Les Lois Naturelles

21/09/2023

TRÈS ÉDIFIANT

La légende raconte qu'un serpent poursuivait une luciole pour la dévorer.
Le petit insecte faisait tout son possible pour fuir le serpent.
Durant des jours, ce fut une persécution intense.
Après quelque temps, la luciole fatiguée, épuisée, s'arrêta et dit au serpent :
- Je peux te poser 3 questions ?
- Je ne suis pas habitué à faire des concessions, mais comme de toute façon je vais te manger, vas-y !
- Première question : Est-ce que j'appartiens à ta chaîne alimentaire ?
- Non !
- Question numéro 2 : Est-ce que je t'ai fait quelque chose de mal ?
- Non !
- Question numéro 3 : Alors, pourquoi veux-tu me manger ?
- MAIS PARCE QUE TU BRILLES SEULEMENT ET ÇA ME DÉRANGE !
Moralité : Souvent, tu rencontres des gens qui vont te critiquer, te dénigrer, te diffamer, te calomnier, te condamner, te mettre une étiquette, même si tu ne leur as rien fait et que tu as été correct et cordial.
Tout ça, c'est parce que, comme la luciole, tu brilles de ta propre lumière, illuminant ton chemin.
Tu brilles comme la luciole dans la nuit et c'est difficile à supporter pour certains, parce qu'ils manquent de cette lumière intérieure propre et que la tienne leur fait mal...
Ce sont des personnes pas bien portantes, contaminées et qui vivent dans le malheur.
De grâce, ne renonce jamais à être ce que tu es !

18/08/2023

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25/05/2023

~~ voix de l'auteur~~

Toujours au salon.

Leurs mère : tu vois la manière dont ta femme me parle maintenant Ahmed ?

Salimatou : vous savez par vous-même que cette fille ne fait rien pour vous décevoir elle vous obéit à la lettre elle essaye par tous les moyens pour vous faire plaisir, mais comme elle ne peut pas vous donnez un petit fils vous vous permettez de lui dire n'importe quoi avec votre fille cette fille ne fait que souffrir dans cette maison.

Maïmouna: Ahmed tu vois la manière dont ta femme me parle et tu restes calme.

Ahmed : salimatou tais-toi maintenant.

Maïmouna : tu vois ce que tu as fait ? En s'adressant à laïla. C'est ta faute si elle ose me parler comme ça.

Laïla : maman

Djamel : maman Laïla à quoi à voir dans ça si belle-sœur te parle comme ça pourquoi tu n'arrête jamais d'accusé ma femme ?

Laïla : je préfère rejoindre ma chambre bonne nuit.

Djamel : à cause de toi maman cette fille ne se sent plus à l'aise dans cette maison qu'est-ce que tu lui veux à la fin ?

Soraya : mon frère...

Djamel : toi tu te tais, c'est pas à toi que je parle, mais à maman alors maman répond tu veux quoi à ma femme ?

Maïmouna : je ne veux pas de ta femme dans cette maison depuis qu'elle est là qu'est-ce qu'elle a pu faire ? Rien, c'est une opportuniste cette fille j'en suis quelle ne t'aime, mais ton argent.

Salimatou : mon Dieu.

Djamel : tu peux penser ce que tu veux maman moi je sais que j'ai la meilleure femme et rien ne peut nous séparer.

Il se lève pour rejoindre sa chambre aussi.

Salimatou : tu vois maintenant belle-mère et si tu ne fais pas attention ton fils aussi s'éloignera de toi bonne nuit.

Maïmouna : non je ne laisserai pas ça se passer. Dit-elle en pensant.

Le jour suivant laïla se trouvait avec une amie.

- Laïla pourquoi tu te laisses faire dans cette maison ?

Laïla : je peux les comprendre de fois Mame.

Mame: donc toi tu vas te laisser faire voir ta belle-mère et sa fille te dire tout ce qui leur plaît et toi tu ne dis rien tu sais qu'elles vont te prendre pour une faible.

Laïla : je suis fatiguée Mame fatiguée de tout ça tout ce que je veux, c'est d'aller loin dans un monde où personne ne me connais pour être calme.

Mame: j'en suis sûre qu'un jour arrivera où tout va changer.

