Quarantine Watch

Quarantine Watch Pour protéger nos droits et libertés, organisons un travail de veille démocratique pendant la crise sanitaire.

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Découvrez la Francophonie Féministe ! 🌟 Rejoignez notre serveur Discord dédié aux féministes francophones engagées dans ...
07/02/2024

Découvrez la Francophonie Féministe !

🌟 Rejoignez notre serveur Discord dédié aux féministes francophones engagées dans la lutte pour l'égalité des genres, la justice sociale et la solidarité féminine.

Discussions enrichissantes, ressources féministes, événements en ligne et plus encore vous attendent !

Rejoignez-nous dès maintenant et ensemble, construisons un monde plus juste pour toutes les femmes. 💪

́galitédanslesport
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06/02/2024

Coucou les féministes badass,

Voilà, je viens de créer un serveur Discord féministe : Francophonie féministe.

L'objectif est d'avoir un lieu pour échanger entre nous, de manière respectueuse, sur des sujets féministes.

Venez y jeter un oeil.

Check out the Francophonie Féministe community on Discord - hang out with 3 other members and enjoy free voice and text chat.

Solidarité avec Jawad MoustakbalSon téléphone  a été piraté et des inconnus l’ont appelé le menaçant de le diffamer et d...
11/07/2023

Solidarité avec Jawad Moustakbal

Son téléphone a été piraté et des inconnus l’ont appelé le menaçant de le diffamer et de s’en prendre à sa famille. Ils lui ont fait un chantage financier. Ils ont également publié une vidéo le montrant seul, le corps nu.

"Jawad est engagé depuis son enfance dans la lutte contre le despotisme et l’impérialisme. Il était de cette première génération qui s’est engagée dans la construction d’ATTAC CADTM Maroc Attac Maroc et a milité au sein de l’association pendant plus de 20 ans. Il a de nombreuses contributions en matière d’éducation populaire et d’analyse de la nature de l’économie dépendante des centres impérialistes et de son système politique qui écrase les opprimé·e·s. Il a des propositions d’alternatives audacieuses pour un Maroc de dignité et de liberté. Il a participé au Mouvement du 20 février (2011) et à tous les grands mouvements de protestations populaires que le Maroc a connus et a défendu leur contenu émancipateur et leurs formes d’organisation par en bas.

On comprend le but de cette ignoble atteinte à sa réputation au moment précis où l’on voit Jawad s’impliquer activement dans le processus de préparation du sommet des mouvements sociaux contre les réunions annuelles de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international à Marrakech en octobre prochain. En plus de son rôle au sein d’ATTAC CADTM Maroc pour mettre en place une coordination nationale comme base d’accueil populaire du contre-sommet dans notre pays, il anime plusieurs groupes de travail aux niveaux international, continental et régional comme membre du Secrétariat international partagé du réseau CADTM. Il fait tout cela pour que le contre-sommet ait une véritable dimension internationale.

Ceux qui ont attaqué Jawad ont peur de la dynamique de lutte et de mobilisation dans lequel Jawad est engagé. Leur attaque ignoble vise à arrêter ses activités pour que les oppresseurs puissent organiser leur fête à Marrakech, cette ville devenue une salle de fêtes pour les riches du monde et accueille les plus grands responsables de la pauvreté et de l’injustice dans le monde, comme Jawad l’a écrit. D’ailleurs, une attaque du même genre a visé et interrompu une conférence par internet organisée par des associations militantes d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient dans le cadre des préparatifs du contre-sommet."

Justice pour Adil
08/06/2023

Justice pour Adil

🔴⚫ Tajmaât Service
14/05/2023

🔴⚫ Tajmaât Service

Je soutiens le personnel de chez Delhaize !
02/05/2023

Je soutiens le personnel de chez Delhaize !

Solidarité avec les Montois-es !
18/04/2023

Solidarité avec les Montois-es !

📣 Rendez-vous devant l'occupation AUJOURD'HUI MARDI 17h boulevard albert II n°9 Bxl 1210-FR// Depuis dimanche après-midi...
14/03/2023

📣 Rendez-vous devant l'occupation AUJOURD'HUI MARDI 17h boulevard albert II n°9 Bxl 1210
-
FR// Depuis dimanche après-midi 15 heures, des demandeurs d'asile et des citoyens solidaires occupent le futur centre national de crise national. Ils réclament des places dans le réseau d'accueil de Fedasil pour les 70 demandeurs d'asile abrités dans le bâtiment et des solutions urgentes pour que tous les demandeurs d'asile reçoivent l'accueil auquel ils ont droit (comme l'activation du plan national de crise ou un plan de répartition dans les communes).

