L'histoire raconte

L'histoire raconte Une page destiné à la littérature.. Un passe temps de lecture avec plein d'émotion

09/03/2024

Lorsqu'une femme prend la parole et qu'elle brille par son intelligence, le monde entier se plie à ses moindres volontés.
Rachidath Bouraïma

05/09/2023

Bientôt on sera de retour. Pou des récits 😍😍😍

12/08/2022

Épisode : 2

Mes lèvres s’emparent des siennes et avec surprise, je constate qu’elle me rend mon ba**er. Nos lèvres se trouvent, s’entrechoquent, se dévorent. Incontrôlables elles poursuivent le ba**er, s’intensifient. C’est si grisant, je ne peux m’arrêter. Je refuse de réfléchir. Peu importe que je la déteste et elle aussi. Peu importe qu’elle soit la femme de mon frère. Là, tout ce qui compte, c’est ses lèvres sur les miennes.
Je passe une main dans ses cheveux et de l’autre, je la pose dans le creux de ses reins pour la ramener au plus près de moi. Ses mains déboutonnent ma chemise, puis courent sur mon torse, tandis que je sens mon pantalon devenir particulièrement inconfortable.
Je me détache enfin de ses lèvres pour embrasser son cou. Son odeur est douce et sucrée, si envoûtante que je ne peux que savourer sa peau sans m’arrêter. Elle soupire quand ma langue glisse le long de sa clavicule. Il m’en faut plus, encore plus. Je saisis ses hanches et la porte jusqu’au bureau. Elle s’agrippe à ma tête, enroule ses jambes autour de moi.
C’est dingue... Comment cette fille si insupportable peut déclencher une telle excitation en moi ?
Nos regards se croisent un moment et je devine qu’elle pense à la même chose.
Je retire son tee-shirt, dévoilant sa superbe poitrine toujours prisonnière d’un soutien-gorge de dentelle. Elle renverse la tête en arrière et gémit quand ma main empaume son sein et que ma bouche s’empare de son téton. Des frissons parcourent sa peau, et je suis leur chemin avec ma langue, savourant la douceur de son épiderme si sensible. Je m’arrête à la lisière de son jean, puis remonte pour investir sa bouche, y glisser ma langue pendant que mes doigts s’occupent d’ouvrir son jean.
A contrecœur, je me recule pour lui ôter et me débarrasser du reste de mes vêtements, et étrangement, je ressens comme un vide. Le contact de sa peau contre la mienne, telle une drogue, provoque une sensation de manque, uniquement satisfaite lorsque, enfin je reviens me lover contre son corps. Mon sexe, tendu à son maximum, découvre enfin la moiteur de son désir, s’insinue entre les lèvres, titille son cl****is ce qui lui déclenche un sursaut.
A nouveau, je cherche sa bouche, la trouve puis la dévore, étouffant ses gémissements. Keren passe ses mains dans mon dos, enroule ses jambes autour de mon bassin pour m’inviter à la prendre. Mais, taquin, je lui refuse cette pénétration, préférant continuer les caresses de mon membre gonflé d’excitation.
Mécontente de ne pas obtenir ce qu’elle désire, Keren se colle à moi, me griffe le dos et mord ma lèvre inférieure. Elle me veut en elle, elle m’exige presque, mais préfère se taire, trop fière pour me supplier. Foutu caractère ! Elle ondule contre moi, cherchant ce plaisir que je lui refuse.
Elle proteste quand elle me sent quitter cette étreinte, mais pas longtemps quand elle voit où je compte en venir. Je me mets à genoux et écarte ses cuisses de mes deux mains, usant de mes pouces pour dévoiler l’intégralité de la vulve trempée de cyprine. Elle prend appui sur ses bras et penche la tête en arrière, savourant les délicats ba**ers que je parsème sur ses cuisses en m’approchant toujours plus près de son antre si chaud.
Un simple souffle sur cette ch**te si sensible, elle sursaute et laisse échapper un cri. C’est ce moment que je choisis pour déposer un chaste ba**er sur son bourgeon palpitant et passer ma langue du cl****is jusqu’à sa grotte avide de sentir ma chair la combler.
Je prends tout mon temps, la goûte, la savoure. Ma langue explore les moindres recoins de son intimité, s’insinue entre ses lèvres, son vagin et même son petit trou. Elle frémit, au bord de l’orgasme. Je la contemple frôler les prémisses de la jouissance, impatient de pouvoir enfin la posséder.
Quand je me relève pour récupérer une capote dans mon bureau, elle me jette un regard noir, empli de frustration. Elle pensait peut-être que j’allais la faire j***r comme ça, mais j’ai besoin de la sentir contre moi, de me fondre en elle. Une fois le préservatif enfilé, je reprends ma place entre ses cuisses, mon gland à l’entrée de sa ch**te impatiente.
D’une seule poussée, mon membre se fraye un chemin dans la moiteur de son intimité. Keren s’agrippe à mes épaules et pousse un soupir étouffé. Immobile, elle me laisse m’immiscer en elle, jusqu’au fond. C’est si étroit et si ardent que je ne sais pas combien de temps je vais pouvoir tenir. Je me mets alors à agiter le bassin lentement, ressortant entièrement pour mieux l’investir, plus puissamment à chaque fois. Les va-et-vient deviennent vite intenses, presque frénétiques. Nos corps ondoient au même rythme, nous ne sommes plus que désir et volupté, unis, liés.

