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Politique.*HINA: un membre influent de l'UNDP démissionne et invite ses anciens camarades à rejoindre massivement les ra...
08/07/2023

Politique.
*HINA: un membre influent de l'UNDP démissionne et invite ses anciens camarades à rejoindre massivement les rangs du RDPC.*

WANDALA BAHANA, ancien cadre local de l'UNDP- l'union nationale pour la démocratie et le progrès à HINA dans le département du MAYO TSANAGA, région de l'Extrême Nord, vient de claquer la porte de son parti politique, au profit du RDPC- le rassemblement démocratique du peuple camerounais. Une démission rendue possible le 04 juillet dernier, après avoir échangé longuement avec le dynamique président de la section RDPC MAYO TSANAGA 5, WANDAI ALIOUME.

« Je demande pardon à la section RDPC MAYO TSANAGA 5, pour avoir passé mon temps dans l'opposition. Je regrette amèrement. Il ya de cela quelques jours, mes anciens camarades en panne d'idées et en perte de repères ont injustement accusé le président WANDAI ALIOUME de détournement de biens publics notamment les lits d'accouchement, alors qu'il n'en était rien.Tous ces matériels avaient été effectivement distribués. Le président de la section RDPC MAYO TSANAGA 5 n'avait rien détourné. Est-ce qu'il avait stocké ces lits d'accouchement chez-lui ou bien dans son magasin privé ? Rien de tout ça » a indiqué l'ex militant de l'UNDP et ex soutien de poids du maire de la commune de HINA.

Dans ses nouveaux habits politiques et désormais dans sa peau de militant du RDPC, le démissionnaire et actuel économe de L'hôpital de district de HINA fait connaître que « le RDPC reste le seul à pouvoir solutionner les différents problèmes de l'arrondissement de HINA. Nous devons croire à ce parti ainsi qu'au président de la section. Je milite pour sa vision politique et son projet de société qu'il propose pour faire rayonner notre arrondissement. J'invite mes anciens camarades à rejoindre massivement les rangs du RDPC»

Cette démission de l'ex cadre de l'UNDP est à mettre à l'actif du Président de la section RDPC MAYO TSANAGA 5 à HINA, qui a su le convaincre.
«Je souhaite la bienvenue au sein de notre parti, à notre désormais camarade WANDALA BAHANA. Il ne s'est pas trompé de chemin. Le RDPC est un parti d'avenir pour notre arrondissement et de développement, tel que prôné par le président national, le grand camarade Son Excellence PAUL BIYA. Nous avons un projet de société ambitieux pour transformer le visage de l'arrondissement de HINA. Le camarade WANDALA BAHANA a été séduit par notre vision politique» a exprimé WANDAI ALIOUME. Le Président de la section RDPC MAYO TSANAGA 5 fait savoir que « les portes de son parti restent et resteront ouvertes à tous ses frères et sœurs, qui se sont trompés pour militer dans l'opposition. Je les invite à rejoindre les rangs du RDPC afin de contribuer davantage au changement de la physionomie de notre arrondissement. Nous avons la clé de développement de l'arrondissement de HINA.»

En rappel, la démission de cet ex militant de l'UNDP intervient dans un contexte où ses anciens camarades de parti, voulaient ternir l'image et saper les actions et efforts de développement du président de la section RDPC MAYO TSANAGA 5, en l'accusant injustement de détournement présumé de lits d'accouchement. Alors qu'il avait pris le soin de redistribuer ces matériels aux légitimes bénéficiaires, sans en détourner l'usage ni conserver ou stocker dans son domicile ou magasin privé. Le président WANDAI ALIOUME n'avait non plus revendu ces lits d'accouchement pour qu'on en arrive à l'accuser de détournement présumé de biens publics. Le compte rendu avait été régulièrement fait aux autorités compétentes pour leur haute information.

