Les Indés

Les Indés Un label d’édition qui marche au coup de cœur : on aime, on publie ! Et on travaille minutieusement le texte pour offrir un excellent moment de lecture !
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Un label d'édition, késako ? C'est un espace dans lequel les auteurs ont un rôle central. Les indés ont été créés par un auteur, pour les auteurs, dans l'optique de bien les traiter : rémunération équitable, possibilité de quitter le label à tout moment (et non plus 70 ans après son décès). Tout ça, c'est pour les auteurs. Et les lecteurs alors ? Nous tenons à offrir de la littérature et des docum

ents de qualité. Pour cela, nous travaillons, lisons, relisons, traquons le moindre petit détail pour dénicher, à chaque fois, une pépite. Chaque auteur, dans un style différent, nous a touchés, séduits, émus, amusés, etc. Si nous avons été touchés, pourquoi pas vous ?

Vous avez envie de découvrir l'univers de .fonteneau.plume qui vient de publier La Plage des Anges, chez les indés ? C'e...
25/05/2022

Vous avez envie de découvrir l'univers de .fonteneau.plume qui vient de publier La Plage des Anges, chez les indés ? C'est ici que ça se passe !

D’où est venue l’idée du roman ?
Lors d’un voyage en Floride, dans le parc des Everglades, j’ai rencontré… un arbre. Torturé, tortueux. Un panonceau annonce : "figuier étrangleur". A ses pieds, des petits crabes blancs se débattent entre les racines de la mangrove rouge. C'est à cet instant précis que j'ai visualisé Ben, petit garçon simplet, occupé à touiller la boue de la mare et à y enfoncer les crabes. Deux ans plus t**d, une première nouvelle prend forme. Elle deviendra le prologue de ce récit.

Comment écrivez-vous ?
J’écris un peu tous les jours, 20 à 30 mn, parfois moins, à la pause de midi ou une fois les enfants couchés. Peu importe où je me trouve, je suis du genre nomade. Il me suffit d’avoir de quoi noter. Ah, et je suis incapable de respecter un plan, mes personnages n’en font qu’à leur tête.

Êtes-vous stylo ou clavier ?
Ce roman a été entièrement écrit sur papier avant de croiser un ordinateur. Il est plus facile pour moi de trouver les mots avec juste un stylo en main. Mais j’ai mis 6 ans à le finaliser…

Quelles sont vos influences ?
Du noir, beaucoup de noir. J’aime les thrillers d’Ellory et de Karine Giébel, les romans noirs de Franck Bouysse et de DOA, les textes de Pierre Lemaître et de Charles Juliet.

18/05/2022

AVIS DE SORTIE !
La Plage des Anges, d' .fonteneau.plume Elodie Fonteneau
Disponible chez tous vos libraires en ville ou en ligne 😉

Culturons-nous un peu les amis, on est là pour ça aussi ;-) Aujourd'hui, et peut-être même qu'on vous l'a déjà fait, mai...
04/05/2022

Culturons-nous un peu les amis, on est là pour ça aussi ;-)
Aujourd'hui, et peut-être même qu'on vous l'a déjà fait, mais c'est pas grave : le cadratin.
Le cadratin, késako ?
Le cadratin, c'est une unité de mesure. Comme le mètre, le kg, la tonne.
En imprimerie, on utilise le cadratin pour mesurer la longueur standard d'un espace, qui détermine la largeur des caractères.
"Vous me mettrez un kg d'espace entre le premier mot et le deuxième". Vous êtes d'accord, ça ne veut rien dire ?!
Alors, pour vous aider, et si Facebook nous le permet, on va vous faire une démonstration concrète avec les tirets.
Tiret court : -
Tiret moyen : –
Tiret long (ou tiret cadratin) : —
On vous les met côte à côte maintenant:
- – —
Voyez ? C'est subtil, hein !

