Trait d'Union

Trait d'Union Management d'artistes marocains ou tunisiens.

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http://lacledesondes.radio.fr/

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28/01/2024

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Spécialement pour vous mesdames :

Mesdames, mesdemoiselles, l'Association Almajliss ANWAR Musique vous propose de venir chanter toutes vos chansons préférées avec nous, tous les DIMANCHES après midi au restaurant "C'DANS L'ASSIETTE".

Demandez les chansons de votre choix et interprétez les seule ou en groupe de 15h à 20h.

Toutes les boissons sont à 5 euros seulement.

Restaurant C' DANS L'ASSIETTE, 13 rue Galilée 33185 Le Haillan.

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23/12/2023
MAROC : Le nombre de touristes bat tous les records au Maroc avec plus de 12 millions de touristes jusqu'au 31 octobre.L...
14/11/2023

MAROC : Le nombre de touristes bat tous les records au Maroc avec plus de 12 millions de touristes jusqu'au 31 octobre.

Le chiffre total pour la fin de l'année 2023 pourrait atteindre les 14 millions de personnes qui auront visité le royaume. 🇲🇦🇲🇦🇲🇦

10/11/2023

Je savais que Fayrouz, chanteuse libanaise, était chrétienne orthodoxe, ce n'était en aucune manière une raison pour ne pas admirer sa voix limpide et s'enivrer à l'écoute de ses chansons. Elle chantait l'amour, la patrie, l'amitié, on se réveille toujours à l'écoute de ses effluves matinales, et chacun se retrouve en elle.

Je ne me suis jamais soucié que Nizar Qabani était chiite alaouite, c'était d'abord le poète de l'amour,
que Badr Assayeb était sunnite,
Al Maghout était chiite ismaelite, mais sa plume acerbe et critique éveillait les consciences de tous, et c'est ce qui m'intéressait en le lisant.

Adonis et Badawi Al Jabal deux poètes syriens engagés, étaient chiites alaouites, je ne m'en souciais pas non plus.

Fares Al Khoury, premier ministre syrien, lui était chrétien orthodoxe, c'était normal qu'il accède aux plus hauts postes politiques comme tout autre citoyen d'une autre communauté religieuse.

Leila Mourad, Raoul Journo, Cheikh Al Ifrit, tous chanteurs, étaient juifs, ça m'était égal, ils nous charmaient de leurs voix.

Je ne pouvais jamais m'imaginer classer Dourid Laham, Kadhem Essaher, Nadhem Al Ghazali parmi une secte, c'est leur conviction d'être chiites,
Omar Sharif, Youssef Wahbi, Foued Al Mouhandess, comédiens qui ont atteint les sommets de leur art, étaient chrétiens coptes, et libres de pratiquer leur religion. Ça ne posait aucun problème.

La religion n'est jamais un prétexte pour s'entretuer, pour moi et pour beaucoup de mes concitoyens c'étaient surtout des artistes, des poètes, des écrivains, des humains tout simplement, leurs convictions religieuses étaient personnelles et ne pouvaient en aucun cas interférer dans l'estime qu'on avait d'eux.

Traduit d'un texte arabe.

La Fédération Franco-Algérienne Aquitaine Plus et l'Utopia Bordeaux vous proposent 3 dates sur la place et le rôle du ci...
21/10/2023

La Fédération Franco-Algérienne Aquitaine Plus et l'Utopia Bordeaux vous proposent 3 dates sur la place et le rôle du cinéma Algérien dans l'histoire. 🎬📽

18/10/2023

Suite aux événements tragiques survenus à Gaza, il n'y aura pas d'émission Trait d'Union ce soir sur la radio la Clé des Ondes.

Merci de votre compréhension.

11/10/2023
18/09/2023
18/08/2023
La Une de Libé...
02/08/2023

La Une de Libé...

02/08/2023

URGENT / TUNISIE : Le président de la République Kais Saied limoge la cheffe du gouvernement Najla Bouden et nomme dans la foulée un ancien banquier Ahmed Hachani.

