Relations internationales : États critiques

23/03/2022

Avec le printemps reviennent les beaux jours et... les salons littéraires. Je participerai à celui du Rotary Club, le samedi 9 avril à Paris, avec quelques-uns de mes collègues auteurs de Beta Publisher. Nous vous attendons nombreux.

01/01/2022

« Le temps emporte sur son aile le printemps et l'hirondelle, et la vie et les jours perdus », écrivait Alfred de Musset. Alors, savourez les précieux instants de cette existence qui file comme le vent. Que 2022 vous apporte la félicité ainsi qu’à ceux que vous chérissez !

01/12/2021

Noël approchant, vous envisagez peut-être d’offrir un livre à l’un de vos proches. Pourquoi ne pas vous laisser happer par les brumes fuligineuses de l’espionnage et/ou de la dystopie ? Deux univers faits d’ombres, de mystères et de faux-semblants. À votre convenance...

20/11/2021

Bonjour ! Si, comme moi, vous aimez les livres, le café et autres nourritures terrestres, je vous invite à vous rendre, dès le 23 novembre, au 11 rue Blanche, dans le 9e arrondissement de Paris. Vous y découvrirez le tout nouveau café-librairie de ma maison d’édition, Beta Publisher. Un lieu chaleureux, convivial et atypique. N’hésitez pas !

20/10/2021

Une chronique revigorante sur mon deuxième roman (le troisième est en chantier).

Funest Albion de Aymeric JANIER, une dystopie écrite avec style dans une Angleterre repoussante à souhait.

11/10/2021

Une soirée fort plaisante, agrémentée d’échanges passionnants.

28/09/2021

Rendez-vous à Sceaux ce jour-là, pour celles et ceux qui seraient disponibles.

AYMERIC JANIER sera au Roi Lire pour dédicacer son livre le SAMEDI 16 OCTOBRE à partir de 16h30.
VENEZ NOMBREUX !

14/09/2021

Si vous êtes disponible ce soir-là, n’hésitez pas à venir. Cela me ferait grand plaisir de vous voir.

14/07/2021

Ma maison d’édition, Beta Publisher, devrait ouvrir à la fin de l’année un espace de restauration dans ses locaux, à Paris. L’occasion, pour les amoureux des livres, de venir se sustenter tout en découvrant les romans de la maison. Que pensez-vous de cette idée ?

09/07/2021

Quand la géopolitique (des années 1980) et l’espionnage se rencontrent, le mélange peut être détonant...

Si vous ne connaissez pas encore « L’Étoile d’Orion » (couronné du premier prix polar au Salon de La Rochelle en 2020), je vous invite à découvrir ce roman où se mêlent complot, desseins machiavéliques et faux-semblants.

Pour vous permettre d’aller plus loin - et, ce faisant, d’agrémenter votre lecture -, vous découvrirez, disséminés au fil des pages, des QR codes explicatifs sur la guerre froide (à scanner avec votre téléphone). Au menu : une carte animée (sur le modèle du « Dessous des cartes »), ainsi que des séquences audio et vidéo.

Alors, n’attendez plus et laissez-vous tenter ! Merci d’avance ! 🙏🙂

P.S. Dans le cas où vous auriez déjà lu cet ouvrage, n’hésitez pas à laisser un commentaire sur Babelio, Amazon, Booknode... Je vous en remercie vivement.

07/07/2021

C’est l’été, le temps des vacances, de la légèreté et de l’insouciance, les pieds dans l’eau. Si vous en profitiez pour naviguer à contre-courant, en vous offrant une halte dystopique sur la Tamise ? À vous de voir...

02/07/2021

Dans son dernier numéro, le « 1 » s’interroge sur le succès des dystopies. « Que cherchons-nous dans la description de ces univers cauchemardesques ? Sans doute un effet cathartique, une sorte de Schadenfreude, cette « joie mauvaise » qui nous réjouit à la lecture d’un malheur qui n’est pas (encore ?) le nôtre », écrit l’hebdomadaire.