Laïla : que Dieu t'entende.

Du côté de Soraya la sœur de Djamel.

Elle se trouvait dans un restaurant avec une fille à côté d'elle.

Soraya : ça me fait du bien de sortir de la maison pour ne pas voir le visage de cette fille.

- tu parles de quelle fille ?

Soraya : de la femme stérile de mon frère.

- ah tu parles de cette fille, je la déteste tellement.

Soraya lui regarde sans répondre , elle prend un gorgé de jus.

- comment il va ton frère ?

Soraya : il va bien toujours derrière sa femme pour lui défendre entre vent et marée.

- cette fille est vraiment pire je ne l'ai jamais aimé.

Soraya : et je peux dire la cause de sa chérie.

- quoi ?

Soraya : tu as un béguin pour mon frère mais tu le caches.

- oui tu as raison, je suis amoureuse.

Soraya : il ferait mieux pour toi de l'oublier, car tu vois mon frère est tellement amoureux de sa femme que personne ne peut les séparer.

- cette femme m'a volé ma place si elle n'était pas rentrer dans la vie de Djamel, ça sera moi sa femme.

Soraya : et comment ?

- tu n'avais pas vue la manière dont ton frère et moi on était proche.

Elle se met à rigoler.

- pourquoi tu rigoles ?

Soraya : tu sais que je n'avais rien remarqué, mais tu vois mon frère ne te considéra pas comme sa femme, mais comme une petite sœur alors arrête de rêver.

- je me demande de fois si tu es vraiment ma meilleure amie, mais tu sais que tout peut changer ?

Soraya reste calme un moment sans rien dire perdue dans ses pensées.

Soraya : tu as raison tout peut changer Noor.

Noor : tu veux dire quoi ?

Soraya : tu aimes vraiment mon frère n'est-ce pas ?

Noor: oui.

Soraya : je crois que tu nous seras vraiment une vraie aide pour faire sortir cette fille de notre maison.

Noor : comment ?

Soraya : en faisant en sorte que mon frère se marie avec toi. Je sais que ça ne sera pas possible, mais on doit trouver un moyen.

Noor : Soraya tu vas faire ça pour moi ?

Soraya : oui ma chérie.

Noor: mon Dieu, mais comment tu vas faire ?

Soraya : je dois me voir avec ma mère, je sais quelle t'apprécie beaucoup et comme tu aimes tellement mon frère, je sais que toi tu vas lui rendre heureux.

Noor: tu peux en être sûre Soraya je vais combler ton frère de bonheur en lui faisant le plaisir d'être père il sera l'homme le plus heureux.

Soraya : je le sais, mais calme toi d'abord essaye de te contrôler la chérie ça ne sera pas du jour au lendemain d'être la femme de mon frère, tu sais qu'il aime vraiment sa femme donc ça sera une tâche vraiment difficile.

Noor: oui tu as raison, je dois me contrôler.

Soraya : très bien.

~~ Soraya ~~

Je suis prête à tout pour faire sortir cette femme de notre maison je ne l'ai jamais aimé depuis le premier jour elle était vraiment moche avec un style vraiment démodé, mais grâce à mon frère elle peut s'habiller aujourd’hui comme une femme de classe, mais toi tout va s'arrêter je ferai tout mon possible.

Et je crois bien que mon amie est là meilleure pour être là femme de mon frère, car elle l'aime réellement et je veux voir la joie sur le visage de mon frère quand on lui annoncera qu'il sera père, mais tout sera possible quand cette fille ne fera plus partie de cette famille.

Je rentre dans la chambre de ma mère pour lui parler de mon idée.

Moi : maman !

Ma mère : oui ma chérie ! Qu'est-ce qui ne va pas ?

Moi : j'ai quelque chose à te dire et je sais que ça va te faire plaisir.

Ma mère : quelle est cette chose qui peut me rendre heureux ?

Moi : attend je vais fermer d'abord la porte.

Je ferme la porte avant de m'approcher d'elle.

Ma mère : racontes.

Moi : je sais quoi faire pour se débarrasser de laïla dans cette maison.

Ma mère : tu dis vrai ?

Je secoue la tête en signe de réponse.

Ma mère : dit moi comment ?

Moi : à travers Noor.

Ma mère : Noor ton amie ?