Depuis son accession à la tête de la section RDPC MAYO TSANAGA 5, le dynamique président WANDAI ALIOUME ne cesse de multiplier les actions au profit des populations locales de HINA. D'ailleurs il les place au cœur de ses actions. Selon plusieurs sources, le président WANDAI ALIOUME est très aimé par ces dernières, au regard de son attention accordée à l'intérêt général.

*Amandine Ngogang, Le Direct De L'info*

*CAMEROUN- HINA.**Calomnie : Le président de la section RDPC MAYO TSANAGA 5 n'a jamais détourné de lits d'accouchement.*...
29/06/2023

*CAMEROUN- HINA.*
*Calomnie : Le président de la section RDPC MAYO TSANAGA 5 n'a jamais détourné de lits d'accouchement.*

*ALIOUM WANDAI, injustement accusé de détournement de biens publics à HINA, est malheureusement victime de cabale, orchestrée honteusement par ses adversaires politiques.* Dans le seul but de salir son image et saper ses multiples actions.

Dynamique, affable, sociable et visionnaire, le président de la section RDPC MAYO TSANAGA 5 dans la région de l’Extrême-Nord est victime de ses qualités. ALIOUM WANDAI est accusé par ses adversaires politiques, de « détournement présumé de biens publics » notamment 07 lits d’accouchement. Après recoupement, il n’en est rien. Le président de la section RDPC MAYO TSANAGA 5 n’a jamais détourné les lits d’accouchement destinés au district de santé de HINA.

*Pourquoi avoir déchargé ce matériel ?*

Pour des raisons injustifiées, Le maire de la localité refuserait, de récupérer à l’hôpital régional annexe de Mokolo, des produits pharmaceutiques mis à sa disposition et destinés aux populations, et qui malheureusement se périment, alors que tous les autres arrondissements du département de Mayo-Tsanaga étaient rentrés en possession de leurs lots. Après constat et face à ce refus, les responsables de cette formation sanitaire ont donc sollicité le président de la section RDPC MAYO TSANAGA 5 et élite du coin, aux fins de décharger lesdits produits et de les redistribuer aux bénéficiaires. Soucieux de l’amélioration des conditions de vie de ses concitoyens, Monsieur ALIOUM WANDAI prend des dispositions idoines et décharge ces médicaments, dont une bonne quantité était déjà périmée hélas ! La distribution se fait dans les règles de l’art dans les lawanats.
Quelques mois après, le conseil régional de l’Extrême-Nord dote les formations sanitaires, de lits d’accouchement et d’hospitalisation. Le lot de l’arrondissement de HINA constitué de 7 lits d’accouchement, restera encore en souffrance sous des intempéries à L’hôpital régional annexe de Mokolo. Les responsables de L’hôpital régional annexe de Mokolo informeront et inviteront le maire de la commune de HINA, qui malheureusement brillera encore par son absence. Se remémorant de la récente réaction prompte du président de la section RDPC MAYO TSANAGA 5, lui feront recours, une fois de plus. C’est ainsi que ALIOUM WANDAI, malgré son agenda chargé, s’occupera de décharger ledit matériel et ramener à ses frais à HINA, puis les redistribuera quelques jours après à 7 lawanats de son arrondissement pour l’amélioration de la santé de toutes les populations sans aucun calcul ni arrières pensées politiques et sans distinction de chapelles politiques. C’est sous le couvert du conseil régional de l’Extrême-Nord que ce matériel a été redistribué à 07 localités de cette unité administrative, avec un compte rendu fidèle aux autorités administrative, sanitaire et sécuritaire de la place.

