07/07/2019
Les attaques contre la sœur Nicole Assélé, sont une Stratégie de manipulation des masses
Faire appel à l'émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l'analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus.
De plus, l'utilisation du registre émotionnel permet d'ouvrir la porte d'accès à l'inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements...
Le cas de la CNSS en est une parfaite illustration. En effet, la pertinence du sujet évoqué, est volontairement polluée par l'utilisation de cette technique qui fait appel à l'émotionnel. Ceux qui tirent les ficelles, en surfant sur la sensibilité de la population cible, notamment la précarisation des gens du troisième âge, dont les responsables sont pourtant biens connus de tous, détournent l'opinion de l'analyse rationnelle. par tous les moyens, y compris l'intox et les fakes news.
Dans quel intérêt ???
En effet, l'analyse rationnelle qui tient compte de l'escense même de notre système de sécurité sociale, amène à comprendre les fondements de cet environnement complece, pour en saisir le bien-fondé des mesures courageuses initiées. Ce que ne souhaitent pas les manipulateurs.
On peut ne pas aimer Nicole Assélé, mais il faut reconnaître que la décision de rappeler les dispositions de l'article 100 du code de sécurité sociale, et la campagne de lutte contre la fraude qu'elle mène également et qui porte ses fruits déjà, sont des initiatives courageuses, dans le contexte actuel de crise générale. N'en déplaise à ceux qui salivent pour venir achever l'œuvre de destruction du vivre ensemble, entamée par ses prédécesseurs elle a raison.
De la même façon que ces initiatives ne sont pas des options, l'analyse rationnelle est une obligation pour comprendre les enjeux et la portée de ces initiatives, dans le soucis de la prévention de graves conflits sociaux qui pourraient en découler.
Elle a les outils pour lui permettent de remettre d'équerre, l'équilibre de notre système de sécurité sociale, qui tangue dangereusement.
j'ai dit.