Les demandeurs d'asile et le groupe de soutien sont toujours déterminés à y rester, malgré le fait que la police continue de bloquer l'accès au bâtiment. Les conditions d'occupations commencent à se dégrader.

Il est complètement inconcevable que l'état continue un siège inhumain alors même qu'il est sensé prendre soin des demandeurs d'asile s'y trouvant. Rappelons aussi que ce siège est complètement illégal et ne se repose sur aucune législation. Si les occupent.e.s ont réussi à faire rentrer de la nourriture et des couvertures, le sentiment d'enfermement est total et a des impacts sur la santé physique et mentale des personnes.

Il a uniquement pour but de saboter une solution provisoire trouvée par des citoyen.ne.s solidaires. A l'interpellation citoyenne sur le fait que l'état est dans le non respect du droit en matière d'accueil des demandeurs d'asile, les autorités répondent par des nouvelles illégalités. Répondons par plus de solidarité!

RDV devant l'occupation pour demander la levée du siège et une solution pour tous les demandeurs d'asile: aujourd'hui à 17h, rue Georges Matheus 25

NL// Sinds zondagmiddag 15u bezet een groep asielzoekers en solidaire burgers het toekomstige nationale crisiscentrum. Ze eisen plaatsen in het Fedasil-opvangnetwerk voor de 70 asielzoekers die in het gebouw zijn ondergebracht. Daarnaast dringen ze aan op oplossingen om ervoor te zorgen dat alle asielzoekers de opvang krijgen waar ze recht op hebben (zoals de activering van het nationale crisisplan of een verplicht spreidingsplan in de gemeenten).

De asielzoekers en de steungroep zijn nog steeds vastbesloten daar te blijven, ondanks het feit dat de politie de toegang tot het gebouw blijft blokkeren. De omstandigheden voor de bewoners van het gebouw beginnen echter zienderogen te verslechteren.

Het is volstrekt ontoelaatbaar dat de staat een onmenselijke belegering voortzet terwijl hij geacht wordt zich over de asielzoekers te ontfermen. De belegering is bovendien volledig illegaal en is op geen enkele wetgeving gebaseerd. Hoewel de bezetters erin geslaagd zijn voedsel en dekens binnen te brengen, is het gevoel van opsluiting totaal en heeft het gevolgen voor de lichamelijke en geestelijke gezondheid van de mensen.

Het enige doel is het saboteren van een tijdelijke oplossing die door solidaire burgers is gevonden. Laten we reageren met meer solidariteit!

19/02/2023
Justice pour Sourour Abouda ! Il faut réclamer un accès au dossier immédiat ! Faisons entendre nos voix ! "Dans un premi...
03/02/2023

Justice pour Sourour Abouda !

Il faut réclamer un accès au dossier immédiat ! Faisons entendre nos voix !

"Dans un premier temps, la police a tenté de parler de la mort d’une « indigente ». On a ensuite présenté à la famille et dans la presse la thèse du « su***de ». Le parquet a exclu l'intervention d'un tiers.

Ensuite, l'heure du décès initialement communiquée, 7h du matin, semble entre temps avoir changée. La police parle dorénavant d'une constatation qui aurait eu lieu à 8h34.

Aujourd’hui, on apprend également, sur base des mêmes images qui devaient catégoriquement exclure la présence d’un tiers que cette thèse est « sérieusement remise en cause ». Le parquet a donc communiqué des informations erronées dans la presse.

On peut donc déduire que les images ne montrent pas de « su***de », qu’il s’agit d’une construction policière naturalisée par le parquet. Il faut nommer un juge indépendant et réouvrir toutes les hypothèses. La famille n’a toujours pas accès aux images, ni au dossier.

De plus Sourour, comme Dieumerci Kanda avant elle, n’a pas été arrêtée pour « ébriété » ce qui a permis à la police de l’emmener directement au commissariat sans passer par un médecin. Il est urgent de constituer la famille partie civile et de lui donner un accès plein et entier au dossier.

