MUSK MELENCHON MACRON LA PROPAGANDE DE L'EXTRÊME DROITE
⬛️UN GESTE CONTROVERSÉ ET LA STRATÉGIE DU CHIFFON ROUGE
Le récent geste d’Elon Musk, en l'occurrence un salut nazi lors d’un événement public, a provoqué un tollé international. Bien que l’entrepreneur milliardaire n’ait pas directement revendiqué ce geste, il illustre un glissement inquiétant vers une banalisation des codes et symboles associés à l’extrême droite.
Le salut nazi est l’un des symboles les plus reconnus et condamnés de l’histoire moderne, synonyme d’oppression, de haine et de crimes contre l’humanité. Voir une figure publique aussi influente qu’Elon Musk adopter un geste ambigu proche de ce symbole suscite des questions légitimes sur ses intentions et son positionnement idéologique.
Depuis plusieurs mois, Musk s’est rapproché de certaines figures controversées de l’extrême droite, utilisant sa plateforme, X (anciennement Twitter), pour amplifier des récits populistes et nationalistes. Sa modération laxiste sur les discours de haine et son soutien tacite à des personnalités conspirationnistes renforcent l’idée qu’il s’aligne, volontairement ou non, avec des mouvances dangereuses pour la démocratie.
Face à l’indignation suscitée par ce geste, les réseaux sociaux affiliés à l’extrême droite ont immédiatement réagi en lançant une stratégie bien rodée : la diversion. Des photos de responsables politiques comme Jean-Luc Mélenchon ou Emmanuel Macron saluant la foule ont été ressorties, présentées de manière fallacieuse comme des gestes similaires au salut nazi.
Ces détournements participent à une stratégie de confusion : en mettant en parallèle des contextes totalement différents, l’extrême droite cherche à décrédibiliser les critiques et à normaliser ses propres actes. Ce procédé est d’autant plus pernicieux qu’il repose sur une manipulation émotionnelle, exploitant l’ignorance de certains spectateurs pour créer des débats stériles.
Au-
PARTI SOCIALISTE, UNE HISTOIRE DE TRAÎTRISE
⬛️ PS : UNE HISTOIRE DE SOCIAL-TRAÎTRE
Depuis sa fondation, le Parti Socialiste (PS) incarne la trahison systématique des aspirations populaires et des luttes ouvrières.
Prétendant représenter la gauche et les intérêts des travailleurs, il n'a cessé de jouer un rôle de frein et de saboteur, rendant toute transformation radicale impossible.
Le PS, au fil des décennies, a mérité son surnom de "social-traître", un qualificatif forgé dans les luttes révolutionnaires pour désigner ces forces qui, sous un vernis progressiste, se plient aux logiques capitalistes et trahissent leurs propres bases populaires.
Dès sa naissance en 1905 avec la création de la Section Française de l'Internationale Ouvrière (SFIO), le PS a montré des signes de faiblesse idéologique. Si Jean Jaurès portait des idéaux de justice sociale, son parti s’est rapidement divisé entre une aile réformiste et une aile révolutionnaire.
La Première Guerre mondiale révèle au grand jour la nature du social-traître : les dirigeants de la SFIO, plutôt que de s'opposer à l'effort de guerre impérialiste, participent à l'Union sacrée, envoyant des millions de prolétaires se faire massacrer pour défendre les intérêts des bourgeois. Ce fut une trahison historique qui éclaire la nature profonde du réformisme socialiste.
Dans les années 1930, face à la montée du fascisme et aux luttes sociales, le PS joue à nouveau son rôle de modérateur des mouvements révolutionnaires.
Sous Léon Blum, le Front Populaire accède au pouvoir en 1936 avec des promesses de transformation sociale. Pourtant, les grandes grèves ouvrières et les occupations d’usines, qui menaçaient l’ordre capitaliste, sont rapidement étouffées.
Blum choisit de calmer les ardeurs révolutionnaires pour préserver la "République", sacrifiant les aspirations des travailleurs sur l’autel de la collaboration de classe.
L'arrivée de François Mitterrand au pouvoir en 1981 marque
Mort de Le Pen c'est la fête !
⬛️ LIESSE DANS LES RUES APRÈS LE DÉCÈS DE LE PEN, EXPLICATION EN VIDÉO
Du Nord au Sud de l'est à l'Ouest hier des dizaines de milliers de personnes ont souhaité la mort de Jean Marie Lepen décédé à l'age de 96 ans.
