ATCS - Astrologie Thérapie Coaching Somatique

ATCS - Astrologie Thérapie Coaching Somatique Informations de contact, plan et itinéraire, formulaire de contact, heures d'ouverture, services, évaluations, photos, vidéos et annonces de ATCS - Astrologie Thérapie Coaching Somatique, Issy-les-Moulineaux.

14/06/2023

Un éveil brutal :

Quand une relation se termine, ou quand nous essuyons une sorte de choc profond, nous pouvons être « brutalement réveillé(e) » de notre sommeil, secoué par ce vieil ami familier...le chagrin..

« ce n'était pas prévu », nous disons-nous…

Nous avons l'impression que la vie s'est d'une certaine manière « mal passée »,

que le destin a été dérouté brutalement de sa course, que « notre vie » est peut être finie et que s'en remettre est impossible.

Qu'est-il arrivé en réalité, sinon la perte d'un rêve ?

Nous rêvions de marcher au crépuscule l'un avec l'autre, nous rêvions de toutes les choses que nous allions faire ensemble, de tout l'amusement que nous allions avoir, de toutes les choses que nous allions accomplir.
Nous vivions depuis si longtemps avec ces rêves, ces plans, ces attentes, que nous avons oublié que nous ne faisions que rêver, et que nous avons pris ces rêves pour la réalité de « notre vie ».

Maintenant que les rêves se sont effondrés, que reste-t-il ?

Ce n'est pas que nos plans et nos rêves sur le point de devenir vrai ont été ruinés par notre incompétence ou notre mauvaise chance.

C'est qu'ils n'allaient jamais arriver.

C'est la différence entre la perte irréversible de quelque chose qui était « à moi », et le fait de réaliser que ce qui était « à moi » n'a jamais été à moi du tout.
Nous éprouvons alors un vrai chagrin pour nos identités perdues, nos images perdues, nos "moi" perdus.

L'invitation de la vie est celle-ci :
rester en compagnie un moment de ce chagrin, car il peut y avoir de l'or qui s'y cache : rester proche de ce chagrin, de sorte qu'elle ne se solidifie pas en aigreur ou en dépression, mais en une foi en la vie ;
car la vie en elle-même n'est pas cruelle, la vie est Tout.

C'est la perte de nos rêves qui nous semble « cruelle » au début.
Mais dans ces douleurs, il y a une invitation secrète à nous éveiller de tous les rêves,
à voir la perfection inhérente en toutes choses, dans tous les mouvements de la vie, non en tant que concept ou douce croyance, mais en tant que réalité vivante.
Voir que la vie elle-même ne va en réalité j'avais mal, car il n'y a pas de but à manquer,
et que même le chagrin intense que nous ressentons est un mouvement d'amour, même si nous ne le ressentons pas de cette manière là, sur le moment.

C'est parce que nous aimons la vie, et que nous nous aimons tous les uns les autres que nous ressentons tout si intensément.

Mais nous sommes assez vastes pour contenir tout cela - la béatitude et la douleur, la joie et le chagrin, les plans et la destruction de ces plans.

Ce que nous sommes n'est pas brisé, et ce que nous sommes n'est jamais perdu.

Ce sont uniquement nos illusions, uniquement nos espoirs innocents qui sont pulvérisés.
Et donc chaque perte est une petite invitation à laisser choir toutes ces illusions, et avoir la vie telle qu'elle est réellement.

On a l'impression d'une grande souffrance au début, mais c'est en réalité une sorte de compassion cosmique que l'esprit ne comprend pas.

Directement au cœur de chaque expérience, il y a la possibilité de découvrir la joie de « lâcher prise », et le soulagement de ne plus avoir à nous accrocher à quelqu'un.

Du livre « Tomber amoureux de ce qui est ». Jeff Foster

https://www.sandymediumcoach.com
(1ère question de guidance offerte
[email protected])

04/06/2023

Dimanche 4 juin 2023
Une joyeuse Fête à toutes les Mamans

A toutes les femmes qui passent aujourd’hui par ma Page, je souhaite une très belle Journée ce dimanche :
Nous sommes toutes mères : mères d’un enfant naturel, ou d’un enfant adopté, mères d’un livre qu’on a mis neuf mois à écrire, ou d’un projet qu’on a mis neuf mois à élaborer.