Avec « Funeste Albion » (paru à la mi-avril aux éditions Beta Publisher), je me suis efforcé, non pas tant d’anticiper l’avenir que de scruter certaines dérives du présent, et notamment l’attrait pernicieux que peut exercer le pouvoir sur certaines âmes déjà noires.

Si vous cherchez de quoi agrémenter votre PAL pour l’été, je vous invite à découvrir ce roman aux accents orwelliens. J’espère que vous me ferez le plaisir et l’honneur de me lire.

Je vous souhaite un bon début d’été. À bientôt ! 🌞👋

25/06/2021

Une notule sur mon deuxième roman, « Funeste Albion » (éditions Beta Publisher), publiée dans « Le Monde des livres » daté de ce jour. Voilà de quoi agrémenter un début d’été déjà radieux. 🌞

23/06/2021

Salutations les ami·e·s !

Compte-rendu lecture du jour : « L'Étoile d'Orion » d'Aymeric Janier auteur, paru aux éditions Beta Publisher

Un roman d’espionnage haletant et bien ficelé qui nous embarque entre fiction et réalité historique dans les sombres rouages d’une machination à l’échelle mondiale. Au commande de l’opération : l’organisation SPECTRE !

Aymeric Janier tisse une trame géopolitique complexe composée de faits historiques de 1985 à 2001 et de fiction, emmenant læ lecteur·ice dans un univers tout à la fois connu et méconnu, où la réalité et l’imaginaire se confondent. Portée par une plume aiguisée, au vocabulaire soutenu, l’intrigue est menée de main de maître et soutenue par des personnages que læ lecteur·ice apprend à connaître, à défaut de tous les apprécier.

Sur le devant de la scène, trois personnages différents et pourtant complémentaires : Phyllis Danbury, une journaliste perfectionniste travaillant au New York Times, Alexeï Koulikov, un militaire soviétique, et Aaron Snyder, un espion américain. Ils découvrent un complot d’une envergure insoupçonnée, mené par les États Unis. Cherchant à démêler le vrai du faux dans un monde de faux-semblants, ils sont pourchassés par SPECTRE dans une lutte contre la montre pour faire éclater la vérité au grand jour !

Un roman à lire pour les amateur·ice·s de polar et d’espionnage ! Quant aux autres, n’hésitez pas, vous ne serez pas déçu·e·s par votre lecture ! 🤩

22/06/2021

11/06/2021

Funeste Albion, de Aymeric Janier
Merci Beta Publisher

317 pages

"Funeste Albion " est une excellente dystopie, écrite dans une langue riche et un français très élégant.
En digne héritier de George Orwell, Aymeric Janier nous démontre de façon passionnante les mécanismes de la montée au pouvoir d'un terrible despote, les conséquences, et les réactions des fidèles et des résistants. Une belle analyse géo-politique qui sert de base à une aventure palpitante.
Ne passez pas à côté de ce grand roman.



Le quatrième de couverture :

Printemps 2100.
Le Royaume-Uni, emporté par les vents mauvais de l'histoire, n'existe plus.
Il a été remplacé par la "Grande République Britannique", un régime pyramidal placé sous l'égide d'un "Protecteur".
Ce dernier exerce le pouvoir d'une main de fer, menaçant quiconque ose se dresser contre lui.
Mais en coulisse, la résistance s'organise autour d'un ancien professeur émérite de Cambridge.
Parviendra-t-elle à renverser le nouvel ordre établi et à raviver les feux de la démocratie ?

