Comité Nicaragua Occitanie

Comité Nicaragua Occitanie Le Comité Nicaragua Occitanie, créé en 2019 et constitué de militants Français et Nicaraguayens dans

01/07/2023
01/07/2023

Asociación Renderizando el Mundo

Collectif de Solidarité avec le Peuple du Nicaragua

AMA y No Olvida Museo de la Memoria contra la Impunidad Journées latino-américaines de Montpellier et SALC 2023 Universi...
13/06/2023

AMA y No Olvida Museo de la Memoria contra la Impunidad

Journées latino-américaines de Montpellier et SALC 2023

Université Paul Valéry - Montpellier

Montpellier Méditerranée Métropole

09/06/2023

Bravo à Comité Nicaragua Occitanie pour cette belle opération associant exposition et table ronde autour de la tragédie nicaraguayenne...

07/06/2023

Avec Josefa MEZA (Association des Mères d'Avril), Ernesto MEDINA (ex-recteur d'université UNAN, UAM) et Bernard DUTERME (Centre tricontinental). Table-ronde organisée par l'Université Montpellier III…

05/06/2023

L'exposition de photos et de témoignages de victimes de la répression au Nicaragua est une adaptation en français d'une exposition itinérante comportant 80 photographies grand format documentées, cinq…

05/06/2023
Exposition photographique interactive «La tragédie du Nicaragua» - Association Mères d’Avril (AMA)Madres de Abril AMA y ...
04/06/2023

Exposition photographique interactive «La tragédie du Nicaragua» - Association Mères d’Avril (AMA)

Madres de Abril AMA y No Olvida Museo de la Memoria contra la Impunidad CETRI, Centre tricontinental Montpellier Méditerranée Métropole Université Paul Valéry - Montpellier Maison des Territoires du Monde et de la Solidarité Internationale

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Exposition photographique interactive «La tragédie du Nicaragua» - Association Mères d’Avril (AMA)Madres de Abril AMA y ...
04/06/2023

Exposition photographique interactive «La tragédie du Nicaragua» - Association Mères d’Avril (AMA)

Madres de Abril AMA y No Olvida Museo de la Memoria contra la Impunidad CETRI, Centre tricontinental Montpellier Méditerranée Métropole Université Paul Valéry - Montpellier Maison des Territoires du Monde et de la Solidarité Internationale

Hall de la Mairie de Montpellier 1 Pl. Georges Frêche, 34000

04/06/2023

Hall de la Mairie de Montpellier 1 Pl. Georges Frêche, 34000

27/05/2023
14/05/2023

🔴 Destaca en los medios nacionales e internacionales ante la imparable arremetida de la dictadura de Ortega y Murillo contra las ONG'S en Nicaragua.

Suman más de 5,600 las organizaciones de derechos humanos, educativas de orden superior y formación técnica, organizaciones políticas y religiosas a las que los criminales de lesa humanidad han eliminado de los registros jurídicos.

Súmate a la denuncia. ➡️

12/05/2023

Por medio de una resolución, la Corte Suprema de Justicia despoja de su título a 10 abogados críticos del régimen de Daniel Ortega que el pasado mes de febrero fueron declarados apátridas y traidores a la Patria.

08/05/2023

Periodistas alrededor del mundo a menudo pagan un alto precio por su trabajo.

¡Alto a la intimidación, el troleo, la vigilancia y la desinformación! La libertad de prensa está en el corazón de la democracia.

Día Mundial de la Libertad de Prensa

https://bit.ly/3LwOOb2

07/05/2023
14/04/2023

Conmemoración del 5to aniversario de la lucha cívica de abril desde San José, Costa Rica. Abril es la llama de la esperanza ¡Sumate!

02/03/2023

GINEBRA (2 de marzo de 2023) – El Gobierno de Nicaragua está cometiendo violaciones generalizadas de derechos humanos que constituyen crímenes de lesa humanidad contra civiles motivados por razones políticas, dijo el Grupo de Expertos en Derechos Humanos sobre Nicaragua en un nuevo informe que ...