Selon leur longueur, les tirets sont utilisés pour telle ou telle chose/
Le tiret court, plus connu sous le nom de trait d'union (n dash chez les Anglais, car il fait la largeur d'un "n"), permet de coller deux mots ensemble.
Le tiret moyen (m dash chez les Anglais encore, car il fait la largeur d'un "m" ou encore tiret demi-cadratin), est utilisé, par exemple, pour les incises.
Le tiret long (tiret cadratin) est utilisé pour introduire les dialogues. Vérifiez bien dans vos livres, oui, oui. Ils sont immenses ces tirets !
Voilà, vous savez maintenant !

les indés souhaitent un très bon anniversaire à Véronique Sauger !🎂🥂
19/04/2022

les indés souhaitent un très bon anniversaire à Véronique Sauger !
🎂🥂

Un jour, peut-être, vous y verrez des auteurs des indés. Et comme le futur se prépare aujourd’hui...
27/03/2022

Un jour, peut-être, vous y verrez des auteurs des indés. Et comme le futur se prépare aujourd’hui...

Vous êtes lecteurs, vous dévorez les romans policiers sous toutes leurs formes ? Vous rêver de rencontrer les auteurs ? Vous allez adorer le Festival des Littératures Policières de Libourne (Le FLiP).

Votre soutien à notre association d’intérêt général (La Lamproie Bleue) est très important !

Et cela pour plusieurs raisons :

👉 Faire venir des auteurs, les héberger, les nourrir et leur donner envie de revenir

👉 Soutenir l’association et lui permettre de renouveler l’an prochain cet évènement libournais et culturel (mais pas que)

👉 Connecter les entreprises locales et les autres associations culturelles et économiques du territoire

Un clic ici 👇

https://www.helloasso.com/associations/la-lamproie-bleue/adhesions/adhesion-festival-des-litteratures-policieres-de-libourne

👆

Votre soutien est essentiel. Chaque petite pierre que vous pourrez poser sera une grande contribution à nos yeux.
Et n’oubliez pas que 60% de vos dons sont déductibles de vos impôts. Alors pourquoi hésitez plus longtemps ?😜

Aujourd’hui, notre coco n’est pas un tueur. N’allez pas en déduire que c’est un rigolo pour autant, on est très loin du ...
25/03/2022

Aujourd’hui, notre coco n’est pas un tueur. N’allez pas en déduire que c’est un rigolo pour autant, on est très loin du voleur de bonbons. Car notre homme, qui officia de 1987 à 2002 (l’année de début étant celle des faits connus, elle ne reflète pas forcément la réalité…), terrorisa la côte Atlantique, d’Arcachon à Hossegor, en passant par La Teste.
Beaux quartiers, douceur océane, plages immenses, surfeurs… C’est l’été, il fait chaud, on laisse les fenêtres ouvertes la nuit pour se rafraichir. Comment imaginer qu’un type vous saute dessus à 3 heures du matin ? Sa première victime, une jeune mère de famille, sera incapable de donner un signalement de son agresseur : dans l’obscurité totale, elle n’a pas vu son visage.
Un autre viol sera commis en 1988, dans le même secteur géographique que la première victime puis en 1991. L’enquête piétine d’autant plus qu’à l’époque, aucun lien entre les trois affaires n’est établi.
