LE RAS LE BOL DES LOCATAIRES HLM
Trois semaines de galère: canalisations bouchées, fuites d'eau etc...
Trois semaines durant que les locataires de l'immeuble de la place du Général Bertrand à surville n'en finissent pas de se plaindre mais rien n'y fait.
Aujourd’hui ,preuves à l’appui, Ils nous alertent.
"Les canalisations dans les appartements sont bouchées. Ce matin encore, jeudi 12 septembre, il y a des odeurs de toilette irrespirables qui remontent. On n'arrête pas d'appeler Confluence Habitat. Aujourd'hui, c'est la sixième intervention."
Les résidents ne savent plus quoi faire.
Ce matin, c'est un camion de la SNAVEB, entreprise de débouchae qui est intervenu.
"On verra ce qui va se passer mais franchement ce n'est pas agréable. Pendant près d'un mois, les incidents se sont multipliés. Les fuites d'eau qui ont dévalé les escaliers. On a dû éponger. Les WC bouchés. Les odeurs pestilentielles qui remontent. Face à tous ces désagréments, nous les locataires, on ne peut rien faire. Sauf à faire le siège de Confluence Habitat pour que çà bouge. Mais là, ça suffit. Faudra t-il à nouveau une pétition ou manifester devant les bureaux du maire ? "
C'est vrai que les locataires du bâtiment s'étaient tous mobilisés en début d'année. Une pétition avait été adressée à Confluence Habitat le 22 janvier dernier pour dénoncer les sacs de poubelle, les cartons dans les compartiments de compteur de gaz, déjà les fuites d'eau, la multiplication des rats, les cafards etc, le plan d'évacuation du bâtiment retiré …
Les locataires restent clairvoyants :
"C'est malheureux mais pour se faire entendre aujourdhui à Montereau on est obligés d'élever la voix. À Surville on est laissé à l’abandon par nos elus qui sen foutent et Confluence Habitat est comme un canard sans tête qui semble dépasser par l’ampleur des mécontentements . Nous ont paye nos loyers on a le droit d’être un minimum respectés »
TENTATIVE D’ASSASSINAT ET FUSILLADES A SURVILLE : À NOUVEAU DES IMAGES DE GUERRILLA URBAINE
Les policiers ouvrent une enquête pour tentative d'assassinat
Décidément le quartier de Surville n'est pas à fréquenter.
La nuit dernière des tirs ont été entendus dans le périmètre de la rue Lavoisier et du bar PMU "Le Western" anciennement "Le Napoléon". Sur la porte de l'établissement qui est actuellement fermé, les policiers ont posé des scellés. Il est indiqué "Tentative d'assassinat".
Retour sur les faits: il est aux alentours de 23 heures lorsque des fusillades éclatent. Un homme est atteint par un des tirs. Il est blessé. Selon nos informations, il était assis en train de boire un café. La fusillade a été entendue de partout. A tel point que certains riverains ont voulu sortir de chez eux pour voir ce qui se passait. Ils ont été vite arrêtés par les policiers qui avaient mis en place un périmètre de sécurité. Les deux routes à commencer par celle qui passe devant le magasin Lidl avaient été fermées à la circulation.
Un témoin nous raconte: "Je voulais rejoindre la route de la Grande-Paroisse pour aller au travail et je n'ai pas pu passer. Il y avait de la rubalise partout. Les policiers étaient là en grand nombre. Certains étaient agenouillés à terre. Visiblement, ils étaient à la recherche de traces, d'éléments. C'était impressionnant."
Effectivement les policiers (techniciens en identification criminelle) effectuaient des relevés, à la recherche aussi de douilles. Une fusillade qui en dit long sur le climat d'insécurité qui règne désormais dans ce quartier et qui pourrait trouver son explication dans des règlements de compte sur fond de drogue.
Rappelez-vous: déjà le week-end dernier, les policiers avaient essuyé des tirs de mortier après avoir poursuivi un Porsche Cayenne et procédé à l'interpellation de deux personnes.