C’est une très belle fête que les Grecs de l’Antiquité organisaient déjà en l’honneur de Rhéa, la Grande Mère des dieux. Les Romains ont suivi, puis les Anglais avec le Mothering Sunday depuis le 15ème siècle.
En France la fête n’a été officialisée qu’en 1918 à Lyon, puis en 1929 dans toute la France.

Alors à vous toutes, BONNE FETE ….
Avec une Lune en Sagittaire depuis la veille très tôt le matin (5h 05 TU), c’est une journée idéale pour encourager les pensées positives, et pour se lancer dans un nouvel enthousiasme.

Au-delà d’un ciel planétaire sur fond de Pleine Lune qui prépare une opposition exacte de Vénus à Pluton, un aspect plutôt tourmenté, en T-Carré à Jupiter, maître de cette Lune, je pense à la peine que pourront ressentir certaines d’entre nous qui passeront cette journée dans la solitude, je pense aussi à celles qui viennent juste de perdre leur maman, je pense aussi à ces autres mamans d’un monde en guerre, qui prient pour avoir le bonheur de savoir leur enfant vivant … Je prie aussi pour toutes ces mamans qui ont perdu un enfant victime, …victime du harcèlement scolaire, victime d’un irresponsable de la route, …

A toutes les autres, à toutes celles qui auront autour d’elles, enfants ou petits-enfants, je souhaite une belle journée. Avec des fleurs, avec un parfum nouveau, avec un collier de nouilles ou un beau livre, … en partageant beaucoup de tendresse, tout simplement.

Pour celles qui seraient seules, je serai présente sur ma Page cet après-midi. Un petit mot, une pensée, une émotion …. Un témoignage ou une confidence …
Sans jamais oublier que, seule ou entourée, chacune d’entre nous est une perle de Lumière, … et ce sont toutes ces perles qui font une ronde pour que de nouvelles connexions d’amour fleurissent un peu partout en cette journée dédiée aux Mamans.

15/12/2020
14/11/2020
07/10/2020

Prière de Protection

Que Gaïa la Terre-Mère veille
sur chacun de mes pas,
Que l’ange Mikaël assure ma droite,
Gabriel ma gauche,
Que Uriel marche devant moi,
Raphaël derrière moi,
Et que Dieu Tout-Puissant
protège le dessus de ma tête.

09/06/2020

LA PHASE ULTIME DU PARDON 🙏

À tous ceux qui n’arrivent pas à pardonner et à tous ceux qui ont traversé nos vies…
On était amis. On était amants. On était amoureux. On était de la famille. On était liés vous et moi.
On s’aimait et c’était vrai, mais la vie étant ce qu’elle est, on ne s’aime plus maintenant, aussi absurde que cela puisse être, c’est la triste réalité.

On ne s’aime plus, pour mille et une raisons et parfois pour aucune.
On devient un peu plus chaque jour des inconnus qui cumulent les anecdotes sans l’autre. On se fait de nouveaux amis, on réalise de nouveaux défis, on vit une montagne russe d’émotions, mais nous ne sommes plus là, ensemble, pour se le partager comme avant.Le deuil est bien vif, car l’amour n’est plus, du moins, c’est ce que l’on cherche à se faire croire pour avoir moins mal, mais pouvons-nous réellement arrêter d’aimer complètement ? J’en doute…

La vie n’est que mouvance. On se croise, on se heurte, on s’aime, on se déteste, on se pardonne, on s’oublie, on se remémore, on est pris de nostalgie…

À tous ceux qui n’ont pas réussi à pardonner : Les relations traversent notre vie et chacune d’elles nous marque à jamais.
On s’habite, on construit ensemble et parfois on se déconstruit. Heureusement, avec un peu de temps, on trouve la force de se reconstruire avec ou sans l’autre…

Aujourd’hui, j’ai eu un élan d’amour pour vous tous qui avez quitté ma vie : amis, amoureux, amants, connaissances, collègues. J’ai eu envie de vous écrire à vous que j’ai aimé et que j’aime encore malgré le temps qui passe, malgré les remous et les explosions qu’il y a pu y avoir entre nous. J’ai envie de vous dire que vous me manquez même si je sais que de nous revoir ne nous apporterait rien de bon en ce moment, même si je sais que rien n’a changé. J’aurais souhaité que nos chemins se soient croisés différemment pour que l’on puisse encore marcher ensemble à ce jour. J’aimerais pouvoir encore vous consoler, vous prendre dans mes bras et vous accompagner sur votre chemin de vie dans les moments difficiles comme nous le faisions avec sincérité avant, mais notre lien ne nous le permet plus.