*De quel détournement de biens publics parle-t-on ?*

Le détournement de biens publics se définit comme étant une opération illégale qui consiste à utiliser des titres appartenant à la collectivité à des fins autres que l’intérêt public. Au regard de cette définition, Aucun détournement de biens matériels n’a été enregistré à HINA. Les 7 lits d’accouchement querellés, n’ont jamais été vendus ni remis à la seule famille du président WANDAI ALIOUM. Ils ont été mis à la disposition des légitimes bénéficiaires et tout le monde peut aller vérifier auprès des structures bénéficiaires. L'intérêt général a été bel et bien mis en avant. Ce matériel en aucun moment, ne s’est retrouvé dans un magasin privé appartenant au président de la section RDPC MAYO TSANAGA 5. En effet, en perte vitesse et jaloux du dynamisme du président de la section RDPC MAYO TSANAGA 5, ses adversaires politiques tentent de salir son image. Ces derniers ne lésinent pas à sauter sur des petites failles pour saper honteusement les efforts de WANDAI ALIOUM, qui est aimé par les populations de HINA.

*Faille*

C’est profitant de la cérémonie de remise de dons constitués de matériels sportifs aux jeunes de la sous-section OJRDPC de KAFTAKA le 03 juin 2023, que le président WANDAI ALIOUM a procédé à La redistribution de ces 7 lits d’accouchement. Au regard des documents à notre disposition, Il n’est jamais mentionné que le président de la section RDPC MAYO TSANAGA 5 en est le donateur.
Pour les adversaires politiques, c’est un crime, assimilé à un détournement de biens publics, «parce qu’il a couplé la redistribution desdits lits à un événement de son parti politique.»

*En conclusion,* aucun détournement de biens publics n’a été enregistré. Il s’agit plutôt d’une mauvaise interprétation des adversaires politiques, pour salir l’image du président de la section RDPC MAYO TSANAGA 5, WANDAI ALIOUM. Tout le matériel d’hospitalisation a été régulièrement redistribué. La documentation y relative est disponible et peut être consultée par tous. Un dicton de chez-nous dit « la banane qui doit murir, même dans l’eau finit par murir». Les détracteurs du président WANDAI ALIOUM ne pourront pas freiner son ascension ni ses multiples actions.

*Source : journal Développement local*

*BANWA**Le comité de développement promeut l'excellence scolaire.* *Le comité de développement de Banwa ( CODEBA) a prim...
25/06/2023

*BANWA*
*Le comité de développement promeut l'excellence scolaire.*

*Le comité de développement de Banwa ( CODEBA) a primé les meilleurs élèves et enseignants de l'école publique de Banwa Centre, le vendredi 16 juin dernier à l'esplanade de cette école située dans le département du Haut Nkam, région de l'Ouest Cameroun. La cérémonie couplée à la commémoration du 63e anniversaire de cette école, était présidée à son esplanade par l'adjoint au sous-préfet de Banwa, Monsieur MPOUMBA MICHEL ROLEX en compagnie du président du CODEBA, Sa Majesté WOUASSOM TCHATCHOUA DIMITRI et des membres du bureau exécutif du CODEBA.*

Au total, 30 meilleurs élèves et 04 meilleurs enseignants de l'école publique de Banwa Centre, ont été primés le vendredi 16 juin 2023, par le comité de développement de Banwa (CODEBA). Les fournitures scolaires constituées de cahiers, livres, bics, crayons, gommes, ardoises, traceuses, boîtes de craies et académiques... ont été distribuées aux 6 meilleurs élèves de chaque classe et 04 meilleurs enseignants qui se sont démarqués au cours de l'année scolaire écoulée.

«Je suis très flatté et très content du soutien que le comité de développement de Banwa ( CODEBA) a apporté à l'école publique de Banwa Centre à l'occasion de la célébration de son 63e anniversaire couplée à la distribution des prix aux meilleurs élèves et enseignants qui se sont distingués par le bon travail. Les parents, les élèves et les enseignants étaient très contents pour cette 1ere édition. Notre souhait est que l'action du CODEBA se pérennise afin d'encourager davantage les élèves et les enseignants à produire de meilleurs résultats. Sincères remerciements à ce mouvement qui promeut l'excellence scolaire. MERCI et longue vie au CODEBA» a exprimé tout joyeux le directeur de l'école publique de Banwa Centre, Denis TCHOGA.