08/08/2022

'AIMES

Épisode 1

Il y a des journées qui commencent mal, et d’autres très mal. Quand je vois Keren passer la porte de mon bureau en fulminant, je me dis que aujourd’hui fait décidément partie de la deuxième catégorie. Keren est la seule personne qui rien que par sa présence réussit à bousiller ma journée. Elle et moi, c’est chimique, on ne se supporte pas. On se cherche, on s’invective, parfois même on s’insulte. Elle a beau être la femme de mon frère, entre nous ça ne colle absolument pas. Moins je la vois, mieux je me porte. C’est pourquoi je reste immobile, assis à mon bureau, les nerfs tendus à leur maximum quand je la vois débarquer. Sans un mot, elle referme la porte derrière elle et s’assoit en face de moi. Mon téléphone sonne. Solange ma secrétaire m’informe :
— Monsieur Ilunga, je suis navrée, je n’ai pas réussi à la retenir. Mademoiselle Panzu arrive.
— Merci Solange, je pense pouvoir me défendre seul, ironisai-je, veuillez faire attendre mon prochain rendez-vous, je n’en aurai pas pour longtemps. Je raccroche. Keren n’a toujours pas ouvert la bouche et me fixe de ses yeux brun si sombre. Keren est une belle femme. Une très belle femme. La première fois que je l’ai rencontrée, je l’avoue, elle m’a carrément plu. Elle a un regard envoûtant et un physique plutôt agréable: des jambes interminables, une taille fine, une poitrine généreuse, de longs cheveux , et des lèvres pulpeuses. Oui, je sais, le physique ne fait pas tout. Et justement, là c’est le cas. Parce que dès qu’elle a ouvert la bouche la première fois, cette fille m’a tapé sur le système.
— Que me vaut le déplaisir de cette visite ? commençai-je.
— Je ne suis pas là de gaieté de cœur Danny. Je suis ici pour Jonathan.
— Mon frère connaît mon numéro, s’il a besoin de quelque chose, il peut très bien me le demander lui-même au lieu de m’envoyer son dragon.
— Je ne vais pas relever pour cette fois, mais j’aimerais bien que tu me laisses finir avant de nous échanger les politesses d’usages. Ses yeux me mitraillent. J’adore la mettre en rogne. Je m’enfonce dans mon siège, croisant les bras derrière la tête et lui enjoints de poursuivre.
— Je t’écoute. Sois brève, j’ai un rendez-vous dans cinq minutes.
— Ton frère fête ses 30 ans cette année et je veux lui organiser une fête surprise. Comme vos parents sont en voyage, je n’ai que toi vers qui me tourner.
— Tu pourrais oui. Tu connais ses amis d’enfance, je me disais que tu pourrais les contacter.
— Tu es sûre de ce que tu me proposes là ? Organiser une fête ensemble, ça signifie qu’on devra se parler et se voir sans lui.
— Ca ne m’enchante pas plus que toi, et on essaiera au maximum de faire ça par texto, mais... Elle s’arrête au milieu de sa phrase, comme si la suite allait lui écorcher les lèvres. Je m’amuse comme un petit fou. La voir en position de faiblesse devant moi, c’en est presque jouissif, elle qui est si fière, si hautaine.
— Mais ? dis-je avec un léger sourire en coin. Elle me jette un regard irrité, sachant pertinemment que je joue avec elle. Je sais ce qu’elle va me dire, et croyez-moi ces mots je les attends avec impatience ! Je sais qu’elle va craquer, c’est dans son intérêt. Enfin celui de mon frère. A dire vrai, organiser cette fête avec elle va être une vraie torture, mais je dois bien ça à mon petit frère.
— J’attends, je te rappelle que j’ai un rendez-vous.
— Tu es vraiment Insupportable Danny, bouillonne-t-elle en se levant et en se dirigeant vers la porte. Elle a à peine le temps de poser la main sur la poignée, que je suis déjà devant elle, lui barrant la route. Elle essaie d’ouvrir la porte, mais ma main l’en empêche avec fermeté.
— Laisse-moi partir, siffle-t-elle entre ses dents, c’était une mauvaise idée. Je me débrouillerai seule.
— Pas question, tu restes là. J’attends encore la fin de ta phrase... Elle se met alors à tirer plus fort sur la poignée et reste ébahie quand cette dernière lui reste entre les mains.
— Mais qu’est-ce que tu as fait ? S’emporte-t-elle, demande à ta secrétaire de nous ouvrir tout de suite !