Moi : oui.

Ma mère : mais je ne comprends rien Soraya essaye de bien m'expliquer.

Moi : Noor est amoureuse de Djamel ça fait des années avant qu'il ne se rencontre avec Laïla.

Ma mère : tu veux dire que ton amie est amoureuse de Djamel ?

Moi : oui maman.

Ma mère : est comment ton amie peut nous aider ?

Moi : en faisant en sorte qu'elle devient la femme de Djamel maman, c'est la seul moyen qu'on a pour se débarrasser de cette fille.

Ma mère : c'est une bonne idée, mais tu sais que ton frère est amoureux de sa femme.

Moi : je sais maman et je sais que ce n'est pas quelque chose de facile, mais on doit trouver un moyen maman.

Ma mère : je vais réfléchir.

Moi : d'accord.

~~ voix de l'auteur~~

Le matin dans la chambre de laïla elle était dans la chambre avec un test de grossesse en main.

Avoir l'expression de son visage, on saura directement qu'elle ne va pas bien. Quelqu’un ouvre la porte de la chambre, elle cache le test derrière elle c'est Djamel.

Djamel : mon amour qu'est-ce que tu fais encore ici ?

Laïla : euh mon chéri tu peux y aller je te rejoins dans quelques instants.

Djamel remarque que quelque chose ne va pas.

Djamel : mon amour qu'est-ce qui ne va pas ?

Laïla : rien rien tout va bien.

Djamel : tu caches quoi derrière toi ?

Laïla : on doit y aller les autres nous attend.

Il vient à côté de sa femme en lui arrachant le test de grossesse .

Il soupire un instant avant de regarder sa femme.

Djamel : c'est quoi ça encore laïla ?

Laïla : tu sais que j'ai toujours cet espoir Djamel aujourd’hui je me suis réveillée avec l'envie de voir deux barres de trait sur ce test de grossesse, mais une fois encore, c'est pas le cas Djamel je commence à m'éloigner de mon rêve Djamel et si je n'arrive pas à te donner un enfant.

Djamel : écoute-moi Laila ça fait maintenant trois ans que nous sommes mariés et il y a toujours de l'amour même s'il n'y a pas d'enfant moi je t'aime telle que tu es même si tu ne me donnes pas d'enfant.

Laïla : mais moi je veux des enfants, je ne veux pas passer le reste de ma vie comme ça et ta mère et ta soeur vont elles arrêté de me le rappeler chaque fois que je ne peux donner naissance ? Et si un jour toi aussi tu commences en avoir marre ?

Djamel : rien de tout ça n'arrivera mon amour, je te le promets.

Laïla : tu me promets que nous serons toujours ensemble ?

Djamel : je te le promets.

~~ Laïla ~~

Ça me rassure quand il me promet qu'il sera toujours avec moi et moi je le fais entièrement confiance personne ne pourra nous séparer même pas sa mère, car je sais que c'est ça leur objectif me voir loin de Djamel, mais tant que notre amour sera fort personne ne pourra nous séparer.

Quelques jours plus t**d je suis dans un orphelinat chaque fin de moi je viens offrir les dons aux enfants et passer un petit moment avec eux.

Responsable de l'orphelinat : ça fait vraiment longtemps qu'on ne vous voit pas ici madame.

Moi : j'étais un peu occupé ces derniers mois, c'est la raison.

Responsable de l'orphelinat : en tout cas vous manquez aux enfants.

Moi : je vais aller les voir.

Responsable de l'orphelinat : venez avec moi.

Nous nous dirigeons vers l'appartement des enfants.

Responsable de l'orphelinat : les enfants j'ai une surprise pour vous votre tante préférée est là.

Ils dirigent leur regard vers moi quand il me voit il affiche tous un sourire sur leur lèvre avant de courir vers moi.

Les enfants : Tati laïla !

Moi : ohh mes petits bouts de choux comment allez-vous.

Les enfants : nous allons bientôt sauf que tu nous as beaucoup manqué et nous sommes fâchés contre toi.

Moi : ohh je suis vraiment désolée mes amours je vous promets de ne plus vous laisser sans nouvelles hum ?

Les enfants : d'accord Tati laïla.