31/01/2023

El Índice de Percepción de la Corrupción (IPC) que publica este martes la ONG Transparencia Internacional (TI) reveló que desde 2017 la lucha contra

SAMEDI 3 DÉCEMBRE 2022Au Nicaragua l'État utilise la torture!PROGRAMME• Présentation de la rencontre et des invités : 18...
02/12/2022

SAMEDI 3 DÉCEMBRE 2022

Au Nicaragua l'État utilise la torture!

PROGRAMME
• Présentation de la rencontre et des invités : 18h00
• Message de Javier NART, député européen, en soutien à Dora Maria Téllez
• Première partie : État des lieux de la répression politique au Nicaragua avec les témoignages de l'Union des Prisonniers (ères) Politiques du Nicaragua (UPPN) et d'une avocate spécialisée dans les droits humains puis discussion avec la salle.
• Deuxième partie : Comment lutter efficacement contre la torture ? avec l’intervention d’un membre du Comité des Nations Unies contre la Torture (En attente de confirmation) et d’un représentant d'ACAT, puis discussion avec la salle.
• Conclusions et annonces
• Espace convivial avec collation et boissons

RENDEZ-VOUS SAMEDI 3 DÉCEMBRE 2022
Espace Martin Luther King de 18 à 22 h
Ce n'est pas de votre faute si la torture existe, mais si elle recule, c'est grâce à vous!

30/11/2022
SOSNicaragua-Europa SOS Nicaragua SOSNicaragua Global
19/08/2022

SOSNicaragua-Europa SOS Nicaragua SOSNicaragua Global

CONVOCATORIA – DERECHOS HUMANOS
¿Es usted una persona que trabaja en la defensa de los derechos humanos? ¡Aplique a la iniciativa Marianne!
➡️ La convocatoria tiene como objetivo ayudar a las personas defensoras de los derechos humanos en su lucha, tanto en Francia 🇨🇵 como en otros países 🌎
➡️ El programa incluye la acogida (incluso el alojamiento si es necesario), una beca mensual para vivir en París, un apoyo personalizado y el establecimiento de redes con agentes de la defensa de los derechos humanos durante un periodo de 6 meses (de enero a junio 2023)
📄 Detalles y documento de candidatura en nuestro sitio: https://urlz.fr/iZLU
✔️ Información complementaria directamente al correo [email protected]
📅 Fecha limite para aplicar: 14 septiembre 2022. . .
APPEL A CANDIDATURES - DROITS DE L'HOMME
Vous êtes engagé dans votre pays pour la promotion et la défense des droits humains ? Candidatez à l’initiative Marianne !
➡️ L’initiative Marianne vise à aider les défenseurs des droits de l’Homme dans leur combat, à l’étranger 🌎 et en France 🇫🇷
➡️ Ce programme prévoit l’accueil (dont le logement au besoin), le versement d’une bourse mensuelle pour la vie à Paris, un accompagnement personnalisé et une mise en réseau avec des acteurs de la défense des droits humains pendant une durée de 6 mois (de janvier à juin 2023)
📄 Dossier téléchargeable de candidature sur notre site : https://urlz.fr/iZLW
✔️ Information de contact : [email protected]
📅 Date limite de dépôt des candidatures : 14 septembre 2022.

08/07/2021

Los eurodiputados condenan las leyes restrictivas diseñadas para criminalizar a la oposición en Nicaragua y reclaman la liberación inmediata de todos los presos políticos.