— Impossible, il faut une clé pour entrer dans ce bureau. La porte se bloque automatiquement. Et la clé c’est moi qui l’ai.
— Tu n’as pas remarqué qu’il n’y avait pas de serrure de ce côté, Mademoiselle Je-sais-tout ? Elle donne des coups dans la porte, vainement. Malgré ses efforts, elle reste close et Keren tempête encore plus. Je me dirige vers le bureau et contacte ma secrétaire.
— Solange, nous avons un léger souci. Pourriez-vous faire venir en urgence un serrurier s’il vous plaît ? Mademoiselle Panzu et sa délicatesse légendaire nous ont enfermés.
— Non, mais quel culot ! Fait Keren en s’approchant de moi, pointant un doigt rageur vers mon torse. J’ai abîmé la poignée ? Ca ne serait pas arrivé si tu ne m’avais pas retenue. Et d’ailleurs, c’est quoi cette fichue poignée qui tombe en ruine ? T’es trop radin pour t’en payer une digne de ce nom ?
— Ne me provoque pas Keren. Etre enfermé avec toi est la pire chose qu’il puisse m’arriver, mais nous sommes adultes, nous allons pouvoir surmonter ça. A condition que tu te taises, bien sûr.
— Non, mais pour qui tu te prends espèce de sal arrogant ? Tu ne me donnes pas d’ordres !
— Arrogant moi ? Juste parce que le son de ta voix m’insupporte et que j’ai la franchise de te le dire contrairement aux autres ?
— Tu n’es qu’un... Elle s’interrompt. Quelqu’un vient de frapper à la porte et la toute petite voix de Solange se fait entendre.
— Ah Solange, vous avez pu avoir un serrurier ?
— Justement... il n’y avait aucun autre serrurier de disponible avant deux heures.
— Deux heures ?! Bon très bien, dites à Kabuya que je le recevrais demain et repoussez aussi Muyej.
— Bien Monsieur et en ce qui concerne le rendez-vous de 11h et votre déjeuner, dois-je annuler ou bien repousser ?
— Mais enfin, il est juste 9h ! On sera sorti d’ici là.
— Euh... je crois que vous avez mal compris Monsieur. Je voulais dire deux heures de l’après-midi. Quatorze heures. Les yeux de Keren s’écarquillent d’effroi et son visage se décompose devant moi tandis que je sens la rage monter en elle. Non. Pas ça... Passer cinq minutes ensemble et c’est déjà la troisième guerre mondiale alors cinq heures !
— Non, il y a forcément une solution, se met à psalmodier Keren en déambulant dans la pièce. Elle regarde même la fenêtre avec une pointe d’hésitation, c’est vous dire à quel point elle a envie d’être ici ! On est au quatrième étage d’un vieil immeuble de la commune de la Gombe. Autrement dit, on n’en ressortirait pas indemne. Finalement, à choisir... Non. Je suis adulte. Je peux me contrôler. Je n’ai qu’à l’ignorer tout simplement. Bien plus facile à dire qu’à faire... Installé dans mon fauteuil, je la vois tourner en rond et ça me rend complètement fou. Elle ne s’arrête pas une seconde, sauf pour tripoter un bibelot par-ci par-là, une maquette ou un dossier. Une véritable tornade cette fille, elle remue tout sur son passage. Au bout de ce qui me semble les quinze minutes les plus longues de ma vie, je me décide enfin.
— Keren, je te jure qui si tu ne poses pas tout de suite ton petit cul sur ce siège, je me ferai un plaisir de t’y attacher. Et j’en profiterai aussi pour te bâillonner, tiens.
— Tu ne me fais pas peur, qu’est-ce que tu crois ? Que je vais sagement t’obéir en attendant que le supplice prenne fin ?
— Exactement. Elle éclate de rire et ça ne fait que m’énerver encore plus. Je serre les poings, tentant de me contenir.
— Tu n’es vraiment qu’un imbécile ! Non, un abruti en fait. Cette fois, c’en est trop. Je me lève et en une seconde je suis devant elle.
— Un quoi ? J’ai bien entendu là ?
— Un abruti arrogant et macho...
— Ne me pousse pas à bout Keren, tu risques de le regretter.
— Et tu vas me faire quoi ? Je l’empoigne par les bras fermement et plante mon regard dans le sien. Ses yeux me lancent des éclairs. Ses joues sont déforméés par la colère et ses cheveux un peu décoiffés. Elle est si proche de moi que je peux sentir son souffle qui devient de plus en plus désordonné à mesure que nous nous rapprochons.
Alors, à ce moment-là tout dérape. Mû par une pulsion soudaine, je me jette sur ses lèvres. Bon sang, mais qu’est-ce qu’il se passe ?! Qu’est-ce que je fais ?!