07/06/2021

Merci pour cette recension très étayée et flatteuse de « Funeste Albion ». Puisse-t-elle inciter d’autres lecteurs à découvrir ce roman... 🙏🙂

FUNESTE ALBION – AYMERIC JANIER Bonjour, bonjour ! Nous nous retrouvons en ce début de mois de juin pour une première chronique du côté de la science-fiction ! Ça faisait un petit moment que …

02/06/2021

Un petit article dans le magazine de sa ville d’adoption (Fontenay-aux-Roses, en l’occurrence), quoi de plus plaisant pour commencer ce doux et lumineux mois de juin ? 🌞

24/05/2021

Si vous connaissez le Royaume-Uni, vous savez sans doute qu’il est régi par une monarchie parlementaire - dans laquelle la reine règne, mais ne gouverne pas - et qu’il est composé de quatre nations : l’Angleterre, l’Écosse, le pays de Galles et l’Irlande du Nord (l’Irlande ayant accédé à l’indépendance en 1922).

À présent, imaginez que la monarchie est balayée et supplantée par une République, elle-même placée sous l’égide d’un « Protecteur » aux allures d’autocrate impavide ; imaginez que l’Angleterre étend son hégémonie partout et que Londres impose ses diktats à l’ensemble de l’ancien royaume.

Eh bien, c’est ce tableau effrayant que je dépeins dans « Funeste Albion », mon deuxième roman, paru en avril, aux éditions Beta Publisher. Mais soyez rassurés, car, en coulisse, la résistance, organisée autour d’un ancien professeur émérite de Cambridge, veille. Et pour elle, pas question de céder un pouce de terrain, même face à un océan de ténèbres...

18/05/2021

Deux visions singulières du Royaume-Uni d’hier et de demain. D’un côté, la liberté et la lumière ; de l’autre, le despotisme et les ténèbres. Mais un point commun : la volonté farouche de résister...

14/05/2021

Merci beaucoup, Jade, pour cette recension laudative de « Funeste Albion ». Puisse-t-elle aiguiser la curiosité d’autres lecteurs. C’est le vœu que je forme. 🙂🤞

Couverture du livre Résumé : Printemps 2100. Le Royaume-Uni, emporté par les vents mauvais de l’histoire, n’existe plus. Il a été remplacé par la « Grande République Britanni…

13/05/2021

Un grand merci à vous qui avez déjà pris le temps de me lire ou de glisser « Funeste Albion » (éditions Beta Publisher) dans votre PAL. Votre bienveillance et votre confiance m’honorent. 🙏

Pour ceux qui ne connaîtraient pas cet ouvrage, permettez-moi de vous le présenter rapidement. Il s’agit d’un récit dystopique, dont l’action se déroule outre-Manche, en 2100. Le Royaume-Uni n’existe plus ; il a été remplacé par une dictature au sommet de laquelle « trône » un « Protecteur » impavide. Mais, en coulisse, la résistance s’organise autour d’un ancien professeur émérite de Cambridge. Son objectif : secouer le joug du despotisme et raviver les feux de la démocratie...

J’espère que cela vous donnera envie de découvrir ce roman.

À bientôt ! 🙂👋

07/05/2021

Pour accompagner cette fin de semaine, voici un court extrait de mon deuxième roman, « Funeste Albion », paru le 12 avril, aux éditions Beta Publisher. J’espère que les quelques lignes qui suivent vous donneront envie de vous plonger dans cet ouvrage :

« Tout commença un matin bruineux de l’automne 2028. Ce jour-là, Londres s’était éveillée d’humeur maussade, enveloppée dans un halo de pluie grisâtre. De fines gouttes ruisselaient sur le bitume de la capitale britannique, lui donnant des reflets lustrés. Les rues, désertes, ne faisaient qu’ajouter à cette atmosphère lugubre.

La neurasthénie paraissait avoir élu domicile dans chaque quartier, chaque rue, chaque foyer. Le roulis de la Tamise lui-même augurait d’heures sombres, comme si la ville était promise à quelque malédiction.

Celle-ci vint de manière impromptue lorsque les corbeaux de la Tour de Londres s’envolèrent pour d’autres cieux, au grand désespoir des Yeomen Warders, les gardiens d’apparat de la forteresse. Jamais cela ne s’était produit et la légende, tenace, voulait que ce funeste présage annonçât la fin de la monarchie et, de manière consubstantielle, la chute du pays tout entier.