Il faut attendre 1994 et que le compteur chiffre à huit pour établir que les viols sont commis par le même homme, lequel opère toujours à l’identique : il rentre de nuit chez sa victime, qu’il sait seule, sans bruit. Puis il coupe le compteur électrique, la réveille, lui faisant croire qu’il vient seulement pour cambrioler. Pour être certain de sa moindre résistance, le violeur attache les mains de sa victime dans le dos. En dehors de ça, la police n’a pas le moindre suspect à se mettre sous le coude. Aucune femme n’est en mesure de donner une description de l’agresseur, lequel se déplace avec une dextérité stupéfiante dans l’obscurité, sans jamais rien faire tomber, n’hésitant pas à gravir des façades pour pénétrer chez ses victimes, parfois jusqu’au deuxième étage.
La science ayant fait quelques progrès depuis les années 80, les enquêteurs collectent le maximum d’ADN et s’intéressent de près aux délinquants sexuels de la région. Mais voilà, rien. Enfin, pas tout à fait. Un gendarme de Dax fait le lien avec plusieurs autres affaires survenues à Hossegor. Le mode opératoire est identique. L’ADN matche à 100 % : le violeur d’Arcachon et de la Teste est le même que celui d’Hossegor. Nous sommes maintenant en 1999.
En 2001, alors que celui qu’on appelle « Le Chat » continue allégrement de violer, une cellule dédiée, baptisée « Viol 40 » est mise en place. C’est par un heureux hasard pourtant que Le Chat finira par être identifié, à la suite d’un banal cambriolage. Banal seulement en apparence : car rien n’a été volé dans cette résidence secondaire de Seignosse, à l’exception du portait de la sœur du propriétaire. Or, elle a été agressée sexuellement en 1982 par un homme qui lui a attaché les mains dans le dos mais qu’elle est parvenue à convaincre de la laisser partir. Le gaillard a été condamné en 1983, trop tôt pour être intégré dans le système informatique qui n’existait pas encore.
Cerise sur le gâteau, les policiers disposent également du signalement d’un homme à l’attitude étrange qui semblait travailler sur le réseau électrique. Le témoin, intrigué, a eu la présence d’esprit de relever la plaque d’immatriculation.
Et on vous le donne dans le mille, Emile : l’homme aux mains baladeuses condamné en 83 et le conducteur de la camionnette ne font qu’un.
A quoi ressemble donc ce tordu ?
Si vous pensiez à un mix entre Francis Heaulme et Emile Louis, vous avez tout faux. Car notre engin, Roland Cazaux, est un bon mari et père de famille attentionné, apprécié de son voisinage et de ses collègues de travail. Sans compter qu’il présente plutôt bien, loin du demeuré avec des lunettes cul de bouteille. Chef de chantier, ses déplacements correspondent aux lieux des viols.
Le palmarès de Cazaux fait froid dans le dos : seize viols et vingt tentatives. Son trip ? La traque de ses victimes plus que le viol, qu’il a le bon goût de ne pas faire trainer en longueur, à la papa, en somme.
Jugé en novembre 2005, il prend 14 ans de prison, assorti d’une peine de sûreté de 10 ans.
On hésite à vous dire que depuis 2012, le Chat vit à nouveau au grand air.