08/08/2022

Bonjour chères abonnés 😊 tout mes excuses pour ce long feu de silence . Préparez-vous je suis revenus avec des histoires 😍😘 Waooohh

Bonjour à tous j'ai un souci !!! 🐯🐯🐯Je ne parviens plus à satisfaire ma conjointe à cause du faite que j'éjacule en moin...
08/11/2021

Bonjour à tous j'ai un souci !!! 🐯🐯🐯

Je ne parviens plus à satisfaire ma conjointe à cause du faite que j'éjacule en moins de 1min30. Que faire pour remédier à ce problème svp...
🙏💙💛🙏❤️

En laissant un commentaire, vous pourriez aider cette personne. 💚❤️



27/10/2021

🇻 🇴 🇺 🇸 🇪 🇹 🇪 🇸 🇩 🇪 🇸 🇫 🇷 🇴 🇲 🇦 🇬 🇪 🇸 🇧 🇱 🇦 🇳 🇨 🇸 !

Il y avait une fois une petite fille de 8 ans. Elle était vietnamienne, joyeuse et avec un caractère certain! Seulement voilà, cette année, elle allait à une nouvelle école. Puis, un jour, quand elle passa l'école maternelle, il y avait des tous petits, vraiment tous petits, qui étaient tous accoudés au muret. Et là, quelle ne fut sa surprise quand ils lui lancèrent des mots très méchants...

Ils ont osé l'insulter en disant ".......................!", une insulte terrible, pour elle, une insulte qui la traitait de cambodgienne, alors qu'elle était si fière d'être vietnamienne. La petite fille ressentit cela comme une claque terrible, si terrible qu'elle n'a pas su en parler à ses parents le soir.

Le lendemain, elle reprit le chemin de l'école, et en passant devant le muret de la maternelle, quel ne fut son désarroi quand elle retrouva les petits visages de ces tous petits qui lui crièrent "........................." tout en éclatant de rire! Elle ne sut pas faire autre chose que presser le pas, aussi vite que possible pour s'éloigner, toute bouleversée!

Le soir, par chance, sa mamie était là; et sa mamie a compris tout de suite qu'elle avait un gros secret sur le coeur. Elle lui demanda :

- "Et alors, ma jolie, c'est quoi qui t'assombrit?" La petite fille resta silencieuse.

- "A moi, tu peux me raconter..." dit la grand-mère avec une voix rassurante.