08/07/2023
04/07/2023

AVIS AUX FRANCO-ALGÉRIENS VENANT EN VACANCES EN ALGÉRIE

Vous êtes franco-Algérien et vous passez vos vacances en Algérie. Assurez-vous, avant votre départ, que vous êtes bien en possession :
- de votre passeport algérien
- de votre passeport français (ou éventuellement d’une carte d’identité) en cours de validité

Les personnes voyageant avec un titre français périmé ne pourront pas se voir délivrer de laissez-passer. Ils devront déposer au consulat général une demande de passeport ou de carte d’identité, ce qui pourrait retarder leur retour de plusieurs semaines.

Il serait dommage que la fin de vos vacances soient gâchées par des problèmes administratifs !

Libération 19 juin 2023Candidats à l’exil «Toute la Tunisie souffre, mais à Tataouine, c’est pire»La crise économique a ...
18/06/2023

Libération 19 juin 2023

Candidats à l’exil «Toute la Tunisie souffre, mais à Tataouine, c’est pire»
La crise économique a fait exploser l’émigration vers l’Europe plus fortement dans la ville pauvre du sud du pays que dans le reste du territoire. Souvent soutenus par leurs proches, les jeunes tentent de passer par les Balkans, l’Angleterre, ou la Méditerranée.

