02/09/2023
Le coup d'État survenu au Gabon le 30 septembre dernier succite des inquiétudes au sein de l'opinion politique Camerounaise. Ce ci se situe dans un contexte régional marqué par une succession sans précédent de coup d'État dans le Sahel. Ainsi, le Gabon (premier) était de l'Afrique centrale à connaître ce phénomène durant les dernières décennies devient un signal d'inquiétude permanent. Comme vous le savez,le Gabon fait partie de la CEMAC et de la CEEAC, ce qui nous fait incliné notre regard vers une lorgnette plus grande. En effet, ce 31 septembre alors que la junte cherche encore à consolider son pouvoir, Yaoundé c'est précipité à publier un communiqué par le biais de son ministre de la communication René Emmanuel Sadji pour condamné la prise de pouvoir par la force et exhorté les putchistes à retourner à l'ordre constitutionnel et à veiller à l'intégrité du président Ali Bongo Ondimba. Le fait marquant dans la dynamique de la politique étrangère de notre pays est que ; jamais nous n'avions vu le gouvernement Camerounais s'immiscé dans les affaires internes d'autres États sachant notamment que la non ingérence fait partie des principes cardinaux constant de notre politique étrangère. Celà devient donc l'élément déclencheur de la mouvance cognitive de la vie politique de nôtre pays ; plusieurs interrogations été suggéré ; "Est-ce une sortie du gouvernement Camerounais afin d'affirmer sa posture de puissance de référence dans la sous région Afrique Centrale ? Est ce une inquiétude d'instabilité géopolitique au regard des différentes zones frontalières que nous partageons avec cet Etat ? Est-ce une haute préoccupation de notre gouvernement Sachant que Géostratégiquement le Cameroun avec la Théorie des Domino peut basculer d'un moment à un autre d'un régime Démocratique à un régime Totalitaire ? Toutes ces hypothèses sont à prendre avec la plus grande attention. Ceci dit, la remarque faite est que les États qui ont subi des putsch sont ceux dont la masse intellectuels.