Les Traces de l'Oubli : Prête plume/Biographe/Copywriter

Les Traces de l'Oubli : Prête plume/Biographe/Copywriter Biographe/Prête plume/Storyteller certifiée, réalise tous travaux d'écriture : récits de vie, romans... Les Traces de l'Oubli est un bel oxymore !
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Comme j'aime ce genre de figure de style, quand je me suis lancée dans l'activité de biographe pro en 2014, après plus d'une vingtaine d'années au service de médias, presse magazine nationale, c'est ainsi que j'ai décidé de la baptiser. Ecrire un livre sur sa vie, n'est-ce pas vouloir en effet, laisser une trace indélébile pour éviter l'oubli ? Faire ou faire écrire sa biographie est aussi un leg

s merveilleux pour les générations futures. Elles qui en la prenant sur une étagère, découvriront qui était vraiment cet aïeul qu'elles n'auront, hélas, pas eu la chance de connaître ! Ecrire l'histoire de sa vie, ce n'est donc pas flatter son ego, mais laisser une trace écrite de son passage ici-bas.

LA SOLITUDE & LE CÉLIBAT Et si c’était un choix !Les raisons qui mènent à ce choix de vie sont multiples, d’ordre struct...
10/08/2024

LA SOLITUDE & LE CÉLIBAT
Et si c’était un choix !

Les raisons qui mènent à ce choix de vie sont multiples, d’ordre structurel comme après un divorce, une déception amoureuse ou d’amitié ; ou individuel si la personne en quête de sens éprouve un besoin de s’isoler pour faire un bilan existentiel, pour un projet personnel aussi qui nécessite pour elle un environnement dénué d’agitation.
Ce besoin de solitude est pluriel, car l’âge, la position sociale et le lieu de vie ne sont pas des marqueurs déterminants, d’autant qu’un repli sur soi peut être positif, une étape bénéfique, voire parfois nécessaire à un changement de vie. S’écarter des faux-semblants de la société peut aider en effet à mieux se comprendre, à évaluer ses réels besoins et sa capacité à la solitude en étant juste bien avec soi-même. La solitude n’a donc rien de monolithique ni de honteux, puisque chaque être qui s’y enferme a généralement toujours une bonne raison de le faire.
Il nous faut donc ajuster notre regard pour percevoir que la solitude n’est pas nécessairement la résultante d’un « problème » personnel, ni d’une mise en marge de la société pour des raisons purement caractérielles ou psychiques, mais très souvent la meilleure solution pour se guérir de maux, pour clarifier son esprit dans l’analyse de ses besoins fondamentaux. Toutefois cette liberté à un prix, puisque seuls ceux qui sont capables d’autonomie peuvent avoir accès à cet isolement le plus souvent salvateur, quand il n’est pas subi bien sûr !
Mais où est l’amour dans tout cela me direz-vous ? Et je vous répondrai, c’est quoi au juste l’amour et la vie de couple pour vous ? Car selon des études réalisées en 2023, il ressort que la durée moyenne d’une union est de cinq ans. On a dénombré 120 000 divorces cette année, où dans 75% des cas les femmes en étaient le déclencheur pour cause d’infidélité, égoïsme, incompatibilité de caractère, comportements abusifs de la part de leur conjoint ou pour des problèmes d’argent, de travail, avec la belle-famille ou les enfants.
Partant de ces statistiques, reconnaissez qu’il est très difficile de nos jours d’envisager un avenir sur les seules fondations d’une vie à deux où l’autre nous servirait juste de béquille ! Il est donc à notre époque, impératif d’avoir un rapport décomplexé à la solitude ou au célibat en l’intégrant comme une étape incontournable de notre vie. Aussi, afin d’être en mesure de bien la vivre, il est indispensable de pouvoir assumer avant cela son autonomie, afin que la vie à deux ne soit plus une nécessité financière, mais basée uniquement sur un amour réciproque qui seulement dans ce cas peut perdurer et prendre tout son sens. D’autant que l’on ne perd pas la vie seulement le jour où l’on arrête de respirer, mais celui où l’on cesse d’être heureux !

Extrait de l’un de mes livres : « L’automne de mes jours » - C. de C.