Aujourd’hui, j’ai envie de vous dire que j’ai décidé d’accueillir et d’accepter tout ce qui n’avait pas de sens entre nous en vous pardonnant, malgré l’incompréhension qui s’empare de nous sur le moment et malgré toutes les émotions négatives qui rongentl’affection que l’on se porte…

J’ai compris que nous ne sommes pas toujours prêts à faire un pas vers l’autre, et ce, même lorsque l’on souhaiterait profondément être en mesure d’y arriver.

J’ai compris que nous ne sommes pas tous conçus de la même façon et qu’il est utopique de croire que tous les gens que l’on aimera dans notre vie pourront nous rendre heureux, au bon endroit, au bon moment, de la bonne façon.
J’ai compris que derrière notre brouillard émotionnel, je ne vous en veux pas, je vous aime et je suis triste que nous n’arrivions pas à nous aimer mieux, ensemble, dans le moment présent.

J’ai compris que je ne pouvais pas vous reprocher vos failles et vos défauts et que je ne pouvais que les reconnaître et assumer que ce sont nos différends qui nous ont séparés.
J’ai compris que d’être séparés les uns des autres ne signifie pas que nous ne devons plus nous aimer, ne plus nous accorder de respect, ne plus être engagés humainement.

J’ai compris que si, demain matin, vous étiez mourants à l’hôpital j’irais tous vous tenir la main, l’un après l’autre, sans exception car devant la mort rien n’a d’importance hormis l’amour et je réalise par le fait même qu’on arrête jamais vraiment d’aimer ceux qui ont partagé notre vie, un moment, de façon significative malgré tous les efforts que l’on déploie à les détester ou à jouer l’indifférence.
Au-delà de toutes nos histoires tumultueuses et nos grandes déceptions, il ne reste que l’amour, celui qui traverse le temps et les orages, celui qui décèle toujours dans la noirceur une lueur d’espoir, une parcelle d’humanité bien plus profonde et bien plusimportante que nos prises de bec, nos ego et nos vieilles histoires tout effritées.

Je veux vous dire que je vous aime, encore et pour toujours, parce que sans cet amour profond pour vous, je ne me serais jamais arrêtée à vous connaitre et vous dire que je vous aimais. Un cadeau, c’est pour la vie et mon amour je vous l’ai offert, pour le meilleur et pour le pire.

À tous ceux qui n’ont pas réussi à pardonner : Je nous pardonne.

Malgré nos défauts et nos erreurs, malgré les larmes versées et la rancoeur. Je nous souhaite d’avoir la force d’accueillir l’avenir doucement sans laisser le passé nous aigrir parce que cela ne sert strictement à rien. Je veux cultiver la force de vous aimer, toujours et sans condition, pour que vous trouviez en mon pardon et en vous la force de guérir ces blessures avec lesquelles on s’est écorchés. Nos collisions ne sont que des cris du cœur et nos conflits ne sont que des reflets sombres de nous-mêmes.

Nous avons tellement à apprendre les uns des autres. Soyons reconnaissants de nous rencontrer et d’avancer ensemble, mais surtout aimons-nous bien au-delà de nos gestes et nos mots. Aimons-nous dans l’espoir d’un monde meilleur. Aimons-nous pour échanger nos forces et nos faiblesses dans le souci de grandir ensemble et non en nous tenant rancœur de ne pas avancer au même rythme, de la même façon et dans la même direction. À chacun son niveau de conscience, à chacun ses blessures, à chacun ses limites, à chacun ses choix…

Pourquoi ne pas souhaiter le meilleur à ceux qui nous ont offert le pire, ce sont eux qui en ont le plus besoin !!!

Sans pour autant nous mettre en déséquilibre et en danger, sans pour autant renouer, aimons-nous avec bienveillance et envoyons dans l’univers un amour inconditionnel envers autrui afin de propager l’idée que chacun a le droit au pardon, au bonheur et àl’émancipation.

