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20/04/2023

🔴TAFSUT TAVARKAT🔴

En ce 20 avril 2023 nous tenons à rendre hommage à tous les âmes innocentes tues par le pouvoir.

20/04/2023

..les armes dont disposaient les chouhada , le capitaine Si Zoubir Rouchai Boualem , chef de la zone 6 wilaya 4 ( capitale ) ex ZAA ( auteur des CONTRES manifestations du 11 decembre 1960 ) ...et son compagnon. le Commando Khlifa Mhamed ( dit Si Khlifa ) ... au moment de leur dernier combat a la rue Lamartine belcourt Belouizdad ... qui dura de 10 heure du matin , jusqu a 16 heure de l après midi du 11 janvier 1961 ( voir quotidien écho d Alger du 13 janvier 1961 ) .... une mitraillette chacun dont plusieurs chargeurs ...de plus Si Zoubir disposait d une gr***de défensive ...un poignard ..un filin d acier étrangleur pour combat rapproché .. et un pistolet automatique , ayant appartenu a un capitaine de l armée française dont (( la compagnie )) fut en grande partie décimée sur la plage du CHENOUA , au cours d une attaque par son commando de l ALN zone 2 région 2 .... seuls en réchappèrent , les paras qui prirent la fuite a la nage .... pour ce qui concerne la gr***de , et comme promis au couple Hacene Khemissa , (( rahimahoum Allah )) qui l hébergeait a kouba durant la manifestation ...il se la réserva pour s auto-éliminer en cas de contrainte sans issue ...pour ne pas être arrêté vivant , et dénoncer ses ami(e)s bienfaiteurs ...il tint parole et la dégoupilla en fin de munitions ... ce qui leur a valut de part de leurs adversaires , la présentation d armes ....OU ETES VOUS JOURNALISTES ET HISTORIENS ??? C EST L HISTOIRE DE VOTRE PAYS AUSSI ....SOYEZ DIGNES DE LEUR BRAVOURE OU SACRIFICE ....

20/04/2023
Contre l'oublie
19/04/2021

Contre l'oublie


Ait Yahia Moussa, l'oubli de l'Algérie ........ connue pour son engagement dans la guerre de Libération nationale, son h...
07/01/2021

Ait Yahia Moussa, l'oubli de l'Algérie ........ connue pour son engagement dans la guerre de Libération nationale, son histoire est grande, la raconter nécessite beaucoup de temps, c'est vrai que la guerre de libération a été déclenchée en 1954 mais ici non, elle a été débuté en 1947 avec Krim Belkacem.
Parmi les grandes batailles dans l'histoire de la révolution Algérienne, la bataille du 06/01/1959 connue sous le nom de Ougarfan qu'elle a eu lieu suite à une réunion de coordination qu'allaient organiser des chefs et commandants de l'ALN mais, captée par les transmissions de l'armée française.
Au matin du 05/01, les moudjahidines qui surveillent les crêtes de la région entendre de gros bruits de partout et à l'aube du 06/01, toute la région était encerclé par l'armée coloniale et les combats commencèrent entre ALN ( environnant 800 soldats pas bien équipées ) et l'armée française ( 32000 soldats bien équipées et 30 appareils d'aviation ).
Vers la fin de l'après-midi, il y eut beaucoup de morts du côté des forces ennemies et les combats se poursuivirent corps à corps dans les champs d'oliviers qui étaient devenus des cimetières à ciel ouvert.
À la fin de la journée, des hélicoptères appuyèrent les soldats qui grouillaient dans tout le maquis plus qu'aux avions qui larguent du na**lm sur les habitations brûlant tout ce qui bougeait.
Depuis ce jour-là, la zone fut placée sous couvre-feu et quadrillée à jamais ou personne ne mit le pied sans présenter un laisser-passer.
Le bilan de l'opération : 391 entre maquisards et moussebbilines civils, la plupart sont mentionnés inconnus sur les registres des actes de décès de la commune, plus les blessés qui dépassent les centaines.et du côté français, dizaines de morts dont Les deux officiers Chassin Graziani capturés vivants et puis exécuter et plus de 1000 blessés.
NB :
Lors de l'inhumation des chouhadas, le colonel Amirouche avait déclaré " certes, nous n'avons pas le choix des armes et lieux du combat, et malgré les lourdes pertes, nous sommes encore une fois sortis victorieux parceque aujourd'hui, l'ennemi n'a pas pu maîtriser la situation malgré les milliers de soldats munis d'armes sophistiquées, d'avions et de pièces d'artilleries''