08/07/2021

Nicaragua: Parlamento Europeo pide derogar las leyes punitivas contra la oposición https://bit.ly/3jWegKJ

06/07/2021

Au Nicaragua, Ortega et « l’agonie de la dictature »

Article du journal Le Monde 06 juillet 2021

Le journaliste Carlos Fernando Chamorro, devant les bureaux du « Confidencial » à Managua, le 14 décembre 2020. STR/AFP
Propos Recueillis Par Angeline Montoya

Pour Carlos Chamorro, directeur de médias en exil, des élections libres et transparentes sont impossibles

ENTRETIEN
Pour la seconde fois en deux ans et demi, Carlos Fernando Chamorro, le directeur des médias nicaraguayens Confidencial et Esta Semana, a été contraint à l’exil, face à la recrudescence de la répression du régime de Daniel Ortega. Lauréat 2021 du prestigieux prix de journalisme Ortega y Gasset, Carlos Chamorro est issu d’une famille de journalistes : son père, Pedro Joaquin Chamorro, opposant à la dictature de la dynastie des Somoza (1937-1979), a été assassiné à Managua en 1978. Sa sœur, Cristiana, a commencé sa carrière en 1979 dans le journal La Prensa, dirigé par sa mère, Violeta Barrios de Chamorro. En 1990, cette dernière a emporté la présidentielle contre le chef de l’Etat qui gouvernait depuis 1975, l’ancien héros révolutionnaire sandiniste Daniel Ortega.

Revenu au pouvoir en 2007, M. Ortega a réprimé dans le sang, en 2018, une révolte pacifique qui exigeait la fin de son régime « népotiste », faisant plus de 300 morts. Depuis la fin mai, le pays connaît une nouvelle vague d’arrestations d’opposants, dont cinq précandidats à l’élection présidentielle du 7 novembre et onze leaders politiques et civiques. Pour Carlos Chamorro, qui a répondu aux questions du Monde depuis le Costa Rica, le président cherche à éliminer toute concurrence dans le but de se faire réélire.

Pourquoi avez-vous quitté le Nicaragua ?

Ma rédaction a été prise d’assaut par la police le 20 mai, sans aucun ordre judiciaire. C’est la deuxième fois que cela arrive. Lors de la première, en décembre 2018, ils avaient confisqué nos locaux de manière permanente et illégale. J’avais, là encore, dû quitter le pays. Entre le 20 mai et le 25 juin, 21 personnes ont été détenues.

Le 13 juin, le ministère des affaires étrangères a publié un document, ironiquement appelé « En défense de l’Etat de droit », qui explique que le gouvernement est victime d’une conspiration internationale et qui m’accuse d’avoir reçu, à travers la Fondation Violeta Barrios de Chamorro [une ONG dirigée par sa sœur, Cristiana Chamorro, et qui défend la liberté de la presse] des millions de dollars d’agences du gouvernement américain. J’ai interprété ce document comme une menace imminente pour ma propre intégrité physique et ma liberté, ainsi que celles de ma famille. Ça a été une décision difficile à prendre, mais j’ai quitté le pays, et quelques jours plus t**d, la police a débarqué à mon domicile pour m’arrêter.

Quel est le but cette vague d’arrestations ?

Daniel Ortega prétend se faire réélire le 7 novembre en éliminant tous les concurrents. C’était prévisible. Ce qui est surprenant, c’est le déploiement policier, la violence du régime. Et le fait que, sur ces 21 otages, seuls deux sont assignés à résidence. Les autres sont en prison. Ils n’ont pas eu le droit de prendre contact avec leurs proches, ni même avec un avocat. Ces pratiques vont à l’encontre de leurs droits les plus élémentaires. Sans compter qu’il reste 120 prisonniers politiques en prison. La Croix-Rouge internationale devrait intervenir.

Votre sœur, Cristiana Chamorro, était pressentie comme la candidate qui pouvait unifier l’opposition et vaincre Daniel Ortega à la présidentielle. Elle a été arrêtée le 2 juin. De quoi l’accuse-t-on ?

Une enquête a été ouverte contre elle pour soupçons de blanchiment d’argent, et le parquet lui a interdit de se présenter aux élections. Les accusations n’ont aucun fondement. Le seul objectif est de lui retirer ses droits politiques et l’empêcher de se présenter à l’élection.