Alors, la fillette pris son courage et dit très fort:

- "Ce sont les tout petits de la maternelle qui se moquent de moi et m'insultent!"

- "Ah bon? Comment??" dit la grand-maman.

- "En me traitant de "................"! répondit la fillette.

- "Et tu n'as pas trouvé une réplique qui leur cloue le bec?"

- "Mais je n'ai pensé qu'à m'enfuir!" répondit-elle.

- "Et tu aimerais qu'ils arrêtent une fois pour toutes?"

- "Ah oui alors, qu'ils me laissent en paix, et même qu'ils me respectent un peu!" fut la réponse.

- "Alors, demain, quand tu repasses, quand ils recommenceront leur petit jeu, tu te mettras droit devant eux, les regarderas droit dans les yeux, et leur lanceras lentement, mais sûrement "Et vous, vous êtes des fromages blancs. Qu'en dis-tu, tu pourras faire cela?"

- "Mais, ça ne veut rien dire, ce n'est pas une insulte, alors que moi, ils m'insultent!"

- "Qu'y a t'il de mal à être cambodgienne? ou thaïlandaise? ou laotienne?"

- "Mais, ils sont inférieurs à nous, non?"

- "Et qui t'a appris une telle chose??"

- "Mais, ce sont les enfants à l'école qui le disent tous..."

- Et bien, à eux, tu pourras leur dire que nous sommes tous pareils: on vit, on aime, on joue. Alors que les fromages blancs, ce ne sont que des fromages blancs..."

Une fois couchée, la fillette s'est préparée longuement, et encore au réveil. Elle ne voyait pas en quoi cette histoire de fromage blanc allait arrêter les railleries. Pourtant, il fallait bien qu'elle aille à l'école et donc passer devant le muret. Au moins sa grand-mère lui avait donné du courage et une solution. Alors, elle prit ses affaires, marcha d'un pas décidé et arriva jusqu'au muret. Les petits, encore et toujours là, lui ricanèrent avec leur ".....................". Elle respira un bon coup et s'est plantée droit devant eux, ses mains aux hanches, et leur lança: "Et vous, vous êtes des f-r-o-m-a-g-e-s b-l-a-n-c-s !!!

Quelle ne fut sa surprise! Cette phrase ridicule, qui n'avait pourtant rien d'insultant, fit fuir tous les petits, comme des lapins affolés!

Le lendemain, au muret, il n'y en avait plus un seul petit, le surlendemain non plus, et le sur-surlendemain non plus.

Le 3e soir, elle retrouva sa mamie pour lui conter le résultat.

- "C'est pas croyable, mais ils ne m'embêtent plus, je n'y comprends rien!"

- "Ma bienaimée: c'est tout simple: tu leur as fait comprendre que tu es forte et qu'il y a des limites à ne pas dépasser te concernant."

26/10/2021

Bonsoir chers abonnés , nous somme désolé pour le silence...vos histoires vous reviennent bientôt. Toute fois vous avez envie de collaboré avec nous,contactez-nous

10/06/2021

- Vraiment Précious je ne sais pas de quoi tu as peur, tu commences même déjà a me perdre, y’a pas quelques jours tu disais que notre amour est la chose la plus importante, voilà ça qui nous a donné un bébé, c’est le moment pour nous d’en profiter au max et tu es là a me dire que ton père est monté il est descendu, est ce que je vais t’abandonner avec cette grossesse, j’ai un travail, tu en as un, nous avons tous les deux un bon salaire, nous avons une maison, nous vivons ensemble, c’est quoi le problème ? Tu as dis la dernière fois que tu n’es plus une enfant mais maintenant tu agis là comme une fille de 18ans or tu en as 25 c’est donc quoi le problème ? Tu ne m’aimes plus c’est ça ?

- Je t’aime et tu le sais, je t’aime a la folie c’est juste la peur qui me consume, chacun de nous connait sa famille je ne connais pas pour la tienne mais la mienne est très difficile surtout que nous sommes les chrétiens, pour ma mère je n’ai pas peur mais c’est mon père

- C’est donc ça que je dis que ok, allons les voir on discute et je leur demande ta main une fois ensuite on va aussi chez moi et je te présente a ma famille, aussi simplement il y’a quoi de compliqué dans ça, c’est notre vie a nous où alors c’est la leur

- Tu penses qu’on va y arriver ?