L’enquête doit être orientée dans les zones d’ombre, dans les angles morts des caméras, dans la salle de fouilles, le combi de police, etc. Mais une nouvelle fois le parquet joue un rôle de machine de propagande dans la presse de façon à blanchir préventivement la police.

De plus, la police a pris contact dans les premiers jours avec la famille et le PAC pour dire que « Sourour s’était suicidée », or aucun élément ne permet de privilégier cette hypothèse plutôt qu’une autre. La famille et le PAC ont été mis d’emblée sur une fausse piste. »

Sur base de cette énième tentative de blanchiment, il est essentiel d'exiger un accès immédiat au dossier pour la famille ainsi que la nomination d'un juge d'instruction indépendant." Anas Amara

Correction: la famille est constituée partie civile depuis le 16/01, mais cela ne donne pas accès aux images et dossier.

02/02/2023

Getting The Voice Out

Vérité et Justice pour Sourour Abouda  ❤️🖤
31/01/2023

Vérité et Justice pour Sourour Abouda ❤️🖤

AFFAIRE DIEUMERCI KANDA: «JE SUIS SÛRE QUE MON FRÈRE N’EST PAS MORT PENDU DANS UN COMMISSARIAT»Sa soeur prend la parole....
17/01/2023

AFFAIRE DIEUMERCI KANDA: «JE SUIS SÛRE QUE MON FRÈRE N’EST PAS MORT PENDU DANS UN COMMISSARIAT»

Sa soeur prend la parole.

Nous sommes en Belgique, en 2015. Dieumerci Kanda part déposer plainte dans un commissariat bruxellois pour le vol de sa carte d’identité. Il en ressort mort, quelques heures plus t**d. D’après la police, cet entrepreneur de 41 ans, père de famille, est arrivé ivre. Il aurait été ensuite placé en cellule de dégrisement et se serait pendu. Sa famille, dont sa sœur Nicole, rejette en bloc cette version, dénonce de multiples incohérences et porte plainte contre la police. Après un non-lieu, la famille est repartie de zéro en confiant l’affaire à une nouvelle avocate. En parallèle, Nicole Kanda, styliste et ancienne infirmière, multiplie les apparitions publiques en Belgique. Elle nous livre son témoignage.

****

Un soir, en 2015, mon frère sort avec des amis. Il rentre à l’aube, puis se rend compte qu’on lui a volé son porte-feuille. Il part alors au commissariat d’Anderlecht faire une déclaration de perte. Il n’est jamais revenu… Dans la matinée, sa compagne reçoit un appel de la police. «Votre mari est chez nous, entre de bonnes mains, on va prendre sa plainte mais il va rester un peu avec nous.» Quelques heures plus t**d, elle reçoit un second appel de la police, qui lui demande de se rendre à l’hôpital. On l’informe que son mari est dans le coma, qu’il a tenté de se su***der, qu’il s’était pendu. Quand elle arrive sur place, Dieumerci est dans le coma, en état de mort cérébrale. Il décède trois jours plus t**d.

Nous, immédiatement, on n’y croit pas une seule seconde. Ma soeur avait eu mon frère au téléphone la veille, il avait promis à ma maman de déjeuner avec elle. Et c’était un tel bon-vivant ! Non, on n’y croit pas. Je me dis que c’est une mauvaise blague. Et pourtant… J’emmène alors ma belle-sœur au commissariat. Les policiers nous donnent des explications : ils ont dû mettre Dieumerci en cellule de dégrisement car il était alcoolisé et menaçant. Ils l’auraient retrouvé pendu avec son débardeur. On demande à voir la vidéo, les policiers refusent.

Très vite, tout est fait pour le décrédibiliser. Les premiers articles sur mon frère sont à charge. Des journalistes reprennent la communication de la police, le présentant comme une personne saoule et dangereuse. Manque de chance : c’est un entrepreneur sérieux, père de famille, qui ne se drogue pas, tout sauf violent. Son seul tort a été de boire en faisant la fête avec ses amis. Les médias évoquent également cette vidéo qui prouverait le su***de par pendaison mais elle reste mystérieusement inaccessible. Le dossier, lui, est incomplet : absence des notes des ambulanciers, absence de témoins au commissariat, absence du dossier médical… Ce même dossier médical, auquel j’ai finalement eu accès, qui remet sérieusement en cause la version d’un su***de par pendaison avec son débardeur.