Moi : vous savez quoi pour me faire pardonner Tati laïla vous amener des tas de cadeaux vous voulez les voir ?

Les enfants : ouiii

Responsable de l'orphelinat : venez avec moi les enfants.

Ils courent tous pour se rendre dans le bureau de la responsable ces enfants sont si mignons de fois je viens passer mon temps avec eux si je n'ai rien à faire.

En sortant je vois une petite fille assise sur le banc dans le jardin, c'est ma première fois de là voire ici.

Je m'approche d'elle.

Moi : coucou !

Elle lève les yeux pour me regarder.

Moi : pourquoi tu es là toute seule ma chérie ? Est-ce que tu es triste.

Elle me regarde sans me répondre.

Responsable : c'est une nouvelle, c'est pour cela qu'elle est dans son coin, elle préfère s'asseoir ici que de jouer avec les autres.

Je m'assois à côté d'elle.

Moi : euh je vais me présenter à toi moi, c'est laïla et toi ? Tu sais que tu peux me faire confiance moi je suis gentille avec tous les enfants.

La petite : c'est vrai ?

Moi : oui chérie alors comment tu t'appelles ?

La petite : je m'appelle Mariame. Avec un sourire aux lèvres.

Moi : Mariame jolie prénom et j'adore ce petit sourire sur ton visage regarde j'ai un cadeau pour toi.

Mariame : un cadeau ?

Moi : oui aller tiens ouvre le.

Elle l'ouvre toute heureuse, il y avait une poupée dedans.

Mariame : une poupée !

Moi : oui ma chérie.

La responsable : et qu'est-ce qu'on dit ?

Mariame : merci beaucoup.

Moi : tu ne dois jamais effacer ce sourire de ton visage et tu dois t'approcher de tes amis, tu vas voir qu'ils sont vraiment gentils.

Mariame : d'accord.

Après quelques minutes, je sors de l'orphelinat, je regarde dans mon sac pour prendre les clés quand tout à coup ils me tombent des mains, je me courbe pour les prendre quand je vois une main aussi qui se précipite pour les prendre.

Je lève les yeux pour voir la personne un sourire s'affiche d'abord sur mon visage, car ça fait maintenant un an que je ne l'ai pas vue, c'est mon amie Ali on a toujours été proche.

Moi : Ali, c'est toi ?

Ali : laïla mon Dieu laïla c'est toi comme tu as changé.

Moi : mais toi aussi comment vas-tu ?

Ali : je vais bien on a tellement de choses à se dire et si on allait quelque part pour un peu discuté ?

Moi : pas de problème.

Nous montons dans la voiture pour aller dans un restaurant.

Quelques minutes plus t**d nous sommes assis dans un restaurant à parler.

Ali : comment ça va chez toi ?

Moi : bien tout le monde va bien ?

Ali : et ton mari même s'il ne m'a jamais aimé.

Moi : oui, mais tu dois comprendre pourquoi aussi.

Ali : oui je le sais.

Dans le passé Ali et moi était vraiment proches il m'avait même avoué son amour et moi aussi j'avais commencé à ressentir quelque chose pour lui jusqu'à ce que je rencontre Djamel et tout à changer je suis tombé amoureux de Djamel et le peux d'amour que je ressentais pour Ali s'était volatilisé.

Ali : je ne veux pas revenir au passé, mais je me suis senti vraiment trahi quand tu as préféré Djamel à moi et jusqu'à présent je ressens cette chose ici dans mon cœur je n'arrive pas me débarrasser.

Moi : l'amour que je ressentais pour Djamel est vraiment fort et j'ai vu ce truc en lui qui me plaisait beaucoup, mais je sais qu'un jour tu trouveras une fille qui t'aimera de tout ton cœur.

Ali : peut-être. Et Mame comment elle va?

Moi : elle va très bien et je sais quelle sera vraiment ravie de te voir.

Nous passons un moment ensemble avant de rentrer à la maison ça m'a vraiment fait plaisir de lui voir et partager quelques heures avec lui, car il a vraiment été un ami pour moi.

J'espère vraiment qu'il m'oubliera et passera à autre chose, car il mérite aussi le bonheur.

~~ voix de l'auteur~~

Dans la chambre de Soraya elle parlait avec quelqu’un au téléphone.

