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18/01/2025

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08/01/2025

Zinlin d'Adja, un rythme qui caractérise la force de cette communauté. Un extrait avec Dègbo Tonon

*CORRIGÉ TYPE DE LA DEUXIÈME PARTIE DE L'ÉPREUVE*Mini-dissertation (10 points)Dans son discours à la Nation du 20 décemb...
07/01/2025

*CORRIGÉ TYPE DE LA DEUXIÈME PARTIE DE L'ÉPREUVE*

Mini-dissertation (10 points)

Dans son discours à la Nation du 20 décembre 2024, le Chef de l’État affirme : « S’il est vrai qu’on ne mange pas la route, il est pourtant vrai que la route fait manger. » Cette citation met en lumière le rôle stratégique des infrastructures dans le développement économique et social d’un pays.

*Introduction*

La déclaration du Chef de l’État souligne l’importance des infrastructures, notamment routières, comme catalyseurs du développement, bien qu’elles ne constituent pas directement une source de satisfaction des besoins vitaux. Cette réflexion s’inscrit dans le cadre des théories de la croissance équilibrée et des stratégies de développement.

*Développement*

1. La théorie de la croissance équilibrée
Selon cette théorie, le développement économique repose sur des investissements coordonnés dans plusieurs secteurs, incluant les infrastructures. Les routes, par exemple, facilitent l’accès aux marchés, réduisent les coûts de transaction et encouragent la diversification économique.

Effets directs : Les routes permettent le transport des biens agricoles, industriels et des services vers des zones où ils sont demandés, générant ainsi des revenus pour les producteurs.

Effets indirects : Elles stimulent l’emploi à travers les travaux publics et favorisent l’installation d’entreprises dans les zones enclavées.

2. Les infrastructures comme levier de développement
Une route ne se mange pas directement, mais elle est un outil indispensable pour :

Améliorer l’accès aux services sociaux de base (écoles, centres de santé).

Renforcer les chaînes de valeur agricole et industrielle en connectant les zones rurales aux marchés urbains.

Favoriser l’intégration régionale et le commerce international.

3. Implications stratégiques

Priorisation des investissements : Les gouvernements doivent intégrer les infrastructures routières dans leurs plans de développement pour réduire les inégalités et stimuler la croissance.

Approche participative : L’implication des populations locales dans la construction et l’entretien des routes garantit une appropriation et une utilisation durables.

*Conclusion*

En définitive, bien que les routes ne se mangent pas au sens propre, elles représentent un levier essentiel pour améliorer les conditions de vie et promouvoir une croissance inclusive. Cette citation illustre donc la nécessité d’investir dans les infrastructures comme moteur du développement durable.

Proposé par :
*Mr Edmond GANDJI,* statisticien économiste

02/01/2025

Pourquoi certains de nos aînés tels que GBADE Clément (Macro musica), Belmonde Z et Dalamos n'ont pas chanté sur Adjapiano (Gogohoun moderne)

02/01/2025

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02/01/2025

Chronique : Quand le silence nourrit le chaos

Le Bénin d’aujourd’hui semble s’être éloigné de l’idéal républicain qui jadis faisait sa fierté. Non pas tant à cause de ceux qui s’enivrent de leurs méfaits, mais bien davantage à cause de ceux qui, dans une inaction complice, regardent et laissent faire. Comme une huile perfide sur un feu qui crépite, ce silence endort les consciences et alimente les dérives.

La méchanceté élevée au rang de vertu sociale

Ce n’est pas un hasard si la méchanceté s’est érigée en choix d’or, en étendard que brandissent ceux qui, dans leur cupidité, sacrifient la tranquillité sociale sur l’autel du népotisme, du despotisme, de la gabegie et de la xénophobie. Ces maux, devenus des piliers structurels, gangrènent la société et précipitent une inflation effrénée des biens de première nécessité.

Prenons pour illustration l’inexplicable augmentation des prix du pain et de l’huile, symboles de subsistance pour des millions de familles. À chaque hausse, c’est une famille supplémentaire qui sombre dans l’indigence. Et pourtant, nul sursaut d’indignation ne vient troubler le ballet tranquille des puissants qui détournent leur regard, préférant s’adonner à des festins d’arrogance.