Nous avons complilé les rassemblements et nous avons également répondu en fin de vidéo aux personnes qui parlent de honte ou de manque de respect.
La mort de Jean-Marie Le Pen marque la fin d’une ère profondément controversée dans l’histoire politique française. Figure centrale de l’extrême droite, il a incarné, pour beaucoup, des idées rétrogrades et divisives qui ont contribué à la polarisation de la société. Son parcours politique, marqué par des propos racistes, antisémites et misogynes, a nourri des discours de haine et favorisé une stigmatisation systématique des minorités.
Se réjouir de sa disparition, ce n’est pas célébrer la mort d’un individu, mais plutôt exprimer un soulagement face à la fin symbolique d’une idéologie toxique qu’il représentait. Jean-Marie Le Pen a, à maintes reprises, minimisé les atrocités de la Seconde Guerre mondiale, qualifiant les chambres à gaz de « détail de l’histoire », un propos qui a choqué et blessé des millions de victimes et leurs descendants. Il a également ouvertement promu des idées xénophobes, contribuant à un climat de peur et de rejet envers les étrangers et les immigrés.
Son influence politique a permis la montée en puissance de l’extrême droite, avec des conséquences durables sur le paysage politique français. Les divisions sociales exacerbées, la banalisation des discours haineux et la remise en cause des valeurs républicaines comme l’égalité et la fraternité sont autant d’héritages que certains pourraient souhaiter voir disparaître avec lui.
Se réjouir de sa mort, c’est aussi espérer un avenir débarrassé de ces idées qui freinent le progrès social. Cela ne signifie pas oublier ou minimiser les
DARMANIN A LA JUSTICE MDRRR
⬛️ PTDR REVOILÀ NOTRE AMI !
Ah, Gérald Darmanin, ce héros national qui, après avoir géré la sécurité intérieure avec une délicatesse légendaire digne d'un éléphant dans un magasin de porcelaine, se voit propulsé ministre de la Justice. C'est un peu comme confier les clés d'une animalerie à un pyromane : ça promet d'être spectaculaire, mais pas dans le bon sens du terme.
On pourrait se demander si cette reconversion est due à un penchant irrésistible pour l'équilibre des pouvoirs, ou si, au fond, c'est juste une question de rotation des stocks au gouvernement. Parce qu'après tout, pourquoi ne pas faire passer celui qui a serré la vis à coups de LBD et de nasses dans les rues à la tête de l'institution censée protéger les libertés fondamentales ? Le recyclage, c'est tendance.
Il faut reconnaître à Darmanin une certaine logique dans son parcours. Après avoir verrouillé les manifestants, gazé les écolos et tenté de transformer le pays en bunker à ciel ouvert, il pourra enfin juger si ses propres excès sont conformes à la loi. Spoiler : probablement pas, mais c’est l’avantage d’être juge et partie.
Et puis, soyons honnêtes, quel autre ministère aurait pu accueillir cette figure de proue du gouvernement ? L’Éducation nationale ? Il aurait confondu réforme et répression, distribuant des PV aux élèves qui osent respirer trop fort en classe. Le ministère de la Culture ? Une chance sur deux qu'il remplace Molière par une formation obligatoire sur le maintien de l'ordre.
Le passage à la Justice, c'est aussi un clin d’œil sympathique au concept de séparation des pouvoirs. En bon VRP du macronisme, Darmanin vient démontrer que Montesquieu, c'est sympa, mais un peu dépassé. On centralise tout, on met un casque de CRS à la Marianne, et voilà, problème réglé.
Mais on ne peut pas s'empêcher d'imaginer les dialogues dans les couloirs de la Chancellerie. Les magistrats, qui n’ont déjà pas la vie
⬛️ 10 BONNES RAISONS DE VOTER LE SYNDICAT DES GILETS JAUNES
Vous voulez mettre une douille au gouvernement et par la même occasion aux syndicats traditionnelles ?
C'est maintenant !
Les élections des Très Petites Entreprises (TPE) sont une occasion essentielle pour chaque travailleur de faire entendre sa voix et d’influencer les décisions qui auront un impact sur son quotidien. Aujourd’hui, nous vous encourageons à voter pour le **syndicat des Gilets Jaunes**, une force émergente qui place la justice sociale, les droits des travailleurs et la dignité humaine au cœur de ses priorités.