Au final, derrière ce qui nous déplait tant en l’autre se cache, malgré tout, de la beauté et de la bonté qu’il faut savoir reconnaître avec humilité et tendresse pour réellement trouver la paix dans son propre cœur. Prenons le temps de nous pardonner. Prenons le temps d’accepter ce qui nous a éloignés et de voir ce qu’il en reste : l’humanité… Tenons-nous la main, symboliquement, pour donner un sens à ces mots si puissants que nous nous sommes dit un jour : « Je t’aime »

N.B. Ce texte ne soutient pas que nous devons tolérer l’intolérable et apprécier l'inacceptable !!!
Il soutient plutôt que chacun mérite d’être aimé, même ceux qui sont difficiles à aimer !
Sans garder des gens toxiques dans notre vie, on peut à tout le moins, leur envoyer de l’amour en souhaitant qu’ils trouvent eux aussi la paix dans leur cœur, car n’est-ce pas ce dont il manque au fond ? Puis, n’est-ce pas réellement ce que nous souhaitons tous : la paix dans le monde, la paix dans nos cœurs ?

À tous ceux qui n’ont pas réussi à pardonner : AIMER « malgré » est la phase ultime du pardon selon moi et je nous souhaite à tous d’atteindre ce degré humanité.

Et un jour peut-être aurons-nous le courage de nous serrer dans nos bras une dernière fois pour clore la relation sur une note positive et pour nous dire avec cœur : « Je te pardonne ». Sans oublier. Sans banaliser. Sans nous bafouer. Sans attentes. Simplement avec humanité et légèreté dans le but de se libérer de cette ancre de peine qui noie notre coeur.

❤🙏

11/01/2020

Créatrice du podcast « Z comme Zodiaque », Mathilde Fachan interroge l'obsession collective que génère l'astrologie, des réseaux sociaux aux dîners en ville.

08/10/2019

Une équipe de chercheurs annonce la découverte exceptionnelle de 20 nouvelles lunes autour de Saturne. Désormais la planète la plus entourée du système solaire. L’été dernier, une équipe d’astronomes relevait la présence de 12 nouveaux satellites

25/08/2019

QU'EST-CE QUE DIEU

par OSHO

Dieu n'est pas une personne. Il s'agit là d'une des plus grandes méprises, et qui a prévalu pendant si longtemps, que c'en est devenu, à peu de choses près, un fait acquis. Un mensonge, s'il est répété continuellement pendant des siècles, finit obligatoirement par être pris pour la vérité !

Dieu est une présence, pas une personne.

En conséquence, toute adoration est pure stupidité.

Le recueillement est nécessaire, pas la prière. Il n'y a personne à prier, il n'y a aucune possibilité de dialogue entre vous et Dieu. Le dialogue est possible seulement entre deux personnes, et Dieu n'est pas une personne, mais une présence - comme la beauté, comme la joie.

Dieu signifie simplement 'quelque chose de divin', un état divin. C'est à cause de cela que Bouddha réfuta l'existence de Dieu. Il voulait faire ressortir que Dieu est une qualité, une expérience - comme l'Amour.

Vous ne pouvez pas parler à l'amour, vous pouvez le vivre !

Vous n'avez pas besoin de créer des temples de l'amour, vous n'avez pas besoin de faire des statues de l'amour ; et se prosterner devant ces statues n'aurait aucun sens.

C'est pourtant ce qui arrive dans les églises, les temples, et les mosquées !!!

L'homme a vécu jusqu'à présent avec l'impression que Dieu était une personne et deux calamités sont apparues à cause de ça :
- la première, c'est l'homme soi-disant religieux qui pensent que Dieu est quelque part, là-haut, dans le ciel, et que vous devez le louer, le persuader de vous accorder ses grâces et de vous aider à accomplir vos désirs, de faire que vos ambitions réussissent, de vous donner la richesse dans ce monde ET dans l'autre ! Ce n'est que pure perte de temps et d'énergie !
- à l'opposé, les gens qui ont vu la stupidité de tout cela sont devenus athées ; ils se sont mis à réfuter l'existence de Dieu. En un sens ils sont justes… mais ils sont dans le faux aussi ! Ils se sont mis à réfuter non seulement Dieu en tant que personne, mais aussi Dieu en tant qu'expérience.

Le théiste est faux, l'athée est faux aussi.

L’homme a aujourd'hui besoin d'une vision nouvelle, afin de pouvoir se libérer de ces deux prisons.

Dieu est l'expérience ultime du silence, de la beauté, de la béatitude, de l'état intérieur de célébration. Quand vous commencez à voir Dieu en tant qu'état divin, que vécu, un changement radical se produit dans votre approche. Alors la prière n'a plus aucune valeur, et la méditation devient valable.

Martin Buber dit que la prière est un dialogue : entre Dieu et vous s'installe une relation 'de toi à moi' - la dualité persiste.Bouddha est bien plus proche de la réalité : vous laissez tomber tout le bavardage du mental, vous vous glissez hors du mental comme un serpent qui se glisse hors de sa vieille peau.