- On ne perd rien a essayer

C'est juste un extrait de l'épisode 2 ne mettez pas les organes...

10/06/2021

オスチン ⚡️:
- Ah mon cher Calvin, je suis vraiment désolé, j’ai eu un énorme soucis avec le branchement de mes appareils a la maison, comme les agents de l’électricité sont arrivés ils ont tout chamboulés et ça m’a grillé les appareils

- Orlalaa je suis vraiment désolé

- Ah ce sont des choses qui arrivent, si non je m’excuse pour le re**rd, je pensais même que tu n’allais pas venir, si la secrétaire ne m’appelait pas je ne venais sûrement pas maintenant, et ce problème là m’a fait oublié qu’on avait rendez vous, encore désolé

- C’est pas grave monsieur ce sont des choses qui arrivent comme vous le dites et donc ne vous en faites pas

- Bon ok, tu vois l’état de mon entreprise, c’est encore en construction, mais les gars sont tellement lent tu donnes l’argent mais ils font comme ils veulent tu parles fatigué rien, donc je ne pouvais plus attendre j’ai été obligé d’aménager comme ça et de lancer....

- Oui oui je vois mais je vois aussi que ce n’est pas un petit truc hein, ça c’est une très grande structure que vous construisez là, normal que ça prenne du temps hahahahahaha

- Oui mais bon, on dit que avec l’argent tout est possible non ou bien

- Effectivement, je suis d’accord

- Voilà, bon moi je t’ai fais venir parce que depuis longtemps je cherche un électricien, pour mes installation ici, tu vois on ne peut pas travailler après 17h parce qu’il n’ya pas de lumière, ici nous faisons dans les assurances et c’est très difficile de travailler ainsi, pour cela je ne sais pas il faut qu’on parle si tu es d’accord de travailler avec moi, on discute on se met d’accord sur toutes les conditions et après tu commences moi j’ai pas le temps a perdre surtout que j’ai un coordonnateur mais seulement il est déplacement pour l’instant et donc je suis obligé de suivre moi-même

- D’accord il y’a pas de problème, je veux bien travailler avec vous, dites moi juste comment ça se passe et on s’entend

Ne dit on pas que la patience est une vertu, si j’étais parti je n’aurai sûrement pas eu cette offre qui était pour moi la meilleure de toute, je venais de décrocher un travail stable et bien rémunéré, la prière de Précious avait marché, c’était a ce moment que j’ai compris que Dieu existe pour de vrai et qu’il écoute les prières surtout venant des âmes sincères, j’étais l’homme le plus heureux du monde, cet homme avait extrêmement de l’argent et a cette époque il avait a son actif plus de 7 chantier et le contrat que j’avais signé avec son entreprise était un contrat a durée indéterminé, je ne savais pas pourquoi mais il m’avait toute suite adopté comme son fils, il m’avait fait confiance et m’avait prit au sérieux, pour avoir ce travail je n’avais pas présenter de grands diplômes ni même passer par des conditions bizarres comme j’entendais, j’étais resté moi et mon honnêteté ainsi que les prières de ma compagne avaient joué un grand rôle dans l’obtention de ce travail !!!

Ce jour j’étais rentré avec le sourire jusqu’aux oreilles, j’étais tellement heureux, j’avais tellement envie que Précious rentre pour partager la nouvelle avec elle, pour lui dire merci et lui témoigner de nouveau tout l’amour que je ressentais pour elle, car jusque là tout ce que j’avais c’était grâce a sa présence dans ma vie !!







En peu de temps et avec la grâce de Dieu j’étais devenu bien, la stabilité financière dont je recherchais je l’avais , chaque mois j’envoyais de l’argent a mes parents pour financer les études de mes frères et pour leur propre épanouissement, mais je m’étais également de côté car Précious et moi avions pour projet de construire une maison, je devais également achever celle de mes parents au village et ensuite nous marier Précious et moi nous ne voulions pas demeurer éternellement en location même si celle qu’on louait était grande et bien aménagé !! Nous étions bien dans notre vie, on ne manquait de rien, mais le bonheur s’était encore agrandi pour moi personnellement lorsqu’un samedi matin elle revint avec une enveloppe, visage crispé, dents serrées, mine triste…

