Le ministre de l’intérieur Bruno Retailleau était à Grenoble vendredi, dans une ville qui subit de plein fouet l’ultra violence et le trafic de drogue. Mais sur la question de la lutte contre le trafic de stupéfiants, deux méthodes s’affrontent, en opposition totale : celle du ministre, qui souhaite accentuer la répression, et le maire de Grenoble, Eric Piolle, qui veut aller vers une légalisation du cannabis.
"Un fonds de commerce médiatique et politique"
Eric Piolle est revenu sur l’attaque à la grenade. Et il regrette que « depuis des années », le poste de ministre de l’Intérieur soit devenu « un fonds de commerce médiatique et politique pour se faire un nom. Et le pire, c’est que ça marche ».
Grenade lancée dans un bar : "Une violence inouïe"
Grenoble a connu un événement criminel d'une gravité absolument inouïe mercredi soir, lorsqu'un individu, vraisemblablement armé d'un fusil d'assaut, a lancé une grenade dans un bar associatif situé dans le Village olympique, dans les quartiers sud de Grenoble.
Explosion dans un bar : un premier bilan
Aucune hypothèse n'est écartée quant au mobile de cet acte mais la piste d'un attentat terroriste n'est pas celle privilégiée, à ce stade, selon le procureur de la République de Grenoble, François Touret-de-Coucy.
À Grenoble, le 114 vient au secours des sourds et malentendants
🆘 Comment faire pour joindre les urgences lorsque l’on est sourd, malentendant ou aphasique (perte partielle ou complète de la capacité à s'exprimer ou comprendre le langage) ?
En France, un seul numéro : le 114. Et les demandes terminent toutes au même endroit, à La Tronche (Isère) où des agents de régulation prennent en charge ce public.
Chaque jour, plus de 100 appels arrivent. Reportage sur le seul centre en France.
🎥 Le DL/Benoît Lagneux
Catastrophe sociale aux conséquences nationales
☢️🚀 Des entreprises majeures de la chimie près de Grenoble sont en train de péricliter, sur fond d’interdépendance. Des milliers d’emplois vont être supprimés et des secteurs aussi stratégique que la défense, le nucléaire ou le spatial vont être touchés.
Cartes Pokémon
Une carte Pokémon, c’est 8,89 cm de hauteur pour 6,35 cm de côté. Et des prix qui peuvent afficher six chiffres pour les plus rares. Zoom sur ce phénomène qui mobilise joueurs, collectionneurs et vendeurs.
« Ce qu’il reste à la nuit », l’anti-space X !
☄️🌌🌑 La biennale « Experimenta » se déroule jusqu’au 1er mars sur toute l’agglomération grenobloise, le Grésivaudan et le Voironnais. Coup de projecteur sur les nombreuses installations inaugurées ce samedi à La Bastille avec, notamment, @mathilde.reynaud et l’astrophysicien @fabienmalbet qui mêlent plusieurs éléments pour remettre en cause l’expansionnisme de la conquête spatiale, et l’imaginaire de science-fiction qui y est associé.
Entre insultes et soutiens
Le Dauphiné Libéré a pu suivre pendant une semaine le quotidien du Psig, le Peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie de Grenoble. Unité spécialisée dans les interventions à risques, capable d’intervenir lorsque le danger monte d’un cran, les hommes et les femmes du Psig de Grenoble interviennent dans les quartiers sensibles de la ville, mais aussi dans les communes plus rurales de l’agglomération. Découvrez le quotidien de ces gendarmes à travers les quatre épisodes de notre série.
La nuit, la force de frappe du Psig
Le Dauphiné Libéré a pu suivre pendant une semaine le quotidien du Psig, le Peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie de Grenoble. Unité spécialisée dans les interventions à risques, capable d’intervenir lorsque le danger monte d’un cran, les hommes et les femmes du Psig de Grenoble interviennent dans les quartiers sensibles de la ville, mais aussi dans les communes plus rurales de l’agglomération. Découvrez le quotidien de ces gendarmes à travers les quatre épisodes de notre série.
🗑️ Grenoble, ville de plus en plus sale ? La réputation de la capitale des Alpes n’est pas glorieuse sur la question de la propreté. Et ce sont souvent les agents de la propreté urbaine, en première ligne, qui en subissent les conséquences. Pour Romain Laurens, chef d’équipe du secteur 4 à la propreté urbaine, ce n’est pas la question du travail de ses agents, mais bien du civisme de la population.