Vous devenez profondément silencieux.

Il n'est plus question du moindre dialogue, et pas davantage du moindre monologue. Vous avez disparu de votre conscience. Vous n'avez plus aucun désir pour lequel vous auriez des faveurs à demander, aucune ambition à atteindre. On est ici et maintenant.

Dans cette tranquillité, dans ce calme, vous prenez conscience de la qualité de lumière de l'existence. Les arbres, les montagnes, les rivières et les gens sont entourés d'une subtile aura. Ils irradient tous la vie, et c'est une seule vie sous différentes formes, la floraison d'une même existence en millions de formes, en millions de fleurs.

Cette expérience est Dieu !

Et cette expérience est le droit de naissance de tout le monde, car, que vous le sachiez ou non, vous en faites déjà partie. La seule possibilité c'est ou que vous le reconnaissiez, ou que vous ne le reconnaissiez pas.

La différence entre une personne illuminée, éveillée, réalisée et une personne non-illuminée n'est pas une différence de qualité - les deux sont absolument semblables. Il n'y a seulement qu'une toute petite différence : c'est que la personne illuminée en est consciente, elle reconnaît l'ultime qui imprègne tout, qui est omniprésent dans tout, qui vibre, qui pulse. Elle reconnaît les battements de cœur de l'univers. Elle voit que l'univers n'est pas mort, qu'il est vivant.

Ce débordement de vie est Dieu.

La personne non-illuminée est endormie… endormie et pleine de rêves. Ces rêves forment une barrière, ils ne lui permettent pas de voir la vérité de sa propre réalité. Et naturellement, quand vous n'êtes même pas conscient de votre propre réalité, comment pourriez-vous être conscient de la réalité des autres ? La première expérience doit se produire en vous-même.

Une fois que vous avez vu la lumière en vous, vous serez capable de la voir partout.

Dieu doit être libéré de tout concept de personnalité. La personnalité est une prison. Dieu doit être libéré de toute forme particulière, c'est seulement comme cela qu'il peut avoir toutes les formes. Il doit être libéré de tout nom particulier, pour que tous les noms deviennent le sien.

Alors cette personne vit en prière - elle ne prie pas, elle ne va pas au temple ou à l'église. Où qu'elle s'assoit elle est en prière, tout ce qu'elle fait a lieu dans l'espace de la prière, et dans cette espace de prière elle crée son temple. Elle se déplace toujours avec son temple autour d'elle. Où qu'elle s'assoit cet endroit devient sacré, tout ce qu'elle touche devient de l'or. Si elle est en silence alors le silence est d'or, si elle parle sa voix est d'or. Si elle est seule sa solitude est divine, si elle est en relation, sa relation est divine.

À la base, le plus fondamental est d'être conscient de votre être le plus profond, car là est le secret de toute l'Existence. C'est là que les Upanishads (écritures de l'Inde) sont tellement importantes. Elles ne parlent pas de Dieu, elles parlent de l'état divin. Elles ne se soucient pas du tout de la prière, toute leur insistance est à propos de la méditation.

La méditation a deux parties : le début et la fin. Le début est appelé Dhyana et la fin Samadhi. Dhyana est la graine, et Samadhi est la floraison. Dhyana veut dire devenir conscient de tous les fonctionnements du mental, de tous ses niveaux - vos mémoires, vos désirs, vos pensées, vos rêves - devenir conscient de tout ce qui se passe en vous.

Dhyana est la conscience en éveil, et Samadhi c'est quand la conscience en éveil est devenue si intense, si profonde, si totale qu'elle est comme un feu et qu'elle consume tout le mental et tous ses fonctionnements. Elle consume pensées, désirs, ambitions, espoirs, rêves. Elle consume tout le bazar dont le mental est rempli.

Samadhi est un état où la conscience en éveil est là, mais où il n'y a plus rien en vous dont on puisse être conscient ; le témoin est là, mais il n'y a rien dont on puisse être témoin.

Commence avec dhyana, avec la méditation, et fini en samadhi, en extase, et tu sauras ce que Dieu est !

Ce n'est pas une hypothèse, c'est une expérience.

Tu dois la VIVRE - c'est la seule façon de la connaître.

OSHO I Am That chap. 2 qu. 1

Adresse

Issy-les-Moulineaux

Site Web

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque ATCS - Astrologie Thérapie Coaching Somatique publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Partager