Vu a Draa El Mizan Ultras samba boys
07/01/2021

Vu a Draa El Mizan

Ultras samba boys

 , symbole de l'amour pour les Amazighs ...  est une lettre Tifnag traduite symboliquement en bijoux portés par les femm...
05/11/2020

, symbole de l'amour pour les Amazighs ...

est une lettre Tifnag traduite symboliquement en bijoux portés par les femmes. La bague est la lettre R avec Tafnagh et la croix en forme, car elle est antérieure au christianisme même, c'est la lettre T en Tafnagh.
La lettre R symbolise la femme et la lettre T symbolise l'homme ... Les lettres Ta derrière donnent le nom de l'amour en Amazigh Tayri et leur fusion à Thenghalt Une expression de la relation amoureuse et le symbole de l'amour pour l'Amazigh à Thaniri ...

Esthétique yuba du symbole amazigh et ses connotations humanitaires.

Les manuscrits. Un trésor en mal de conservation. Si les historiens de l'Afrique du Nord s'accordent sur le fait que l'a...
05/11/2020

Les manuscrits. Un trésor en mal de conservation.

Si les historiens de l'Afrique du Nord s'accordent sur le fait que l'alphabet tifinagh remonte à trois millénaires avant J.-C, il n'en demeure pas moins que celui-ci n'a pas laissé de traces de production littéraire. Les seules traces attestées de cet alphabet amazigh' sont le résultat d'inscription sur la pierre et notamment sur les stèles et les monuments funéraires. Les Touareg qui continuent de nos jours à faire usage de cet alphabet n'ont pas utilisé le papier ou le parchemin pour écrire, mais ils se sont plutôt servis du sable ! Il faut certainement attendre l'arrivée des conquérants musulmans pour voir se diffuser en Afrique du Nord, en même temps que l'islamisation, l'écrit arabe sur manuscrit, c'est-à-dire comme son nom l'indique, sur document écrit à la main.
Ce sont les Chinois, ayant été emprisonnés lors de la bataille de Talas en 751, qui ont appris aux musulmans comment fabriquer du papier. Son introduction dans l'administration fut décidée par le calife Haroun al-Rachid, soucieux de limiter les falsifications, difficiles du reste à obtenir sur le parchemin. La technique de fabrication s'était ensuite élargie au Yémen, en Inde et jusqu'en Espagne en passant par les pays de l'Afrique du Nord . Les papiers de Baghdad et de Samarcande étaient les plus réputés. Le support était, semble-t-il, constitué de toile de lin et les cordes de chanvre. Le parchemin s'obtenait par la pose sur un châssis d'un écran de tiges végétales liées les unes aux autres par une chaînette. Ibn al-Nadîm, libraire à Baghdad, ayant vécu au Xe siècle, pense que les anciens Assyriens auraient utilisé comme support pour leur écriture des pierres, des écorces de palmier et des omoplates de chameau. Les Egyptiens, quant à eux, avaient fait usage pour écrire du papyrus (mot grec qui désigne la tige de la plante cyperus) inventé il y a 5 mille ans et dont on a fabriqué des rouleaux manuscrits. On écrivait sur une seule face à laquelle on appliquait de la colle afin d'empêcher que l'encre n'entache la feuille. On ne dispose pas en Algérie de données précises sur l'étendue des manuscrits. C'est à peine si on commence à s'intéresser à ce domaine. L'inauguration en 1996 de la bibliothèque du Hamma est venue après une période qui a vu la préservation des documents manuscrits ou imprimés marquer dangereusement le pas alors que beaucoup de ces documents datent d'avant et pendant la colonisation. La bibliothèque