26/05/2021

Profitons des histoires 😁😋😋
Abonne toi et partage

Une page destiné à la littérature.. Un passe temps de lecture avec plein d'émotion

26/05/2021

La suite de l'histoire est déjà prêt mais je me demande si vous êtes présent pour la suite 🤔🤔🤔🤔

24/05/2021

C’était ainsi qu’on s’était rendu au domicile de son ami et j’avais résolu le problème, ils furent tous deux impressionnes et le monsieur m’a donné sa carte de venir a son bureau le lendemain matin, tel que je voyais les choses je pouvais m’attendre a une bonne nouvelle mais je gardais mon calme et pour partir il me remi un billet de 10mil pour mes services…une fois a la maison j’avais raconté ma journée comme habituellement a ma chérie, et la croyante qu’elle était on se mit a prier afin qu’a mon rendez vous de demain tout se passe bien…

- Je sais que Dieu ne va pas nous oublier, et j’ai la foi que a partir de demain tout va changer pour nous mon amour, je t’aime tellement Calvin, et je veux être a tes côtés pour toujours

- Tu sais j’ai eu des copines dans le passé mais toi tu demeure la meilleure, tu es exceptionnelle, je te jure que je me battrai pour t’offrir le meilleur, pour te protéger et t’aimer f***ement comme tu le mérites, j’ai tellement envie que tu sois avec moi pour toujours, merci pour tout le soutien que tu m’apportes, tu es la meilleure chose qui me soit arrivé, je t’aime comme un fou Précious

- Et moi plus qu’une f***e, et je serai toujours là pour toi pour notre couple, i will never let you go, never ( je ne te laisserai jamais partir, jamais)

- Et moi je ne laisserai jamais personne se mettre entre nous, personne ok ?

Cette fille était ma drogue, je ne savais pas qu’un jour j’allais pouvoir aimer aussi fort une femme, elle avait prit possession de mon esprit, de ma vie, de mon univers, elle était ma base avec elle c’était le bonheur assurée, j’aimais tout d’elle, cette nuit nous avions fais l’amour comme jamais, chaque coup en elle représentait le grain d’amour que j’avais pour elle, ses gémissements me rendaient juste fou, ça donnait envie de continuer et de ne pas s’arrêter, on le faisait tout le temps et c’était toujours aussi spécial et particulier, je sentais ses mains qui passaient le long de ma colonne vertébral...

- Baby dont stop please, i want you, you are the best partner i ever had, ohhhh my God, ahhhhhhhh, i love you baby ( je ne traduis pas ici vous mentez )

- Je t’aime a la folie, oh m***e, tu es si bonne mon bébé, je vais te faire l’amour car tu es une déesse, je t’aimerai toute ma vie, ahhhhh ouuiiiii, ça vient déjà…tu es si bonne pu**in !! ( no traduction ehh)

Après ce moment magique nous étions tous deux très épuisés, qu’on a fini par s'en dormir, et le lendemain a mon réveil Précious avait déjà sorti mes vêtements et les avait repassé, bref elle avait tout apprêté pour mon rendez vous !

- Mince bébé tu veux que je mette alors ma dernière valise ?

- You must look serious if you need a good Job darling ( tu dois avoir l’air sérieux si tu as besoin d'un bon boulot mon chéri )

- That is true ( ça c’est vrai ), qu’est ce que je ferai sans toi ma dulciné ? Tu es la meilleur !

- Ok, go and take your shower during this time i tidy the room a little and we leave ( ok va alors prendre ta do**he pendant ce temps je range un peu la chambre et ensuite on s’en va )

J’étais arrivé a la société de ce monsieur, qui était encore en construction, c’était un chantier inachevé mais qui était déjà opérationnel, et ça se voyait qu’il y’avait encore beaucoup a faire, j’étais un tout petit peu stressé car je me demandais de quoi on allait parler, mais a ma grande surprise, il n’était pas encore arrivé, lorsque je regarda ma montre je réalisais que j’avais 1h30 d’avance et tout ça a cause de Précious qui ne voulait pas que j’arrive en re**rd et elle avait raison et c’était mieux ainsi, et donc j’attendais, plus le temps passait, il n’arrivait toujours pas et plus je me décourageais, j’avais due demander a sa secrétaire de l’appeler afin de le signaler que j’étais là et ce depuis près de 3h de temps, et après cela j’attendis une heure de plus avant qu’il ne se ramène et ne me reçoive !