«LA MARQUE SUR SON COU CORRESPOND À UN OBJET FIN»
Pour nous, la police cache quelque chose. Il existe trop d’incohérences, et c’est d’ailleurs ce que m’ont dit les médecins à l’hôpital : «Ça ne colle pas, demandez à voir la vidéo, ne lâchez pas.» L’infirmière, elle, m’a conseillé de prendre discrètement des photos de la marque sur son cou, qui correspond à un objet beaucoup plus fin qu’un débardeur. Et pourtant, une autopsie, ordonnée par le parquet, valide la version de la police. Je la conteste, elle diffère trop du dossier médical – je précise que j’ai longtemps été infirmière. Mais dans l’émotion et pour respecter certaines traditions, notre famille abandonne l’idée d’une contre-expertise. Quelle erreur, on aurait dû en faire une.

Finalement, deux ans après sa mort, on nous montre une vidéo : on voit Dieumerci arriver au commissariat et, d’un coup, tout devient noir. L’informaticien du tribunal ne peut rien faire, c’est illisible. On se croirait dans un film hollywoodien. Les audiences sont sans cesse reportées. Tout ça pour apprendre, en 2020, que la juge a prononcé un non-lieu l’année passée, sans même nous convoquer !

Un non-lieu ? Moi, je n’ai aucun doute là-dessus : c’est un crime raciste. Nous sommes nombreux à avoir vécu ça en Belgique. Regardez aussi en France, Assa Traoré et d’autres… Il est d’ailleurs intéressant de noter qu’à chaque fois, on essaie toujours de décrédibiliser les victimes. Ils ont essayé avec mon frère, ils ont échoué. Quand bien même, imaginons qu’il se soit vraiment suicidé : eh bien quoi qu’il arrive, mon frère était sous la responsabilité des policiers. Ils devaient veiller sur sa vie. Alors comment expliquer ce non-lieu ? Non, ce n’est pas acceptable. Récemment, nous avons engagé une nouvelle avocate. Elle attend de pouvoir accéder aux pièces du dossier. On reprend tout à zéro. Nous voulons la vérité.

«JE NE CROIS PLUS EN LA JUSTICE»
Vous savez, j’ai beau habiter à Uccle – un peu comme Neuilly en France, les beaux quartiers bruxellois –, le racisme systémique, je le connaissais avant cette affaire. Le comportement de la police envers les Noirs… On a tous vécu, vu ou entendu des choses… Mais jamais je n’aurais imaginé un tel traitement envers notre famille, y compris par l’institution judiciaire. Après ces cinq années de combat, je ne crois plus en la justice. Non. Je n’y crois pas. Décidément, nous n’avons pas la bonne couleur de peau. Et peut-être que le pire, c’est de voir que la population participe à cela. Tous ces commentaires racistes, en bas des articles ou sur les réseaux sociaux. «Ces gens-là, comme d’habitude, ils ne savent pas se tenir. Oui encore un machin qui a fait ça…» Comme si nous méritions cela ! C’est vraiment dur à vivre.

Face à ce que notre famille traverse, ce n’est plus de la tristesse que je ressens, mais de la colère. De la colère envers une partie des Belges ; de la colère, aussi, face à ce mur qui se dresse devant nous. On ne peut pas faire notre deuil. Ma mère est morte ce mois-ci sans savoir ce qui était arrivé à son fils… Ce que j’ai vu dans ce dossier n’est pas digne d’un pays de droits de l’homme. Sans parler de ces procédures qui durent des années, coûtent cher, nous fatiguent, bloquent cette quête de vérité. Déjà que pour notre famille cela s’avère extrêmement compliqué, alors imaginez pour ceux qui n’ont aucune ressource ! Comment font-ils ? Ils ne peuvent pas, tout simplement.

