AVOCE Info

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03/04/2024

Si on t'offre une boîte contenant tout ce que tu as perdu depuis ta naissance, quelle serait la première chose que tu chercherais?

03/04/2024

LA RÉPRESSION DES INFRACTIONS AU CODE DE LA ROUTE AU BÉNIN : la police annonce vouloir passer à la « vitesse supérieure ».

Au Bénin, la répression des infractions au code de la route au Bénin lancée le 1er mars dernier va connaître un nouveau développement dans les prochains jours.

La répression contre les infractions au Code de la route au Bénin pourrait s’intensifier dans les prochains jours. Les responsables de la Police Républicaine feront ce mercredi, un bilan de l’opération de l’opération démarrée le 1er mars dernier. Selon les informations de Bip Radio, une réunion est prévue aujourd’hui entre la hiérarchie policière et le Centre national de sécurité routière (CNSR).

En effet, après plusieurs semaines de mise en œuvre de cette opération, la police républicaine annonce son intention de passer à la « vitesse supérieure », selon les dires du porte-parole de la police républicaine, Eric Yérima. Depuis le début de l’opération le 1er mars, les forces de l’ordre ont été mobilisées pour sanctionner les conducteurs en infraction, couvrant une série de manquements tels que le défaut d’éclairage, l’usure des pneus, le défaut d’assurance et l’utilisation du téléphone au volant.

Les infractions liées aux documents obligatoires tels que le permis de conduire, la visite technique, la TVM (Taxe sur les véhicules à moteur) et les plaques d’immatriculation sont également sanctionnées. Pour les conducteurs de motos, le non-port du casque par le conducteur et son passager est passible de sanctions, tout comme le non-respect des couloirs de circulation, à savoir la chaussée pour les véhicules et la piste cyclable pour les motos.

AFRICAHO

03/04/2024

Maisons locatives pour la poursuite des études universitaires : Les étudiants dans le piège de la vétusté des appartements

03/04/2024

Déplacements à Cotonou et environs : Les sollicitations pour l'auto-stop en hausse.

Dynamisme Info

03/04/2024

Destruction de ghettos au marché Guèma de Parakou : Plusieurs personnes interpellées, des objets saisis.

Le Matinal

03/04/2024

Exposition Art contemporain en Martinique : Le Bénin attire 80 000 visiteurs en moins de 4 mois.

Bénin Intelligent

03/04/2024

SUCCESSION DE TALON : Guerre froide ambiante au sommet de l'Etat.

Des prétendants au dauphinat se regardent en chiens de faïence

Inévitable corps à corps au cœur du pouvoir.

Nasiara

03/04/2024

LUTTE CONTRE LE TERRORISME : Le Bénin prêt à coopérer avec la Russie.

Aigle Média

03/04/2024

Vente à la sauvette des carottes importées à Parakou : Un business qui défie toutes règles de concurrence et d'hygiène.

Daabaaru

03/04/2024

Quelles sont les conséquences du re**rd de paiement de salaire ?

03/04/2024

AMÉNAGEMENT URBAIN : L'asphaltage démarre dans la commune d'Aplahoué.

24h Au Bénin

03/04/2024

DJOUGOU : effondrement d'un mur sur des écoliers à Djougou, plusieurs blessés graves

L’école primaire publique de Demsirou, dans la commune de Djougou, a été touchée par un drame juste avant les congés de Pâques. Un mur s’est effondré sur des écoliers, faisant plusieurs blessés.

Une tornade survenue dans la localité de Demsirou a provoqué l’effondrement du mur de séparation des classes de CE2 et CM1, le jeudi 14 mars 2024. Le mur est tombé sur les apprenants du CM1. Les populations se sont dépêchées sur les lieux pour extraire les écoliers des décombres. Selon les explications du chef du village, Djibril Bio, au micro de Canal 3 Bénin, six blessés, dont un cas grave, ont été enregistrés.

