Il est temps de clore cette (courte) saison et de laisser le silence s’installer afin d’y retrouver l’inspiration.
La photo en post a été prise en mai 2023 sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle.
J’ai débuté le pèlerinage dans l’optique d’éprouver ma spiritualité et de trouver le silence.
J’ai rencontré de nombreux pèlerins, et me suis lié à eux.
J’en ai souvent recroisé en chemin, et j’en ai vu d’autres partir pour de bon.
Tout ceci constitue l’expérience spirituelle et humaine la plus intense que j’ai vécue.
Une expérience faite d’authenticité, de simplicité et de silence.
J’envisage une saison 3, mais je ne sais pas pour quand.
Une chose est sûre, ce ne sera pas cette année. J’ai besoin de prendre le temps.
Cela ne veut pas dire que j’abandonnerai ce compte 😊
Pour l’instant, l’heure est au repos 😴
Merci infiniment pour vos soutiens et votre fidélité.
C’est vous qui faites vivre « La voie d’un yogi » 🔥
Cet épisode aura mis du temps à venir, mais le voici !
Pour célébrer les 3 années d’existence du podcast, je vous propose une exploration autour du triangle et du chiffre 3.
Un beau programme vous attend :
- Trikonasana : ses variantes et sa symbolique ;
- Les trois guna ;
- Les darshana du Samkhya et du Yoga (indispensables pour comprendre les guna et le discours de Patanjali) ;
- Symbolique du triangle et du chiffre 3.
Sans oublier le Souffle, seule et unique ligne directrice dans ce monde dérivant vers l’inconnu.
En attendant le prochain épisode qui viendra clore la saison, je vous souhaite une belle écoute 😊
J’ai toujours considéré Paschimottanâsana comme une posture particulière.
À l’heure où les challenges éclosent pour gagner en souplesse ou obtenir des abdos en tablettes de chocolat, parvenir à poser le front sur les genoux devient l’accomplissement de longues heures de pratique de hatha-yoga.
Le chemin s’arrête-t-il pour autant ?
Notre vie change-t-elle pour autant ?
Exécuter une posture dans sa version aboutie nous épargnera-t-il des vicissitudes de nos existences ?
Bien que nous la nommions la pince, en référence à l’outil, la traduction de Pascimottanâsana est aux antipodes de cette idée de fermeture.
Nous nous inclinons vers l’avant pour nous ouvrir davantage. C’est ce que nous explorerons dans cet épisode.
Bonne écoute !
Dhanurâsana est incontournable en hatha-yoga.
Cette extension sur le ventre nous donne la possibilité d’expérimenter notre force.
Tout comme le tir à l’arc, l’asana demande du temps pour être apprivoisé.
L’adepte cherche à se redresser et à élever ses jambes, porté par le désir d’aller toujours plus haut.
N’oublions pas cependant l’enjeu essentiel : sthira, shuka.
La fermeté et l’aisance.
Vivre la posture, peu importe l’amplitude.
Cultiver un souffle long et calme.
Bonne écoute !
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Dans un monde oscillant entre réel et virtuel, il est difficile de garder les pieds sur terre.
Notre besoin d’ancrage n’a jamais été aussi prégnant.
Voilà que le yoga nous propose de tout renverser au risque de compromettre ce fragile équilibre.
Et si ce retournement s’avérait salutaire ?
Et si dans ces inversions nous sacrifiions une part de nous sur le foyer de l’intériorité ?
Cet épisode inaugure la seconde partie de cette saison.
Après l’exploration des voies du yoga, revenons à nos corps.
Les six épisodes de cette dernière partie seront donc dédiés à la pratique posturale.
Bonne écoute !
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Le chemin de la connaissance continue de se dévoiler au jñānin. Dans sa quête, ce dernier concentre ses efforts pour affuter son sens de la discrimination, viveka. Sa lame affutée, il parviendra à déchirer le voile de l’ignorance.
Mais la route est longue et ardue. Certains maîtres affirment que la voie du jñāna est la plus difficile de toutes. Au cours de cette seconde partie, nous verrons quelles sont les qualifications requises pour devenir jñānin et les deux voies qui mènent à la désidentification.