Par ailleurs, aujourd’hui, quand j’ai un problème, j’appelle la police ou je ne l’appelle pas ? Qu’est-ce que je fais ? Je vais au tribunal ou je ne vais pas au tribunal ? Je fais appel aux institutions ou je règle le problème moi-même ? Et que dire aux enfants de mon frère, lorsqu’ils ont peur en passant devant un commissariat ou en entendant des sirènes de police ? Voilà les questions que nous, minorités, nous posons. Voilà le pays dans lequel on vit. Sauf que maintenant, comme d’autres, je ne laisse plus rien passer. On crie, on dénonce, on dépose plainte. Désormais, je suis beaucoup plus engagée qu’il y a cinq ans. Ma vie n’est plus la même, c’est un nouveau quotidien, éprouvant. Se battre, les avocats, les journalistes, parler, manifester…

La seule chose qui m’a rassurée, c’est de voir la manifestation Black Lives Matter en juin, à Bruxelles. Voir toutes ces personnes blanches marcher à nos côtés, pour nous soutenir, donne de l’espoir. En 2015, il y a eu des manifestations pour mon frère, mais c’était principalement des personnes noires, c’était la communauté. Pour les autres, Dieumerci n’était qu’un Noir, un étranger, un voyou. Là, des gens de tous horizons, notamment la jeunesse belge, commencent à se rendre compte que quelque chose cloche dans ce pays. Alors oui, vraiment, ça donne de l’espoir.

VOUS N’ALLEZ PAS RESTER LÀ SANS RIEN DIRE ?
FAITES VOUS ENTENDRE...

par NICOLE KANDA, 03 NOVEMBRE 2020 dans URBANIA

16/01/2023

Appel à témoins !
Avez-vous vu Sourour Abouda (voir photo) dans la nuit du 11 au 12 janvier après son repas entre collègues à Anderlecht ?
Cette mère de famille a été retrouvée morte dans une cellule du commissariat de police rue Royale à Bruxelles.
Avez-vous assisté à son arrestation (qui aurait eu lieu rue Américaine) ? L'avez-vous vue dans le quartier du Châtelain à Ixelles ?

Justice et vérité pour Sourour Abouda ! Rassemblement dans le recueillement ce dimanche à 18h.
15/01/2023

Justice et vérité pour Sourour Abouda !
Rassemblement dans le recueillement ce dimanche à 18h.

« Bonjour, je vous contacte car nous sommes inquiets pour notre frère Umuhire Yves-Marie. Il a 38 ans et est d’origine r...
26/12/2022

« Bonjour, je vous contacte car nous sommes inquiets pour notre frère Umuhire Yves-Marie. Il a 38 ans et est d’origine rwandaise.
Il mesure 1m82 et pèse 90kg environ. Il est de nature assez joviale et respectueuse.

Nous n’avons aucune nouvelle de sa part depuis la nuit de jeudi à vendredi 2h du matin après qu’il ait quitté une soirée située au 412 avenue Louise à Bruxelles. Il y a perdu son téléphone ainsi que sa veste dans laquelle il y avait probablement la clé de chez lui.

Il a été vu par l’un de ses voisins à 19h à la rue Henri Bergé à Schaerbeek le vendredi 23/12. Il a dit à ce voisin qu'il allait rejoindre son frère sur Asse mais il n'est jamais arrivé à destination et depuis plus aucune manifestation de sa part. Il prend normalement le train à la Gare du Nord pour faire ce trajet. Donc si vous l'avez vu dans ces environs ou à Asse ce soir-là, faites-le nous savoir SVP.

La police de Schaerbeek a pris la plainte au sérieux car cela n’est pas dans ses habitudes.
Si vous avez la moindre information, n’hésitez pas à contacter la police de Schaarbeek au numéro suivant : +32 2 249 24 10 et à me contacter, Yves Umugisha, au 0032486/653.913 »

Don't Pay Belgique / On ne paiera pas Le problème des factures d'énergie est collectif et pas individuel⚡🗣️On ne payera ...
11/10/2022

Don't Pay Belgique / On ne paiera pas

Le problème des factures d'énergie est collectif et pas individuel

⚡🗣️On ne payera pas - 1ère Assemblée liégeoise🗣️⚡

📆Dimanche 16 Octobre, 16h, à la Cafétéria Collective Kali , viens partager tes craintes et questionnements et viens t'organiser avec d'autres face à la hausse des prix de l’énergie.

⁉️Que faire quand on ne peut plus ou ne veut plus payer ses factures ?

🤝✊Suivant l'exemple de la campagne "Don't Pay UK" au Royaume-Uni, nous voulons partager ensemble des outils et conseils pour nous défendre face à la hausse des prix de l'énergie et créer un rapport de force pour mette fin à ce vol organisé qui nous étouffe.