L’apprenant grièvement blessé a été transporté au CHD de Djougou, où il a subi une opération pour une hémorragie interne. L’école primaire publique de Demsirou, créée en 1982, n’a qu’une salle de classe confortable, à en croire les propos de Taïrou Zoumarou, président de l’association des parents d’élèves. Il lance un appel aux autorités pour doter cette école de modules de classe

L'investigateur

SPORTS ET SEXUALITÉ : Agacée par les avances de ses coéquipières, la footballeuse DANDJESSO Jobie Joyce exprime son méco...
03/04/2024

SPORTS ET SEXUALITÉ : Agacée par les avances de ses coéquipières, la footballeuse DANDJESSO Jobie Joyce exprime son mécontentement envers les LGBT

"Je ne connais pas vos raisons personnelles qui vous poussent à devenir lesbienne 😪.
Jusqu'à vous êtes des garçonnet et des femmes dedans 😪.
Ceci est apparu dans mon pays grâce aux blancs qui forment les filles Beninoises sur de n'importe quoi.
Premièrement je l'ai remarqué quand j'ai commencé par jouer au football.
Si tu n'es pas lesbienne, tu n'es pas la star selon elles.
C'est la remarque que j'ai faite.
Jusqu'à certaines m'ont donné de distance.
D'ailleurs je n'ai pas beaucoup d'amies footballeuses Beninoise puisqu'en approfondissant l'amitié, les propos de Lesbianisme sortent.
Raison pour laquelle elles ne font pas avec moi.
Sur ce point, je me préfère bien.
Restez dans vos coins🙌.
Mais ce qui m'a poussé à faire cette pub c'est quoi hors mis les footballeuses , il y a des filles qui sont dans le système LGBT.
Vous avez oublié que ce sont deux personnes de sexe différent qui vous ont mis au monde!
Certaines ont fait d'enfant avant de commencer sûrement c'est les problèmes de foyers.
Mais la pire remarque, c'est des filles qui n'ont pas encore d'enfant.
Je me pose de milles questions sur ce phénomène.
C'est dans quel verset de la bible, dans quelle partie du coran, dans quelle partie des règles dans le vodoun, il a été dit qu'une femme doit se marier à une femme ?
Pardonnez moi si je parle trop.
Mais laissez moi vous dire que c'est une pathologie.
Et à vous aussi les hommes, diminuez un peu vos Goumin, les déceptions que vous donnez aux filles.
Quelques soit la situation, pardonnez les filles, gérez la situation entre vous pour permettre aux filles de continuer par se mettre en couple avec une personne de sexe différent

TalentSports

03/04/2024

FOOTBALL : Marc Brys remplace Rigobert Song à la tête des Lions Indomptables

crystal-news

03/04/2024

DÉCOUVERTE MACABRE À BANIKOARA : un jeune homme retrouvé mort, tué dans sa cour

Un crime effroyable à Atabénou, village de l'arrondissement de Toura dans la commune de Banokoara, au nord-est du Bénin. Un jeune homme a été retrouvé, au petit matin du lundi 1er avril 2024, mort dans la cour de sa maison, la tête écrasée à l'aide d'un moellon.

Au micro de Radio Sêdohoun d’Agbotagon, le chef d'arrondissement (CA) de Toura, Séro Guera a raconté les circonstances de la découverte du corps et ce qui s'est passé. Il dit avoir été informé de la découverte par un conseiller local.

Il a alors appelé le commissaire de Toura et ensemble, ils se sont rendus sur les lieux du drame. " Vraiment, c'était déplorable. Nous avons constaté qu'un individu à l'âge de 35 ans qui a perdu la vie", confie-t-il. Il explique que la victime était dans sa chambre et "sous l'effet de la chaleur, il est sorti et a étalé sa natte dans la cour de la maison non clôturée".

"Un individu, raconte le CA, "est venu dans la nuit, il a transporté un moellon et c'est à base de ça, il a écrasé la tête". Il relève que la victime est morte surplace sans réaction. Puisque personne n'a entendu de bruit dans l'entourage.

L'autorité communale précise que la victime vivait dans la maison seule avec sa maman déjà vieille. Pour l'instant, personne ne connaît les motivations de ce crime. Selon le CA, personne n'a été identifié comme présumé coupable pour le moment. Séro Guera a informé que le procureur de Tribunal de Kandi a été informé du drame. Après discussion, le procureur a donné l'autorisation au commissaire à remettre le corps aux parents pour inhumation.

Il a saisi l'occasion pour demander aux populations de sa localité de rester dans les chambres la nuit quel que soit le degré de chaleur. Il conseille aussi aux populations de rester toujours vigilantes.

banouto

03/04/2024

🚨🚨 SÉNÉGAL : le président Diomaye Faye nomme Ousmane Sonko premier ministre

Le Grand Mono

RÉPRESSION POLICIÈRE : un féticheur de 55 ans interpellé pour cette raisonParmi les victimes de la répression policière ...
03/04/2024

RÉPRESSION POLICIÈRE : un féticheur de 55 ans interpellé pour cette raison

Parmi les victimes de la répression policière au Bénin, il y a un féticheur de 55 ans, interpellé par des éléments de la police républicaine, dans la commune de Djidja, département du Zou.