Soraya : tu dois venir demain à la maison.

Elle parlait avec son amie.

Noor: tu crois que c'est une bonne idée ?

Soraya : bien-sûr que oui tu viens en tant que mon amie alors personne ne pourra se douter de quelques tu dois commencer à venir à la maison pour gagner l'amour de la famille jusqu'au jour où cette fille quittera cette maison pour que tu deviennes la nouvelle belle fille.

Noor : d'accord, je serai là.

Soraya : tu dois être là demain matin pour le petit déjeuner d'accord.

Noor : d'accord bye à demain.

Soraya : à demain.

Après elle raccroche à l'appel.

Soraya : que les choses sérieuses commencent maintenant.

À suivre...

Les Lois Naturelles et les énergies influent sur nos vies sans que nous ne nous en apercevions

24/05/2023

~~ voix de l'auteur ~~

Nous voyons une très grande maison, mais vraiment grande à l'intérieur de cette maison tous les employés montait et descendait.

Pour mettre la maison en ordre.

Nous nous retrouvons maintenant dans une chambre vraiment spacieuse à l'intérieur de la chambre se trouvait une jeune femme couchée sur le lit.

Elle était vraiment belle avec un visage d'ange et une bouche large.

Elle tourne de l'autre côté du lit elle fait circuler sa main de l'autre côté du lit, mais il n'y avait personne.

C'est comme ça qu'elle se réveille en sursaut.

- mon Dieu qu'est-ce que j'ai fait ? Il est 7 h et je suis toujours au lit tout ça à cause de lui et il n'a même pas pensé à me réveiller.

Elle se lève du lit pour rejoindre la salle de bain, c'est au même moment qu'un jeune homme sort de la salle de bain.

Le jeune homme : hé, mais pourquoi tu cours comme ça ?

La jeune femme : tu me demandes pourquoi je cours comme ça ? Sérieux tu ne vois pas qu'il fait déjà jour et je dois me rendre dans la cuisine et tu n'as même pas pensé à me réveiller.

Le jeune homme : mais calme toi en plus il y a les employés pour ça alors arrête de stresser pour rien.

La jeune femme : de ne pas me stresser ? Je dois te rappeler que ce n'est pas comme ça que ta mère pense si je n'y vais pas à la cuisine elle va commencer à crier dans toute la maison.

Le jeune homme : mais.

La jeune femme : mais pourquoi je suis encore là à te parler ?

Elle entre dans la salle de bain.

Le jeune homme : quelle f***e.

Le jeune homme entre dans le dressing pour se choisir quoi porter après s'être préparer il sort de la chambre pour rejoindre les autres au salon.

Le jeune homme : bonjour tout le monde !

Au salon se trouvait une dame et deux jeunes femmes un homme un peu âgé et un autre jeune.

Ils répondent tous à la salutation.

Quelques minutes plus t**d il y avait la jeune femme qui était aussi présente.

La jeune femme : bonjour à vous !

C'est cet homme un peu âgé et l'une des jeunes filles et l'autre jeune qui était assis qui ont répondu à sa salutation.

La jeune femme : je vais aller apporter le repas.

La dame : et pourquoi le faire ? Est-ce que c'est toi qui l'as préparé hum ? Dit moi ?

La jeune femme : maman.

La dame : est-ce que c'est une heure pour une femme mariée de se réveiller est-ce que tu es venue pour te reposer ici ?

La jeune femme : maman j'avais oublié de mettre le réveille je vous en prie de me pardonner.

La dame : je ne veux pas d'une paresseuse comme toi dans cette maison.

Le jeune homme : maman...

La dame : toi tu te tais tu es toujours là à prendre le côté de ta femme même si elle commet d'erreur.

L'homme un peu âgé : mais qu'est-ce que tu racontes encore elle est toujours matinale pour préparer le repas de la famille si aujourd’hui elle ne sait pas réveiller tôt c'est peut-être une erreur.

Une des jeunes femmes : mais pourquoi tu n'arrête jamais de prendre le côté de cette fille papa c'est une paresseuse qui ne sais rien faire si ce n'est pas de profiter de l'argent de la famille.

La jeune femme : je ne te permets pas de me parler comme ça compris.

