Discours vidéo de Sonia Bressler
Le discours vidéo prononcé par Sonia Bressler, écrivaine française et experte de la Chine, lors de l’événement « Dialogue sino-étranger : salon des histoires à Xiamen » qui s’est tenu du 25 au 27 novembre.
Discours vidéo de Eric Solheim
Le discours vidéo prononcé par Eric Solheim, ancien secrétaire général adjoint des Nations unies et directeur exécutif du Programme des Nation unies pour l’environnement, lors de l’événement « Dialogue sino-étranger : salon des histoires à Xiamen » qui s’est tenu du 25 au 27 novembre.
Une promenade dans la belle ville de Xiamen
La ville de #Xiamen, dans l'est de la Chine, est reconnue pour ses efforts en matière de conservation écologique. Ses initiatives lui ont permis de peindre un tableau enchanteur de la coexistence harmonieuse entre l'homme et la nature. L'écotourisme y prospère également, jouant un rôle crucial dans la construction d'un avenir durable et respectueux de l'environnement. Partons maintenant à la découverte de cette ville romantique !
Les cultures du Nord et du Sud de la Chine rivalisent de richesse et de variété. Dans la région autonome de Mongolie intérieure, dans la bannière de Jungar plus précisément, on découvre le Manhandiao, un genre musical fusionnant les cultures mongole et Han. Avec près de cent ans d’histoire, il a été mis en avant lors de la Foire de Paris 2024, attirant l’attention internationale. Pour préserver et promouvoir cet art, un institut de recherche et une troupe de spectacle professionnelle, les Wulan Muqi, ont été créés, offrant des centaines de représentations par an.
Tandis qu’à Songyang, dans la province du Zhejiang, il est possible d’assister à de nombreuses représentations de l’opéra Gaoqiang, un des plus anciens genres d’opéra de la région. Le Gaoqiang, surnommé « fossile vivant de l’opéra », a été activement revitalisé par le gouvernement local, remportant plusieurs prix prestigieux.
Les deux arts se sont rencontrés à Songyang, ce qui symbolise la fusion des arts traditionnels du Nord et du Sud, mêlant la clarté et la puissance des chants du Nord à la finesse et à la précision des performances du Sud.
L’innovation et la transmission pour la revitalisation continue de ces arts traditionnels est d’une importance capitale. La rencontre entre le Manhandiao et le Gaoqiang promet un avenir riche en surprises culturelles et en découvertes artistiques.
La Chine a intensifié ses efforts pour assurer l'approvisionnement adéquat en produits de première nécessité lors des prochaines vacances de la fête du Printemps, a déclaré lundi le ministère chinois du Commerce.
Bienvenue au Musée de la Culture musicale mondiale, le premier en Chine à fusionner les cultures musicales orientales et occidentales. Classé musée national de niveau 2, il est également le premier musée thématique sur la culture musicale de la province du Liaoning à obtenir un statut national. Après son ouverture en 2017, il a accueilli au total plus de 2 millions de visiteurs nationaux et internationaux.
Le musée abrite plus de 12 000 trésors artistiques de la culture musicale orientale et occidentale, ainsi que plus de 300 000 disques de musique classique. Parmi ces collections, plus de 800 pièces sont des artefacts représentatifs de la culture musicale mondiale, offrant une présentation complète de l’évolution de la culture musicale mondiale et des dispositifs de diffusion sonore.
Le musée est divisé en dix sections thématiques, dont la musique ethnique, la musique occidentale, les orgues, les pianos et les boîtes à musique. Parmi les pièces maîtresses, on trouve un piano à queue de John Broadwood, l’instrument préféré de Beethoven.
Le musée intègre également de nombreux éléments mythologiques de la Grèce antique, tels que la déesse de la victoire, les Muses et Dionysos, reflétant l’histoire, la culture, l’environnement et les contextes artistiques de différents pays. Il s’engage activement à promouvoir la culture nationale et à favoriser les échanges culturels internationaux dans le domaine de la musique. À travers cet établissement, son conservateur souhaite offrir aux gens une fenêtre sur le monde, en mettant en pratique l’Initiative pour la civilisation mondiale.
La coopération sino-française a surfé sur la vague de la réforme et de l’ouverture de la Chine dans le nucléaire civil pour marquer toute une époque. La centrale nucléaire de Daya Bay en est l’exemple le plus représentatif.
En 1982, la Chine a approuvé l’utilisation de la technologie nucléaire française pour construire la centrale nucléaire de Daya Bay à Shenzhen pour fournir de l’électricité à Hong Kong. C’est cette année-là qu’Hervé Machenaud a rejoint EDF. Deux ans plus tard, il s’est rendu en Chine en qualité de directeur technique du projet de construction de la centrale nucléaire.