La thérapie par la réflexion :Durant très longtemps, comme J. Foster l’a elle-même avoué, j’aurais été capable moi aussi...
04/08/2024

La thérapie par la réflexion :

Durant très longtemps, comme J. Foster l’a elle-même avoué, j’aurais été capable moi aussi de traverser un océan à la nage pour rejoindre quelqu’un, qui à l’inverse n’aurait même pas traversé une rue pour moi. Je me suis également excusée souvent, alors que je n’avais rien fait de mal, comme j’ai dû aussi ravaler ma fierté plusieurs fois après avoir été déçue ou trahie, juste par peur de perdre une amitié ou l’être aimé. Une existence passée au cours de laquelle par manque d’observation, d’analyse, de méfiance et de bonnes décisions prises, je ne peux, hélas à présent, pleinement me réjouir de son bilan affectif et sentimental.
Cette prise de conscience t**dive m’a évidemment rendu triste, puisque d’une croyance erronée j’avais toujours pensé que les gens étaient aussi sincères, honnêtes et altruistes que moi. Néanmoins comment pourrions-nous se réjouir d’être éblouis par le soleil, sans avoir marché longtemps en plein désert dans son ombre ? Comment pourrions-nous également apprécier le silence sans jamais avoir subi les bourdonnements malfaisants des ruches voisines ? Il nous faut donc avoir vécus la folie et la déception avant d’atteindre la sagesse et la lucidité !
Aussi, pour toutes ces raisons, ne culpabilisez plus d’offrir votre absence à ceux qui n’ont jamais compris l’importance de votre présence, car si le cœur affaibli par des sentiments, en plein déni d’évidence, délibère parfois trop longtemps… La raison de l’esprit finie toujours tôt ou t**d, par conclure dans le bon sens en vous apportant enfin la paix sans regret ni remords !
C. de C. Extrait de l’un des paragraphes d’une thérapie par l’écriture que j’ai écrite en 2020.

Nous savons tous que tout a toujours une fin ou que tout finira un jour par mourir. Aussi quand un bon écrivain sent que...
16/06/2024

Nous savons tous que tout a toujours une fin ou que tout finira un jour par mourir. Aussi quand un bon écrivain sent que l’être aimé s’éloigne, il va alors tenter d’immortaliser ses ressentis qui cherchent à fuir l’incendie qui s’est déclaré dans son esprit, avec des mots qui viendront s’épandre sur du papier en une indicible poésie. Littérature romantique où, dissimulé sous les plumes de la métaphore, il pourra ainsi les dévoiler à son amour en tentant de le retenir. Car écrire est le seul moyen que les auteurs timorés, sensibles ou sentimentaux ont trouvé pour ôter les épines de leur cœur, avant de les faire fleurir et les offrir à l’objet de tous leurs tourments, en un florilège d’émotions jusque-là contenues.
Hélas, écrire demeure aussi le paravent derrière lequel se protègent les lâches afin de ne pas affronter les tempêtes d’un face à face. Sauf que ceux-là n’emplument généralement pas leurs « SMS » quand il s’agit d’annoncer de mots cruels leur rupture ou en twittant les infamies de leurs idéaux en se dissimulant ainsi derrière le loup de l’anonymat !
Moralité : l’usage de l’écriture demeure le moyen le plus efficace chez les pernicieux pour encrer derrière un écran de fumée, ce qu’ils n'oseraient dire frontalement aux autres. Le moyen d’expression le plus adroit également pour les plus prudents qui n’osent s’épancher oralement par peur de l'engagement. Mais surtout adressé à ceux qui manient magnifiquement la langue de Molière et le pouvoir des mots, afin de vous transporter le temps d’une lecture gracile et romancée dans leur monde enchanté.

C de C. Petit extrait de l’une de mes nouvelles 2023, sur le thème de : « l’usage de l’écriture ».

Il est des endroits inspirants où des vagues de nostalgie parfois nous submergent sous l'écho de mots que l'on aurait ai...
01/05/2024

Il est des endroits inspirants où des vagues de nostalgie parfois nous submergent sous l'écho de mots que l'on aurait aimé dire.