Une des jeunes femmes : qu'est-ce que tu vas faire hum ? Est-ce que j'ai menti par hasard ? Dit moi tu ne fais que dilapider notre argent, mais tu es incapable de données un enfant à cette famille.

Le jeune homme se lève en colère.

Le jeune homme : tais-toi maintenant je dois te rappeler que tu parles à ma femme ta belle-sœur, tu lui dois du respect.

Une des jeunes femmes : je ne dois aucun respect à cette femme mon frère, car elle ne le mérite pas.

La jeune femme monte en pleure les escaliers pour se rendre dans sa chambre.

L'autre jeune femme qui était assise parle aussi.

- pourquoi il a fallu que tu lui parles comme ça ? Tu ne vas jamais t'arrêter.

La dame : qu'est-ce qu'elle a dit de mal ce n'est que la pure vérité.

Dans la chambre de cette dernière ne faisait que pleurer.

~~ Laïla~~

C'est toujours comme ça tout le monde se mettent à me dire ce qu'ils pensent,ils me traitent de tous les noms.

Je ne sais plus quoi faire je souffre tellement.

Désoler je ne me suis pas présentée à vous je m'appelle laïla bah je suis mariée cela fait trois ans maintenant avec Djamel on étaient accepter par tout le monde dans la famille, mais après des années passées ma belle-mère n'attendait qu'une chose le mot grossesse. Mais malheureusement ce n'était pas le cas. Elle a commencé à ressentir une haine pour moi de toutes les façons elle ne m'a jamais aimé depuis le jour où son fils m'a présenté à la famille , car je viens d'une famille pauvre donc son fils ne me mérite pas.

J'ai essayé par tous les moyens d'avoir leur cœurs, mais chose qui est impossible.

Mais je garde espoir qu'elles vont m'accepter et prié pour avoir aussi un enfant, c'est tout ce que je demande dans mon mariage j'en n'ai marre de toutes ces insultes.

Je vois la porte s'ouvrir c'est Djamel qui est rentrée avec une assiette en main.

Djamel : mon amour !

J'essuie mes larmes.

Elle dépose l'assiette de côté avant de venir s'asseoir à côté de moi au lit.

Djamel : je suis vraiment désolée pour tout ce que ma mère et ma sœur t'on dit.

Je n'ai pas pu m'empêcher de couler mes larmes.

Moi : j'en ai marre de tout ça Djamel quand est-ce que je vais être heureuse aussi j'en peux plus.

Djamel : chut !

Il me prend dans ses bras.

Djamel : tu vas voir tôt ou t**d tout va s'arranger regarde j'étais apporter à manger tu n'as rien manger.

Moi : non je n'ai pas faim.

Djamel : qu'est-ce que tu as mangé pour ne pas avoir faim ? Tu vas me faire le plaisir de manger.

Moi : d'accord.

Il me donne à manger.

De fois je me sens mal de ne pas lui donner cette joie d'être père même s'il me défend devant sa famille je sais que son souhait, c'est d'être père aussi.

Moi : tu dois maintenant aller au travail Djamel.

Djamel : mais tu ne vas pas bien.

Moi : je vais bien à présent en plus salimatou est là.

Djamel : d'accord prend soin de toi.

Il me donne un baisé avant de sortir de la chambre.

Salimatou est là femme du frère de Djamel, c'est une fille vraiment gentille depuis mon arrivée dans cette maison elle fait tout pour que je me sente à l'aise je peux dire que c'est la personne avec qui je m'entends de plus dans cette maison.

Je sors de la chambre pour me rendre dans la cuisine où je là trouve entrain de préparer.

Salimatou : laïla tu es là ? Mais pourquoi tu ne te reposes pas ?

Laïla : je vais bien sali je m'ennuie dans ma chambre qu'est-ce que je peux faire.

Salimatou : euh tu peux éplucher ces légumes aujourd’hui je ne veux pas que tu prépares je vais tout faire.

Moi : comme tu veux.

Salimatou : je sais que tu te sens triste après tout ce qui s'est passé ce matin au salon.

Moi : je suis déjà habitué à toutes ces paroles sali.

Salimatou : je n'arrive vraiment pas à les comprendre est-ce que c'est toi qui mets un enfant dans ton ventre ?

