Pour le dernier épisode de La Mer à Boire, on vous emmène à Hœdic, c’est une des îles qui ressemble peut-être la plus au continent car elle a une nappe phréatique fonctionnelle. En revanche, avec la montée des eaux, cette île perchée à une petite dizaine de mètres au-dessus du niveau de la mer risque de voir ses nappes phréatiques se saliniser. Dans cet épisode, on se questionne sur la gestion de cette nappe phréatique instable.
La mer à boire est un podcast sur les difficultés d’accès à l’eau dans les îles bretonnes réalisé par les étudiants et étudiantes en journalisme de l'IUT de Lannion, avec l’appui de la région Bretagne. La série sera diffusée sur les radios de la CORLAB du 20 au 24 mai puis dès début juin sur toutes les plateformes de podcasts.
Pour le quatrième épisode de La Mer à Boire, on vous emmène à Belle-Île-en-Mer, c’est la plus grande île bretonne, par sa taille, mais aussi par sa renommée. Avec plus de 400 000 touristes par an et une population qui se multiplie presque par 10 les jours d’été, l’île a dû adapter ses capacités en eau potable à son activité économique principale : le tourisme. Ainsi, 3 barrages ont été construits. Des réserves qu’il faut apprendre à gérer pour anticiper les sécheresses et l’arrivée de touristes, parfois peu au courant des tensions autour de l’eau potable.
La mer à boire est un podcast sur les difficultés d’accès à l’eau dans les îles bretonnes réalisé par les étudiants et étudiantes en journalisme de l'IUT de Lannion, avec l’appui de la région Bretagne. La série sera diffusée sur les radios de la CORLAB du 20 au 24 mai puis dès début juin sur toutes les plateformes de podcasts.
Pour le troisième épisode de La Mer à Boire, on vous emmène à Groix, au Sud du Morbihan où la mairie mène une politique pour dynamiser l’île notamment grâce à l’emploi. Pour cela, l’île a notamment fait installer une usine d’agroalimentaire. Or, s’il est nécessaire d’avoir des entreprises pour créer des emplois, elles captent une grande partie des ressources en eau. Dans cet épisode, on va donc voir comment les entreprises s’adaptent face à la ressource en eau limitée.
La mer à boire est un podcast sur les difficultés d’accès à l’eau dans les îles bretonnes réalisé par les étudiants et étudiantes en journalisme de l'IUT de Lannion, avec l’appui de la région Bretagne. La série sera diffusée sur les radios de la Corlab du 20 au 24 mai puis dès début juin sur toutes les plateformes de podcasts.
Pour le deuxième épisode de La Mer à Boire, on vous emmène à Molène, dans le Nord Finistère, où les problèmes d’accès à l’eau sont anciens. Déjà en 1789, les molénais et molénaises demandaient des structures d’approvisionnement en eau dans les doléances faites au roi. Dans cet épisode, on va à la rencontre des anciens qui ont vécu avec d’autres systèmes de distribution d’eau. Avec eux, on retrace l’histoire des problèmes d’accès à l’eau sur les îles, et l’importance de la transmission de ces histoires et de ces savoirs-faire.
La mer à boire est un podcast sur les difficultés d’accès à l’eau dans les îles bretonnes réalisé par les étudiants et étudiantes en journalisme de l'IUT de Lannion, avec l’appui de la région Bretagne. La série sera diffusée sur les radios de @lacorlab du 20 au 24 mai, puis dès début juin, sur toutes les plateformes de podcasts.
Aujourd’hui on vous présente le premier épisode de La Mer à Boire, on vous emmène à Sein, dans le sud du Finistère, où l’eau coûte presque trois fois plus cher que sur le continent. L’île n’a pas de nappes phréatiques et est trop éloignée pour être raccordée au réseau d’eau du continent. Alors, dans les années 1970, les sénans ont décidé d’installer une usine de dessalement d’eau de mer. Un outil efficace, mais très coûteux. Dans cet épisode, découvrez comment l'île cherche à réduire le coût de sa production d’eau.
La mer à boire est un podcast sur les difficultés d’accès à l’eau dans les îles bretonnes réalisé par les étudiants et étudiantes en journalisme de l'IUT de Lannion, avec l’appui de la région Bretagne. La série sera diffusée sur les radios de @lacorlab du 20 au 24 mai puis, dès début juin, sur toutes les plateformes de podcasts.