PAR MATHIEU GALTIER ENVOYÉ SPÉCIAL À TATAOUINEPHOTOS AUGUSTIN LE GALL

L’exode des jeunes de Tataouine
sont les parents qui en parlent le mieux. Le père de Wajdi porte beau, mais son costume élimé raconte aussi bien l’usure du tissu que celle de son propriétaire : «Tout nous est interdit. Les places dans les entreprises publiques et les compagnies pétrolières sont toujours pour les autres. Même commercer avec la Libye est devenu compliqué. Mon fils est parti l’an dernier pour la France. Je lui souhaite d’être heureux, car ici, c’est difficile.»
Installé à la terrasse du café Ennour, donnant sur le principal rond-point de la ville, à 540 km au sud de Tunis, l’homme de 56 ans, qui refuse de donner son nom, résume en cinq minutes des décennies de marginalisation. A l’horizon, les collines rocailleuses entourant la ville accentuent le sentiment d’oppression. Tataouine est connu pour avoir donné son nom à la planète Tatooine dans la saga Star Wars. Dans la réalité, la région bascule du côté obscur de la force. Environ 12 000 jeunes, soit 8 % du gouvernorat (équivalent d’une préfecture), sont partis en 2022 pour l’Europe, selon le sociologue du cru Mohamed Nejib Boutaleb, ancien professeur de l’Université de Tunis.
Les Tataouinois ne sont pas les seuls à s’exiler. Selon le ministère italien de l’Intérieur, l’arrivée de clandestins tunisiens a augmentéde 55 % depuis le début de l’année. En 2023, la Tunisie est même devenue le principal pays de départ des migrants souhaitant traverser la Méditerranée, devant la Libye voisine. Une hausse qui inquiète les Européens, en particulier l’Italie, qui redoute qu’un effondrement économique de la Tunisie, très endettée (80 % du PIB), amplifie ce phénomène.
La crise est telle qu’elle a conduit la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, accompagnée de la cheffe du gouvernement italien et du Premier ministre néerlandais, à se rendre à Tunis le 11 juin. L’objectif : proposer une aide financière de plus d’un milliard d’euros à long terme, dont 100 millions d’euros pour le «contrôle» de ses frontières. Un outil supplémentaire qui permet à l’Union européenne d’externaliser ses frontières, en déléguant la gestion des flux migratoires à des pays tiers, souvent peu réputés pour le respect des droits humains. Le ministre français de l’Intérieur, Gérald Darmanin, était à son tour attendu à Tunis dimanche et lundi, accompagné de son homologue allemand.
Pour éviter la dangereuse traversée de la Méditerranée et ses contrôles renforcés, Tataouine a donc cherché une autre route, celle des Balkans. Jusqu’au 20 novembre, les Tunisiens n’avaient pas besoin de visa pour se rendre en Serbie. Ils arrivaient donc à Belgrade en avion avant de franchir illégalement la frontière avec la Hongrie. Dans ses travaux, Mohamed Nejib Boutaleb a ainsi recensé, en 2022, 11 200 demandes d’autorisation parentale de voyage émanant du gouvernorat. Pour juguler le départ de jihadistes dans les zones de combat, les autorités ont rendu ce document obligatoire pour les citoyens de moins de 35 ans.
Solides réseaux
Une place dans un bateau pour traverser la Méditerranée coûte pourtant bien moins cher : 1 000 dinars (300 euros) contre environ 25 000 dinars (7 500 euros) pour le trajet de l’aéroport de Tunis à la France, via les Balkans. D’autant que la région méridionale est l’une des plus pauvres du pays, avec un chômage autour de 30 %, deux fois supérieur au niveau national. Mais ses habitants s’appuient sur la solidarité régionale. Le père de Wajdi précise qu’il a contracté un prêt à la consommation de 3 500 dinars pour le départ de son fils. Un de ses amis, venu le rejoindre au café, embraye : «Moi, j’ai vendu 35 000 dinars un terrain de 400 m² pour payer le trajet à mon fils. C’est beaucoup plus sûr que de prendre la mer.» Et si les parents ne peuvent pas, la diaspora prend le relais.
Depuis les années 60 et la première vague d’émigration, lancée par la France désireuse de main-d’œuvre bon marché, les Tataouinois ont eu le temps de construire de solides réseaux. Des entrepreneurs dans le secteur du bâtiment et de la boulangerie-pâtisserie acceptent de payer une partie des frais de leurs futurs employés. Rafik sort du coiffeur après avoir rafraîchi sa coupe, car il s’apprête à travailler dans un hôtel de Djerba pour la saison touristique. Sa famille a préféré miser sur son petit frère pour le grand départ : «Son patron lui a avancé de l’argent. Moi, je lui ai filé 4 000 dinars. Il bosse maintenant dans une boulangerie en région parisienne.»
«On devrait être riche»
L’exode se ressent visuellement dans la ville. Les personnes âgées y sont plus visibles, bien que le gouvernorat possède le taux de fécondité le plus élevé du pays - 4,6 enfants par femme contre 3,4 au niveau national. Ce jour-là, les rues sont animées. L’équipe de football locale rencontre le Club africain, une des deux équipes phares de la capitale, Tunis. Une occasion rare d’échapper au quotidien. Au stade, dans la tribune des locaux, des supporteurs célèbrent aussi les buts des adversaires. Ils sont fiers d’être d’ici, mais au football comme dans la vie, ils aiment aller droit au but : l’US Tataouine peut difficilement prétendre au titre, tout comme les jeunes du coin à une vie meilleure. Sedki, un supporteur du Club africain qui a fait le déplacement, confirme à sa manière : «C’est mort, cette ville. Même à Médenine, Gafsa ou Ben Guerdane [des villes marginalisées du Sud, ndlr], tu peux faire du shopping.»