du Hamma est dotée d'un laboratoire de restauration, d'un atelier de reliure et d'un laboratoire de reprographie. Mais il semblerait que ces acquisitions matérielles n'ont pas entraîné une modification au niveau des comportements puisque les spécialistes continuent de relever que rien n'est fait pour sauver les manuscrits des zaouïas, notamment ceux d'Adrar . Cela étant, la plupart des manuscrits conservés en Algérie ont péri suite à l'arrivée des Français. La première source qui en avait abordé la question fut le Catalogue général des manuscrits de la Bibliothèque nationale d'Algérie (BNA) paru en 1893 dont le directeur de l'époque, Edmond Fagnan, avait estimé qu'aucun effort n'était fait pour sauver de la destruction les manuscrits détenus dans les mosquées et les zaouïas. Quantité de bibliothèques ont été brûlées dont celle de l'émir Abdelkader en 1843, laquelle comportait 5 mille ouvrages reliés. On avait récupéré de sous les cendres la moitié de la magnifique collection mais, malheureusement, celle-ci s'est retrouvée éparpillée entre les bibliothèques de France et d'Europe.
A Tlemcen, ancien centre de rayonnement intellectuel de l'époque médiévale et ottomane, on perdit d'importantes masses de documents de la période turque. Mais aussi des fonds arabes et andalous. Non moins importante, la bibliothèque de la Mohammadia du bey Mohamed El Kabir de Mascara fut décimée par les flammes alors que la bibliothèque de l'école de la Kettania de Constantine fondée par Salah Bey avait subi un sort similaire. Nombre de villes du centre du pays perdirent ainsi les bibliothèques de leurs mosquées et de leurs zaouias à l'image de Blida, Médéa, Miliana et Blida.
En Kabylie, les bibliothèques de Bejaia ainsi que celle de cheikh Aheddad de la zaouia de Seddouk qui regorgeait de manuscrits étaient les premières à en faire les frais. Constantine n'y échappa guère, ses "khizanate" furent pillées. S'y ajoute aussi la perdition de nombreuses bibliothèques privées qui ont été soit brûlées, soit saisies. Il en fut ainsi de la bibliothèque des Bachtarzi et des Ben Lefkoun qui comptait plus de 3.000 volumes selon l'estimation du traducteur d'Ibn Khaldoun, le baron de Slane. Le sud algérien ne fut pas en reste, ses bibliothèques n'ont pu échapper à la furie destructrice des occupants français.
On ne retrouvera ainsi plus les manuscrits de Timimoun, d'Aoulef et d'Adrar. Ni d'ailleurs ceux des Ouled Jellal, de la Tijania de Aïn Madhi, de Temaçin et de Tolga.

Grand Moudjahid et figure du Hirak, Lakhdar Bouregâa est mort !>> ghilasainouche.comPublié dans Lavantgarde-algerie.comL...
05/11/2020

Grand Moudjahid et figure du Hirak, Lakhdar Bouregâa est mort !
>> ghilasainouche.com
Publié dans Lavantgarde-algerie.com

Lakhdar Bouregâa au juge : ‘‘Je refuse de répondre, car je ne reconnais pas votre justice. Je ne reconnais pas également le système qui m’a mis en prison, il est illégitime. Je ne peux pas trahir le Hirak, je lui reste fidèle »
Paix à son âme !

05/11/2020

On leur a dit de libérer les détenus d'opinions, ils libèrent les détenus du pognon !!!

Paix a ton âme  commandant....
04/11/2020

Paix a ton âme commandant....

04/11/2020

Décès du modjahid (lakhedar bouregaa)
Paix a son âme

🔴Urgent🔴Des émeutes en ce moment à Akbou
04/11/2020

🔴Urgent
🔴Des émeutes en ce moment à Akbou

04/11/2020

"Pouvoir assassin" oulahlou

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