À l’époque, cette croyance était d’autant plus ancrée dans les esprits que le pays traversait une période difficile, marquée par la peur de la désintégration. Fragilisée par des forces centrifuges de plus en plus puissantes, la Couronne vacillait sur ses bases, mais croyait encore en un rétablissement possible... »

Bonne journée à tous ! 🙂👋

03/05/2021

Un Royaume-Uni balayé par l’histoire au profit d’une République placée sous la férule d’un
« Protecteur » impavide ; une presse inféodée, soumise aux humeurs capricantes du nouveau pouvoir ; une résistance en quête de lumière au milieu d’un océan de ténèbres : bienvenue dans « Funeste Albion » !

21/04/2021

Bonne nouvelle, qui plus est le jour de mon anniversaire : la Fnac vient de référencer mon deuxième roman, « Funeste Albion » (éditions Beta Publisher). Si cela vous intéresse, voici le lien : https://livre.fnac.com/a15915724/Aymeric-Janier-Funeste-albion

Bonne journée ! 🙂👋

18/04/2021

Merci beaucoup, Robin, pour cette belle recension de mon roman. Je suis heureux que tu en aies si bien saisi l’esprit. À bientôt pour de nouvelles aventures littéraires ! 🙏🙂

Coucou les amoureux du livre,
~
Voici mon retour de lecture sur Funeste Albion d’ Aymeric Janier des éditions Beta Publisher .
Aucune surprise pour moi, c’est juste une confirmation du talent de l’auteur. Un coup de cœur pour un livre intelligent, bien écrit, avec une ambiance toute particulière. Cette dernière caractéristique est le vrai atout du livre.
~
Vous n’allez pas vous concentrer sur un personnage principal auquel vous allez vous attacher. Le vrai « personnage » principal du livre est le système politique d’un pays qui glisse sur la voix de l’oppression et de la dictature avec son lot de résistants. La dictature est forcément incarnée par un homme qui a réussi à tirer son épingle du jeu.
~
L’ambiance est donc le principal point fort. Cela m’a donné parfois des sueurs froides, parce qu’à la lecture du livre, on comprend comment un système pourri peut se mettre en place, un peuple sous pression et vivant dans la peur. Et je n’ai pas pu me retirer de la tête que, finalement, ça peut glisser vraiment facilement. Peur de se rebeller parce que oui, on peut se demander parfois pourquoi certains peuples ne se rebellent pas face à la dictature. On comprend les mécanismes à la lecture de la prose de l’auteur.
~
Des lois anti-libertés, des interdictions sous prétexte de protéger la population. Bon oh oh oh, je sais à quoi vous pensez, mais il n’y a pas de virus à l’origine de tout ça dans le texte.
Et puis, voilà, on sent clairement l’intelligence de l’auteur, la culture de celui-ci… et je suis prêt à parier que ce livre se rapproche encore un peu plus de « l’univers » de l’auteur.
Attention, ce livre ne se dévore pas, il se déguste. Les phrases sont parfois complexes, certains mots vous sembleront peut-être très éloignés de votre vocabulaire habituel. Pour moi, ce fût un kiff absolu.
~
Alors on récapitule :
1. histoire anxiogène
2. thriller politique
3. une écriture qui m’a beaucoup plu et qui va enrichir mon vocabulaire
4. une intelligence dans la description d’un système politique pyramidal terrible
5. une fin qui ne m’a pas forcément surprise mais tellement bien amenée
~
Alors Aymeric ? On remet ça bientôt ?