Le féticheur est arrêté pour diffusion de fausses informations liées à la répression policière. En effet, selon les informations de bip radio, il a fait diffuser sur les réseaux sociaux, un audio mettant en cause, le non professionnalisme de la police républicaine. Car à l’entendre, un motocycliste et sa maman poursuivis par des éléments de la police républicaine pour non-port de casque, serait mort après une chute. Dans son audio, il a précisé que la drame est survenu dans la commune de Djidja dimanche dernier dans la localité de Mougnon. Il a soutenu que le motocycliste aurait chuté lors de la course-poursuite avec la police. Ce qui est archi faux. Car, le motocycliste de 26 ans est bel et vivant. Le conducteur de camion (le motocycliste) toujours en vie, a confié : " On m’a serré et je suis tombé. Je ne sais pas s’il s’agit de la police . Mais après les soins à l’hôpital tout le monde va bien . Moi et ma maman",.
Par contre, il faut rappeler que le féticheur qui a fait diffuser la fausse rumeur est interpellé et gardé au commissariat de mougnon.

L'investigateur

03/04/2024

DISTRIBUTION GRATUITE DE CASQUES : Le parti BR fait des heureux à Bohicon

lebeninoislibere

03/04/2024

PARAKOU : un drame familial secoue la ville

Le quartier Thian Gourou dans le 1er arrondissement de Parakou a été le théâtre d’un événement malheureux ce mardi 02 avril. Un jeune homme a perdu la vie dans une vindicte populaire après avoir tué son géniteur.

Le jeune homme qui aurait des problèmes psychologiques en raison de la consommation de stupéfiants, a renvoyé son père et sa sœur du domicile, suite à une accusation de viol sur sa sœur. Ce mardi matin, le papa est retourné dans la maison dans l’intention de discuter avec son fils. Mais dès son arrivée, le jeune homme a pris un bâton pour l’assommer à mort.

Après avoir commis le meurtre, il s’est ligoté et demande à se rendre à la police. Mais la population n’a pas voulu le laisser en vie. Il a été aussi battu à mort avant l’arrivée des policiers. Cette tragédie rappelle la fragilité des liens familiaux dans certaines situations.

L'investigateur

03/04/2024

NIGÉRIA : un Chinois condamné à mort par pendaison pour le meurtre de sa petite amie

Libre-express

BÉNIN : La lutte contre l'incivisme et le grand banditisme s'intensifie avec l'installation du système de vidéoprotectio...
03/04/2024

BÉNIN : La lutte contre l'incivisme et le grand banditisme s'intensifie avec l'installation du système de vidéoprotection dans nos villes

Le gouvernement béninois n'a point démérité sur toute la ligne. Alors, dans un effort pour contrer l'incivisme et le grand banditisme qui ont ciblé les administrations, les entreprises et les institutions détenant des recettes exposées, le Conseil des ministres du 8 février 2017 a lancé le projet de décret sur les conditions de mise en place et d'utilisation des systèmes de vidéosurveillance en République du Bénin.

Cette initiative a été renforcée par les mesures normatives du Conseil des ministres du 16 février 2022, qui ont autorisé la collecte et le traitement de données par des systèmes de vidéoprotection. En effet, ces dispositions s'appliquent aux dispositifs technologiques de capture, de stockage et de traitement d'images installés dans les lieux publics, au niveau des infrastructures publiques, et des édifices gérés par l'État, les collectivités locales, les établissements publics ou les entités privées gérant des services publics.

En conclusion, l'installation prochaine de ce système de vidéoprotection est une étape importante dans la lutte contre l'incivisme et le grand banditisme, offrant un outil efficace pour renforcer la sécurité et la surveillance des espaces publics et privés.

À suivre...!

MediapartBénin

03/04/2024

✈️🇸🇳 Macky Sall quitte le Sénégal juste après l’investiture du président Bassirou Diomaye Faye

africaho

03/04/2024

GHANA : Un soldat de l'armée britannique derrière les barreaux pour possession de contenu choquant

Selon les informations, Godfred SARPONG, un militaire ghanéen au sein de l’armée britannique, a été condamné à trois ans de prison pour possession de pornographie juvénile. Une affaire choquante qui a suscité l'indignation et la consternation.

Selon les rapports, SARPONG détenait des contenus troublants dans son téléphone, comprenant des images pornographiques montrant des actes sexuels avec des animaux tels que des grenouilles, des serpents et des chiens, ainsi que des vidéos d’enfants victimes d'agressions. Il a même partagé certaines de ces images explicites avec d'autres personnes, envoyant des vidéos à 36 individus via WhatsApp.