Chaque été, quand les Tataouinois de France débarquent, les locaux ressentent plus profondément la déréliction dans laquelle ils vivent le reste de l’année : «Cette coutume de la diaspora de revenir avec une belle voiture, des vêtements à la mode et les accessoires faussement indispensables exacerbe la frustration des jeunes», avance l’anthropologue Mohamed Bettaieb. Vêtu d’un maillot de l’Espérance sportive de Tunis, l’autre grand club de la capitale, Amir Maiez a déjà tenté deux fois de se rendre en Europe. «Toute la Tunisie souffre, mais à Tataouine, c’est pire. On n’a rien alors qu’on devrait être riche !» Pour l’athlète aux larges épaules, comme pour la majorité des jeunes rencontrés, la source de l’hémorragie se nomme «El-Kamour», du nom de la région pétrolière à proximité.
Contrairement à ses voisins algériens et libyens, la Tunisie n’est pas une grande productrice de pétrole, mais, à l’échelle du pays, c’est une manne précieuse : le déficit de la balance commerciale énergétique pèse lourd (6,8 % du PIB en 2022). Et environ la moitié du pétrole produit vient de Tataouine. Au printemps 2017, les jeunes ont organisé à El-Kamour un sit-inet ont fermé les vannes des oléoducs pour exiger que les revenus de l’or noir bénéficient directement au reste de la région. Plusieurs accords ont été signés, dont le dernier en novembre 2020. Il prévoyait notamment la création de deux fonds de développement et d’investissement régionaux pour l’équivalent de 48 millions d’euros, le recrutement de 125 locaux dans les compagnies pétrolières ou encore une enveloppe de 2,2 millions de dinars pour financer les projets entrepreneuriaux des jeunes. Les résultats se font attendre.
Le 13 juin, le personnel de l’hôpital s’est mis en grève pour dénoncer le manque de moyens : «Il n’y a pas de réanimateur, les cardiologues viennent de Sfax [à 290 km au nord, ndlr] seulement quelques jours par semaine et il n’y a pas assez de gynécologues à la maternité», énumère un médecin. «Les jeunes ont acté l’échec du projet socio-économique du gouvernement qui n’a pas réussi à les inclure, analyse Mohamed Nejib Boutaleb, qui a intitulé son étude "D’El-Kamour à l’Europe, via les Balkans". Ils ont vieilli aussi. Ils pensent à leur vie personnelle.»
«Anémie sociale»
«Si je veux partir, c’est parce que je veux me marier. Et il faut de l’argent [il est de tradition pour l’homme de payer une dot]. Je me fais 600 dinars [180 euros] par mois comme livreur, ce n’est pas assez», explique Malik, pour qui la migration est une étape de la vie. Le jeune homme a déjà atteint deux fois l’Europe par les Balkans, en 2021 et 2022, avant d’être expulsé. A chacun de ses retours à l’aéroport de Tunis, les policiers l’ont laissé repartir chez lui sans formalité.
Une mansuétude surprenante dans un pays qui aime ficher ses jeunes, mais que Mosbah Chnib, membre du bureau politique du parti d’opposition al-Joumhouri (centre) et tataouinois, explique : «Il est manifeste que les autorités favorisent le départ des jeunes de la région pour éviter une nouvelle contestation d’envergure. Malgré les promesses, Kaïs Saïed n’est jamais venu pour écouter les doléances de notre jeunesse.» Malik partira une troisième fois. La route des Balkans s’est fermée avec l’instauration de visas, mais d’autres voies s’ouvrent, comme celle du Royaume-Uni.
Chedly (1) est l’un des premiers à l’avoir empruntée, avec une facilité déconcertante et moyennant 7 000 euros. Un contact lui a promis un visa de six mois pour l’Angleterre, puis de s’occuper de sa traversée de la Manche par camion. «Après une semaine, on me dit de venir à Tunis, à côté de TLS[une société internationale qui gère les demandes de visas pour de nombreux pays]. Un homme masqué me remet des documents. Je les dépose directement et, un mois après, j’ai mon visa. Un vrai, j’insiste.» Après dix jours à attendre outre-Manche que le camion se remplisse de dix migrants, il est arrivé en France, «sans un contrôle».
La société tunisienne dépérit d’«anémie sociale», selon Mohamed Nejib Boutaleb. L’émigration a appauvri les familles et l’heure du retour sur investissement - l’envoi d’euros - tarde. Notamment à cause des difficultés des émigrés à se faire une place dans une Europe de plus en plus fermée. Une difficulté économique qui s’ajoute à l’inflation (9,6 % en mai) et à la difficulté accrue de recourir au marché informel. Historiquement, les familles de la région avaient l’habitude d’arrondir les fins de mois en ramenant de Libye climatiseurs, écrans plats, bidons d’essence, etc. Mais, depuis l’édification en 2016 d’obstacles (fossés et murs de sable) à la frontière, seuls les 4 × 4 des gros trafiquants peuvent circuler.
Les colons français ont développé la ville pour fixer la population nomade et enfermer civils et militaires récalcitrants dans le célèbre bagne, à l’origine de l’expression «partir à Tataouine» (partir dans un lieu hostile). Les citadins d’aujourd’hui veulent «partir de Tataouine». La population a irrémédiablement mué. Les jeunes qui «font» la ville viennent dorénavant des régions limitrophes (Gafsa, Médenine), des villages reculés, voire de pays subsahariens pour pallier le déficit de main-d’œuvre.
Entouré d’hibiscus en fleurs et dégustant un café avec sa fiancée sous un kiosque, Lotfi (1) savoure cet instant précieux. Originaire du très conservateur village de Remada, 80 km plus au sud, il apprécie les avantages liés à la ville : «Ici, on peut s’installer dans un parc sans que personne ne vérifie ce que tu fais, ni avec qui.» Ce même jardin public est moqué par les locaux qui pointent, eux, les jeux d’enfants cassés, les installations vieillottes et l’ennui. Malgré tout, la ville n’est pas exempte de distractions. La piscine est très utilisée, et pas seulement par l’association militaire. «Récemment une quarantaine de jeunes m’ont demandé de leur apprendre à nager», raconte Farouk Haddad, un des maîtres-nageurs. Ils s’apprêtent à traverser la Méditerranée.