Votre frère, l’ex-député Pedro Joaquin Chamorro, a été arrêté, tout comme votre cousin germain, Juan Sebastian Chamorro, qui était lui aussi précandidat. Votre famille est-elle une cible particulière du régime ?

Il est vrai qu’il y a un acharnement contre des membres de ma famille, qui est interprété comme en lien avec le fait que ma mère a remporté l’élection de 1990 contre Daniel Ortega. Mais trois autres précandidats sont en prison, et la répression est généralisée et sans discernement. En 2018, 328 manifestants ont été tués, et plus de mille ont été arrêtés.

L’opposition se présentait divisée à l’élection. Daniel Ortega avait-il vraiment besoin de mener une telle attaque ?

Ortega est conscient qu’il a perdu cette élection depuis que le peuple est sorti massivement dans la rue en avril 2018 pour réclamer des élections anticipées. Face à la fermeture de l’espace politique, une tendance à l’union était née dans l’opposition. Les cinq précandidats qui ont été détenus briguaient une candidature unique. Ortega a décidé d’empêcher ce leadership, car il sait qu’il perdrait les élections. Il ne va pas permettre cela. C’est la preuve qu’il a une peur panique de la concurrence politique. Il prolonge ainsi l’agonie de cette dictature.

Des élections libres et transparentes sont-elles encore possibles ?

A cinq mois des élections, c’est inimaginable que ce soit le cas, alors que le pays est sous l’emprise d’un Etat policier. Il n’y a pas de liberté de réunion, de mobilisation, de presse, d’expression. Il faudrait, d’abord, rétablir ces libertés, libérer les prisonniers politiques.

Vous avez dit que le régime de Daniel Ortega était pire que la dictature de la dynastie des Somoza. Pourquoi ?

D’abord, il s’agit, comme avec Somoza, d’une dictature familiale. Ortega arrive au pouvoir à travers le Front sandiniste de libération nationale (FSLN), mais il gouverne avec sa famille : son épouse [Rosario Murillo, vice-présidente], ses enfants [huit d’entre eux sont ses conseillers]. Ensuite, c’est un régime autoritaire. Et peut-être pire, à cause de la tendance totalitaire à éliminer les institutions démocratiques. Le Congrès, la Cour suprême, le parquet, aucune n’est autonome, toutes sont des extensions du pouvoir d’Ortega. A l’époque de Somoza, il y avait au moins des juges qui le défiaient et avaient un certain pouvoir de décision. Plus aujourd’hui. Enfin, les deux régimes ont utilisé la force brute pour réprimer. Mais sous la dictature de Somoza, il y avait un mouvement insurrectionnel armé, le FSLN. Ortega, lui, a réprimé dans le sang un peuple désarmé. Il n’y a pas, aujourd’hui, une guerre civile entre deux camps. Il y a eu, certes, en 2018, une insurrection civique, avec des barricades, des mortiers, des occupations d’universités. Mais ce n’était pas un affrontement entre deux armées. Personne, au Nicaragua, n’appelle à prendre les armes, ou à l’intervention de forces militaires extérieures. Ortega a perpétré le pire massacre de l’histoire du Nicaragua en temps de paix.

La pression internationale est-elle suffisante ?

Les pressions internationales peuvent affaiblir le régime, car le Nicaragua n’est ni Cuba ni le Venezuela. Son économie est ouverte, contrairement à Cuba, et il ne dispose pas du pétrole vénézuélien. Mais la pression devrait être beaucoup plus importante, car la population ne peut pas protester, manifester, s’organiser. La communauté internationale hésite sur le timing : faut-il exercer plus de pression dès maintenant, ou attendre après les élections du 7 novembre ? Or, on sait ce qui va se passer le 7 novembre. Le Nicaragua vit une situation d’urgence humanitaire, politique, sur les droits humains, qui exige des actions coordonnées immédiates.