📔 Funeste Albion
Auteur : Ayrmeric Janier
🏚 Beta Publisher
📃 328 pages – Prix : 16 €
Date de publication : 12 avril 2021
~~~
Résumé :
Printemps 2100.

Le Royaume-Uni, emporté par les vents mauvais de l'histoire, n'existe plus.
Il a été remplacé par la "Grande République Britannique", un régime pyramidal placé sous l'égide d'un "Protecteur".

Ce dernier exerce le pouvoir d'une main de fer, menaçant quiconque ose se dresser contre lui.

Mais en coulisse, la résistance s'organise autour d'un ancien professeur émérite de Cambridge.

Parviendra-t-elle à renverser le nouvel ordre établi et à raviver les feux de la démocratie ?

12/04/2021

Un grand merci, Nathalie Millet, pour cet échange à cœur ouvert sur l’écriture et la littérature. 🙏🙂

Questionnaire

🧍‍♂️1. Présentation de l’auteur

Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?

Je m’appelle Aymeric Janier auteur. J’ai 39 ans, pour quelques jours encore. Je travaille comme journaliste au quotidien « Le Monde » depuis 2010, après avoir suivi des études de langues étrangères qui m’ont mené successivement en Angleterre et en Allemagne. Je suis féru de littérature (sous toutes ses formes ou presque), mais aussi d’histoire et de géopolitique, laquelle se trouve d’ailleurs au cœur de mon premier roman, « L’Étoile d’Orion », paru en septembre 2019, aux éditions Beta Publisher.

Comment vous est venue l’envie d’écrire ? Depuis combien de temps écrivez-vous ?

Mes parents, qui ont été tous deux enseignants pendant plus de trente ans, sont des lecteurs insatiables. Je leur dois mon amour immodéré des livres et des belles-lettres. J’ai commencé à écrire à l’adolescence, essentiellement de la poésie (des sonnets). Cependant, ce n’est qu’après avoir achevé mes études supérieures que je me suis véritablement lancé dans la rédaction d’un roman. Avant d’entreprendre cette tâche aussi exaltante qu’intimidante – qui, pour beaucoup, s’apparente à un Everest inatteignable –, je voulais d’abord me forger un semblant d’expérience, m’imprégner des œuvres que j’apprécie, pour mieux en comprendre l’essence et en disséquer les rouages.

Quels sont vos rituels d’écriture ?

A dire vrai, je n’ai pas de rituels d’écriture. Pour moi, c’est un travail fondé avant tout sur la recherche du plaisir. Je me laisse guider par l’impulsion du moment. L’idée originale émerge bien souvent quand on s’y attend le moins. Écrire, c’est se nourrir de son vécu, mais aussi accepter de lâcher prise.

Quel est votre rythme d’écriture ? Quand vous écrivez, plutôt ordinateur ou papier ?

J’aime écrire tôt le matin ou t**d le soir, à condition, bien sûr, que l’inspiration, cette muse parfois fuyante et indocile, soit au rendez-vous. Quand je suis chez moi, j’ai l’habitude d’utiliser mon ordinateur, mais, à l’extérieur, un petit carnet m’accompagne dans tous mes déplacements. Et je peux vous assurer qu’il m’a déjà rendu de fiers services !

Quand vous écrivez, avez-vous la trame ou laissez-vous évoluer vos personnages ?

Les deux. Lorsque je me mets à écrire, et que le voyage commence, j’ai déjà en tête une idée très précise de ma destination, et du chemin que je souhaite emprunter pour m’y rendre. Mais, une fois en route, je ne m’interdis rien, et surtout pas de me laisser entraîner par mes personnages hors des sentiers battus. L’essentiel, pour l’auteur comme pour le lecteur, est, en définitive, de ne pas échouer sur une voie de garage…

Avez-vous des passions en dehors de l’écriture ? Un travail ?

Oui, j’aime voyager, découvrir de nouveaux horizons. C’est une source d’enrichissement culturel et intellectuel inépuisable. Je pourrais aussi passer des heures dans certains musées (je pense notamment au Louvre, à Paris, ou au Prado, à Madrid). J’apprécie aussi le cinéma et les balades au grand air, en forêt ou à la montagne, qui ont généralement sur moi un effet cathartique.