Après son arrestation, Godfred SARPONG a reconnu les faits qui lui étaient reprochés. Il a été condamné à trois ans de prison pour ces actes répréhensibles et s'est vu interdire tout contact non surveillé avec des enfants. De plus, son utilisation d'Internet a été restreinte pour empêcher toute récidive.

La presse britannique a révélé que SARPONG était un vétéran de la guerre en Afghanistan, où il avait servi dans l'armée britannique. Son passé militaire a été marqué par des épreuves, ayant été blessé lors de combats contre les talibans et même poignardé par l'un de ses camarades soldats.

Ces évènements l'ont conduit à souffrir de troubles de stress post-traumatique (SSPT), mettant en lumière les conséquences dévastatrices de la guerre sur la santé mentale des soldats.

MediapartBénin

03/04/2024

🔴Évitez de réclamer les monnaies de 5F, 10F, 25F et de 50f, c’est très rabaissant pour vous. 😔😔😔

03/04/2024

L'école aurait dû nous enseigner Le "futur compliqué" au lieu du "Futur simple". Il y a plus de futur compliqué que simple 😒

01/04/2024

Sincèrement, tu gagnes quoi dans ton appartenance à la mouvance ou à l'opposition ? 🤷🤷🤷

VISITE À MADOUGOU : Réaction de Azannaï à la démarche des députés de l'oppositionLe mercredi 27 mars 2024, une visite à ...
01/04/2024

VISITE À MADOUGOU : Réaction de Azannaï à la démarche des députés de l'opposition

Le mercredi 27 mars 2024, une visite à Reckya Madougou à la prison civile d’Akpro Missérété a été refusée à une délégation de députés du parti Les Démocrates. Cette décision a suscité plusieurs réactions passionnées. Candide Azannaï a critiqué cette démarche des élus de l’opposition et remet en question la sincérité du soutien offert à l’ancienne Garde des Sceaux.

Le président du parti Restaurer l’Espoir relève un aspect superficiel dans la visite des députés Les Démocrates à Reckya Madougou en prison. "Qu’est-ce qu’ils sont allés faire ? C’est inutile. C’est les grimaces qu’on refuse. Ça ne rime à rien. Et ça n’aboutira à rien. C’est de la diversion", a-t-il déclaré. Selon lui, la présence de caméras lors de la visite ne fait que renforcer cette perception et transforme l’événement en un spectacle politique plutôt qu’en une réelle démonstration de solidarité.

"En quoi allé là-bas avec caméra est un soutien ? C’est du folklore, c’est de l’émotif. Ce n’est pas productif". Candide Azannaï ne croit pas au combat que mène le parti de Boni Yayi en faveur de la candidate recalée à la présidentielle de 2021. "Le jour où ils vont se battre, pour dire que la condamnation au motif de terrorisme de Reckya n’est pas juste, c’est le jour-là je vais les croire. Ils ne sont pas allés voir un prisonnier politique. Ils sont allés voir un homme politique en prison. C’est ce qui m’oppose à ces gens", a-t-il dit.

L’ancien député a souligné qu’en discutant avec Patrice Talon, Les Démocrates n’ont jamais réussi à faire accepter, à imposer au président que Reckya Madougou est une prisonnière politique. Selon lui, leur visite à la prison civile d’Akpro Missérété n’offre aucune solution concrète à l’ancienne ministre de la justice. "Ils ne font aucun soutien. Ils aggravent même le sort de ces personnes", a-t-il indiqué.

L'investigateur

01/04/2024

ABOMEY-CALAVI : Un Étudiant Mange Du Riz Pour 250F Et Crie Poisson d'avril

Un étudiant béninois a tenté une farce qui a mal tourné, provoquant une réaction inattendue de la part d’une vendeuse. En effet, l’étudiant a tenté de payer un plat de riz avec seulement 250F en proclamant “poisson d’avril”. Cependant, la vendeuse n’a pas apprécié la plaisanterie et lui a donné une gifle bien sentie.

L’incident s’est déroulé ce lundi 1er avril 2024 à Zogbadjè, un quartier proche du campus d’Abomey Calavi. La scène a rapidement attiré l’attention des passants, créant ainsi un petit tumulte dans la région.