Si j'avais su t'aimer
Avec des habitudes
Des petits déjeuners
Au lit des solitudes,
Si j'avais su te dire
Avec exactitude
Ce qui me fait mourir
De tant d'incertitudes.
Si j'avais su t'aimer
Comme on aime ce qu'on cache
Comme on voudrait prier
Pour que rien ne se détache,
Si j'avais su t'écrire
Ce qu'il faut que tu saches
J'aurais été moins pire
J'aurais été moins lâche.
J'aurais refusé d'être sage
J'aurais donné bien davantage
De lumière à ton paysage
Si j'avais su,
Si j'avais seulement vu sur ton visage
Ce qu'il faut d'amour et de rage
Si j'avais su, si j'avais su te mettre à nu.
Si j'avais su t'aimer
Avant de te connaître
Avant de t'oublier
J'aurais menti peut-être,
Si j'avais su mentir
Mentir ou disparaître
Apprendre à devenir
Une femme à la fenêtre,
J'aurais brûlé ma lettre...

Paroliers : Claude Morgan / Didier Golemanas / Rick Allison

« Nous sommes tous là du matin au soir à nous plaindre du froid, de la pluie ou de la chaleur, de nos voisins, de notre ...
14/04/2024

« Nous sommes tous là du matin au soir à nous plaindre du froid, de la pluie ou de la chaleur, de nos voisins, de notre employeur, de notre travail, de notre salaire et même des impôts. A râler, à médire à la moindre occasion par jugement éhonté ou par pure jalousie envers notre entourage, parce que rares sont ceux qui savent se réjouir du bonheur et de la réussite des autres. Bourrés de préjugés ou d’un ego surdimensionné, certains s’estiment même supérieurs et bâtissent ainsi une muraille devant les humbles qui n’en ont pas. D’autres d’une empathie aveugle, d’un altruisme intéressé afin de se faire apprécier des autres vont jusqu’à renier leur patrie, ses fondements et ses valeurs, en laissant l’ennemi nous fourvoyer.
D’une soif intarissable de pouvoir, d’enrichissement ou simplement parce qu’ils sont animés d’une haine indicible, emplis de venin à la place du sang, une poignée d’humains se font également la guerre, terrorisent leurs semblables, pillent, saccagent et assassinent sans vergogne, sans nous faire réagir autrement qu’en nous insurgeant bien assis dans notre fauteuil devant la télévision ! Il y a aussi les profiteurs d’un système, les assistés de l’humanité, de véritables bernard-l’hermite qui ne se nourrissent que du travail des autres sans rien faire. Des sangsues avides d’allocations et d’aides en tout genre et qui ne sont miséreux que par fainéantise. Et non à l’instar des vrais malchanceux de la vie, nés dans les fossés d’une sous-humanité que les nantis ont creusés pour eux, afin d’en éloigner comme une maladie leur pauvreté. Et enfin, il y a ceux qui distribuent des « je t’aime » comme des bonjours, mais qui changent de partenaire ou d’ami comme de chemise. Ceux qui se complaisent dans le mensonge et la trahison pour pimenter leur vie, ou d’un déni de vieillesse pour se rassurer de leur pouvoir de séduction. Il est vrai qu’avoir des sentiments et les avouer, être fidèle et sincère, c’est risquer de s’exposer, de s’engager et de renoncer à la tentation de se faire plaisir ! Mieux vaut alors, le pensent-ils par pur égoïsme, batifoler en brisant le cœur de ceux qui les aiment sincèrement.
Hélas, lequel d’entre-nous s’est déjà réjoui d’être sur terre ? Lequel s’extasie chaque jour de pouvoir admirer le lever et le coucher du soleil sur la lagune, de contempler une éclipse et les étoiles ? Qui s’émerveille devant les ballets de la vie océane, devant la flore et la faune qui nous entourent ? Et qui a déjà pris conscience que nous ne sommes que des microbes accrochés à un rocher suspendu au beau milieu de l’univers ? Juste des grains de sable au milieu d’un désert sans fin où la moindre météorite comme jadis pour les dinosaures pourrait tous nous anéantir. Aussi réjouissons-nous d’être ici en vie et en bonne santé. Cessons d’envier la pelouse de notre voisin en voulant déraciner les Autochtones de leur pays d’origine. Apprenons-leur plutôt à semer leur propre graine du bonheur et à cultiver leur religion et leurs coutumes sur leur terre patrie. Le monde est vaste et nous y avons tous trouvé une place au jour de notre naissance, est-ce un hasard ? Contentons-nous alors juste de voyager dans le seul dessein de découvrir les merveilles de cette planète qui nous abrite, mais cessons de vouloir envahir la glèbe des autres pour les spolier de leur culture et de leurs richesses, nous éviterons ainsi bien des conflits !
La vie est courte où vieillir est un privilège, vivons donc uniquement pour nous en ignorant le regard et le jugement des autres. Et surtout, n’ayons plus peur de dire un « je t’aime » sincère à tous ceux qui comptent vraiment pour nous, avant d’aller pleurer de regrets sur leurs tombes. »
C de C. Extrait de l’une de mes nouvelles/2024.

