06/01/2025
Chers abonné(e)s, ce message vous est particulièrement adressé. Nous venons d'apprendre de notre routeur que vos magazines ne partiraient qu'aujourd'hui pour vous parvenir dans les jours qui viennent (si la Poste assure). Sans vouloir vous embêter avec notre tambouille, nous devons quand-même vous donner quelques explications : notre priorité est de livrer les abonnés avant les kiosques, histoire qu'il y ait pour les lecteurs un avantage à être abonné, et nous faisons tout pour qu'il en soit ainsi. Nous bouclons pratiquement un mois avant la date de parution pour que le distributeur (les MLP, Messageries Lyonnaises de Presse) reçoivent de notre imprimeur (qui est situé dans le nord de la France, on est très fiers d'imprimer en France, contrairement à un certain nombre de nos collègues de la presse de loisirs) les magazines pour les répartir entre ceux qui partiront dans les kiosques et ceux qui partiront chez le routeur. Ce dernier, avec les informations que nous lui donnons (adresse des abonnés, cadeau pour les nouveaux abonnés, bons de renouvellement d'abonnements touchant à leur fin…), met nos beaux magazines sous pli, y adjoint les catalogues quand il y en a puis les expédie. Les fichiers du n° 148 de Planète 2CV et du n°71 de 2CV Xpert ont été transmis à l'imprimeur (qu'on embrasse) le 11 décembre, les magazines étaient imprimés cinq jours plus t**d. Puis le routeur (qu'on n'embrasse pas) est allé fêter Noël, le Nouvel an… grosse murge dont il ne s'est remis que ce matin en nous annonçant la bouche en cœur et l'haleine pâteuse (on suppose, c'était par téléphone) que les magazines ne partiraient que ce jour en nous donnant de mauvaises excuses. On est furieux, vous aussi sans doute et on le comprend. Néanmoins et sans vouloir devenir trop sérieux, nous tenons à vous rappeler combien les abonnements sont précieux pour notre économie d'éditeur indépendant. La vente en kiosque est importante pour faire connaître nos titres et séduire de nouveaux lecteurs mais ce sont bien les abonnements qui assurent notre existence économique. Alors ce fâcheux contre-temps restera, nous l'espérons, un cas isolé et si vous êtes attaché à vos magazines, restez abonné car, quand tout fonctionne, vous êtes livrés avant les kiosques et, surtout, vous devenez nos compagnons de routes pour continuer de défricher l'histoire et la technique de la 2CV et de ses dérivés. En espérant que vous ne nous tiendrez pas rigueur pour cet incident dont nous ne sommes pas responsables, nous renouvelons ici nos vœux pour une excellente années 2025 a vous, vos proches, et vos petites Citroën.