Pour le président du comité de développement de Banwa ( CODEBA), Sa Majesté WOUASSOM TCHATCHOUA DIMITRI, « le mouvement de développement communautaire ( CODEBA) ne ménagera aucun effort pour soutenir l'éducation des enfants de l'arrondissement de Banwa. Le CODEBA va toujours encourager les élèves qui se démarqueront par le travail. Nous soutiendrons l'excellence scolaire régulièrement. J'invite nos cadets à s'intéresser à l'école. Ils doivent se concentrer sur leurs études, seules garanties de leur avenir. Ils doivent comprendre qu'ils sont l'avenir de demain. Investir dans votre éducation n'est pas une perte. À notre époque, nous n'avions pas cette chance d'être encouragés et primés. Mais nous allons nous battre pour contribuer et soutenir votre Éducation. Nous remercions sincèrement tous ceux qui se sont mobilisés pour la réussite de cet important événement, en envoyant leurs contributions».

*L'excellence scolaire sera étendue dans plusieurs autres écoles.*

«L'initiative de l'excellence scolaire ne se limitera pas seulement à l'école publique de Banwa Centre. Dans les prochains mois, le CODEBA va étendre l'initiative d'excellence scolaire dans les autres établissements scolaires de l'arrondissement de Banwa,.afin d'encourager davantage les meilleurs élèves et enseignants » a promis le président du CODEBA.

Source: Amandine Ngogang, Celcom CODEBA

02/06/2023
30/05/2023

SOS / AVIS DE RECHERCHE.

Le Rejoddel lance la recherche des personnes suivantes basées dans la ville de Douala, pour affaire urgente les concernant. Il s'agit de :

1- Mlle NGOUANA JULIE

2- DAME TSAYEM DJODUE RODOLPHINE MIRABELLE

3- NUGANGA TERENCE

Si vous les connaissez, prière de leur demander de rentrer en contact de toute urgence avec le Rejoddel aux 676 72 81 57/ 655 63 73 66

07/05/2023

*Baleng Ernest Marius, un magistrat corrompu qui fait honte à la justice Camerounaise.*
*Redouté et vilipendé par le grand public, le juge d’instruction no2 aux Tribunaux de Première et de Grande instance de Bafang et du Haut Nkam aurait confirmé sa réputation de ‘’magistrat véreux’’ dans la gestion de l’affaire de l’assassinat de Inès Tchouamaleu Tchanko, au point d’en être dessaisi.*

C’est une vérité de Lapalisse que de dire que le Cameroun est malade de sa justice. Lenteur, laxisme, corruption, partialité… Les critiques sont nombreuses, et les Camerounais très souvent désarmés, lorsqu’ils sont pris dans les rouages de l’appareil judiciaire. Par habitude ou par paresse, l’instruction est généralement menée à charge contre la personne poursuivie. Surtout quand le justiciable n’a pas d’argent ou ne compte pas de personnalités influentes dans son carnet d’adresses. Ceux qui ont eu affaire au système ont retenu la leçon au Cameroun, la justice n’est pas bonne fille avec les faibles. L’illustration patente nous vient des tribunaux du département du Haut Nkam où le magistrat Ernest Baleng ferait la pluie et le beau temps. Cette fois-ci ; en voulant manipuler à sa guise le dossier de l’assassinat de la jeune Inès Tchouamaleu Tchanko, sur fond de corruption et de népotisme, celui-ci lui a été enlevé des mains et confié à un autre magistrat. Un pied de nez qui, sous d’autres cieux aurait mérité une sanction disciplinaire. En effet, après avoir acté les vices de procédure et le doute de l’impartialité du juge d’instruction Baleng Ernest, dans le traitement du dossier de l’assassinat de Tchouamaleu Tchanko Inès, qui était encore en information judiciaire dans son cabinet, la chambre de contrôle de l’instruction de la cour d’appel de l’Ouest par arrêt N°267/CCI du 23 juin 2022 donnait mainlevée des mandats de détention provisoire décernés contre les 3 policiers du commissariat de sécurité publique de Kekem, suite aux ordonnances de mise en détention abusive initiées par le juge d’instruction Baleng Ernest Marius. Cette décision de la CCI renvoyait parallèlement le dossier à un autre juge d’instruction en vue de la poursuite de l’information judiciaire. Depuis lors, le dossier a été renvoyé à un magistrat instructeur du tribunal de grande instance de la MIFI. Au bout de 7 mois, l’information judiciaire a été bouclée et l’audience d’ouverture effective des débats programmée le 20 février 2023 dernier au palais de justice de Bafoussam.
Contrairement au juge d’instruction Baleng Ernest Marius qui durant 1 an, soit du 21 juin 2021 au 23 juin 2022, sciemment n’avait pas pu boucler l’information judiciaire et ouvrir les débats au tribunal de Bafang. Ce dernier savait bien ce qu’il manigançait.