Cet épisode conclut notre exploration des trois grandes voies évoquées par Krishna dans la Bhagavad-Gita. Une quatrième subsiste, elle est même citée dans le chapitre 6 : le raja-yoga, ou yoga royal.
Ce yoga est aujourd’hui associé à celui de Patanjali. Puisque je lui ai consacré de nombreux épisodes lors de la première saison, je ne ferai pas d’épisode dédié au raja-yoga. Ça ne veut pas dire non plus que je laisse les yoga-sutra de côté ! Il y a encore tant de choses à dire et de liens à établir avec les autres textes.
Bonne écoute ! Et merci pour votre enthousiasme pour ces épisodes !
Dans cette seconde partie dédiée au Bhakti Yoga, je vous parle de la jouissance des sens et de l’enseignement de Vivekananda qui en découle.
Comment éviter de succomber aux flammes des désirs humains ? Le bhakta peut-il évoluer seul dans ce monde ou a-t-il besoin d’un guide ?
La discipline spirituelle qu’est le yoga ne peut se dissocier de la relation maître – élève. C’est auprès d’une âme plus élevée que l’on peut allumer sa lampe.
À quoi reconnaît-on un maître ?
C’est une question que je me pose depuis ma jeunesse. À l’ère d’une spiritualité 2.0 et celle d’une crise sanitaire qui divise, il est facile de se laisser embarquer par des imposteurs, surtout sur les réseaux sociaux.
Le monde a connu de véritables maîtres comme Vivekananda, Yogananda, Krishnamacharya, Ma Ananda Moyi, Sri Aurobindo et j’en passe. Or, la quasi-totalité d’entre eux ont quitté leur corps.
Je n’ai pas eu la chance de les rencontrer (et Dieu sait que j’aurais aimé rencontrer Yogananda et Ma Ananda Moyi !). Je suis né trop tard, c’est ainsi.
D’autres comme Bikram Choudhury ou Yogi Bhajan ont embrassé ou reçu le titre honorifique de guru. Mais il y a une ombre au tableau. De nombreuses accusations d’attouchements et de viols pèsent sur eux.
Il m’est donc difficile de tomber en admiration, voire en dévotion, face aux grandes figures actuelles du yoga. Je me demande alors quels véritables maîtres spirituels restent-il à notre époque.
Peut-être sont-ils bien au chaud au fond d’une grotte, comme tout bon renonçant.
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Je suis très heureux de vous proposer cet épisode sur le Bhakti Yoga en deux parties. Tout comme pour le karma yoga, il y a beaucoup de choses à dire sur cette noble voie.
La Bhakti affirme ses couleurs religieuses. Il n’est nullement question de postures et de techniques propres au Hatha-yoga. C’est avant tout une relation de cœur à cœur.
La racine sanskrite -bhaj- évoque le partage et l’échange. On traduira alors Bhakti par dévotion.
N’y voyons pas un synonyme d’aliénation. Bhakti yoga nous parle surtout d’amour. Un amour si vaste et si infini que nulle autre forme d’amour ne peut égaler !
Puisqu’il est difficile de méditer sur l’Absolu sans attribut, le Bhakta élira une divinité à laquelle il se consacrera jusqu’à la fin de sa vie. C’est une relation privilégiée, puissante et profonde qui s’installe entre le Bhakta et son Ishta-devata. Mais pour cela, il faut du temps et surtout de la persévérance dans la pratique personnelle.
Il est légitime de se renseigner auprès d’autres dévots et de se documenter avant de choisir sa Personne divine (ou autre objet de dévotion). Dès lors que le choix est fait et inscrit dans le cœur, on ne revient pas en arrière. Passer d’une divinité à une autre par effet de nouveauté et de consommation est une insulte à la Bhakti et une terrible erreur de compréhension.
Précédemment, j’écrivais que les rites et sacrifices rythmaient la vie de chaque individu, notamment celle du maître de maison. Ils forment une célébration du vivant.
Par ces rites, une relation se crée. Ainsi le désir est orienté vers cette relation d’échange.
En célébrant le vivant, le sacrifiant maintient l’ordre du dharma et s’en remet à plus grand que lui.
Le sacrifice revêt toute sorte de formes.