Comme il peut être fier de lui l'auteur de ce poème, j'aurais tant aimé l'avoir écrit. Chaque mot, tel le coup de pincea...
26/01/2024

Comme il peut être fier de lui l'auteur de ce poème, j'aurais tant aimé l'avoir écrit. Chaque mot, tel le coup de pinceau précis d'un talentueux artiste, dépeint précisément le fond de mes pensées à un âge où tout comme lui, je ne désire plus que le bonheur...

SEUL L'AMOUR REND VIVANT
Je ne veux rien rater
De ce temps qu'il me reste,
Je veux vivre mes envies,
Du Nord, au Sud, à l'Ouest,
M'enivrer simplement,
Des belles choses de la vie,
D'une balade au soleil,
D'un sourire sous la pluie...
Je veux boire du bon vin,
Et connaître l'ivresse,
Apprécier ces moments
Qui mettent l'âme en liesse,
Aux côtés de tous ceux
Qui font vibrer mon coeur,
Partageant avec eux,
Grands fous rires de bonheur...
Je veux des yeux qui brillent,
Des cheveux dans le vent,
Des mains qui se rejoignent,
Ces baisers qu'on attend,
Des caresses subtiles,
Empreintes de tendresse,
Ces étreintes qui soudain,
Se transforment en promesses...
Je veux vivre d'impatience,
Sans aucun garde fou,
L'appeler à point d'heure,
Lui donner rendez-vous,
Partir au bout du monde,
Ou au coin de sa rue,
Peu importe l'endroit,
Pourvu qu'elle soit émue...
Et si j'en veux beaucoup,
Que la vie me pardonne,
Il n'est plus doux moment
Qu'une peau qui frissonne,
Alors que tous mes rêves
Me portent encore longtemps,
Vers celle et ceux que j'aime, car
Seul l'amour rend vivant !

Jean Saint Martin

ATTENTION :  Assurez-vous du professionnalisme, de l'expérience et des références d'un biographe avant de vous engager p...
07/01/2024

ATTENTION : Assurez-vous du professionnalisme, de l'expérience et des références d'un biographe avant de vous engager pour l'écriture de votre biographie, c'est mieux ! En savoir plus, cliquez sur ce lien : https://lestracesdeloubli=biographies.com

L'écriture comme la vie, commence avec la mort. Il faut vivre pour écrire et non pas écrire pour vivre. La vie est un sp...
03/01/2024

L'écriture comme la vie, commence avec la mort. Il faut vivre pour écrire et non pas écrire pour vivre. La vie est un spectacle où il n'y a pas de texte, pas de canevas, pas de souffleur et dont il faut être soi-même le metteur en scène. Pour ma part, si vous le souhaitez un jour, je peux être la plume pour en écrire le scénario.

Cette année mon sapin sera ancré dans le sable pour un Noël bercé au bruit du ressac des vagues bordant mon antre et s'é...
23/12/2023

Cette année mon sapin sera ancré dans le sable pour un Noël bercé au bruit du ressac des vagues bordant mon antre et s'évanouissant sous le souffle puissant du marin hivernal. Ainsi, même en plein jour, j'aurai la tête dans les étoiles !
Joyeuses fêtes de fin d'année.

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