La grande famille des auteurs des indés a le plaisir de vous annoncer l'arrivée d' Elodie Fonteneau Auteur.Son univers ?...
21/03/2022

La grande famille des auteurs des indés a le plaisir de vous annoncer l'arrivée d' Elodie Fonteneau Auteur.
Son univers ?
Ah.... revenez dans quelques jours :-)

Céline TanguyVous les aimez, hein, les bonnes histoires bien glauques de tueur en série, leurs traques et autres rituels...
17/03/2022

Céline Tanguy
Vous les aimez, hein, les bonnes histoires bien glauques de tueur en série, leurs traques et autres rituels sadiques ? Vous les aimez d’autant plus que tout ça se passe généralement de l’autre côté de l’Atlantique. Vous êtes là, tranquille Émile (Louis) dans votre canapé, devant Netflix et Mindhunter, à savourer la délicieuse sensation de sécurité d’être loin de ces cinglés. Ils sont fous, ces yankees, n’est-ce pas ?
Au risque de vous flinguer votre prochaine soirée célib, sachez que pendant John Douglas inventait le profilage, un bon gars bien de chez nous venait d’importer le concept de serial killer au fin fond de la cambrousse. Et le vrai de vrai, celui que vous pensiez loiiiiiiin de vous.
Notre terrible histoire commence à Nogent sur Oise. C’est l’hiver, nous sommes en 1969, et dans cette petite ville de banlieue, niveau ambiance, ce n’est pas franchement la fête du slip, surtout quand la nuit tombe (tôt) et qu’il pleut. Cinq jeunes femmes brunes sont agressées, trois parviennent à survivre.
Le tueur semble suivre un plan précis : il assomme ses victimes, s’amuse un peu avec (on ne vous fait pas un dessin), les tue éventuellement d’une b***e dans la nuque puis les abandonne à moitié à poil.
On vous la fait courte parce qu’en réalité, c’est un peu plus compliqué que ça mais jusqu’en 1973, plus rien. En février, donc, c’est la pauvre Annick qui fait les frais du retour du dingue de Nogent-sur-Oise. Trois mois plus t**d, un couple est exécuté près du cimetière. La peur s’empare de la ville. Les femmes se teignent en blonde ou mettent des perruques et dès que la nuit tombe, plus personne ne sort. La psychose atteint son paroxysme en janvier 1974 quand une nouvelle victime est découverte chez elle. Le tueur, planqué dans les doubles rideaux, l’attendait (ah, ça ne rigole plus, là, hein ?). Alors oui, l’homme les repère longtemps à l’avance, les traque, avant de se mettre en planque pour passer à l’acte, comme un chasseur sa proie.
Malgré des effectifs de police renforcés et une surveillance quasi constante, deux autres meurtres sont commis, en novembre 75 et janvier 76. On imagine sans peine l’atmosphère dans notre sympathique et riante petite bourgade.
L’enquête avance, pourtant. Minutieuse et obstinée, sous l’impulsion de Daniel Neveu, jeune inspecteur aussi pugnace que simenonesque . Là aussi, on va vous la faire courte (d’où notre conseil de vous pencher sur l’incroyable travail de cet homme-là) mais peu avant Noël 1976, on arrête un certain Marcel Barbeault, 35 ans, ouvrier, bon père de famille et bon voisin, au point de faire douter les policiers venus l’embarquer.
Le doute, pourtant, ils ne l’auront pas longtemps. Si Marcel a bien des cadeaux pour ses rejetons au moment de son arrestation, le Père Noël est une ordure. Car chez lui, on retrouve les deux armes ayant servi aux crimes et des effets personnels des victimes. Il n’avouera jamais, pourtant. Vous serez quand même contents d’apprendre que Marcel est condamné en 1981 puis en appel en 1983 à la réclusion criminelle à perpétuité et qu’il est toujours en zonzon à ce jour (le bonhomme a maintenant 81 ans).

"Quel talent ! On est tenu en haleine du début à la fin. Les révélations arrivent au fur et à mesure, sans trop en dire ...
16/03/2022

"Quel talent ! On est tenu en haleine du début à la fin. Les révélations arrivent au fur et à mesure, sans trop en dire à chaque fois, pour que l'on ressente ce côté complètement addictif ! Du suspense, un côté malaisant qui nous serre les tripes et le cœur par moment, les liens du sang et du cœur, des flash back qui nous aident à comprendre le déroulé de l'histoire, des personnes détestables et celles que l'on aimerait avoir parmi nos proches… Enfin, tout est réuni pour faire de ce troisième tome une petite merveille."

Visiblement, Pamela a aimé le tome 3 des 41 Vautours de Céline Tanguy

Bientôt, chez les indés...Et vous n'en saurez pas plus pour l'instant :-)
14/03/2022

Bientôt, chez les indés...
Et vous n'en saurez pas plus pour l'instant :-)

Aujourd’hui, c’est ornithologie. Chez les indés, on s’intéresse à tout, y compris aux volatiles. Nous allons donc vous p...
07/03/2022