La Bhagavad-Gita mentionne des yogins qui sacrifient le souffle expiré dans le souffle inspiré, et vice-versa, retenant le cours de l’un et l’autre. On voit alors que le Pranayama, et Kumbhaka forment un sacrifice.
En écrivant cet épisode, de nombreuses interrogations m’ont traversé l’esprit. Arjuna est un guerrier. Krishna l’enjoint à combattre.
Qu’en est-il alors d’ahimsa, la non-violence ?
Eh bien, tout est une question de contexte, car historiquement, ahimsa ne concernait que la classe des brahmanes.
Une autre interrogation de taille me hante depuis le début de la crise sanitaire :
Est-ce que je pense suffisamment au collectif ?
Est-ce que j’agis pour son bien sans rien attendre en retour ou pour ma pomme ?
Et tandis que le développement personnel n’a jamais été aussi en vogue, je ne peux m’empêcher de me demander s’il ne nous a pas rendus égoïstes de façon pernicieuse.
L’épisode que je vous propose est plus dense que les précédents. C’est la raison pour laquelle je l’ai scindé en deux parties. À ce propos, je vous remercie d’avoir répondu au sondage, car j’hésitais.
Premier des quatre yoga évoqué par Krishna, le karma yoga est un peu le fer de lance de la Bhagavad-Gita. Discipline spirituelle souvent réservée aux renonçants, le yoga prend alors une nouvelle ampleur grâce à l’enseignement de Krishna. Chaque individu vivant en société peut le pratiquer par le biais de ce fameux karma yoga, le yoga de l’acte.
Pour comprendre cette notion d’acte désintéressé, il est nécessaire de s’intéresser à l’hindouisme. Qu’on le veuille ou non, yoga et hindouisme sont intrinsèquement liés, puisqu’ils prennent racines dans le même terreau culturel.
Dans cette partie, nous partirons à la découverte des classes (Varnas) mentionnées dans la Bhagavad-Gita. Ces Varnas constituent le socle de référence des castes qu’on connaît aujourd’hui. Ce système de caste est sujet à controverse. Pour de nombreux Indiens, c’est carrément un tabou.
Je suis professeur de français langue étrangère et j’ai souvent eu des étudiants indiens. Dès que j’aborde avec eux la vie en Inde et les castes, tous me disent l’air gêné que c’est tabou.
La vie d’un Indien et d’une Indienne est religieusement définie et rythmée. Rythmée par 4 périodes de vie que nous verrons dans cette partie : l’âge de l’étudiant, celui du maître de maison, celui du retraité et enfin celui du renonçant.
Si je vous parle de tout ça, c’est parce que le karma yoga concerne les personnes vivant en société. Il se traduira par de nombreux rites et sacrifices qui, en plus de rythmer la vie, sont une véritable célébration du vivant.
201.2
J’ai découvert Marie-Madeleine Davy grâce à la directrice de l’école française de yoga de Lille. Après lui avoir confié mes remises en question, cette dernière m’a conseillé un premier livre de M-M Davy : « La Connaissance de soi ». Suite à cette lecture passionnante, je me suis tourné vers « Le désert intérieur », parce que le titre faisait écho en moi durant cette période.
Marie-Madeleine Davy (1903-1998) était maître de recherche au CNRS. Docteur en théologie catholique et protestante, elle s’intéressa à toutes les religions, à la psychanalyse, Jung en particulier et entretint de longs échanges avec les philosophes de son époque, Simone Weil, Gabriel Marcel, Nicolas Berdiaev, Bergson, Jankélévitch.
Bien qu’ils aient été écrits et publié au début des années 80, ces deux textes sont vibrants d’actualité.
Le rapport avec le yoga ? Pratyahara, le retrait des sens. Ce cinquième membre du yoga qui nous amène vers notre désert intérieur.
Voici un extrait de la quatrième de couverture :
« Le désert a toujours fasciné les hommes épris d'absolu. Les sables d'Egypte ont eu leurs ermites et le peuple juif est passé par l'épreuve du désert.
Le désert géographique symbolise celui du dedans, qui n'est pas un lieu mais un état d'écoute, de vision, de rencontre. Abandonner le monde, c'est se quitter soi-même. S'éloigner de la foule, c'est rompre avec la conscience grégaire où l'on menace de s'endormir.