La société, jadis fondée sur la solidarité et l’équité, courbe aujourd’hui l’échine devant les nouveaux maîtres du cynisme. Là où autrefois l'on tendait la main à son voisin, on voit désormais les visages se détourner, les cœurs se fermer, comme si l’effondrement de l’autre était devenu le spectacle du jour.

L’exclusion organisée : une arme politique

Dans cette valse macabre, la gouvernance actuelle s’est habilement armée de l’exclusion. Ceux qui portent des voix contraires, qui osent défier l’opinion dominante, sont relégués aux marges, broyés par un système qui glorifie l’allégeance aveugle et punit la contradiction éclairée.

La convergence vers l’exclusion de 95 % de la population n’émeut plus les décideurs. Au contraire, elle semble être la condition sine qua non de leur emprise sur le pouvoir. Les avis dissidents, au lieu d’être perçus comme une richesse démocratique, sont perçus comme des menaces à éradiquer. Et dans ce désert de pluralité, la pensée unique règne, tranchante et implacable.

Un exemple éloquent réside dans la gestion des ressources naturelles. Alors que des voix s’élèvent pour dénoncer la privatisation sauvage des terres agricoles au profit de multinationales, les décideurs, sourds à toute critique, persistent dans une logique d’accaparement. Les paysans, dépossédés, deviennent des étrangers sur leurs propres sols, tandis que les profits s’envolent vers des horizons lointains.

Le rôle du silence dans l’effondrement collectif

Mais ce drame n’est pas uniquement l’œuvre des puissants. Il est aussi le fruit amer d’un silence collectif, d’un mutisme qui devient un allié précieux pour les oppresseurs. Ce silence, qu’il soit dicté par la peur ou par une indifférence croissante, est le terreau fertile où prospèrent les injustices.

L’indignation, autrefois vivante et vibrante, s’est transformée en murmure à peine audible. Les citoyens, fatigués ou résignés, regardent le navire couler sans même tenter de réparer les voiles. Et pourtant, comme le disait Martin Luther King, "ce qui effraie ce n’est pas tant la violence des méchants que le silence des bons."

L’espoir d’une rédemption collective

Tout n’est cependant pas perdu. L’histoire nous enseigne que les nations qui frôlent l’abîme peuvent, dans un ultime sursaut, retrouver leur dignité et leur équilibre. Mais ce réveil ne viendra pas d’un miracle. Il devra être arraché de haute lutte, porté par des citoyens déterminés à refuser l’inacceptable.

Le Bénin doit redevenir ce phare de valeurs où la méchanceté n’est plus célébrée, où le népotisme et la gabegie ne sont plus des règles, mais des exceptions sanctionnées avec fermeté. Cela passe par une éducation refondée sur l’éveil des consciences, par une justice qui ne tremble pas devant les puissants, et par un engagement citoyen qui refuse de se complaire dans l’ombre.

Car au final, une nation ne se sauve pas dans le silence. Elle se sauve dans le tumulte de ceux qui osent rêver, parler, et agir pour un avenir meilleur. Que ce cri soit entendu, et que le Bénin, dans un sursaut de lucidité, retrouve le chemin de la grandeur.

02/01/2025

Chronique : Les paradoxes d’une nation en perdition

Il est des nations où l’histoire semble se répéter dans un ballet tragique, où l’ignominie se pare de soieries et où l’éthique, comme un paria, gît sous le joug des bassesses humaines. Le Bénin, jadis terre de la concorde et de la générosité, s’englue aujourd’hui dans les sables mouvants de ses propres contradictions.

Dans ce tableau sombre, les véritables fossoyeurs de la société ne sont pas ceux qui plongent les mains dans la vase de la malhonnêteté, mais plutôt ceux qui, par indifférence ou par lâcheté, ferment les yeux et offrent ainsi leur aval silencieux. Ce silence complice est devenu l’arme des oppresseurs, un tumulte muet qui amplifie les échos des injustices sociales.

L’apologie de la méchanceté comme doctrine nationale

La méchanceté, ce venin distillé dans les cœurs, a désormais trouvé en ce pays un terreau fertile. Elle s’érige en modèle, en choix d’or, reléguant les valeurs de solidarité et d’intégrité au rang de reliques d’un autre temps. Les tentacules du népotisme, du despotisme et de la gabegie étranglent chaque jour un peu plus l’esprit de concorde. Ces dérives, exacerbées par une xénophobie rampante, minent les fondations mêmes de la nation et amplifient la cherté des biens essentiels, plongeant ainsi des millions de citoyens dans l’expectative du lendemain.