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06/06/2023

Almajliss ANWAR Musique vous propose :

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Les Amis de la Maison du Tunisien à Bordeaux vous convie à une rencontre avec l'un de nos députés à l'Assemblée des Repr...
31/05/2023

Les Amis de la Maison du Tunisien à Bordeaux vous convie à une rencontre avec l'un de nos députés à l'Assemblée des Représentants du Peuple (ARP) M.Omar Barhoumi, aujourd'hui, mercredi 31 mai dès 16h à La Maison du Tunisien à Bordeaux (Anciennement Amicale des Tunisiens).

Rencontre ouverte à tous.

Maison du Tunisien à Bordeaux :

Les Jardins de Gambetta, 74 rue Georges Bonnac, Tour 4, 1er étage, bureau 428.
33000 Bordeaux
(Arrêt du Tram Meriadeck)

Tel : 05.56.96.00.01

17/05/2023
05/04/2023
🇹🇳🇩🇿🇲🇦🇱🇧🇱🇾🇸🇩🇪🇬🇪🇭🇲🇫Après la réussite de l'an  dernier, l'association Almajliss ANWAR Musique organise, cette année encore...
29/03/2023

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Après la réussite de l'an dernier, l'association Almajliss ANWAR Musique organise, cette année encore, un repas de rupture du jeûne pendant le mois sacré de Ramadan, au restaurant :

La Goulette :

Lieu : 83 Cours de la Marne à Bordeaux.

Date : Le samedi 8 avril 2023.

Réservations par SMS SEULEMENT au 07.45.52.10.82 (Leyla)

Précisez votre Nom + nombre de personnes.

Menu complet, exemple dattes, lben, brick, plat principal : soit couscous différentes viandes, ou souris d'agneau cuite à la gargoulette etc...+ dessert.

Prix : 20 euros (tarif négocié)

Ouvert à tous, réservez vite les places sont limitées.

Ramadhan karim lil jami3.
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Après la réussite de l'an dernier l'association Almajliss ANWAR Musique vous convie à un repas de rupture du jeûne penda...
17/03/2023

Après la réussite de l'an dernier l'association Almajliss ANWAR Musique vous convie à un repas de rupture du jeûne pendant le mois sacré de Ramadan, au restaurant La Goulette à Bordeaux :

Le samedi 8 avril 2023.

Réservations par SMS seulement au 07.45.52.10.82 (Leyla)

Nom + nombre de personnes.

Ramadhan karim lil jami3.
🇹🇳🇩🇿🇲🇦🇱🇧🇱🇾🇸🇩🇪🇬🇪🇭

Décollage à 21h30 ce soir, à bord de votre vol vers l'Orient dans l'émission Trait d'Union sur le 90.10 Fm et via le net...
08/02/2023

Décollage à 21h30 ce soir, à bord de votre vol vers l'Orient dans l'émission Trait d'Union sur le 90.10 Fm et via le net :

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27/12/2022
09/12/2022

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