Cette première assemblée sera l'occasion de:
👉 Se rencontrer et partager nos situations et nos difficultés
👉 Lancer et construire ensemble, à Liège, la campagne décentralisée

Le but de cette campagne est de se compter, de se rassembler, de s'entraider et de défendre ensemble une organisation juste de la production, de la fourniture et de la consommation d'énergie.!

08/10/2022

Les manifestants pour le climat vont se réunir pour une action ce week-end avec un mode d’action particulier : la désobéissance civile de masse visant le groupe Total Énergies. Chloé Mikolajczak, porte-parole Coalition Code Rouge, était l’invitée de +d’Actu. C’est la veille du prochai...

A demain 13:30 devant le Palais de Justice pour exiger Vérité Et Justice Pour Sabrina Et Wassim
20/09/2022

A demain 13:30 devant le Palais de Justice pour exiger Vérité Et Justice Pour Sabrina Et Wassim

En février dernier, la Chambre des mises en accusation de la cour d’appel de Bruxelles a pris la décision d’inculper trois des policiers responsables de la course poursuite qui a causé la mort de Sabrina et Ouassim. Elle a rappelé que les policiers n’ont pas le droit d’entamer des poursuites dangereuses, mettant la vie de plusieurs personnes en danger, pour des infractions au code de la route qui peuvent être sanctionnées par des amendes.
Pour rappel, le 9 mai 2017, Ouassim roulait à moto. Sabrina était passagère. La police les ont poursuivis parce qu’ils n’auraient pas respecté la limite de vitesse et qu’ils n’auraient pas porté de chaussures adéquates. Une voiture s'est placée en travers de la route juste à la sortie d’un tunnel. Ouassim n'a donc pas pu voir cette voiture en sortant de ce tunnel. La collision inévitable a entrainé la mort de Sabrina et Ouassim.
Les conducteurs de la voiture qui poursuivaient directement la moto et le conducteur de la voiture qui a bloqué la sortie du tunnel vont enfin devoir expliquer leur point de vue devant la Chambre des mises en accusation. La Chambre décidera ensuite s’il y a suffisamment d’éléments dans le dossier pour renvoyer les trois policiers devant un Tribunal qui décidera si les policiers de la mort de Ouassim et Sabrina et quelle peine il convient de leur donner.
Chaque étape a été un combat pour la famille des victimes et la procédure est épuisante. La mobilisation est toujours aussi nécessaire.
L'audience aura lieu le 21 septembre 2022 à 14h au palais de Justice. Rassemblement à 13h30 place Poelaert.

➡️ Locataires en galère, mon indexation est trop chère
07/09/2022

➡️ Locataires en galère, mon indexation est trop chère

Pénurie de sang - Belgique // Les stocks de sang sont critiques, des soins sont reportés. C'est une urgence. Informez au...
04/08/2022

Pénurie de sang - Belgique // Les stocks de sang sont critiques, des soins sont reportés. C'est une urgence. Informez autour de vous et si vous le pouvez : donnez !
Soutien au Collectif Drepanocytose Asbl et aux patient-es dans l'attente de soins vitaux. Notamment à Mimi (vidéo en commentaire)

12/06/2022

🚩MÉMOIRES DES LUTTES BELGES

#8 "Balai Libéré": l'autogestion des travailleuses du nettoyage de l' UCLouvain – Université catholique de Louvain (1975-1990)

Contexte 🤔 :

À la fin des années 60, les grands syndicats belges (FGTB, CSC) se trouvent dans une impasse intellectuelle et politique liée à leur institutionnalisation croissante et à leur manque de démocratie interne. C’est à ce moment-là que la notion d’autogestion commence à émerger afin de répondre à un désir grandissant de radicalité dans les milieux ouvriers.

Un aspect intéressant des expériences d’autogestion en Belgique réside dans leur pragmatisme. En effet, le mouvement s’est rapidement concentré sur la manière de mettre en place l’autogestion d’une entreprise, plutôt que par sa définition théorique. Ce trait peut expliquer la longévité de certains mouvements comme celui du « Balai Libéré » qui fonctionna de 1975 à 1990.

Déroulé des évènements 💥 :

Le 25 février 1975, les ouvrières travaillant pour la société de nettoyage ANIC qui effectuent en sous-traitance les travaux de nettoyage pour l’Université Catholique de Louvain sur le site de Louvain-La Neuve se mettent en grève. Celle-ci éclate suite à la décision du patron d’envoyer une vingtaine de travailleuses sur un chantier à 150 km de leur lieu de travail habituel. Cette grève fait également suite à un précédent conflit avec le patron. Les griefs des ouvrières sont multiples : salaire plus bas que la moyenne, frais de déplacement non-remboursés, des mois de travail non-déclarés, etc.