24/05/2021

- Je comprend très bien mais je suis une grande fille et je sais prendre soin de moi, mes parents n’ont pas mon temps ils sont occupés a contrôler mes frères so they dont have my time ok ? ( donc ils n’ont pas mon temps ok ? )

- En tout cas ok, si tu le dis, je t’aime beaucoup, i love you so much c’est comme ça qu’on dit ? 🤣🤣🤣

- Oui oui, avec un petit bisous encore ça sera mieux hein

- You too like bisous hein ( tu aimes trop les bisous hein )

Nous vivions notre petite vie cachée et ce de façon harmonieuse, je n’aimais pas quand elle dépensait pour moi même si elle gagnait plus que moi, je préférais plutôt qu’elle investisse dans des choses qui pouvaient rapportées, moi je n’avais pas poussé dans les études, je m’étais arrêté en classe de 3e pour faute de moyen, j’avais préféré que mes parents payent pour mes cadets tandis que moi je me débrouillais, mon truc a moi était l’électricité, je maitrisais beaucoup plus ce domaine et donc où la femme blanche pour qui je travaillais avait tout le temps des problèmes d’électricité dans sa maison et un jour un problème fut survenu avant que les agents d’électricité arrivent j’avais pu gérer la situation...

- Waouh je ne savais pas que tu étais si doué en électricité, merci beaucoup

- Ah de rien madame, bon là j’ai juste maintenu si non quand ils viendront ils pourront mieux rétablir avec leur matériel et remplacer les fusibles endommager

- Es tu sûre qu’ils vont arriver ? Ça fait plus d’une heure qu’on les a appelé

- C’est comme ça qu’ils sont dans ce pays, pour couper ils sont fort, mais quand il y’a un problème ils ne sont jamais là, mais bon continuons de patienter ils vont arriver

- Je l’espère vraiment si non je ne peux pas dormir dans le noir

- Vous n’allez pas dormir dans le noir ne vous inquiétez pas, ou alors vous pouvez envoyez quelqu’un dans leur agence pour leur faire venir

- Non ça va, si ils ne viennent pas d’ici 1h je te donnerai de l’argent et tu iras acheter le matériel qu’il faut pour venir réparer la panne, peux tu le faire ?

- Avec plaisir madame, ça me dérange pas

- Ok bien !

Ma patronne était une femme plutôt gentille et aimable, mais dommage que son jour de départ arrivait a grand pas et il me fallait déjà trouver un nouveau boulot pour continuer d’épargner, je ne pouvais plus retourner a la laverie car ça allait me faire rentrer en arrière et me donner l’impression de ne pas avancer et donc après le départ de cette femme blanche, je m’étais remis a chercher du travail car c’était Précious qui gérait les dépenses du couple et ça ne me plaisait pas, tout ce que j’avais épargné j’étais obligé d’envoyer au village pour financer la scolarité de mes cadets, c’était également pour eux que je me battais et donc je n’avais pas trop de choix…

Pendant quelques mois j’étais au chômage je faisais juste des petites bricoles par ci par là, puis un beau jour j’étais tombé sur un monsieur dont j’avais l’habitude de laver ses voitures !!...

- Mais mon fils c’est comment ? Tu es où depuis ? Tu es perdu là, ça va ?

- Ah le père par la grâce de Dieu ça va et vous-même ?

- Non moi ça va, j’ai fais plusieurs tours a la laverie mais on me dit que tu ne viens plus

- Non non, je ne suis plus là bas

- Mais tu fais quoi alors maintenant ?

- Ah le père pour l’instant je ne fais rien, je cherche encore

- Comment ça ? Mais tu as fais quoi comme métier ?

- Je n'ai fais aucun métier, c’est vrai je maitrise le domaine de l’électricité mais bon

- Ahbon ? Tu es électricien ?

- On peut dire

- Mais ça tombe bien, j’ai un ami qui recherche un agent pour lui faire des installations mais il a soumis sa demande a l’agence mais ça prend trop de temps et depuis lors ils sont dans le noir, je ne sais pas si tu peux faire quelque chose en attendant

- Euh ok si vous pouvez m’y conduire afin que je vois ce que je peux faire

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