça. Ce sa**ud se foutait de l’hymne du Brésil!
— Qu’est-ce que vous me dites là, Aristodemo?
— Il s’en foutait, sergent. Vous pouvez demander à n’importe qui dans le peloton. Au lieu de chanter, il se moquait de nous. Alors moi j’ai fini par me mettre en colère et je lui ai dit qu’il avait obligation de chanter avec nous lui aussi. Alors lui, il a répondu qu’il chantait pas parce qu’il était pas brésilien. Alors moi, j’ai dit que s’il était pas brésilien ben c’est parce qu’il était… un… je l’ai traité de… j’ai offensé sa mère, sergent! Offensé bel et bien. Dieu du ciel. Alors il a dit que sa mère faudrait qu’elle soit brésilienne pour qu’il soit… ce que j’avais dit. Alors moi, sergent, j’ai trouvé que c’en était trop et je lui ai abîmé le visage, à ce sa**ud! Sur le champ.
— Je vais entendre les témoins de l’incident, Aristodemo. Ensuite, je procèderai selon la justice. “Fiat justitia”, comme disaient les anciens Romains. Ayez confiance en elle, Aristodemo.

“ORDRE DU JOUR

Conformément aux ordres donnés par le Très Exct M. Dr président de cette Caserne de Réservistes et après avoir entendu six témoins oculaires et auditifs à propos du déplorable incident intervenu hier en cet établissement, duquel a résulté un coup reçu à la joue droite par la recrue Guilherme Schwertz, n°81, j’informe que la susnommée recrue Guilherme Schwertz, n°81, est exclue des rangs de l’armée, je veux dire de cette Caserne de Réservistes, vu qu’elle s’est montrée indigne d’arborer l’uniforme glorieux de soldat national du fait des injures absolument infâmes qu’elle a osé porter contre l’honneur immaculé de la femme brésilienne et principalement de la Mère, ajoutant qu’elle a commis pareil acte délictueux contre l’honneur national au moment sacré où on chantait en cet établissement notre immortel hymne national. J’informe également que par nécessité de discipline, qui est la base sur laquelle s’appuie toute corporation militaire, la recrue Aristodemo Guggiani, n°117, unique responsable du coup susmentionné accompagné de graves ecchymoses, est suspendue un jour à partir de cette date. “Dura lex sed lex”. Je profite néanmoins ce faisant de l’heureuse occasion pour citer en exemple la susnommée recrue Aristodemo Guggiani, n°117, qui doit être suivie au point de vue du patriotisme quoique avec moins de violence malgré la propreté, je veux dire la pureté de ses intentions.
Je profite encore de l’occasion pour déclarer qu’il est expressément interdit de jouer au football dans la cour de cet établissement. Ici nous devons nous occuper seulement de la défense de la Patrie !
São Paulo, 23 août 1926.
(s) Sergent instructeur Aristóteles Camarão de Medeiros.”»

[indiscrétion]«J’ai pris beaucoup de plaisir à découvrir les textes, très vivants, très touchants, qui font s’animer sou...
01/06/2022

[indiscrétion]

«J’ai pris beaucoup de plaisir à découvrir les textes, très vivants, très touchants, qui font s’animer sous nos yeux (et dans nos oreilles) cette drôle de communauté des Italo-brésiliens. C’est tout un monde vibrionnant que j’ai découvert, comme par immersion immédiate.»

Voilà ce que nous écrivait tantôt un très illustre traducteur, DOMINIQUE NÉDELLEC, à propos des nouvelles de BRÁS, BEXIGA ET BARRA FUNDA du Brésilien ALCÂNTARA MACHADO.

«Épastrouillant!», concluait-il, après avoir généreusement loué le travail d’édition critique lui-même.

Vous aussi, rejoignez donc la communauté des lecteurs enchantés d’Alcântara Machado!

« Brás, Bexiga et Barra Funda est l’organe des Italo-Brésiliens de São Paulo. (…) Brás, Bexiga et Barra Funda, en tant que membre de la presse libre, tente de fixer tout au plus quelques aspects de la vie laborieuse, intime et quotidienne de ces nouveaux métis nationaux et nationalistes....