1.Un syndicat issu du terrain
Le syndicat des Gilets Jaunes est né d’un mouvement citoyen, porté par des hommes et des femmes ordinaires, confrontés aux défis du quotidien. Ce syndicat comprend vos préoccupations car il est composé de personnes comme vous : travailleurs de terrain, entrepreneurs, artisans, employés et indépendants.
2.La défense des droits fondamentaux
Le syndicat des Gilets Jaunes milite activement pour des salaires justes, une meilleure répartition des richesses, et la défense des droits sociaux. Voter pour ce syndicat, c’est choisir un partenaire qui refuse les compromis au détriment des plus faibles.
3.Une écoute attentive des travailleurs des TPE
Les petites entreprises, qui représentent une part importante de l’économie française, sont souvent oubliées dans les décisions politiques. Le syndicat des Gilets Jaunes s’engage à faire de vos besoins une priorité en proposant des solutions concrètes adaptées aux spécificités de votre réalité professionnelle.
4.La lutte contre la précarité
Dans un monde du travail où l’instabilité est de plus en plus fréquente, le syndicat des Gilets Jaunes se bat pour des contrats de travail stables, la sécurité sociale universelle et une protection accrue face aux licenciements abusifs.
5.Une fiscalité plus équitable pour les TPE
Les très petites entreprises et le
10 RAISONS D'UNE INSURRECTION
⬛️10 RAISONS D'UNE INSURRECTION QUI POURRAIT VENIR RAPIDEMENT
Le gouvernement Michel Barnier incarne un risque d’insurrection pour plusieurs raisons liées à ses positions politiques perçues comme conservatrices, néolibérales et répressives.
Voici 10 raisons qui expliquent pourquoi, la France pourrait connaître une insurrection sous son gouvernement.
1. Incarnation des élites technocratiques
Michel Barnier représente l’archétype de l’élite technocratique et néolibérale déconnectée des réalités populaires. Ancien ministre, haut fonctionnaire européen, Barnier est perçu comme une figure de l’establishment, incapable de comprendre ou de répondre aux préoccupations des classes populaires et des travailleurs. Cette distance avec le peuple nourrit un ressentiment et une colère prêts à exploser.
2. Politiques économiques néolibérales
Barnier est associé à des politiques économiques libérales favorisant les grandes entreprises et les multinationales au détriment des services publics, des travailleurs et des plus précaires. Avec les dernières élections législatives nous pouvons que constater qu'une majorité de personnes s’opposent fermement à ces orientations, estimant qu’elles renforcent les inégalités sociales et économiques. Toute tentative de Barnier de réformer les retraites, réduire les dépenses publiques ou flexibiliser le marché du travail serait perçue comme une attaque frontale contre les acquis sociaux, risquant de provoquer une révolte.
3. Absence de réponses aux crises écologiques et sociales
Nous pouvons considérer que les enjeux écologiques et sociaux sont interconnectés et que le gouvernement Barnier, proche du monde des affaires, est incapable de répondre efficacement à l’urgence climatique. Le manque d’ambition en matière de transition écologique, couplé à une gestion capitaliste des ressources, pourrait mener à des mouvements de contestation violents, notamment de la
NANCY 1944 DE GAULLE ET PÉTAIN
⬛️LIBERATION DE NANCY, TOUS RÉSISTANTS ? NON !
Le 25 septembre 1944, Charles de Gaulle, chef du Gouvernement provisoire de la République française, fit une visite mémorable à Nancy, sur la place Stanislas, après la libération de la ville. Cette venue marqua un tournant symbolique dans la perception que de nombreux Français avaient de la guerre, tout en révélant un changement radical dans les attitudes politiques et populaires. En effet, l'arrivée de De Gaulle s'inscrivait dans le contexte de la Libération, où l’enthousiasme pour la Résistance se manifestait de plus en plus bruyamment. Toutefois, quelques mois auparavant, le 28 mai 1944, cette même place Stanislas avait accueilli le maréchal Pétain, chef de l’État français de Vichy, dans une atmosphère tout à fait différente. De nombreux habitants de Nancy, ainsi que dans toute la France, étaient encore alors profondément attachés au régime de Vichy, voire favorables à sa politique de collaboration avec l’Allemagne nazie.