*L’affaire*

Dans la nuit du 14 au 15 mai 2021, M. Tchouankwi Paulin Armel, matelot de 2e classe en service à la base navale de Douala, aurait commandité l’assassinat de son ex copine, Inès Tchouamaleu âgée de 18 ans et élève en classe de 1ere F4 au lycée technique de Kekem. Suite à une rupture de relation amoureuse. Au regard des éléments et rapports d’enquêtes, cet assassinat aurait été exécuté par le sieur Noubissie Etienne Roger alias Deass. Ces suspects restent en détention à la maison d’arrêt de Bafoussam en attendant leur jugement.
Des sources, lors de l’audition des policiers du commissariat de Kekem chargés de l’enquête, le juge Baleng Ernest Marius les aurait intimidés, exerçant sur eux une pression du diable, histoire de les détourner des faits qui les auraient menés vers la vérité. Plus grave, lesdits policiers auraient été arbitrairement placés en détention préventive à la maison d’arrêt de Bafang pour un supposé complément d’enquête. En réalité M. Baleng s’acharnait sur ces éléments de force de l’ordre sous le fallacieux prétexte qu’ils collaboraient avec la famille de la défunte et qu’ils auraient mis à leur disposition plusieurs éléments prouvant la culpabilité des mis en cause et surtout, les manœuvres dolosives du juge visant à tronquer l’enquête parce qu’il aurait reçu des bakchichs. Seulement, au terme d’une enquête minutieusement menée par plusieurs unités gendarmerie et police…, la culpabilité des policiers n’a nullement été prouvée. Par contre, plusieurs éléments de preuve versés dans le dossier incrimineraient fortement Sieur Tchouankwi Paulin Armel et son complice Noubissié Etienne Roger. Le magistrat Baleng, partial avec son angle d'enquête préalablement défini, se serait basé sur le rapport d’enquête biaisé de sieur Simon Pierre Ondo, commandant de la brigade de Kékem, un autre corrompu jusqu’à la moelle épinière, pour culpabiliser les innocents policiers et motiver leur mise en détention arbitraire durant plus de 6 semaines à la prison principale de Bafang. Ce en violation des droits de l’un des policiers (officier de police judiciaire et 2eme adjoint au commissaire de Kékem) conformément à l’alinéa 2 de l’article 634 du code de procédure pénale qui dispose «(2) Lorsqu’un Préfet ou tout autre chef de circonscription administrative ou un officier de police judiciaire a commis un crime ou un délit dans l’exercice et même hors de l’exercice de ses fonctions, le Procureur de la République transmet le dossier au Procureur Général pour en saisir le Président de la Cour d’Appel compétente. Celui-ci dé- signe le parquet chargé de diligenter les poursuites et la juridiction de jugement compétente pour en connaître. (3) Dans les cas prévus aux alinéas (1) et (2), la pour- suite, l’instruction et le jugement doivent être confiés à des juridictions de l’ordre judiciaire autres que celles de la province, du département, de l’arrondissement, ou du district selon le cas, où le mis en cause exerce ses fonctions. »