Mais la solution est d’abord un défi des Nicaraguayens, des chefs d’entreprise, des fonctionnaires, de la police, de l’armée, de l’Eglise. Il faut trouver une unité nationale pour isoler le régime et trouver un chemin de sortie, avec ou sans Ortega-Murillo.

24/06/2021
16/06/2021

Venez nombreuses et nombreux ce
Samedi 19 juin, rassemblement à Paris, place de la République. 💪🏾💪🏾💪🏾💪🏾

Colectivo de Derechos Humanos Nicaragua Nunca +
Articulación de Movimientos Sociales y OSC NicaraguaAmnesty International France - AmériquesCentro Nicaragüense de Derechos Humanos - CenidhMovimiento Feminista de NicaraguaSos Nicaragua FranceAmnistía Internacional AméricasSOS Nicaragua-BélgicaLa Digna RabiaSOSNicaragua-EuropaMadres de AbrilFrance Amérique LatinePico y PalaPresos Políticos NicaraguaIM-DefensorasAmnistía Internacional NicaraguaNicaragua, patria libre para vivir.
Comité Nicaragua Occitanie

13/06/2021
26/05/2021

La France a condamné lundi les « graves atteintes » à la liberté de la presse au Nicaragua et appelé à un processus électoral « libre et transparent » dans ce pays où des élections générales auront lieu en novembre.

12/05/2021

« Humour » ortéguiste : « La police ne persécute pas les défenseurs des droits humains, elle assure leur sécurité » *

Le 6 mai dernier, séance de la Cour Interaméricaine des Droits Humains (CIDH) à propos des plaintes déposées par deux organisations nicaraguayennes de défense des droits humains (la « Comisión Permanente de Derechos Humanos » (CPDH) et le « Centro Nicaragüense de Derechos Humanos » (Cenidh)). Des plaintes portant sur des actes d’intimidation, de persécution policière et d’entraves à leurs activités.

Comme le 21 avril dernier, alors que des membres de la CPDH rencontraient des habitants de Chinandega, des policiers ont pénétré dans le local où se déroulait la réunion et ont ordonné aux membres de la CPDH de quitter les lieux (voir vidéo **) ; ceux-ci ont été « escortés » par des véhicules de la police jusqu’à Managua.

Karla Sequeira, avocate de la CPDH, a expliqué à la Cour que cette action policière est loin d’être un cas isolé : depuis avril 2018, la CPDH a relevé 153 actes de répression à son encontre, comme l’empêcher de se rendre dans certaines localités, des détentions abusives de membres de son personnel, des patrouilles policières stationnant devant leurs domiciles, …

Autre association visée par le régime, l’ « Asociación Madres de Abril » (AMA) dont la présidente, Francys Valdivia, a été brutalement arrêtée le 20 avril par la police alors qu’elle participait à la commémoration du 3e anniversaire du meurtre de son frère Franco à Estelí. Au commissariat, elle a été obligée de se dévêtir entièrement et prise en photo.

Deux jours plus t**d, alors que Francys tenait une conférence de presse avec le Cenidh pour dénoncer l’action policière, « 50 agents de la direction des opérations spéciales ont encerclé le bâtiment. Vêtus d’uniformes noirs, de gilets pare-balles, munis de fusils d’assaut AK47. (…) Ce nombre disproportionné de policiers munis d’armes de guerre vise clairement à intimider les militants des droits humains et contrevient à l’exigence adressée par la Cour à l’Etat du Nicaragua de permettre au Cenidh de poursuivre librement ses tâches de défense des droits humains », constate Antonia Urrejola, présidente de la Cour. Pour rappel, le régime a retiré en décembre 2018 au Cenidh sa personnalité juridique et confisqué ses installations.

Gonzalo Carríon, président du « Colectivo de Derechos Humanos Nicaragua Nunca Más” (qui a dû se réfugier au Costa Rica) dénonce le harcèlement de ses proches restés au Nicaragua. « Les attaques via les réseaux sociaux ne cessent d’augmenter, jamais nous ne pourrons vivre tranquillement au Nicaragua. » .