[rétrospective]Histoire de ne pas oublier qu’un bon livre reste une nouveauté pour tous ceux qui ne l’ont pas encore lu,...
13/05/2022

[rétrospective]

Histoire de ne pas oublier qu’un bon livre reste une nouveauté pour tous ceux qui ne l’ont pas encore lu, fêtons avec entrain le premier anniversaire du titre inaugural de L’oncle d’Amérique : le classique BRÁS, BEXIGA ET BARRA FUNDA du Brésilien ANTÓNIO DE ALCÂNTARA MACHADO, un ouvrage qui vaut un peu le détour si l’on en croit les bien jolies chroniques parues au fil des mois, notamment:

● dans le ‘Matricule des Anges’ par Guillaume Contré > bit.ly/3wa8F9p
● sur ‘L’Alamblog’ par Éric Dussert > bit.ly/3wsXc3N
(et une avant-chronique > bit.ly/39fmlHc )
● dans ‘Libération’ par Frédérique Fanchette > bit.ly/3PfVwTM
● sur le blog ‘America nostra / nos Amériques’ par Christian Roinat > bit.ly/3Ld1VvL
● dans les notes de lecture de la librairie arlésienne L’Archa des Carmes > bit.ly/3McpYfL
● dans ‘En attendant Nadeau’ par Mathieu Dosse > bit.ly/3sx5qXk

Et concluons provisoirement, mais sans ambages, que qui méconnaît la prose vive et piquante d’Alcântara Machado ignore un bout du meilleur de la fiction brésilienne !

[en illustration : Alcântara Machado, très ressemblant, dans un portrait-charge de Di Cavalcanti]

[en vitrine]Paru il y a près d’un an, BRÁS, BEXIGA ET BARRA FUNDA, ce savoureux petit volume de nouvelles du Brésilien A...
07/05/2022

[en vitrine]

Paru il y a près d’un an, BRÁS, BEXIGA ET BARRA FUNDA, ce savoureux petit volume de nouvelles du Brésilien ALCÂNTARA MACHADO, continue de trouver peu à peu son public, comme on dit.

Il fait toujours signe au chaland, par exemple, dans cette fabuleuse vitrine de la librairie PETITE ÉGYPTE (35 rue des Petits Carreaux, Paris 2e) qui se visite avec profit, la preuve.

Soyez plus malins: passez donc à l'Autre salon du livre (Palais de la Femme, 94 rue de Charonne), encore ce dimanche jus...
24/04/2022

Soyez plus malins: passez donc à l'Autre salon du livre (Palais de la Femme, 94 rue de Charonne), encore ce dimanche jusqu'à 19h.

L'oncle d'Amérique est invité en chair et en os sur le stand de Van Dieren éditeur.

À votre service à l'Autre salon du livre (Palais de la Femme, 94 rue de Charonne), ce samedi jusqu'à 20h et dimanche jus...
23/04/2022

À votre service à l'Autre salon du livre (Palais de la Femme, 94 rue de Charonne), ce samedi jusqu'à 20h et dimanche jusqu'à 19h, sur le stand de Van Dieren éditeur.
Tout doit disparaître.

[rendez-vous]Bis repetita, à la faveur d’une sympathique invitation de Van Dieren Editeur, nous serons bien heureux d’ex...
20/04/2022

[rendez-vous]

Bis repetita, à la faveur d’une sympathique invitation de Van Dieren Editeur, nous serons bien heureux d’exposer le (début de) catalogue de L’oncle d’Amérique à L’AUTRE SALON DU LIVRE (Palais de la Femme, 94 rue de Charonne, Paris 11e), du vendredi 22 au dimanche 24 avril.

Venez nous voir, vous serez bien reçus !

L’AUTRE SALON DU LIVRE
du 22 au 24 avril 2022,
au Palais de la Femme (94, rue de Charonne, 75011 Paris)

nous serons présents au Salon L'Autre Livre
Nous nous réjouissons de vous y voir!

https://www.lautrelivre.fr/pages/exposants

[comment se propagent les bonnes nouvelles]N’empêche que, si vous trouvez ce petit livre chez votre libraire, c’est que ...
04/04/2022

[comment se propagent les bonnes nouvelles]

N’empêche que, si vous trouvez ce petit livre chez votre libraire, c’est que vous fréquentez une bien bonne librairie.

Conseil de lecture du blog En Attendant nadeau. Antonio de Alcântara Machado, Brás, Bexiga et Barra Funda. Informations de São Paulo. Trad. du portugais (Brésil) par Antoine Chareyre. L'oncle d'Amérique, 246 p., 21 €

Bravo à la rédaction d'En attendant Nadeau et à Mathieu Dosse pour cette superbe chronique!
09/03/2022

Bravo à la rédaction d'En attendant Nadeau et à Mathieu Dosse pour cette superbe chronique!

Dans "Brás, Bexiga et Barra Funda" António de Alcântara Machado raconte avec plein de tendresse de petites "Informations de São Paulo".

Adresse

125 Avenue Simon Bolivar
Paris
75019

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque L'oncle d'Amérique, traducteur-éditeur publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Contacter L'entreprise

Envoyer un message à L'oncle d'Amérique, traducteur-éditeur:

Partager

Type


Autres Éditeurs à Paris

Voir Toutes