*Témoignages fictifs*

Dans le rapport biaisé du ‘’véreux’’ commandant de brigade de Kékem, des témoignages fictifs attribueraient faussement la mort de cette jeune fille aux innocents policiers de Kékem. Il convient de rappeler que le commandant de Brigade de Kékem après avoir été soudoyé récemment par la famille du commanditaire de ce crime crapuleux, aurait blanchi les présumés assassins dans son rapport d’enquête, malgré tous les éléments de preuve disponibles. Toute chose qui aurait conduit M. le Procureur de la république de céans, à le dessaisir du dossier et confier l’en - quête au Commandant de Compagnie de Bafang en phase avec le commissariat de sécurité publique de Kékem. Toujours des mêmes sources, la collusion du Commandant de Kékem avec la famille des prévenus, avait fait l’objet d’une réunion de crise convoquée en fin mai 2022 par le sous-préfet de Kékem, qui était très remonté contre ce sinistre personnage. Au cours de ladite réunion, toute honte bue, le Commandant de Brigade de Kékem avait reconnu les faits. Cet acte avait considérablement dégradé les relations et liens professionnels entre lui et d’autres chefs de services d’arrondissement de Kékem. En attendant le dénouement définitif de cette histoire scabreuse, c’est une guerre larvée qui sévit entre les différentes autorités du Haut Nkam ayant touché à ce dossier qui s’avère désormais sulfureux et riche en rebondissements.
Ernest Zigli, le Zénith

07/05/2023
*Pour vices de procédure et suspicion de corruption : un magistrat de Bafang ainsi que les tribunaux d'instances du Haut...
13/04/2023

*Pour vices de procédure et suspicion de corruption : un magistrat de Bafang ainsi que les tribunaux d'instances du Haut-Nkam déssaisis d'une affaire d'assassinat.*

Après avoir acté les vices de procédure et le doute de l’impartialité du juge d’instruction Baleng Ernest Marius, dans le traitement du dossier de l'assassinat de Tchouamaleu Tchanko Inès, qui était encore en information judiciaire dans son cabinet, la chambre de contrôle de l’instruction de la cour d’appel de l’Ouest par arrêt N°267/CCI du 23 juin 2022 donnait mainlevée des mandats de détention provisoire décernés contre les 3 policiers du commissariat de sécurité publique de Kekem, suite aux ordonnances de mise en détention abusive initiées par le juge d’instruction Baleng Ernest Marius. *Cette décision de la CCI renvoyait parallèlement le dossier à un autre juge d’instruction en vue de la poursuite de l’information judiciaire.*

Depuis lors, le dossier a été renvoyé à un magistrat instructeur du tribunal de grande instance de la MIFI. Au bout de 7 mois, l’information judiciaire a été bouclée et l’audience d’ouverture effective des débats programmée pour le 20 février 2023 au palais de justice de Bafoussam. Contrairement au juge d’instruction Baleng Ernest Marius qui durant 1 an soit du 21 juin 2021 au 23 juin 2022, sciemment n’avait pas pu boucler l’information judiciaire et ouvrir les débats au tribunal de Bafang. Ce dernier savait bien ce qu’il manigançait.

