24/01/2024
La défaite de la Côte d'Ivoire hier m'a profondement attristé. Et j'avoues que la majorité des Burkinabè aussi. Il a manqué une certaine intensité, une détermination. Il faut aussi noter que l'atmosphère était trop axée sur le divertissement. Entendre des chants Comme "on a perdu mais on s'en fou" étaient déconcertant pour moi. Il est crucial d'apporter davantage de sèrieux en plus de la passion dans nos actions. Tout ne peut pas être simplement de l'amusement surtout quand on organise la CAN et quand on investi des milliards dans l'organisations. Les dirrigents ont peut être déjà remplis leurs poches et s'en foutent. L'entraîneur va toucher son salaire, quoi qu'il arrive mais qui en souffre vtaiment? Le peuple.
C'est vrai qu'en football, on gagne ou on perd mais on organise pas une CAN pour sortir au premier tour.
J'aimerais souligner que la Côte d'Ivoire et le Burkina Faso partagent une histoire très riche, et nous ne devrions pas laisser des opportunistes,des petits esprits, des inconscient(e)s tapis dans l'ombre semer la discorde entre nous. Un père, une mère, et leur enfant peuvent supporter differentes équipes mais à la fin de la journèe, cela reste du football, et la vie reprend son cours. Tous les burkinabè ne sont pas obligés de soutenir les Eléphants, et tous les ivoiriens ne sont pas obligés de soutenir les Etalons.
Bon nombre d'ivoiriens ont toujours soutenu les Etalons malgré nos clashes et nous faisons de même.
Ne laissons pas les fils de Zezabel qui attendent de profiter de chaque circonstances nous diviser.
La politique nous faisons ca autrement, chacun pour le bonheur de son peuple. Mais de grâce, ne malangeons pas les choses.
Espérons que les calculs soient favorable à la Côte d'Ivoire, ey qu'elle reste dans la course pour le bonheur de la CAN et de son peuple. Mais deux lessons à retenir: humilité et rage..
Bonne chance aux Etalons