Par la nudité qu'il exige, le désert provoque un éveil qu'il convient de couver dans la solitude. L'habitant du désert se doit d'y consentir. Si, conduit par l'Esprit, il pénètre silencieusement dans son fond, il fait sien le conseil donné par Hésyclius de Jérusalem : "Emerveille-toi, alors tu comprendras !"
Devant la crise qui ébranle métaphysiques, religions et valeurs, le désert intérieur n'est pas un refuge et n'offre aucun abri : il invite aux métamorphoses. »
201.1
Je profite de ce premier épisode pour vous faire part des doutes, des interrogations et, je ne vais pas m’en cacher, des agacements vécus durant cette pause.
Je me suis éloigné de la pratique parce que je ne supportais plus de suivre mes cours en ligne. La frustration de retrouver mes enseignants et mes camarades derrière un écran m’a consumé. Je me sentais terriblement seul sur mon tapis. J’ai conscience que le yoga était une voie initialement solitaire, or je n’ai pas choisi d’être renonçant. L’énergie du groupe me manquait trop.
Je me suis éloigné de la pratique parce que j’étais las de voir sur Instagram des photos de postures plus « parfaites » les unes que les autres. Lassé de lire des discours trop orienté bien-être et licornes alors que je doutais (et n’étais pas le seul !).
Un jour, ma prof de philo a dit : « de quel yoga parle-t-on ? »
Tout est une histoire de vécu et de perception me direz-vous. Chacun vit le yoga à sa façon.
Ce que je souhaite, c’est plus de contextualisation. Cela passe forcément par la case Histoire. Efforçons-nous de comprendre pourquoi, par exemple, le Mahabharata décrit le yoga comme « une contrée sauvage, terrifiante, aride, pleine de gouffres et abondant en serpents et en bandits ».
Le monde yoga ce n’est certainement pas celui des Bisounours, surtout quand la Miviludes alerte sur la hausse des dérives sectaires dans le milieu. Plus que jamais, nous devons cultiver le discernement et éviter de tomber dans le piège de ces illusions. Choisir un chemin spirituel comme le yoga, c’est accéder à sa vulnérabilité et apprendre à regarder l’obscurité.
Ysé Tardan-Masquelier a justement écrit qu’au lieu dire « développement personnel », on devrait plutôt parler de « dépouillement personnel ». Avec la reprise des cours en présentiel, j’ai retrouvé le goût de la pratique. Sauf que je ne déroule plus mon tapis tous les jours. Peut-être que cette ascès
Dès aujourd'hui, vous me retrouverez dans le podcast "Le yoga dans nos vies", animé par Alexane de la page Grow Up Yourself
On y parle de yoga, de mon parcours de vie impacté par cette discipline spirituelle et on philosophe sur la vie.
De mon côté, je planche toujours sur la saison 2 de La voie d'un yogi qui arrivera pour la rentrée de septembre 😄
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Lors de notre conversation avec @alexaaner @jeanne_yoga et @yoginilaurita nous avons partagé, entre autres, notre vision de l’enseignement du yoga et comment inclure sa philosophie.
La philosophie et l’histoire du yoga sont des thématiques si vastes qu’elles demandent des années d’études et de lecture. Voire plus d’une vie !
Au-delà de son rôle de transmetteur, le/la professeur.e de yoga reste un être humain qui vit le yoga à travers ses expériences personnelles.
Même si le syndrome de l’imposteur reste tapi dans l’ombre, prêt à bondir sur nous à la moindre tentative, nul besoin d’un quelconque diplôme pour partager avec les élèves nos lectures, nos interrogations et l’impact que la philosophie du yoga a sur nos vies. 😃
Retrouvez l’intégralité de la conversation sur @podcastleyogadansnosvies.
Quant à moi, je retourne aux préparatifs de la deuxième saison et vous tiendrai au courant.
Vous êtes de plus en plus nombreux à me suivre. Merci pour votre fidélité, vos encouragements et vos partages ! 🙏
EP25% Remerciements (Made by Headliner)
EPISODE 25 : Durant cette année, j’ai grandi avec ce podcast. La Voie d’un yogi m’a poussé à aller plus loin dans mes lectures et recherches spirituelles. Grâce à Instagram, j’ai fait la rencontre d’autres yogis et yoginis, ce qui a donné naissance à quelques collaborations sur le réseau, mais aussi sur le podcast !
