C D R fôréver, 2235, Korhogo (2024)

01/04/2024

30/01/2024

Un grand merci à mes nouveaux followers ! Sacko Vieux, Aboubacar Sidibe, Mauv Ais, Modibo Coulibaly, Seydou Yebedie, Jean Samaké, Ëmpërëür Nëÿmär, Diakaridia Traore, Cheick Mali

28/01/2024

22

11/07/2023

Mettez le cœur s'il vous plaît ♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️

03/06/2023

Jour J -10
Allah ka tien dèmé

24/10/2022

Salam

21/09/2022

Long vie ❤️❤️❤️

21/09/2022

Retrouvez, le guide Ras Bath dans l'émission "Grands Dossiers" ce mercredi 21 septembre 2022 sur Renouveau FM, 98.1..à partir de 21h00.

Thème :
-Risque de famine: Coton et céréales menacés, manque d’engrais.
- Gendarmes accusés d’extorsion de fond.
-Grille unifiée :Grogne sociale en perspective

I-Risque de désastre céréalier et cotonnier.

Depuis septembre 2021, les responsables des faîtière coton ont adressé des correspondances aux autorités en charge des secteurs de l’agriculture pour travailler au respect du chronogramme de commande et de livraison des engrais aux paysans.
En lieu et place des travaux de préparation du dossier des engrais, les autorités ont trouvé comme priorité , d'engager des procédures judiciaires en vue d’installer un administrateur judiciaire devant conduire, entre autres missions, le dossier des intrants agricoles..
A deux mois de l’hivernage, des cris des paysans et des hommes politiques ont alerté sur les conséquences du re**rd dans la livraison des engrais. Nous sommes à la fin de l’hivernage, les solutions du gouvernement ( promesses, discours, procédure d attribution d’intrant adoptée..) sont en passent de plomber les récoltes..
Gouvernement et fournisseurs se rejettent la responsabilité. Les législateurs et les contrôleurs du gouvernement, ( CNT) dont Diadié Ba, ont effectué une tournée dans les zones agricoles fin août..
- Comment est on arrivé là ?
Qui sont les responsables ?
-Que reste il à sauver ?

II- Gendramerie Accusée: Extorsion de fond :

Dans le cercle de Kangaba, le village de Samaya abrite un site minier de type artisanal depuis plusieurs années. Ce site est exploité par des populations de plusieurs localités maliennes y compris du Bourkina Fasso. D’après les exploitants et notabilités locales, à la faveur d’un projet initié par une ONG, les populations se sont vues interdir l’exploitation du site. Selon eux, le respect de cette mesures a été confié aux gendarmes installés dans le ressort.
Visiblement, malgré cette interdiction, les populations continuent d’y travailler sur le site donnant lieu à des accusations de leur part contre les agents de la gendarmerie, du corps médical et de la justice d’extorsion de l’argent, de violence, d’insécurité, d’arrestation arbitraire, etc.
Ils dénoncent, interpellent dans une interview vidéo accordée au média de Maliactu.
-Analyse, interrogations et formulation des recommandations suite aux propos des intervenants

III- Grille unifiée: Grogne sociale
Suite à l’adoption par le gouvernement dit de rectification. Beaucoup de corps social dont la police , le sapeur pompier, les surveillants de prison ont estimé avoir été lésé dans l’application de la nouvelle mesure et, ont sollicité une rectification. Entre temps est intervenu l’embargo de la CEDEAO et de l’UEMOA contre le pays. Par solidarité, les syndicats de ces corps ont sursis à leur revendication.
Maintenant que l’embargo est levé, que les négociations tardent à s’ouvrir ou, à bouger. Ils ont chacun remis leur demande sur la table et menacent des actions de droit..