🤩Le Bec co-organise avec la La Coopération pour l'abolition du patriarcat CAP un atelier lors des premières RENCONTRES SUR LES NOUVELLES MASCULINITÉS à Lyon, ce samedi.
✅Nos intervenantes : Lucile Peytavin et Muriel Salle !
✅Le sujet : "Être un homme : du combien ça coûte au combien ça nous coûte" : Cette table-ronde interrogera les impacts économiques de la masculinité et son coût sur la société - notamment dans le domaine de la santé, ainsi que ses impacts sur la construction de soi. Elle abordera enfin des pistes de solutions pour modifier les comportements et le regard de chacun.e, pour un mieux vivre ensemble.
✅Inscrivez-vous vite à l'atelier sur le site des Rencontres
👉Et retrouvez nous sur notre stand de midi à 14h le vendredi et le samedi 😄
🎥Quand les femmes combattent, il est rare qu'elles figurent dans les livres d'Histoire. Mais quand elles ne se montrent pas au combat, il arrive qu'on leur attribue des actes qu'elles n'ont pas commis, gravant leur prétendue perfidie dans les mémoires. C'est le cas des pétroleuses de la Commune de Paris, ces insaisissables harpies sorties de mémoires moyenâgeuses pour construire une légende qui a traversé le temps…
Ce film revient sur l'histoire des pétroleuses, déjà évoquée il y a quelques mois dans le Bec ("Les femmes et la Commune"), sorcières imaginaires restées dans la mémoire collective.
#lebecmagazine #lacommunedeparis #pétroleuses
M. Dufeuille
Vous voulez écrire pour Le Bec ?
Promis, le comité de rédaction n'est pas aussi rude que l'agent Smith !😆
#lebecmagazine #matrix
🎥 Comment le patriarcat influence-t-il nos sexualités ?
Michel Pélo a interrogé les formateurs et les participant.e.s d'un stage sur le thème "jouir sans entrave" 🙂
À retrouver aussi dans le N°Sexe, du Bec Magazine !
Pourquoi le masculin l'emporte sur le féminin ?
Pourquoi diable le masculin l'emporte-t-il sur le féminin ?
Michel Pélo a mené l'enquête...🔎😃
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🎁Petite trouvaille de cette semaine : c'est un livre qui nous a tapé dans l’œil. Edwige vous partage son coup de cœur pour L'Enfant travesti, de Jean-Luc Seigle (éd. Flammarion), à retrouver chez votre libraire préféré.e.
"Évidemment, un pareil titre fait tilt !
Je ne connais pas cet auteur dont il est dit sur la quatrième de couverture qu’il s’inspire de son enfance pour “mieux faire sentir l’onde de choc de la grande histoire sur les vies ordinaires à travers les générations”.
À lire ses précédents titres, on comprend ses thèmes de prédilection : En vieillissant les hommes pleurent (2012), Je vous écris dans le noir (2016) et Femmes à la mobylette (2017). L’Enfant travesti est le premier tome d’une trilogie (tristement inachevée car Jean-Luc Seigle est décédé l’an dernier) intitulée La Beauté des femmes. Dans ce premier volume, il fait un beau portrait de sa grand-mère Rose, femme engagée en politique et âme de la famille.
L’avant-propos commence par ces mots : “C’est moi, la petite fille à la poupée peinte par Chaïm Soutine.” Révélation à la découverte d’une reproduction de ce tableau alors qu’il a 21 ans et que son enfance, probablement reléguée dans un coin sombre de sa conscience douloureuse, lui explose à la figure…
Le prologue finit par ces phrases : “L’enfance est une défaite. (…) Devenir adulte, c’est transformer cette défaite en victoire.”
Par ces lignes, le roman de Jean-Luc Seigle, écrit à la première personne, nous semble bien proche d’une autofiction…"
Caroline Fourest présente "Soeurs d'armes"
A la galerie Espace liberté, l'art au jour le jour
Désirs des arts, un événement à Saoû pour l'artisanat