Aidées par des militants de la CSC, les ouvrières mettent en place des groupes de travail afin de formuler des revendications. Rapidement, elles commencent à remettre en cause l’utilité d’avoir un patron pour effectuer un travail qu’elles connaissent mieux que quiconque. Quelques jours plus t**d, elles adressent une lettre de licenciement à leur patron et à leur brigadier :
« réunies depuis une semaine dans des groupes de travail et en assemblée générale, les ouvrières de feu votre firme ont constaté ce qui suit : tout d’abord nous constatons après une étude approfondie de notre travail que nous pouvons parfaitement l’organiser entre nous. (...) Ensuite, nous découvrons que votre rôle principal a été de nous acheter notre force de travail à un prix négligeable pour la revendre à un prix d’or à l’UCL (...) Nous sommes au regret de vous signifier votre licenciement sur le champ pour motif grave contre vos ouvrières ».

Le 10 mars 1975, elles créent l’ASBL “Le Balai Libéré” . En juillet 1979, l’association se convertit en coopérative. La plupart des nettoyeuses et les 6 laveurs et laveuses de vitres prennent des parts dans la coopérative. Des 35 personnes en 1975, elles sont 96 en 1980. L’organisation de l’autogestion évolue à plusieurs reprises durant ses quinze années, avec notamment l’abrogation de toute forme de hiérarchie et l’instauration d’une tentative de rotation des fonctions dans l’autogestion. “Le Balai Libéré repose également sur une assemblée générale où les orientations se décident.

Durant ces 15 années, plusieurs améliorations des conditions de travail prennent place : meilleure coordination, conception des horaires liés au transport en commun, aux contraintes de la vie, égalité dans les salaires et augmentation des salaires au barème du secteur, avantages sociaux (par exemple absence sans perte de salaire pour maladie d’un enfant). Cependant, les ouvrières font également face à des difficultés internes, telles que la prépondérance de certaines ouvrières dans l’organisation ou encore la marginalisation des laveurs de vitre dans les processus de décision.

Impact 🎯 :

“Le Balai Libéré” est un des piliers majeurs de l’expérience autogestionnaire belge des années 70 et 80 et a créé les conditions pour une réelle émancipation ouvrière. Au-delà de l’accaparement du processus de décision, cette émancipation passe également par un enrichissement de ses propres compétences. Cela se traduit par un investissement dans la gestion de la coopérative, la prise de parole répétée, le choix de formations complémentaires comme des cours de secourisme, etc.

Les mots de Monique Kerouaton, membre du “Balai Libéré, cernent bien la portée d’une telle expérience :
« Pour moi, notre expérience d’autogestion, c’est à une petite échelle, dans un
endroit déterminé, ce que peut être une société socialiste. C’est dur, mais ça vaut le
coup. On nous a tellement conditionné (sic) à ce que d’autres décident à notre place,
aient le pouvoir, le savoir que nous doutons de nos possibilités. (...) nous sentons
que nous sommes porteuses de tout un espoir de la classe ouvrière et nous
prouvons chaque jour que cela est possible, que ça vaut le coup. Nous devenons des
femmes responsables, des femmes libérées»


Sources 📖:

Nicolas Verschueren (2020). « Une utopie ouvrière à l’aube de la société post-industrielle. Le « Balai libéré » et les expériences d’autogestion en Belgique », Histoire Politique [En ligne], 42

  Brahim Saadoune (citoyen marocain, résident ukrainien, étudiant à la faculté polytechnique, engagé volontaire dans la ...
08/06/2022


Brahim Saadoune (citoyen marocain, résident ukrainien, étudiant à la faculté polytechnique, engagé volontaire dans la marine) est détenu par les envahisseurs russes. Il est actuellement victime d'un simulacre de procès le présentant comme un mercenaire. Sans une mobilisation internationale et médiatique, il sera condamné à mort. Ne restons pas silencieux. Chaque voix compte.

Bruxelles // samedi et dimanche, soyons nombreux-ses !
06/05/2022

Bruxelles // samedi et dimanche, soyons nombreux-ses !

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