Moi : quant est-ce Dieu me bénira aussi avec un enfant Sali ? Dis-je en pleurant.

Salimatou : hé pourquoi tu te mets dans cet état j'en suis sûre qu'un jour arrivé que toi aussi tu annonceras la bonne nouvelle à tout le monde, tu dois juste garder foie.

Moi : mais combien de temps je vais attendre encore salimatou ça fait maintenant trois ans que j'attends trois ans que j'écoute les injures de ma belle-mère et belle-sœur. Tu sais que de fois j'ai vraiment peur j'ai peur de perdre mon mari.

Salimatou : arrête d'avoir ces idées Laila Djamel t'aime et t'aimera pour toujours même sans enfants, je le sais.

Moi : ça ne m'empêche pas quand-même de penser au pire, car je sais que sa mère est capable de tout.

Salimatou : ne soit pas pessimiste ma chérie, mais toujours optimistes quoiqu'il arrive hum ?

Je secoue la tête avant de me jeter dans ces bras.

Après quelques heures, je me suis rendu chez mes parents, je sonne à la porte, c'est mon petit frère qui vient ouvrir la porte.

Petit frère : Laila c'est toi ?

Moi : comment vas-tu ?

Petit frère : je vais bien.

Je rentre à l'intérieur en trouvant mon père avec son journal en main, je viens lui donner une bise à la joue.

Moi : bonjour mon papounet chéri !

Mon père : comment vas-tu ma chérie ?

Moi : je vais très bien papa et toi ?

Mon père : toujours en forme.

Moi : Dieu merci et maman ?

Mon père : elle se trouve dans la cuisine.

Moi : je vais là rejoindre.

Je me dirige vers la cuisine où je vois ma mère concentrer sur ce qu'elle fait elle n'a même pas remarquée ma présence.

Je viens lui prendre par derrière.

Moi : bonjour l'amour de ma vie.

Elle se retourne toute heureuse.

Ma mère : ma chérie tu es là ?

Moi : oui maman et je crois que je tombe pile au bon moment, je vais bien me régaler avec tes délicieux repas.

Ma mère : c'est déjà fini, c'est juste à mettre sur la table.

Moi : je vais t'aider.

Je l'aide à mettre tout en place sur la table après quelques minutes, on était à table pour manger.

Moi : hum maman, c'est vraiment délicieux.

Ma mère : ma chérie comment ça va à la maison ?

Moi : ça va tout le monde va bien.

Ma mère : est-ce que tu me caches quelque chose laïla ?

Moi : je ne te cache rien maman pourquoi tu n'arrête jamais de t'inquiéter pour moi je suis une femme mariée maintenant.

Ma mère : je le sais ma chérie, mais tu resteras toujours mon bébé et je ne vais pas m'empêcher de m'inquiéter pour toi en plus avec une belle-mère que tu as.

Mon petit frère : cette femme est une sorcière, elle n'aime personne.

Mon père : moi j'avais vu en cette femme qu'elle n'est pas une bonne personne et je n'avais pas tort après quelques années, elle a montré son vrai visage.

Ma mère : Dieu merci que son mari t'aime vraiment.

Mon petit frère : et si un jour elle change la mentalité de Djamel il ne faut oublier qu'une mère est capable de tout.

Tout d'un coup je commence à avoir peur après ce que mon frère vient de dire il a raison cette femme est capable de tout.

Ma mère : mais tais-toi idiot.

Moi : c'est mieux que tu te taises Amadou.

Amadou : comme vous voulez tu dois juste faire attention à cette femme ma sœur.

Moi : merci, mais je dois rentrer maintenant il se fait t**d.

~~ voix de l'auteur~~

Au bureau se trouvait Djamel et son frère entrain de parler.

Son frère : les choses commencent à être compliqué à la maison avec maman.

Djamel : je ne sais plus quoi faire Ahmed maman commence à vraiment exagérer.

Ahmed : tu dois être présent pour ta femme aucune femme ne mérite ce qui l'arrive.

Djamel : de fois je me sens impuissant Ahmed et est-ce Dieu nous donnera aussi cette opportunité d'être parent.

Ahmed : ce jour arrivera mon frère soit juste patient.