Bien que l’étudiant ait probablement espéré une réaction amusée, la vendeuse a pris sa blague très au sérieux, démontrant ainsi l’importance des traditions et de la culture locale. Cet événement rappelle également que les plaisanteries, surtout celles liées à la nourriture et à l’argent, peuvent parfois être mal interprétées et déclencher des réactions inattendues.

Cet épisode insolite soulève la question de la frontière parfois floue entre l’humour et le manque de respect, et nous rappelle que la prudence est de mise, même lorsqu’il s’agit de célébrer le traditionnel “poisson d’avril”.

Quid du poisson d’avril ?
Un poisson d’avril est une plaisanterie ou une farce que l’on fait le 1er avril à ses connaissances, à ses amis et sa famille. Il est aussi de coutume de faire des canulars dans les médias, aussi bien presse écrite, radio, télévision que sur Internet (canular informatique).

Une autre plaisanterie du 1er avril est d’accrocher un poisson (souvent en papier) dans le dos d’une personne dont on veut se moquer sans qu’elle ne s’en rende compte. « Poisson d’avril ! » est une exclamation qui se dit une fois qu’une des plaisanteries est découverte.

triomphemag

BÉNIN : Noël Chadaré se prépare à quitter le syndicalisme pour une autre batailleLe secrétaire général de la Confédérati...
01/04/2024

BÉNIN : Noël Chadaré se prépare à quitter le syndicalisme pour une autre bataille

Le secrétaire général de la Confédération des organisations syndicales indépendantes du Bénin (COSI-Bénin), Noël Chadaré a déclaré, samedi 30 mars 2024, préparer son départ prochain du monde syndical.

‘’J’ai fini tout paisiblement mon mandat à la tête de la COSI-Bénin. On n’est pas loin. N’est-ce pas, me reposer. Le rôle du syndicalisme, il fatigue. J’étais à 46 ans, secrétaire général, aujourd’hui, je suis à 58 ans et ça fait déjà 12 années de souffrance. L’avenir pour moi, c’est conduire à bon port la COSI, faire de telle manière qu’il ait une succession de qualité après les élections et ouvrir d’autres pages’’, a déclaré le SG de la COSI-Bénin sur l'émission ''Sans détour'' de radio Sêdohoun.

Le Professeur certifié des lettres estime qu’il faut ‘’pouvoir quitter les choses avant que les choses ne vous quittent’’. Il assure qu’’’il y aura d’autres pages à ouvrir’’. Ainsi, il ne disparaîtra pas de sitôt des écrans.

‘’Je suis encore jeune et donc je suis dans le combat tous les jours. Je ne peux pas me mettre dans une retraite anticipée encore que je suis dans la fonction publique. Je ne suis pas encore à la retraite’’, a expliqué Noël Chadaré.

À la question de savoir sa prochaine destination, le syndicaliste fait savoir que ‘’toutes les cartes sont sur la table’’. ‘’On peut se retrouver dans la société civile. On peut se retrouver dans la politique. Mais on verra bien. Je suis en train de réfléchir pour voir quel est le nouveau chantier qu’il faut prendre. J’envisage les différentes possibilités’’, a-t-il confié.

À ses soutiens, Noël Chadaré informe qu’il y a une certitude au sujet de son avenir : ‘’Je ne peux pas avoir autant d’expérience syndicale et ne pas capitaliser. Il va falloir capitaliser tout ce capital d’estime, de confiance, d’expérience’’. Tout va se savoir, conclut-il, ‘’quand je quitterai le mouvement syndical’’.


Banouto

01/04/2024

COMÉ : 2 morts enregistrés dans un grave accident de circulation

Un accident de la circulation a fait deux morts à Comé. Le drame s'est produit le dimanche de Pâques aux environs de 23 h sur l'axe menant du centre-ville au CEG 1 et précisément à moins de 100 mètres dudit collège.

C'est un motocycliste transportant 02 passagères qui a été violemment percuté de derrière par un véhicule roulant dans le même sens. Sous l'effet du choc, le motocycliste a été projeté par dessus le terre-plein central et s'est retrouvé sur la seconde aile du tronçon, juste devant un autre véhicule roulant en direction du centre-ville. L'effet de surprise n'a pas permis au conducteur de l'éviter.

Il fut traîné sur une bonne distance avant d'être découvert sans vie, littéralement coincé sous le véhicule. L'une des passagères grièvement blessée à la tête a connu le même sort. La 3e plus chanceuse a été prise en charge par les services de secours alertés par les riverains.

La veille déjà c'est une équipe de motards en partance pour Lomé qui a été endeuillée par le décès d'un membre mortellement fauché par un camion.

Le grand mono

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