⬛️ 10 BONNES RAISONS DE VOTER LE SYNDICAT DES GILETS JAUNES
Vous voulez mettre une douille au gouvernement et par la même occasion aux syndicats traditionnelles ?
C'est maintenant !
Les élections des Très Petites Entreprises (TPE) sont une occasion essentielle pour chaque travailleur de faire entendre sa voix et d’influencer les décisions qui auront un impact sur son quotidien. Aujourd’hui, nous vous encourageons à voter pour le **syndicat des Gilets Jaunes**, une force émergente qui place la justice sociale, les droits des travailleurs et la dignité humaine au cœur de ses priorités.
1.Un syndicat issu du terrain
Le syndicat des Gilets Jaunes est né d’un mouvement citoyen, porté par des hommes et des femmes ordinaires, confrontés aux défis du quotidien. Ce syndicat comprend vos préoccupations car il est composé de personnes comme vous : travailleurs de terrain, entrepreneurs, artisans, employés et indépendants.
2.La défense des droits fondamentaux
Le syndicat des Gilets Jaunes milite activement pour des salaires justes, une meilleure répartition des richesses, et la défense des droits sociaux. Voter pour ce syndicat, c’est choisir un partenaire qui refuse les compromis au détriment des plus faibles.
3.Une écoute attentive des travailleurs des TPE
Les petites entreprises, qui représentent une part importante de l’économie française, sont souvent oubliées dans les décisions politiques. Le syndicat des Gilets Jaunes s’engage à faire de vos besoins une priorité en proposant des solutions concrètes adaptées aux spécificités de votre réalité professionnelle.
4.La lutte contre la précarité
Dans un monde du travail où l’instabilité est de plus en plus fréquente, le syndicat des Gilets Jaunes se bat pour des contrats de travail stables, la sécurité sociale universelle et une protection accrue face aux licenciements abusifs.
5.Une fiscalité plus équitable pour les TPE
Les très petites entreprises et le
10 RAISONS D'UNE INSURRECTION
⬛️10 RAISONS D'UNE INSURRECTION QUI POURRAIT VENIR RAPIDEMENT
Le gouvernement Michel Barnier incarne un risque d’insurrection pour plusieurs raisons liées à ses positions politiques perçues comme conservatrices, néolibérales et répressives.
Voici 10 raisons qui expliquent pourquoi, la France pourrait connaître une insurrection sous son gouvernement.
1. Incarnation des élites technocratiques
Michel Barnier représente l’archétype de l’élite technocratique et néolibérale déconnectée des réalités populaires. Ancien ministre, haut fonctionnaire européen, Barnier est perçu comme une figure de l’establishment, incapable de comprendre ou de répondre aux préoccupations des classes populaires et des travailleurs. Cette distance avec le peuple nourrit un ressentiment et une colère prêts à exploser.
2. Politiques économiques néolibérales
Barnier est associé à des politiques économiques libérales favorisant les grandes entreprises et les multinationales au détriment des services publics, des travailleurs et des plus précaires. Avec les dernières élections législatives nous pouvons que constater qu'une majorité de personnes s’opposent fermement à ces orientations, estimant qu’elles renforcent les inégalités sociales et économiques. Toute tentative de Barnier de réformer les retraites, réduire les dépenses publiques ou flexibiliser le marché du travail serait perçue comme une attaque frontale contre les acquis sociaux, risquant de provoquer une révolte.
3. Absence de réponses aux crises écologiques et sociales
Nous pouvons considérer que les enjeux écologiques et sociaux sont interconnectés et que le gouvernement Barnier, proche du monde des affaires, est incapable de répondre efficacement à l’urgence climatique. Le manque d’ambition en matière de transition écologique, couplé à une gestion capitaliste des ressources, pourrait mener à des mouvements de contestation violents, notamment de la
NANCY 1944 DE GAULLE ET PÉTAIN
⬛️LIBERATION DE NANCY, TOUS RÉSISTANTS ? NON !
Le 25 septembre 1944, Charles de Gaulle, chef du Gouvernement provisoire de la République française, fit une visite mémorable à Nancy, sur la place Stanislas, après la libération de la ville. Cette venue marqua un tournant symbolique dans la perception que de nombreux Français avaient de la guerre, tout en révélant un changement radical dans les attitudes politiques et populaires. En effet, l'arrivée de De Gaulle s'inscrivait dans le contexte de la Libération, où l’enthousiasme pour la Résistance se manifestait de plus en plus bruyamment. Toutefois, quelques mois auparavant, le 28 mai 1944, cette même place Stanislas avait accueilli le maréchal Pétain, chef de l’État français de Vichy, dans une atmosphère tout à fait différente. De nombreux habitants de Nancy, ainsi que dans toute la France, étaient encore alors profondément attachés au régime de Vichy, voire favorables à sa politique de collaboration avec l’Allemagne nazie.