Lorsque Pétain visita Nancy en mai 1944, il fut accueilli par une foule nombreuse et apparemment dévouée. Les discours du maréchal étaient imprégnés de l'idée de "travail, famille, patrie", des valeurs prônées par le régime de Vichy. Pour beaucoup, il incarnait la figure paternelle d'un homme qui, bien qu'ayant accepté l'armistice en 1940, croyait sincèrement en la possibilité de protéger la France de la pire des répressions allemandes. Ainsi, nombreux furent ceux qui, par pragmatisme ou par idéologie, soutenaient Pétain et son régime, voyant en lui une planche de salut face au chaos de la guerre.
Mais cette adhésion au régime de Vichy, bien qu’en apparence solide, fut rapidement balayée par les avancées des forces alliées et de la Résistance intérieure. Lorsque Charles de Gaulle vint à Nancy après la Libération, cette même place Stanislas, qui avait vu Pétain acclamé quelques mois plus tôt, se transforma en une mer de drapea
Violence institutionnelle vs violence populaire
⬛️ VIOLENCE INSTITUTIONNELLE VS VIOLENCE POPULAIRE
La question de la violence dans le débat public et démocratique est un sujet complexe et délicat. Si la violence est souvent perçue comme un échec du dialogue et de la démocratie, elle est parfois un dernier recours pour des populations marginalisées ou méprisées. Les révoltes populaires, comme celles des Gilets jaunes, des grévistes ou des quartiers populaires, révèlent une fracture profonde entre l'institution et le peuple. Il est essentiel de comprendre que la violence institutionnelle, souvent silencieuse et insidieuse, peut être bien plus destructrice et pernicieuse que les soulèvements populaires.
La violence institutionnelle prend diverses formes : politiques d'austérité, déni des droits sociaux, répression policière, ou encore mépris des revendications populaires. Dans le cadre du mouvement des Gilets jaunes, par exemple, le refus obstiné des élites politiques d'entendre les revendications de citoyens qui luttaient pour la justice sociale et fiscale a exacerbé la colère. Face à l'indifférence du gouvernement, la violence est devenue un moyen d'expression pour un grand nombre d'entre eux. Cette violence visible, que beaucoup condamnent, est avant tout une réponse à une violence cachée qui perdure depuis des décennies.
Les grévistes, souvent stigmatisés par les médias et les gouvernements, se retrouvent eux aussi en confrontation directe avec la violence institutionnelle. Lorsqu'un gouvernement ignore les revendications légitimes des travailleurs et préfère imposer des réformes par la force, comme cela a été le cas avec la réforme des retraites en France, il légitime en quelque sorte la radicalisation des mouvements de protestation. Face à l'intransigeance de l'État, la grève, et parfois même la violence, apparaissent comme le seul levier d'action pour des citoyens réduits à l'impuissance.
Le soulèvement des quartiers populaires est un autre exemple fl
PROGRAMMATION FÊTE À TOMIK 2024
⬛️7eme ÉDITION DE LA FÊTE À TOMIK
Ce samedi 21 septembre, la place de la République accueillera de 10h à minuit la 7e édition de la Fête à Tomik, organisée par Sortons du nucléaire Moselle membre de la fédération libertaire de Lorraine et le Collectif mosellan de soutien à Bure, en partenariat avec la CNT.
Chaque années, ce sont entre 500 et 1500 personnes qui viennent sur la place de la République écouter des concerts (gratuitement), s’informer, débattre, sur l’énergie nucléaire, l’environnement au sens large, et le social.
Un village associatif d’une trentaine de stands accueillera le public tout au long de la journée. Parmi les structures présentes : Confédération paysanne, Les graines libertaires, Lorraine nature environnement, Attac, Air vigilance, Les jardins de l’amour, etc.
Des stands buvette (bière locale et bio) et restauration (avec des produits locaux, vegan et non vegan) seront installés.
Des concerts seront également proposés dès 15h avec Un homme qui rêve (Metz, chanson française), Humnle tree hi-fi (Metz, sound-system), Boots n’cats (Metz, ska, rock), Carmen Colère (rock, punk), Joey Gluten (rock, chanson française, punk), mais aussi L’anarchorale (chorale, chants populaires, Metz).
Et puis il y aura les habituelles surprises, comme des performances drag show de Queerdom, etc.
Contacts : Jérémy Nicolas, co-président de Sortons du nucléaire Moselle et membre du Comité mosellan de soutien à Bure : 0671043127, [email protected], ou Christian Gratius au 0604153996.
Crédit montage vidéo CLL via la Fédération Libertaire de Lorraine
Crédit musique Joey glüten
La Moselle Voisine de la Poubelle Nucléaire @super fans
KLL pour le Pavé Lorrain