En rappel, dans la nuit du 14 au 15 mai 2021, Sieur TCHOUANKWI PAULIN ARMEL, matelot de 2e classe en service à la base navale de Douala, a commandité l’assassinat de son ex copine, INES TCHOUAMALEU âgée de 18 ans et élève en classe de 1ere F4 au lycée technique de KEKEM. Suite à une rupture de relation amoureuse. Au regard des éléments et rapports d’enquêtes, cet assassinat a été exécuté par le sieur NOUBISSIE ETIENNE ROGER ALIAS DEASS. Ces suspects restent en détention à la maison d’arrêt de Bafoussam en attendant le jugement.
En outre, lors de l’audition des policiers du commissariat de KEKEM, SIEUR BALENG ERNEST MARIUS les a intimidés et exercés la pression sur eux dans le but de les désaxer loin des faits. P*s encore, suivi de leur incarcération abusive bien qu'éphémère. La famille a la mise en détention préventive et arbitraire à la maison d’arrêt de Bafang pour un supposé complément d’enquête, dont ont été victimes 03 policiers du commissariat de sécurité publique de Kékem, sur ordre de ce juge d’instruction qui ternit l’image de la justice camerounaise.
En réalité Sieur Baleng Ernest Marius s’acharnait sur ces éléments de force de l’ordre sous le fallacieux prétexte qu’ils collaboreraient avec la famille et qu’ils auraient mis à sa disposition plusieurs éléments probant la culpabilité de la corruption observée dans le traitement de cette affaire et qui sont susceptibles de nuire à ses intérêts.

En rappel, Au terme d’une enquête minutieusement menée par plusieurs unités gendarmerie et police…, la culpabilité des policiers n’a nullement été prouvée. Par contre, plusieurs éléments de preuve versés dans le dossier incriminent fortement Sieur Tchouankwi Paulin Armel et son complice Noubissié Etienne Roger. Ayant déjà défini son angle d'enquête préalablement en faveur des présumés coupables, Le magistrat véreux Baleng Ernest Marius s’est basé unilatéralement sur le rapport d’enquête biaisé de sieur Simon Pierre Ondo, commandant de la brigade ter de Kékem, un autre corrompu jusqu’à la moelle épinière, pour culpabiliser les innocents policiers et motiver leur mise en détention arbitraire durant plus de 6 semaines à la prison principale de Bafang. Ce en violation des droits de l’un des policiers (officier de police judiciaire et 2eme adjoint au commissaire de Kékem) conformément à l’alinéa 2 de l’article 634 du code de procédure pénale qui dispose «(2) Lorsqu'un Préfet ou tout autre chef de circonscription administrative ou un officier de police judiciaire a commis un crime ou un délit dans l'exercice et même hors de l'exercice de ses fonctions, le Procureur de la République transmet le dossier au Procureur Général pour en saisir le Président de la Cour d'Appel compétente. Celui-ci désigne le parquet chargé de diligenter les poursuites et la juridiction de jugement compétente pour en connaître.
(3) Dans les cas prévus aux alinéas (1) et (2), la poursuite, l'instruction et le jugement doivent être confiés à des juridictions de l'ordre judiciaire autres que celles de la province, du département, de l'arrondissement, ou du district selon le cas, où le mis en cause exerce ses fonctions. »

Dans le rapport biaisé du véreux commandant de brigade de Kékem, des témoignages fictifs attribuent faussement la mort de cette fille aux innocents policiers de Kékem. Il convient de rappeler que le commandant de Brigade de Kékem après avoir été soudoyé récemment par la famille du commanditaire de ce crime crapuleux, a blanchi les présumés assassins dans son rapport d’enquête, malgré tous les éléments de preuve disponibles. Toute chose qui a conduit Monsieur le Procureur de la république de céans, à le dessaisir du dossier et confier l’enquête au Commandant de Compagnie de Bafang en phase avec le commissariat de sécurité publique de Kékem.

Nous précisons d’ailleurs que cette collusion du Commandant de Kékem avec la famille des prévenus, avait fait l’objet d’une réunion de crise convoquée en fin mai 2022 par le sous-préfet de Kékem, qui était très remonté contre ce sinistre personnage.
Au cours de la réunion, toute honte bue le Commandant de Brigade de Kékem avait reconnu les faits. Cet acte avait considérablement dégradé les relations et liens professionnels entre lui et d’autres chefs de services d’arrondissement de Kékem.