Aujourd’hui, c’est ornithologie. Chez les indés, on s’intéresse à tout, y compris aux volatiles. Nous allons donc vous parler de corbeau et pas n’importe lequel : LE corbeau. Celui qui distille – anonymement bien sûr – ses petites vacheries à sa ou ses victimes du moment. Et pour illustrer le propos, on est allés chercher le « créateur » original de la chose.
Commençons par le commencement. Notre histoire débute en Corrèze, à Tulle, en 1917. Cette sympathique ville de 13 000 habitants est donc le théâtre de ragots intimes, signés « l’œil de tigre » visant essentiellement des fonctionnaires de la préfecture, à commencer par Jean-Baptiste Moury, chef de service et Angèle Laval, une secrétaire. On vous passe les détails mais en gros, JB est une bite à roulettes et Angèle une chaudasse. Les premiers intéressés, légèrement mais alors très légèrement gênés, essayent de planquer l’affaire. Les réseaux sociaux de l’époque étant assez lents, ils espèrent se faire oublier rapidement.
Mais notre bestiole, qui ne s’appelle pas encore un corbeau, n’en reste pas là. Au fil du temps, elle inonde la ville de courriers plus infâmes les uns que les autres, jusqu’à en déposer sur les marches de l’église avant la messe (l’ancêtre du « transférer à tous », si vous préférez). L’ambiance devient de plus en plus pourrie à Tulle et on ne peut même pas compter sur François Hollande pour nous faire une petite gaffe.
La presse, elle, s’en donne à cœur joie. C’est un peu la téléréalité du moment et franchement, ça change de la guerre, puis de l’armistice en boucle sur BFM TV.
Les meilleures choses ayant une fin, les bonnes blagues du futur corbeau cessent d’être marrantes quand Auguste Gibert meurt d’une congestion cérébrale consécutive au choc d’apprendre par un SMS vengeur que sa femme serait l’auteure des courriers (spoiler : non ce n’est pas elle). L’air de rien, cela fait déjà quatre ans que le volatile s’éclate dans la bonne ville de Tulle. Sa notoriété est à présent nationale et fait la Une de tous les JT.
Mais alors, que fait la police ?
Ah mais elle enquête, rassurez-vous. Seulement, on n’est pas exactement dans un épisode des Experts Manhattan. Cela dit, on finit par faire appel à Edmond Locard, papa du premier laboratoire scientifique, fondé à Lyon en 1910. Et Edmond, qui a plus d’une corde à son arc, décide de tenter la graphologie (l’hypnose n’ayant pas fonctionné). À l’issue d’une longue, répétitive et de plus en plus rapide dictée – pour tromper l’ennemi – pouf, le suspect sort comme le lapin du chapeau.
Et on vous le donne dans le mille, Émile (ou Edmond), c’est… Angèle la coupable. Oui, celle-là même qui se disait la première victime. Son mobile ? Un truc vieux comme nos robes : la jalousie. Car voyez-vous, notre vieille fille en pinçait pour son chef de service, JB (oui, la bite à roulettes) et elle avait ainsi espérer le faire tomber dans ses bras. Mais voilà, le JB lui avait préféré une autre employée, renoncé à ses maîtresses, contracté mariage et fondé famille avec la rivale d’Angèle. D’où la montée en pression.
Revenons-en à notre corbeau.
Le jour de son procès, en décembre 1922, Angèle se présente au tribunal, vêtue de noir de la tête aux pieds. La similitude est confirmée par un journaliste du Matin, qui la décrit ainsi : « Elle est là, petite, un peu boulotte, un peu tassée, semblable sous ses vêtements de deuil, comme elle le dit elle-même, à un pauvre oiseau qui a replié ses ailes. »
Vingt-et-un ans ans plus t**d, Henri-Georges Clouzot réalise « Le Corbeau », inspiré de l’affaire de Tulle et de l’aspect de l’accusée. Et voilà comment la bestiole symbolise désormais l’auteur(e) de lettres anonymes.

Aujourd'hui : les droitsOn a des défauts chez les indés, mais il y a une chose sur laquelle on est intransigeants : le r...
07/02/2022

Aujourd'hui : les droits

On a des défauts chez les indés, mais il y a une chose sur laquelle on est intransigeants : le respect des droits d'auteur.
Ce sont nombre de mésaventures éditoriales qui nous ont conduits, il y a déjà bientôt 6 ans, à fonder un label dans lequel les auteurs ne cèdent leurs droits que pour un an, renouvelable par tacite reconduction.
Parce que mince, quand même, céder ses droits jusqu'à 70 ans après sa mort comme cela se fait encore beaucoup trop (et souvent chez de bien plus gros que nous) ??? Sérieux ???
Amis auteurs : battez-vous pour vos droits ! Les contrats actuels ne laissent plus le champ libre à l'éditeur pour faire tout et n'importe quoi, n'hésitez pas à vous renseigner. Parole d'auteur... et d'éditeur :-)

... et bientôt, de nouvelles parutions... 😉
24/01/2022

... et bientôt, de nouvelles parutions... 😉

les indés vous souhaitent une très belle année 2022, pleine de lectures divertissantes, enrichissantes, amusantes, émouv...
01/01/2022

les indés vous souhaitent une très belle année 2022, pleine de lectures divertissantes, enrichissantes, amusantes, émouvantes...!