Lorsque Pétain visita Nancy en mai 1944, il fut accueilli par une foule nombreuse et apparemment dévouée. Les discours du maréchal étaient imprégnés de l'idée de "travail, famille, patrie", des valeurs prônées par le régime de Vichy. Pour beaucoup, il incarnait la figure paternelle d'un homme qui, bien qu'ayant accepté l'armistice en 1940, croyait sincèrement en la possibilité de protéger la France de la pire des répressions allemandes. Ainsi, nombreux furent ceux qui, par pragmatisme ou par idéologie, soutenaient Pétain et son régime, voyant en lui une planche de salut face au chaos de la guerre.
Mais cette adhésion au régime de Vichy, bien qu’en apparence solide, fut rapidement balayée par les avancées des forces alliées et de la Résistance intérieure. Lorsque Charles de Gaulle vint à Nancy après la Libération, cette même place Stanislas, qui avait vu Pétain acclamé quelques mois plus tôt, se transforma en une mer de drapea
Violence institutionnelle vs violence populaire
⬛️ VIOLENCE INSTITUTIONNELLE VS VIOLENCE POPULAIRE
La question de la violence dans le débat public et démocratique est un sujet complexe et délicat. Si la violence est souvent perçue comme un échec du dialogue et de la démocratie, elle est parfois un dernier recours pour des populations marginalisées ou méprisées. Les révoltes populaires, comme celles des Gilets jaunes, des grévistes ou des quartiers populaires, révèlent une fracture profonde entre l'institution et le peuple. Il est essentiel de comprendre que la violence institutionnelle, souvent silencieuse et insidieuse, peut être bien plus destructrice et pernicieuse que les soulèvements populaires.
La violence institutionnelle prend diverses formes : politiques d'austérité, déni des droits sociaux, répression policière, ou encore mépris des revendications populaires. Dans le cadre du mouvement des Gilets jaunes, par exemple, le refus obstiné des élites politiques d'entendre les revendications de citoyens qui luttaient pour la justice sociale et fiscale a exacerbé la colère. Face à l'indifférence du gouvernement, la violence est devenue un moyen d'expression pour un grand nombre d'entre eux. Cette violence visible, que beaucoup condamnent, est avant tout une réponse à une violence cachée qui perdure depuis des décennies.
Les grévistes, souvent stigmatisés par les médias et les gouvernements, se retrouvent eux aussi en confrontation directe avec la violence institutionnelle. Lorsqu'un gouvernement ignore les revendications légitimes des travailleurs et préfère imposer des réformes par la force, comme cela a été le cas avec la réforme des retraites en France, il légitime en quelque sorte la radicalisation des mouvements de protestation. Face à l'intransigeance de l'État, la grève, et parfois même la violence, apparaissent comme le seul levier d'action pour des citoyens réduits à l'impuissance.
Le soulèvement des quartiers populaires est un autre exemple fl
PROGRAMMATION FÊTE À TOMIK 2024
⬛️7eme ÉDITION DE LA FÊTE À TOMIK
Ce samedi 21 septembre, la place de la République accueillera de 10h à minuit la 7e édition de la Fête à Tomik, organisée par Sortons du nucléaire Moselle membre de la fédération libertaire de Lorraine et le Collectif mosellan de soutien à Bure, en partenariat avec la CNT.
Chaque années, ce sont entre 500 et 1500 personnes qui viennent sur la place de la République écouter des concerts (gratuitement), s’informer, débattre, sur l’énergie nucléaire, l’environnement au sens large, et le social.
Un village associatif d’une trentaine de stands accueillera le public tout au long de la journée. Parmi les structures présentes : Confédération paysanne, Les graines libertaires, Lorraine nature environnement, Attac, Air vigilance, Les jardins de l’amour, etc.
Des stands buvette (bière locale et bio) et restauration (avec des produits locaux, vegan et non vegan) seront installés.