Demetrio Wouassom Tchatchoua
Le Direct De L'info

11/04/2023
11/04/2023

*Notion sur l'état civil*

1- Que faire si mon acte de naissance est perdu? Détruit ? Ou bien contient des erreurs ??

2- Que faire si je n'ai pas pu établir l'acte de naissance de mon enfant six mois après sa naissance ?

3- Que faire si mon acte de naissance N'EST PAS authentique ( faux actes de naissance)?

4- Que faire si tu n'as jamais eu un acte de naissance dans ta vie ??

*Réponses*

Vous avez bien la possibilité de rectifier ou bien de reconstituer votre acte de naissance selon le cas, Conformément aux dispositions des articles 22,23 et 24 de l'ordonnance du 29 juin 1981 modifiée et complétée par la loi du 06 décembre 2011 portant organisation de l'état civil et diverses dispositions relatives à l'état des personnes physiques.

*Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 676 72 81 57/ 655 63 73 66

*Rejoddel 2022*

*Notion sur l'état civil*

La maman a l'obligation après la naissance de son enfant de lui faire établir un de * même si le père refuse de reconnaître l'enfant.

Je tiens à rappeler que ce refus du père n'empêche en rien l'établissement de l'acte de naissance de l'enfant.

La mention Nom du père'' présente sur l'acte de naissance restera vide jusqu'à ce que celui-ci ait la décence de reconnaître son enfant.

Pour tout besoin d'actes de naissance, de mariage et de décès, veuillez nous contacter aux 676 72 81 57/ 655 63 73 66

*Rejoddel 2022*

04/04/2023

*🆘 ♻️ ANNONCE LUTTE CONTRE L'INCIVISME ENVIRONNEMENTALE ET LES DÉCHETS PLASTIQUES DANS NOS RUES DE YAOUNDÉ♻️ 🆘*

*Lancement d'un challenge ce samedi matin dès (7h) en collaboration avec les enfants vulnérables (de la rue) sur l'évacuation des déchets plastiques qui provoquent certaines inondations et maladies dans nos rues.*

*Point de rencontre :* _Total PJ (Elig essono) YAOUNDÉ_

*Numéro téléphone 699567659 Bertrand Mvondo pour toutes autres informations*

Copiez ce message et ajoutez votre nom et votre numéro WhatsApp. C'est un challenge qui ne s'arrêtera pas dès qu'il débute.

- Bertrand Mvondo.
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05/02/2023

Acte de mariage gratuit pour tous les couples concubins.

Lancement dans tout le Cameroun, d'une vaste campagne d'enregistrement gratuit des couples vivant en union libre, en vue d'officialiser gratuitement leur union.

L'acte de mariage stabilise les familles, prévient les conflits et protège les familles...

Plus d'informations : 676 72 81 57/ 656 19 94 85/ 655 63 73 66 (appels et WhatsApp).

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Actes de naissance pour tous

Lancement dans tout le Cameroun, d'une vaste campagne d'enregistrement des personnes dépourvues d'actes de naissance (actes de naissance perdus, détruits, sans souche, erronés, ou n'ayant jamais été établis...)

Déplacés internes de la crise anglophone, camerounais, Diaspora...

Plus d'informations : 676 72 81 57/ 656 19 94 85/ 655 63 73 66 (appels et WhatsApp).



###### ###### ###### ###XXDiaspora

Actes de naissance pour tous

À l'attention des Camerounais de la Diaspora qui ont perdu leurs actes de naissance ou bien dont les enfants sont dépourvus d'actes de naissance.

Nous sommes la solution.

Plus d'informations : 676 72 81 57/ 656 19 94 85/ 655 63 73 66 (appels et WhatsApp).

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17/01/2023

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Tél : 678 79 71 34/ 656 19 94 85 appels et WhatsApp

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