Joyeux Noël à tous ! On espère que le vieux bonhomme en rouge vous a gâtés en vous apportant de nombreuses belles lectur...
25/12/2021

Joyeux Noël à tous !
On espère que le vieux bonhomme en rouge vous a gâtés en vous apportant de nombreuses belles lectures !

les indés vous souhaitent un très bon réveillon ! 🎄
24/12/2021

les indés vous souhaitent un très bon réveillon ! 🎄

🎄🎁       On termine nos achats de dernière minute avec quelques documents, drôles, instructifs, originaux...Les Chemins ...
23/12/2021

🎄🎁

On termine nos achats de dernière minute avec quelques documents, drôles, instructifs, originaux...

Les Chemins de Pierre, de Pierre Sirere. Les tribulations d’un Catalan en pays wolof...
Complot à Paris, de Christian Lestavel. L’histoire vraie d’une infiltration pour déjouer un attentat présidentiel.
Lucrèce n'est pas une femme, de Pascal Aquien. Le parcours libre d’un transgenre, des années 1950 à nos jours

🎄🎁         Aujourd'hui, du noir, très noir...Petite musique de nuit, de Carol Fonolières. La musique adoucit les meurtre...
22/12/2021

🎄🎁

Aujourd'hui, du noir, très noir...

Petite musique de nuit, de Carol Fonolières. La musique adoucit les meurtres...
Le Meurtre des vierges folles, de A.C Scotto. Un bijou noir chez les trafiquants d’art.
Le Pas du diable, de Benassis. Un sombre pas de danse entre les vivants d’aujourd’hui et les fantômes du passé.

🎄🎁         Drôle, émouvant, étonnant, ubuesque... Aujourd'hui, les indés sont là pour vous titiller !Padre Cocaïne, de L...
21/12/2021

🎄🎁

Drôle, émouvant, étonnant, ubuesque... Aujourd'hui, les indés sont là pour vous titiller !

Padre Cocaïne, de Luc Venot : À caïd, caïd et demi !
Tango Loft, de Véronique Sauger. Un récit et une écriture hallucinatoires pour ce drame à ciel ouvert.
Rouleaux mongols, suivi de J'irai pi**er sur l'Inca, de Nunziu. Quel est le rapport entre les invasions mongoles et Björn Borg ?
Locataire, de Tudual Akflor. Une tension toujours croissante pour ce huis-clos tragique et incisif, dans lequel l’humour noir côtoie le suspense.

🎄🎁          Amateurs de polars survitaminés ? Ca tombe bien, on a ce qu'il vous faut !La saga des 41 Vautours, de Céline...
20/12/2021

🎄🎁

Amateurs de polars survitaminés ? Ca tombe bien, on a ce qu'il vous faut !
La saga des 41 Vautours, de Céline Tanguy , vous entraîne dans le New York du crime...
Le premier tome est d'ailleurs d'actualité puisqu'il s'intitule "48 heures avant Noël".
Faites connaissance avec une fine équipe de policiers et d'agents du FBI...

🎄🎁         Un style d'écriture très travaillé et très personnel pour chacun de ces livres, de très belles découvertes li...
19/12/2021

🎄🎁

Un style d'écriture très travaillé et très personnel pour chacun de ces livres, de très belles découvertes littéraires...

La Malédiction des Orishas, de Romeo Mivekannin. Trois familles. Trois nouveau-nés. Trois destins.
Le Monde en mieux, de Dominique Lebel. Ne dit-on pas toujours que le mieux est l’ennemi du bien ?
Open Space, de Isabelle Entz. La découverte de soi passe par l’acceptation de sa différence.

🎄🎁  #        Quelques grammes de douceur dans un monde de brutes... Beaucoup de peine, beaucoup d'espoir, beaucoup d'amo...
18/12/2021

🎄🎁 #
Quelques grammes de douceur dans un monde de brutes...