Vilma Núñez, présidente du Cenidh dénonce l’attitude du régime qui n’a de cesse de stigmatiser et de criminaliser les défenseurs des droits humains : « Le Gouvernement du Nicaragua traite les avocats du Cenidh d’ennemis de l’Etat et nous expose à de graves risques d’atteinte à notre intégrité physique, voire de mort. Les accusations mensongères qu’il porte contre nous sont en effet propagées sur les sites contrôlés par le parti du gouvernement et sur les réseaux sociaux » [par des fanatiques du régime]. Des fananatiques du ministère de la Santé ont été jusqu’à photographier Vilma Nuñez, 82 ans, (ainsi que d’autres opposants), alors que Vilma se faisait vacciner, pour ensuite faire circuler la photo sur les réseaux sociaux avec le commentaire « elle critique notre bon gouvernement alors qu’il bien voulu lui offrir le vaccin ». 🙄

La Procureure Générale de la République, l’ortéguiste Wendy Morales Urbina, a expliqué que l’action de la police vise « à assurer leur sécurité afin qu’ils puissent continuer à mener leurs activités (...) comme la Cour l’avait intimé au gouvernement nicaraguayen". Les protéger contre quoi ? Contre qui ? Mystère ...

(*) déclaration de la Procureure Générale de la République le 6 mai devant la Cour Interaméricaine des Droits Humains

(**) https://www.youtube.com/watch?v=DQ-bp4qsKik

Dessin joint de PxMolina publié par « Confidencial » le 8 mai : https://www.confidencial.com.ni/pxmolina/caricatura-del-dia-los-cuentos-de-la-dictadura/

« La dictature ment en disant que la persécution constante des citoyens, c’est …

… pour prendre soin d’eux »

NB : dans la gu**le du loup ortéguiste, une jambe dépasse sur laquelle on peut lire « DDHH » (défenseurs des droits humains)

Toutes les photos jointes proviennent de la vidéo filmée lors de l'action répressive contre la réunion du CPDH à Chinandega

Sources :

https://www.articulo66.com/2021/05/06/regimen-nicaragua-victima-defensores-derechos-humanos-corte-idh/

https://www.despacho505.com/regimen-afirma-ante-corteidh-que-la-policia-resguarda-a-defensores-de-ddhh/?fbclid=IwAR1w0g8NKwh3TiSx5B9__RLTqhKHH3CNRltz6sFdFhHXajg7NQ0wMqs9Pz4

https://www.confidencial.com.ni/nacion/gobierno-miente-y-alega-que-acoso-policial-es-para-resguardar-a-activistas/?fbclid=IwAR1XoFeFkLbzAnR8lCt_w7Eo25P8RLEMlzaJYqDEY5dFJNnV0B7ej8_5TwU

https://www.confidencial.com.ni/politica/detencion-arbitraria-de-francys-valdivia-presidenta-de-ama-y-hermana-de-franco/
https://cejil.org/comunicado-de-prensa/audiencia-corte-idh-el-estado-de-nicaragua-reformo-ataques-y-persecucion-a-personas-defensoras-de-derechos-humanos/

https://www.articulo66.com/2021/04/22/policia-del-regimen-en-una-accion-represiva-expulsa-de-chinandega-a-defensores-de-derechos-humanos/?fbclid=IwAR1w0g8NKwh3TiSx5B9__RLTqhKHH3CNRltz6sFdFhHXajg7NQ0wMqs9Pz4

https://100noticias.com.ni/nacionales/106738-policia-paramilitares-asedio-cpdh-chinandega/?mobile&fbclid=IwAR3vk2YggPJ3g1WGDftXdS-wNKZwwuaVyGva7D-Rh8KK4gSDLO_JL2UL80Y

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11/05/2021

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