Pour cette première saison, je renouvelle mes remerciements à :
🧙🏻♂️ Mon grand ami Thomas du podcast @les_porteurs_du_ragnarok
🧚 Gabrielle @pincha.yoga du podcast Inspire, Expire
🧘♂️ Fred @fredkayoga qui propose également de la méditation sur @insighttimer_francais
👩🏻🏫 Laura @yoginilaurita tout aussi passionnée que moi par la philosophie et l’histoire du yoga
Merci également aux Tipeurs : MadYogini, Meik, Marie et Carole. Vos soutiens me vont droit au cœur ❤️
Je n’oublie pas tous les abonnés qui me soutiennent depuis le début. Et je souhaite la bienvenue aux nouveaux 🙏🏻
Bien entendu, ce n’est pas parce que la saison 1 s’achève que ce compte va tomber dans le silence. Je continuerai d’être présent (je ne sais pas encore comment, mais l’intention est déjà là 😅) et vous informerai sur les préparatifs de la deuxième saison !
Untitled Project (Made by Headliner)
EPISODE 24 (lien en bio) : « « On rencontre toujours une forme de yoga chaque fois qu’il s’agit d’expérimenter le sacré ou de parvenir à une parfaite maîtrise de soi-même, qui est elle-même le premier pas vers la maîtrise magique du monde. » Pour écrire ce livre, publié en 1954 et traduit depuis en plus de vingt langues, Mircea Eliade vécut plusieurs années en Inde, au cours desquelles il s’initia aux techniques de yoga et s’imprégna de textes en sanskrit rarissimes.
Résultat, on trouvera ici tout ce qu’il faut savoir sur le yoga : la philosophie, ses rapports avec l’hindouisme, le tantrisme, l’alchimie indienne et l’érotique mystique, ses pratiques, positions et techniques pour méditer et atteindre l’état de contemplation. »
(Quatrième de couverture)
Tout comme le livre « Les racines du yoga », l’ouvrage de Mircéa Eliade est indispensable à tous ceux et toutes celles qui s’intéressent à l’histoire et à la philosophie du yoga.
Il faut bien garder en tête qu’il s’agit d’une sorte de thèse sur le yoga.
Ce texte n’a pas été écrit dans le cadre d’une vulgarisation.
Vous voilà prévenus 🤓
24% Vignette audio
Namasté ! Voici un petit extrait audio de l'épisode 24, pour bien débuter ce week-end où nous allons passer à l'heure d'été ☀️
Aujourd’hui, c’est le 1er anniversaire de La voie d’un yogi ! L’occasion pour moi de vous adresser mes remerciements 🤗 Vous êtes de plus en plus nombreux à m’écouter 🙏🏻
On se retrouve jeudi, pour le dernier épisode de la saison 1.
EP23% Krishnamurti (Made by Headliner)
« Durant des décennies, de l’Inde, à l’Amérique et à l’Europe, Krishnamurti n’as cessé de dénoncer l’illusion de ces « drogues dorées » que sont les religions, les doctrines politiques aussi bien que la consommation matérielle, également impuissantes à répondre aux besoin spirituels de l’homme.
Dans ce livre paru en 1970 et d’une actualité toujours brûlante, il nous incite une fois de plus à nous libérer des discours ou des morales préétablis, à écouter notre silence intérieur et celui de la nature.
« Ce qui est créateur et toujours destructeur », affirmait-il. En menant une critique radicale des formes modernes de l’asservissement, son œuvre dégage des perspectives dont la ruine actuelle des grandes idéologies ne fait que souligner la pertinence. » (Quatrième de couverture du livre 📚)
C’est le tout premier livre de Krishnamurti que je lis, et je n’en sors pas indifférent. Son discours et sa pensée bousculent mes croyances et mes convictions. Du coup, il m’est difficile de vous donner une impression claire et précise. Je pense que c’est un livre important à lire, surtout en cette période de crise sanitaire.
Il me faudra du temps pour le digérer. Une chose est sûre : je lirai ses autres livres.
D’ailleurs, qui parmi vous le possède ? Qu’en avez-vous pensé ? 😊