Pour ce qui est du travail, comme je l’ai mentionné, je suis journaliste au « Monde », et plus précisément éditeur multimédia. Mon rôle est de relire et, au besoin, d’amender les articles de mes collègues avant qu’ils soient publiés dans le journal ou sur le site Web du quotidien. Cela implique de vérifier toutes les informations, de réécrire parfois certains passages ou encore de préciser des points de détail afin que le contenu desdits articles puisse être compris par l’ensemble des lecteurs, quel que soit leur profil.

Quels sont vos auteurs favoris, ceux qui vous inspirent ?

Je suis un grand admirateur des œuvres de Jack London, George Orwell et Stefan Zweig. Chacun d’eux m’a, à sa façon, donné le goût d’écrire. Je trouve qu’il y a, chez ces trois écrivains, un mélange de réalisme saisissant et de profondeur intellectuelle que l’on ne retrouve pas souvent. Qui plus est, leur style est absolument délectable. Parmi les auteurs plus modernes, j’apprécie autant la plume de Ken Follett que celle de Muriel Barbery.

Avez-vous des coups de cœur littéraires ? Des livres qui ont marqué votre jeunesse ?

Oui, bien sûr. Ma vie de lecteur a été émaillée de nombreux coups de cœur. Je vous épargne la liste complète car elle serait bien trop longue. Je citerai, entre autres, « Martin Eden », de Jack London, « 1984 », de George Orwell, et « La Confusion des sentiments », de Stefan Zweig. Plus proche de nous, je mentionnerai « 2084 : la fin du monde », de Boualem Sansal, « Les Falsificateurs », d’Antoine Bello, ou encore « La Brèche », de Christophe Lambert (rien à voir avec l’acteur). Des nombreux livres que j’ai lus au cours de ma jeunesse, j’en retiendrai surtout un : les « Histoires extraordinaires », d’Edgar Allan Poe. C’est peut-être grâce à ce recueil de nouvelles que je suis entré de plain-pied dans le monde merveilleux et envoûtant de la littérature.

Votre livre de chevet du moment

« 88 », de Pierre Rehov. Un thriller historique très documenté et original, sur fond d’islamo-nazisme et d’occultisme.

📘2. Présentation du livre

Pouvez-vous nous résumer votre livre en quelques phrases ?

L’action de « Funeste Albion » se déroule en 2100. Le Royaume-Uni n’existe plus ; après de longues années de tourments, il a été remplacé par la « Grande République britannique », un système pyramidal placé sous l’égide d’un « Protecteur », qui exerce le pouvoir d’une main de fer. Sa méthode : soumettre ou éliminer. Cependant, en coulisse, la résistance va s’organiser autour d’un ancien professeur émérite de Cambridge…

Pouvez-vous nous parler de l’univers que vous avez créé dans votre livre ?

C’est un univers dystopique, qui met en scène un affrontement à mort entre deux visions de la société : l’une, fondée sur l’ordre, la discipline et le culte du chef ; l’autre, basée sur l’humanisme et la tolérance. Mes personnages reflètent cette dichotomie : certains adhèrent aveuglément au nouvel ordre établi ; d’autres le combattent farouchement ; d’autres encore sont partagés et vont évoluer au fil de l’histoire.

A qui s’adresse votre livre ?

Je pense qu’il s’adresse potentiellement à toutes les générations, dans la mesure où il soulève des questions qui transcendent les classes d’âge : comment lutter face à une dictature ? Est-il permis d’avoir de l’espoir quand tout semble perdu ? L’homme peut-il vraiment changer ?

Avez-vous voulu faire passer des messages au travers de votre livre ?

Oui, j’ai voulu, à travers ce livre, distiller deux messages qui, à mon sens, sont plus que jamais d’actualité. Le premier est que l’homme peut facilement, et sans même s’en rendre compte, abdiquer sa liberté, bien qu’elle représente le plus précieux des joyaux ; le second est que, face au despotisme, il existe toujours des échappatoires, des interstices dans lesquels se glisser et, au bout du compte, des moyens de résister.