Le 9 avril, le procureur, Arnaud Faugère, nous expliquait que lors
TIR DE MORTIERS À SURVILLE
Insécurité. Des tirs de mortiers, des incendies, des bagarres, le week-end des habitants de Surville a été plus que mouvementé. Des scènes de violences qui ont démarré dans la nuit de vendredi. Les policiers nationaux sont intervenus. Ils ont été pris à partie par des jeunes . Des tirs de mortiers ont alors été tirés. Selon nos informations des représentants de l'ordre auraient été légèrement touchés. Des interpellations ont également été réalisées suivies de gardes à vue au commissariat. Les sapeurs-pompiers appelés sur place ont dû employer leurs lances pour éteindre un incendie de véhicule. La nuit a été zébrée par la lumière des gyrophares, les flammes. La détonation des tirs de mortiers s'est même fait entendre samedi après-midi. "Mais qu'est-ce-qui se passe à Surville? Des règlements de compte entre bandes rivales? nous demande Elian, un jeune adolescent. J'y habite et depuis cet après-midi j'entends des tirs. Cà fait peur. En tout cas, cela n'a rien à voir avec une fête." Affaire à suivre!"
Scène de violences à l'hôpital
Avec sa béquille un sans-domicile-fixe roue de coups sa victime
Scène de violences mercredi soir à l'hôpital de Montereau. Une vidéo circule en ce moment sur les réseaux sociaux et montre deux hommes assis sur le sol. Il s'agit de deux sans domicile fixe qui le soir s'abritent, faute de structure municipale daccueil , au sein du centre hospitalier à proximité des machines à café.
La population a l'habitude de les voir notamment dans la rue Jean-Jaurès. L'un d'eux est déjà connu pour sa violence et sur la vidéo, on le voit saisir sa béquille et assener des coups répétés sur l’autre que lon appelle Momo.
Dans le cas présent Momo est incapable de se défendre vue sa stature, il est maigrelet et n'a aucune méchanceté, Momo a essayé de se protéger le mieux qu'il pouvait en se mettant en boule.
Son agresseur s'est visiblement déchaîné sur lui.
Une scène qui a eu des témoins d'où la vidéo dune partie de cette scène de violence que nous publions . Comment comprendre cette bagarre qui a effrayé les patients d'autant que l'établissement hospitalier est doté d'agents de sécurité ? A aucun moment, les services de la police n'ont été prévenus par leurs soins.
"Comme de très nombreuses personnes, j'ai vu la vidéo, témoigne un usager. Je suis choqué. Ce n'est pas normal. C'est scandaleux. A l'hôpital, on doit se sentir en sécurité. C'est l'endroit par excellence où l'on vient se faire soigner et pas tabassé. Pourquoi la mairie n’est elle pas capable d’héberger la nuit les SDF de montereau comme c’était le cas avant ? "
L’hôpital que nous avons contacté et qui ne semblait pas informé s’est engagé à voir ce qui s’est passé et à en tirer les conséquences.
LE SIRMOTOM VICTIME D’UN SABOTAGE DE SES INSTALLATIONS
Une vidéo exclusive en apporte la preuve.
Le Syndical Intercommunal, en charge de la collecte des déchets ménagers, regroupe 39 communes et agit depuis des décennies à la plus grande satisfaction des élus du territoire.
Pourtant, depuis l’élection municipale de nombreuses tensions ont émaillé les relations avec la majorité municipale de Montereau dont les élus ont pris pour cible ce syndicat accusé de tous les maux. Il est vrai que le SIRMOTOM est présidé par l’ancien ministre Yves Jégo, conseiller municipal de la minorité monterelaise, élu président à l’unanimité des 39 communes, ce qui a fortement déplu à James Cheron le maire de Montereau qui ne cesse de dénigrer son prédécesseur.
Le SIRMOTOM gère la collecte des déchets ménagers et les déchèteries dont celle de Montereau, pour laquelle il investit actuellement 5 millions d’euros afin d’offrir aux habitants un outil moderne de gestion et de tri des encombrants. Le syndicat s’est illustré pour avoir développé toute une série de services comme la distribution gratuite de composteurs, le ramassage des encombrants à domicile ou encore l’ouverture récente d’un « Répar’Café », qui connaît un grand succès chaque dernier vendredi du mois, en partenariat avec la ressourcerie privée REMONDE.
Le syndicat gère aussi les points d’apport volontaire de verres ou de déchets ménagers qui sont mis à disposition des foyers soucieux d’un bon tri de nos poubelles.
Intrigué par un taux de saturation élevé de certains de ces points d’apport volontaire à Montereau qui débordent peu de temps après avoir été vidés le SIRMOTOM a enquêté. Quelle ne fut pas sa surprise d’apprendre, de la bouche même des riverains, que ce seraient des agents municipaux eux mêmes qui venaient régulièrement saturer ces conteneurs en y déversant des camions entiers. Incrédule, face à ces accusations, le SI