Djamel : je suis patient mon frère Laila est la femme que j'aime de tout mon cœur et personne ne prendra cette place.

Ahmed : je le sais. Je dois aller récupérer ton petit neveu à l'école, il est l'heure.

Djamel : D'accord.

À la maison Laïla venait de rentrer.

Sa belle-sœur : oh qui je vois là la maîtresse de la maison.

Salimatou : Dieu moi Soraya pourquoi tu ne peux pas laisser Laïla respiré une seconde dans cette maison ?

Soraya : tout simplement parce que je ne veux pas là voir ici j'en suis sûre quelle est là pour profiter de notre argent.

Moi : j'en ai marre d'attendre la même chose Soraya je vais aller me rafraîchir mon mari sera bientôt là.

Après elle monte dans sa chambre.

Soraya : quelle hypocrites.

Salimatou : tu dois vraiment changée Soraya.

Soraya : pourquoi tu n'arrête jamais de prendre parti de cette fille, elle ne le mérite pas salimatou.

Salimatou : c'est elle qui ne mérite pas tout ce que tu dis à son encontre.

Elle se rend aussi dans sa chambre.

Soraya : depuis qu'elle est venue dans cette maison, elle a détourné le cerveau de toutes les personnes.

Sa mère qui n'était présent rentre aussi au salon.

Sa mère : et on doit faire quelque chose pour changer ça.

Soraya : quoi maman moi je ne veux pas de cette femme ici.

Sa mère : je ne sais pas pour le moment, mais je vais trouver une bonne idée.

Soraya : je compte sur toi maman.

Quelques heures plus t**d dans la chambre de laïla elle avait déjà fini de prendre un bain quand la porte de la chambre s'ouvre, c'est son mari.

Laïla : mon amour tu es déjà là comment ça s'est passé au bureau ?

Il lui donne d'abord un baisé à la bouche avant de répondre.

Djamel : tout s'est bien passé sauf que tu m'as manqué.

Laïla : tu m'as manqué aussi.

Djamel : qu'est-ce que tu as fait de ta journée ?

Laïla : j'ai profité pour rendre visite à ma famille.

Djamel : j'espère qu'ils vont.

Laïla : oui ils vont toi va prendre un bain, nous allons bientôt passer à table.

Djamel : d'accord.

Quelques minutes plus t**d tout le monde était maintenant présent Laïla voulais servir tout le monde quand soudain sa belle-mère parle.

Sa belle-mère : tu n'as pas besoin de faire ça salimatou va le faire on n'a pas besoin d'une femme stérile comme toi.

Djamel : MAMAN TU VAS ARRÊTER ? POURQUOI TU N'ARRÊTE JAMAIS DE L'EN VOULOIR DIT MOI ?

Sa mère : tu me cries dessus à cause de cette femme ? Alors bravo, tu as vu ce que tu as fait Laila j'en suis que tu es là pour gâcher ma famille.

Laïla : pas du tout maman, je ne ferai jamais ça.

Sa belle-mère : je t'ai déjà dit d'arrêter de m'appeler maman, tu ne comprends pas où quoi et arrête de faire la fille innocente.

Le père : bon, c'est bon maintenant maïmouma pourquoi tu n'arrête pas d'en vouloir à cette fille ? Le moment voulu la nouvelle que tu veux entendre tu l'attendra pour le moment profite de ton premier petit fils.

Soraya : et si ce moment n'arrive pas papa ?

Maïmouna : Dieu merci que salimatou elle, elle m'a fait ce plaisir.

Salimatou : et si je n'avais pas eu d'enfant aussi vous me traiterez de la même façon belle-mère ? J'en suis sûre que non parce que moi je ne viens pas d'une famille pauvre je sais que c'est l'une des rancunes que vous avez contre Laila donc arrêter votre hypocrisie s'il vous plaît.

Salimatou elle, elle n'avait jamais peur de Parler devant sa belle-mère, elle dit toujours les quatre vérité.

Ahmed : salimatou.

Salimatou : quoi j'ai mentie part hasard ? Je ne crois pas maman vous devriez essayer de changer votre mentalité comme vous voulez que ça soit moi qui vous serve je vais le faire.

À suivre...

Les Lois Naturelles et les énergies influent sur nos vies sans que nous ne nous en apercevions