Aujourd’hui, en tant que grand témoin de cette coopération sino-française, M. Machenaud s’est rappelé sa vie dans le « village d’experts », qui a été construit pour loger les ingénieurs et les techniciens étrangers et qui était appelé la « petite ONU ». Il estime que ce partenariat nucléaire de plus de 30 ans entre la Chine et la France est exemplaire. Depuis le début, EDF et la France participent non seulement dans le nucléaire mais aussi dans l’ensemble du développement de l’énergie électrique en Chine.
Selon M. Machenaud, une nouvelle coopération pourrait renaître, parce que la France peut apporter son expérience en termes d’exploitation, et réciproquement, elle a besoin des entreprises chinoises pour moderniser ses méthodes de construction, d’organisation et de conduite de projets.
Témoignages de l'amitié entre la Chine et la République du Congo dans le cadre du Forum sur la coopération sino-africaine
Un designer au pied de la Grande Muraille
Sa Yang est un Américain qui, après avoir passé 20 ans à faire des affaires en Chine, a décidé en 2005 de s’installer dans une maison paysanne au pied de la section Mutianyu de la Grande Muraille. Lors de sa première visite en 1986, il a été immédiatement séduit par la beauté de la montagne et la sympathie des paysans locaux. En 1994, il est revenu avec le rêve d’avoir une maison au pied de la Grande Muraille, rêve qu’il a pu réaliser en louant une maison dans cette région. Il se sent chez lui à Mutianyu depuis 30 ans et est reconnaissant de pouvoir participer à la revitalisation rurale grâce à son travail.
Sa Yang a conçu et rénové de nombreuses maisons. Il évite de démolir les bases existantes, préférant les rénover et les conserver pour les nouvelles constructions. Pour lui, il est essentiel de trouver une manière harmonieuse d’allier l’ancien et le nouveau.
Au pied de la Grande Muraille, Sa Yang a transformé une quarantaine de maisons de campagne. Son chef-d’œuvre est l’hôtel haut de gamme Brickyard, une ancienne fabrique de tuiles vernissées reconvertie. Il a utilisé des morceaux de tuile cassés pour créer des œuvres d’art et a conservé le vieux four de l’usine pour en faire un espace exploitable. L’hôtel comprend quatre bâtiments de logements, chacun avec son propre jardin et offrant une vue sur la Grande Muraille.
Lumière sur l’amitié sino-française à travers les ombres chinoises
Pour célébrer le 60e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques sino-françaises, une pièce d’ombres chinoises, Bussière à Xishan, a été créée. Elle illustre les histoires de ce médecin français aidant les communistes et le peuple chinois pendant la guerre de résistance contre l’agression japonaise. Dans la même veine, un rouleau de cuir de 10 m à son effigie a aussi été créé, dépeignant plusieurs de ces histoires, le montrant à vélo et soignant les habitants.
En 1913, Jean-Augustin Bussière a posé le pied à Beijing, laissant rapidement une empreinte indélébile en tant que médecin de l’ambassade de France et directeur de l’hôpital français à Dongjiao Minxiang.
En 1920, il a co-fondé l’Université franco-chinoise de Beijing avec Cai Yuanpei et Li Shizeng, formant une génération de talents médicaux qui ont révolutionné la médecine chinoise moderne.
Lorsque l’incident du pont Lugou (pont Marco Polo) a éclaté en 1937, M. Bussière s’est révolté contre l’agression généralisée japonaise, utilisant son statut pour fournir des médicaments et des informations vitales aux soldats chinois, au péril de sa vie et malgré son âge avancé. Son jardin a même servi de poste de liaison pour les membres clandestins du Parti communiste chinois.
Admirateur de la culture chinoise et fervent défenseur des échanges culturels sino-français, ses contributions à Beijing sont préservées comme vestiges culturels. Ces histoires symbolisent l’amitié durable entre la Chine et la France, un lien qui devrait perdurer pour toujours.
🌏 Découvrez la Chine avec Alexandre ! 🌏
👋 Aujourd’hui, Alexandre, vivant à Beijing depuis deux ans, vous emmène à la découverte d'un joyau chinois : Suzhou.
🌸 Suzhou : La "Venise de l'Orient" ! Explorez le Jardin de l'Humble Administrateur, le Musée de Suzhou conçu par I.M. Pei, et flânez dans la charmante Rue Ancienne de Pingjiang.
Rejoignez-le pour cette aventure culturelle ! 🇨🇳
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