Les personnages sont-ils imaginés ou ont-ils existé ?

Tous mes personnages sont fictifs. Cela étant dit, les patronymes de certains d’entre eux n’ont pas été choisis au hasard.

Combien de temps avez-vous mis à écrire votre livre ?

Entre la phase de recherche, la mise en place de l’intrigue et l’écriture proprement dite, j’ai passé environ deux ans sur ce livre.

Autoédité ou dans une maison d’édition ? Pourquoi ce choix ?

Je suis publié par Beta Publisher, une petite maison d’édition établie à Paris, qui fait de plus en plus parler d’elle (en bien, je le précise). Je me suis tourné vers elle car elle mise sur l’originalité, sans crainte de se démarquer des canons du secteur. Cela vaut pour les couvertures des livres, mais aussi pour leurs contenus. Dans mon premier roman, un polar d’espionnage mâtiné de géopolitique intitulé « L’Étoile d’Orion », mes éditrices ont ainsi glissé des QR codes pour permettre à celles et ceux qui le souhaitaient d’en savoir plus sur les tenants et aboutissants de la guerre froide. Cette idée a rencontré un franc succès.

Avez-vous des projets ? Faites-vous des salons ?

Oui, j’ai commencé à écrire un troisième roman, un récit historique qui se déroule pendant et après la Seconde Guerre mondiale, entre Etats-Unis et Japon. Pour ce qui est des salons, j’ai participé à ceux du Mans et de La Rochelle (où j’ai d’ailleurs reçu le premier prix polar pour « L’Étoile d’Orion »), mais la pandémie de Covid-19 m’a naturellement conduit à revoir mes ambitions à la baisse. Aujourd’hui, j’espère seulement, comme tous mes collègues auteurs, que j’aurai d’ici peu l’occasion de rencontrer des lecteurs, car ces moments d’échange sont toujours enrichissants.



Où vous suivre ?

Je suis assez présent sur les réseaux sociaux, qu’il s’agisse d’Instagram, de Facebook ou de Twitter, et toujours sous mon nom. Que ceux qui désirent en savoir plus sur mes romans et mes projets n’hésitent pas à prendre contact avec moi. Je leur répondrai avec grand plaisir. J’en profite pour remercier par avance ceux qui me feront la joie de lire « Funeste Albion ». Votre confiance m’honore.

12/04/2021

Chers amis,

Je suis heureux de vous annoncer la sortie, ce lundi 12 avril, de mon deuxième roman,
« Funeste Albion », aux éditions Beta Publisher.

Voici le résumé de cet ouvrage :

Printemps 2100. Le Royaume-Uni, emporté par les vents mauvais de l’histoire, n’existe plus. Il a été remplacé par la Grande République britannique, un régime pyramidal placé sous l’égide d’un
« Protecteur ». Ce dernier exerce le pouvoir d’une main de fer, menaçant quiconque ose se dresser contre lui. Mais en coulisse, la résistance s’organise autour d’un ancien professeur émérite de Cambridge. Parviendra-t-elle à renverser le nouvel ordre établi et à raviver les feux de la démocratie ?

Si cette dystopie vous intéresse, vous pouvez vous la procurer, soit en passant par l’une des grandes plates-formes de vente en ligne soit en la commandant auprès de votre libraire. À votre convenance.

J’espère que vous me ferez le plaisir et l’honneur de me lire. J’ai d’ores et déjà hâte de connaître votre sentiment par rapport à ce nouveau livre, tout à fait différent de « L’Étoile d’Orion ».

En attendant, je vous souhaite une agréable semaine.

30/03/2021

Merci Beta Publisher pour ce booktrailer très réussi. J’espère qu’il donnera envie aux lectrices et lecteurs de se plonger dans « Funeste Albion ». 🙂🤞

24/03/2021

La bonne nouvelle du jour, qui me réconforte un peu, après un début de semaine cauchemardesque : Beta Publisher a reçu l’exemplaire maison de « Funeste Albion », mon deuxième roman, qui paraîtra le lundi 12 avril. Qu’en pensez-vous ? J’ai hâte que vous puissiez découvrir à votre tour ce nouveau livre. En ces temps difficiles, s’évader par les mots est plus que jamais nécessaire.