Des concerts seront également proposés dès 15h avec Un homme qui rêve (Metz, chanson française), Humnle tree hi-fi (Metz, sound-system), Boots n’cats (Metz, ska, rock), Carmen Colère (rock, punk), Joey Gluten (rock, chanson française, punk), mais aussi L’anarchorale (chorale, chants populaires, Metz).
Et puis il y aura les habituelles surprises, comme des performances drag show de Queerdom, etc.
Contacts : Jérémy Nicolas, co-président de Sortons du nucléaire Moselle et membre du Comité mosellan de soutien à Bure : 0671043127, [email protected], ou Christian Gratius au 0604153996.
Crédit montage vidéo CLL via la Fédération Libertaire de Lorraine
Crédit musique Joey glüten
La Moselle Voisine de la Poubelle Nucléaire @super fans
KLL pour le Pavé Lorrain
⬛️C'EST LES BURE'LESQUES !
Le 4e Festival de résistance au projet CIGEO/BURE à Saint-Amand-sur-Ornain (sud Meuse) se tiendra le 16, 17 et 18 août 2024.
Le festival les Bure’lesques pose une nouvelle fois son beau village de chapiteaux à quelques kms de Bure. Meuse et Haute-Marne aux multiples atouts ne doivent pas être sacrifiées aux intérêts d’un nucléaire qui veut y enfouir ses déchets les plus irradiants.
Rendez-vous pour 3 jours informatifs et festifs ouverts à toutes et tous pour des moments conviviaux et constructifs !
En 2024, pour ce 4e festival, on passe au « plan B » général. Parce que le monde ne tourne pas rond et que nous voulons poser un autre regard sur le vivant, nous réfléchirons en deux temps. Énergie, agriculture, luttes environnementales : on fait les constats et on passe ensuite aux exemples concrets, positifs, ceux qui nous ferons avancer ensemble vers un changement indispensable de modèles sociétaux !
Bien entendu, l’absurde projet Cigéo de l’Andra sera scruté sous toutes ses formes : demande d’autorisation actuellement à l’étude, chantiers préalables destructeurs, transports de déchets radioactifs sillonnant le territoire, tentatives d’expropriations.
🏴SPECTACLES & CONCERT > ICI
Audrey Vernon & Xavier Mathieu, Cie En corps en l’air / Les Sanglés, Cie Rêveurcibles, Théâtre des travaux et des jours, Cie Les mots du vent, Cie Toctoc, Fatrasse Théâtre, Cirque Gones, Collectif La Mangeuse de cerveau, Cie Max Ollier, ...
🏴Téklémek, Rock touareg / Corde raide, Rock répétitif et musique improvisée / Duo Rascovnik, Libertés balkaniques / SESAM, Jazz rock prog / Vyryl, Electro rock / Grand voyageur, Chanson française / Electro rurale, ...
🏴PROJECTIONS de films et documentaires > ICI
Sujets environnementaux et sociétaux en continu, échanges avec les réalisateur·rices.
🏴VILLAGE INFO
Associations, librairies, Syndicat de la Presse Pas Pareille, Les Autres Voix de la Presse
⬛️À REGARDER SANS MODÉRATION !
⬛️ RASSEMBLEMENT TOUS LES SOIRS PLACE DE LA RÉPUBLIQUE À METZ
⬛️LUTTER CONTRE L'ANTISÉMITISME POUR STIGMATISER UNE AUTRE POPULATION
L’antisémitisme est un racisme aux racines chrétiennes, répandu bien au-delà du cliché d’une haine cantonnée aux quartiers populaires et d’immigration, on oublie souvent de le dire.
Les actes récents ne surgissent pas de nulle part, les discours complotistes ont explosé ces dernières années par Quanon et avec la pandémie du Covid-19 et ont été moqués sans être pris au sérieux dans leurs représentations antisémites.
Ces discours, qu’ils viennent de l’extrême droite traditionnelle ou de la sphère médiatico-politique incarnée par Dieudonné et Soral, présentent les Juif·ve·s comme une « communauté organisée » agissant dans la finance et le secret pour contrôler le monde.
A l’occasion de l’indignation provoquée par les massacres à Gaza, ce complotisme est réactivé également par opportunisme par des courants religieux fascistes.
Mais depuis quelques mois nous voyons le rassemblement national fondé par des Waffen SS, des collabos et autres pétainistes lutter contre l'antisémitisme afin de stigmatiser une partie de la population.
Plongeons donc en immersion dans la vie de tous les jours avec cette vidéo d'envoyer spécial.
KLL pour le Pavé Lorrain