Beaucoup de peine, beaucoup d'espoir, beaucoup d'amour, de . Un livre choral sensible et émouvant, dans lequel le destin s’amuse à faire résonner les cœurs.
Le Pianiste et les Matriochkas, de Elodie Mazuir Libraire. « On plonge dans l’univers passionnant que nous décrit Élodie Mazuir et on n’a plus envie d’en sortir. » (Brigitte Bardot)

🎁🎄 Aujourd'hui, on vous propose des séries littéraires qui ne sont pas dénuées d'humour... La Tribu, saison 1 : La Maiso...
17/12/2021

🎁🎄 Aujourd'hui, on vous propose des séries littéraires qui ne sont pas dénuées d'humour...

La Tribu, saison 1 : La Maison des horreurs et saison 2 : L'école des horreurs, de Stéphanie Lepage auteure. Quand la famille Addams nous joue Massacre à la tronçonneuse...
Les Costello, une série mordante, de Laurent Bettoni (auteur). Imaginez que les Soprano s’invitent au bal des vampires.

🎁 🎄C'est la dernière ligne droite avant Noël, on vous aide à finaliser les cadeaux .       Aujourd'hui, évadez-vous aux ...
16/12/2021

🎁 🎄C'est la dernière ligne droite avant Noël, on vous aide à finaliser les cadeaux .

Aujourd'hui, évadez-vous aux États-Unis, au Japon, ou dans la tête d'une femme qui veut à tout prix devenir mère...

America Blues, de . La vie sépare-t-elle toujours vraiment ceux qui s’aiment ?
Les Lumières de Kanazawa, de Véronique Sauger. Un voyage tout en nuances, entre sensualité et silences, qui vibre des lenteurs passionnées de l’Extrême-Orient et des battements de cœur d’une femme amoureuse.
F***y N., de Alice Quinn. F***y N. veut un bébé. Son bébé à elle. À n’importe quel prix…

Dans 10 jours, il vous faudra glisser des petits paquets sous le sapin. Allez... On vous aide à faire des choix !
14/12/2021

Dans 10 jours, il vous faudra glisser des petits paquets sous le sapin.
Allez... On vous aide à faire des choix !

On nous demande souvent à quoi ressemble « le quotidien » d’un éditeur. Eh bien vous voici servis. Cette photo s’intitul...
13/12/2021

On nous demande souvent à quoi ressemble « le quotidien » d’un éditeur.
Eh bien vous voici servis.
Cette photo s’intitule « Auteur-éditeur au travail ».
Voilà.
Bon lundi 🙂

  C'est un 9 décembre, en 1977, que fut inauguré le RER, et plus précisément la ligne A. Ah... Le RER... Les joies des t...
09/12/2021



C'est un 9 décembre, en 1977, que fut inauguré le RER, et plus précisément la ligne A.
Ah... Le RER... Les joies des transports en commun parisiens et franciliens...
Le RER et ses ret**ds. Le RER et ses difficultés d'affichage...
Mais le RER, c'est aussi la possibilité, pendant le temps du trajet, de lire et de s'évader. En lisant... les livres des indés !

Le joli sapin de Noël des indés, avec , Céline Tanguy, Alice Quinn, Dominique Lebel, Caroline Birouste , Véronique Sauge...
07/12/2021

Le joli sapin de Noël des indés, avec , Céline Tanguy, Alice Quinn, Dominique Lebel, Caroline Birouste , Véronique Sauger , Françoise Benassis, Vincent Virgine, Pierre Sirere, Isabelle Entz , Mazuir Libraire, Stéphanie Lepage auteure
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Les indés, l’écho de toutes les voies littéraires

Les indés ont été créés par un auteur, pour les auteurs, dans l'optique de bien les traiter : rémunération équitable, possibilité de quitter le label à tout moment (et non plus 70 ans après son décès). Tout ça, c'est pour les auteurs. Et les lecteurs alors ? Nous tenons à offrir de la littérature et des documents de qualité. Pour cela, nous travaillons, lisons, relisons, traquons le moindre petit détail pour dénicher, à chaque fois, une pépite. Chaque auteur, dans un style différent, nous a touchés, séduits, émus, amusés, etc. Si nous avons été touchés, pourquoi pas vous ?



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