L'Ecran Fantastique

07/02/2025

LE DÉBUT D’UN UNIVERS MULTIMÉDIA
Legendary créé un nouvel multivers de mondes fantastiques

Hasbro Entertainment et Legendary s’associent pour produire un film en prises de vue réelles et un univers télévisuel basés sur « Magic : The Gathering », le jeu de cartes à collectionner à succès de Hasbro. Ce partenariat prévoit initialement la réalisation d'un long-métrage ainsi que d’une série télévisée. D'autres contenus seront développés au fur et à mesure de l'expansion de l'univers. Créé en 1993 par Richard Garffield, Magic : The Gathering est le premier jeu de cartes à collectionner au monde. Ses personnages attachants, son univers fantastique, sa dimension stratégique et son haut potentiel de personnalisation ont captivé plus de 50 millions de joueurs de tous âges dans le monde entier.
“Il s'agit d'un partenariat palpitant et complémentaire, qui associe l'une des marques les plus emblématiques du monde à un studio puissant et reconnu. Magic: The Gathering a inspiré des décennies de mondes épiques et de récits fantastiques» explique Zev Foreman, responsable des films chez Hasbro Entertainment. Dans le jeu, les joueurs incarnent des planeswalkers , de puissants lanceurs de sorts qui invoquent des créatures, lancent des sorts et utilisent des artefacts pour vaincre leurs adversaires.

06/02/2025

https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/l-ecran-fantastique-des-portes-de-l-enfer-aux-aventures-galactiques?fbclid=IwY2xjawIRiNdleHRuA2FlbQIxMAABHaCjsps1MvsuRIh3sKOvDUbkpK0BrSPngFyT0adr63vJTnXtAM_91EhcnA_aem_-3Q_wCv8Pii1KR77oX0xrg

Embarquez-vous pour un voyage vers tous les multivers

05/02/2025

LE SOUS SOL DE LA PEUR
Une jeune femme se réveille au milieu de cadavres et doit feindre la mort
Réalisateur, producteur ou scénariste d’un certain nombre de fims d’horreur argentins (The 100 Candles Game : The Last Possession, Nightmare Radio : The Night Stalker, 1978, etc) Carlos Goitlia signe « Play Dead », décrit comme un conte macabre de survie et de tromperie» qui s'inspire «fortement de classiques de l'horreur comme Massacre à la tronçonneuse, Don't Breathe et The Collector. Le récit suit le parcours éprouvant d'Alison, qui se retrouve gravement blessée et piégée dans un sous-sol sombre et mystérieux. Désespérée de survivre, elle doit faire preuve d'intelligence et faire semblant d'être morte, se fondant parmi les cadavres qui l'entourent. Mais alors qu'elle s'accroche à la vie, elle fait une découverte horrible : au-dessus d'elle, une célébration rituelle grotesque se déroule. À chaque instant qui passe, le danger s'intensifie.

https://www.youtube.com/watch?v=Ry9pq-ggBS8

05/02/2025

Exclusif : la couverture du prochain reboot ! (parution début mars)

05/02/2025

JURASSIC WORLD REBIRTH : la bande-annonce !

Le film de Gareth Edwards (« Godzilla », version 2014) sortira en salles le 2 juillet.

L'écologie de la planète s'est révélée en grande partie inhospitalière pour les dinosaures. Ceux qui subsistent vivent dans des environnements équatoriaux isolés, avec des climats ressemblant à celui dans lequel ils prospéraient autrefois. Les trois créatures les plus colossales de cette biosphère tropicale détiennent la clé d'un médicament qui apportera des bienfaits miraculeux pour l'humanité.

Écrit par David Koepp, qui revient dans la franchise après avoir écrit « Jurassic Park » en 1993 et sa suite en 1997 « Jurassic Park : Le Monde perdu « .
Il s'agit du dernier opus de la franchise « Jurassic World » qui devrait lancer une « nouvelle ère jurassique » et proposer un tout nouveau scénario.

https://www.youtube.com/watch?v=jan5CFWs9ic

05/02/2025

Du Mercredi 29 au Dimanche 02 Février 2025 s’est déroulée la 32ème édition du Festival International du Film Fantastique de Gérardmer. Comme chaque année, Horreur.com couvre l’évènement durant ces cinq jours de festivités, entre projections, expositions, animations et stands en tout ge...

04/02/2025

VOD
BREATHING IN
Un drame fantastique troublant et envoûtant
***
Afrique du Sud. 2023. Réal.: Jaco Bouwer. Scén.: Jaco Bouwer d’après une pièce de Reza de Wett. Prod. : Cobus van den Berg, Jorie van der Walt et Tim Theron. Photo : Jorie van der Walt. Mus. : Pierre-Henri Wicomb. Mont.: Leon Visser. 1h45. Avec : Michele Burgers, Jamie-Lee Money, Sven Ruygrok. (Shadowz).

En 1901, en Afrique du Sud, durant la guerre des Boers, deux femmes, ne voyageant que de nuit, trouvent refuge dans une bâtisse délabrée où elles soignent un général blessé. Un soir, un jeune adjudant vient prendre des nouvelles de son supérieur. Il va alors vivre un véritable cauchemar…

Deuxième long-métrage de Jaco Bouwer après le très réussi Gaia, Breathing In est une œuvre déroutante à plus d’un titre. Le film s’ouvre par un magnifique plan sur le désert sud-africain avant qu’un inquiétant personnage, dont le visage est dissimulé par une capuche, ne soit introduit et que le décor ne soit planté. Le récit se déroule ainsi dans un contexte historique méconnu, ce qui participe aussi à son attrait. Néanmoins, si l’horreur de la guerre est le cadre de l’histoire, elle n’est pas le thème principal et sert uniquement de toile de fond à cette production qui se concentre avant tout sur la folie semblant gagner les protagonistes. En moins de cinq minutes, le réalisateur parvient à façonner une atmosphère angoissante et pose une partie des enjeux dramatiques, en nous dévoilant l’étrange relation qui lie Anna, semblant être une sorcière, et Annie, une jeune femme qui est sous son emprise. Le film se déroule, de la sorte, en majorité à huis clos (il s’agit de l’adaptation d’une pièce de théâtre) et s’articule autour de quatre personnages. Un procédé qui permet évidemment de limiter le budget, mais qui renforce également la dimension étouffante de l’action qui se déroule sous nos yeux. Breathing In n’est certes pas dénué de longueurs, mais son ambiance est suffisamment envoûtante pour séduire les amateurs de drame horrifique. De plus, le réalisateur n’apporte pas de véritable réponse et laisse le spectateur dans le doute quant aux faits qui sont représentés à l’écran, ce qui ne fait qu’accentuer le trouble ressenti. Photographie soignée, mise en scène fluide et efficace et interprétation convaincante font, à l’arrivée, de cette production une œuvre tout à fait estimable qui mérite le détour.

ERWAN BARGAIN