Prenons l’exemple du panier de la ménagère : le prix du kilogramme de riz, autrefois abordable, s’envole désormais à des sommets qui frisent l’insulte. Le manioc, pilier de l’alimentation quotidienne, devient inaccessible pour des familles entières. Pendant ce temps, ceux qui détiennent le pouvoir, au lieu de se pencher sur les solutions, préfèrent accentuer les clivages, divisant les Béninois en une caste de privilégiés et une majorité silencieuse abandonnée à son sort.

L’exclusion des voix dissidentes : un naufrage collectif

Il serait naïf de croire que cette descente aux enfers est le fruit d’une simple maladresse politique. Non, il s’agit d’une stratégie savamment orchestrée. La gouvernance, tel un monarque despote, choisit d’éloigner toute voix dissidente, toute intelligence capable de proposer des alternatives aux décisions arbitraires des puissants.

Ainsi, plus de 95 % de la population se retrouve exclue des cercles décisionnels. Les intellectuels critiques sont marginalisés, les activistes muselés et les penseurs libres caricaturés en ennemis de l’État. Le silence des foules, résultat d’une peur savamment distillée, devient alors le carburant d’un système en roue libre.

Quelles perspectives ?

Il serait cependant erroné de croire que l’histoire n’a pas d’issue. Les nations qui ont frôlé l’abîme ont souvent su, dans un ultime sursaut, retrouver la voie de la raison. Le Bénin ne fera pas exception, mais il faudra un réveil collectif, une prise de conscience massive pour extirper le pays des griffes du fatalisme.

Cela passe par l’éducation, par une refondation des valeurs et par une résistance active à l’injustice. Car, comme disait Aimé Césaire, "une civilisation qui ruse avec ses principes est une civilisation moribonde." Le temps est venu pour le Bénin de se relever, non pas dans un sursaut de violence, mais dans une explosion de lucidité et de courage.

Cette chronique est donc un appel. Un cri lancé à toutes les consciences endormies, à tous les silencieux qui, par leur mutisme, nourrissent le monstre qu’ils redoutent. Que le Bénin redevienne une nation où la méchanceté n’est plus un choix, où l’intégrité reprend ses droits et où le bien commun redevient le phare qui guide les actions de chacun.

Chers amis et internautes,En ce début d’année, je tiens à vous adresser mes meilleurs vœux de santé, de bonheur, et de s...
01/01/2025

Chers amis et internautes,

En ce début d’année, je tiens à vous adresser mes meilleurs vœux de santé, de bonheur, et de succès. Que cette nouvelle année soit une opportunité pour chacun d’entre vous de réaliser vos rêves et de concrétiser vos projets.

Cependant, n’oublions pas que les miracles des vœux ne remplacent pas les actions concrètes. Je vous exhorte à prendre des initiatives, à croire en vos capacités, et à poser des actes décisifs pour construire l’avenir que vous méritez. Le succès réside dans le travail, la persévérance, et l’audace de faire le premier pas.

Ensemble, faisons de cette année un chapitre mémorable rempli de progrès et d’accomplissements.

Excellente année à tous !

29/12/2024

RAMAZO, SACRÉ CHAMPION DE LA CATÉGORIE GOGOHOUN du Couffo challenge showbiz, édition 3 de décembre 2024

Être de la race noire n'est pas un péché
29/10/2024

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18/10/2024

Faites bien ce que vous avez à faire comme si c'est à Dieu vous le faites.

12/10/2024

CONFÉRANCE SUR CHANGEONS NOUS-MÊME POUR CHANGER L'AFRIQUE (Prof. OGOUWALE Eloge)

19/09/2024

*MON ANALYSE DE LA REVALORISATION DES SALAIRES*

C'est une bonne chose la revalorisation des salaires dans l'administration publique. On doit remercier le gouvernement pour cette initiative.