01/03/2021

Chers amis,

Comme vous le savez désormais, mon deuxième roman, une dystopie intitulée « Funeste Albion », paraîtra dans le courant du mois d’avril, aux éditions Beta Publisher. Un univers très différent de « L’Étoile d’Orion », qui était axé sur la géopolitique et l’espionnage.

Voici, en guise d’avant-goût, la couverture et la quatrième de couverture de ce nouveau livre, aux accents très orwelliens. J’espère qu’elles vous donneront envie de le lire.

Bonne semaine à tous !

06/01/2021

Bonjour ! D’aucuns disent que, par certains aspects, nous vivons déjà dans un monde dystopique. Alors, qu’en sera-t-il en 2100 ? Cauchemardons un peu ensemble, voulez-vous ? (« Let’s share a nightmare, shall we?) 😱😱😱

« À partir de là, la nuit et le brouillard se répandirent à l’Ouest, contaminant des régions entières. Certains peuples, poussés par une foi immarcescible en la liberté, résistèrent ; d’autres, par complaisance ou veulerie, abjurèrent tout. Leur passé, leur honneur, leurs valeurs.

Cette abdication en règle ouvrit une brèche dans la cuirasse de l’Europe, brèche qui eut tôt fait de s’élargir pour laisser place à une faille béante. Des oriflammes noires se déployèrent en masse, dans les villes et les campagnes, les plaines et les montagnes. Le bonheur de vivre, jusqu’alors porté fièrement en étendard, disparut en même temps que les oripeaux de la candeur.

La désespérance prit le pas sur tout le reste, étouffant dans son berceau les dernières lueurs de l’aube. Nulle parcelle du monde ne put se prévaloir d’être à l’abri des vents mauvais qui le balayaient de toutes parts, en puissantes rafales. D’autant que l’Afrique et l’Amérique latine furent emportées à leur tour.

En Amérique du Nord, seuls les États-Unis parvinrent à échapper à la tourmente, mais à quel prix ? La surveillance orwellienne devint la norme, l’État policier, une réalité quotidienne. La méfiance, encouragée par les plus hautes autorités, suscita crispations intercommunautaires et débordements sanglants. Les conflits ne se réglèrent plus par la parole, mais par le bruit des armes. L’air sentait le soufre et la poudre. Une odeur incommode, insupportable. »

02/01/2021

Une nouvelle année commence et, avec elle, se concrétise un nouveau projet littéraire très différent de « L’Étoile d’Orion ». J’ai hâte de vous présenter plus en détail « Funeste Albion », une dystopie qui paraîtra à la mi-avril (un beau cadeau en perspective pour mes 40 ans). Sachez en tout cas qu’avec ma maison d’édition, Beta Publisher, nous ferons tout pour que ce deuxième livre soit à la hauteur de vos attentes. À bientôt ! 🙂👋

31/12/2020

L’année 2020 fut peuplée d’ombres et de cauchemars ; gageons que 2021 sera bercée d’espoir et de lumière. En attendant, je vous souhaite, ainsi qu’à vos proches, santé, bonheur et prospérité de l’âme - toutes choses sans lesquelles l’homme ne saurait vivre décemment.

Pour accompagner ces vœux de bonne fortune, je citerai Charles Baudelaire, poète cher à mon cœur : « Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du Temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve. Mais de quoi ? De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous. »

Quelle sera votre source d’ivresse ? 🍾 🥂

24/12/2020

Alors que cette année 2020, si singulière à tous égards, est sur le point de tirer sa révérence, je vous souhaite un très joyeux Noël. Malgré les circonstances, profitez-en avec vos proches et n’oubliez pas ceux que vous aimez. Une attention, un mot gentil, une parole réconfortante ou un geste tendre ne sont jamais inutiles, car la vie est une étoile filante. Il n’appartient qu’à vous de la faire scintiller au quotidien... 🌟💫 🎄