*_Mais pour donner de souffre aux citoyens, il faut revoir le prix des produits pétroliers à la baisse, exonérer les denrées alimentaires des taxes pour faciliter l'accès à moindre coût._*

Sinon, cette revalorisation de salaire ne va pas affecter positivement la population.

On aurait seulement un salaire nominal élevé, mais un salaire réel carrément inexistant.

*_Déflater ces nouveaux salaires par un indice de prix à la consommation élevé amènerait à un salaire réel quasiment faible._*

27/08/2024

Je vous le dis Encore.
N'allez pas chercher une femme d'autrui.
N'allez pas dormir chez une femme quel que soit son statut matrimonial.
Ça peut vous coûter la vie dans des circonstances dramatiques.

23/08/2024

J'ai un concours pour vous. Je vais partager ce son et vous allez faire des postes avec. Celui qui aura plus de vue, de commentaires et de like en 72h à un dépôt de 10k

TOUCHE PAS LE NOM DE MON CLUB DADJÈ FC.Hier, le débat a été très chaud dans notre groupe WhatsApp.Je dis bien, très chau...
22/08/2024

TOUCHE PAS LE NOM DE MON CLUB DADJÈ FC.

Hier, le débat a été très chaud dans notre groupe WhatsApp.
Je dis bien, très chaud. Très très chaud.
Ce débat a tourné autour du projet de changement de nom du Club du Peuple, notre club .

Pluuusieurs y ont participé et nul d'entre eux n'arrive à comprendre l'intention de la SONEB connue jusque-là comme SPONSOR OFFICIEL du club conformément à la décision du gouvernement.

Est-il inscrit dans le contrat qui lie la société des eaux au club phare du Couffo qui a terminé la saison 2023-2024 vice-champion et qui a démarré sa campagne africaine avec un nul précieux au Nigéria face à El Kanemi Warriors ?
C'est la question principale qui a tourné dans plusieurs phrases hier.

Et même si c'était inscrit et que SONEB a ce droit de changement du nom, ne mesure-t-elle pas dans quelle situation plongera-t-elle le club?

Dadjè FC a réalisé une saison historique en 2023-2024 grâce à son Peuple ( ses supporters ) qui se sont montrés solidaires et ont ainsi constitué du carburant dans les moteurs des joueurs et staff technique qui , malgré les conditions «précaires», ont tout donné pour émerveiller ce vaillant Peuple.
Le Peuple est composé à plus de 80% des Adja qui ont toujours le goût de supporter sans autre condition le club qui porte leur nom.
Si SONEB commet ce «forfait», c'est le Couffo entier et tous les Adja ainsi que des fans du football qui supportent le club pour les valeurs identitaires qu'il porte qu'elle perd et elle sera obligée de déplacer son club à lui.
Oui, elle y sera obligée puisque par le boycott des matchs, je suis très sûr que le public couffolais lui répondra de façon pacifique mais très retentissante.
Parce qu'à aucun moment, un moindre supporter de Dadjè FC n'a pensé qu'un tel projet de changement de nom animerait l'intention de quelqu'un.

Pour le moment, en attendant que la SONEB et les autres responsables du club respectivement réfléchissent profondément à la question et réagissent au bon moment , nous montrerons ce samedi prochain à Cotonou que Dadjê FC officiel a de supporters grâce notamment au nom qu'il porte.

Les joueurs aussi doivent nous aider. Une simple parole peut changer grand chose.

Pour cette campagne africaine, la CAF ne reconnait que Dadjè FC et non l'autre club imaginaire de la SONEB et c'est bien la raison pour laquelle nous sortirons massivement pour pousser notre club à la victoire historique.

Nous aurons des banderoles qui porteront nos cris.
Nous donnerons pacifiquement la voix au stade pour exprimer notre ind¡gnation.
Nous adresserons des lettres ouvertes à des responsables du club ainsi qu'à la SONEB pour les faire revenir à la réal¡té.

Nous le ferons et j'ai foi que pacifiquement, nous allons gagner...

✊🏿
✊🏿
✊🏿

Les gars, allons tous au stade GMK ce samedi et écrivons sur les affiches : Ne supprime pas mon nom DADJÈ FC.
22/08/2024

Les gars, allons tous au stade GMK ce samedi et écrivons sur les affiches : Ne supprime pas mon nom DADJÈ FC.

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